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Rédaction

2013/01/16

De nous à vous - From us to you - De nós para vós

  • Catéchèse du Pape (16/01/2013)/Pope’s catechesis (16/01/2013)/Catequese do Papa (16/01/2013)
  • PONTIFICAL ACT
  • MESSAGE du Pape pour la journée mondiale du malade 2013/Pope’s MESSAGE for the World Day of the Sick 2013/ MENSAGEM de Sua Santidade Bento XVI para o XXI dia mundial do doente
  • VATICAN: Cardinal Leonardo Sandri Ends Visit to Egypt
  • BENIN : Colloque international de philosophie à Cotonou. Du 21 au 25 janvier 2013
    « Justice, cultures et charité à l’occasion du 1er anniversaire de l’exhortation apostolique Africæ munus »
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  • De vous à nous - From you to us - De vós para nós

  • CAMEROUN : Les évêques contre le mariage homosexuel
  • CENTRAL AFRICAN REPUBLIC: The Archbishop of Bangui involved in the Peace Process
  • KENYA: The Archbishop of Mombasa calls on the Kenyan government to end tribal clashes in the Tana River ahead of elections in March
  • TANZANIA: The Missionaries of the Precious Blood (CPPS) have four newly incorporated members
  • RD CONGO : le frère Guillaume Kipoy, nouveau supérieur général des Frères joséphites de Kinzambi (Diocèse de Kikwit)
  • BRITAIN: European Court of Human Rights declares British Airways Guilty of Religious Discrimination
  • PAIN HEBDOMADAIRE DU CATHOLIQUE. TROISIEME DIMANCHE ORDINAIRE ANNEE C. Dimanche 20 janvier 2013. Par Théodore C. LOKO*
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    Catéchèse du Pape (16/01/2013)/Pope’s catechesis (16/01/2013)/Catequese do Papa (16/01/2013)

    ◊  Chers frères et sœurs,
    Dieu se révèle dans l’Ancien Testament à travers l’histoire du peuple d’Israël. Ses promesses se réalisent pleinement dans l’Incarnation de son Fils. En effet, dans la grotte de Bethleem, il a manifesté son visage en Jésus. S’il est vrai que Dieu ne peut pas être réduit à un objet, à une simple image, il est aussi vrai qu’il a un visage : celui du Christ. Il nous parle, nous écoute et nous voit. En Jésus, le contenu de la Révélation et son Révélateur coïncident. Jésus nous fait connaître le nom de Dieu : il est celui qui est présent parmi les hommes. Jésus est la Parole abrégée et substantielle du Père, le Médiateur de la nouvelle et éternelle alliance. En lui, nous voyons et rencontrons le Père ; en lui, nous pouvons invoquer Dieu avec le nom de « Abbà, Père ». Si nous désirons voir le visage de Dieu, toute notre existence doit s’orienter vers la rencontre avec Jésus, vers l’amour pour lui et pour nos frères et sœurs. L’Eucharistie est la grande école où nous apprenons à voir le visage de Dieu, et où nous entrons en relation avec lui, en ayant le regard tourné vers le moment où Dieu nous comblera de la lumière de son visage pour toujours.
    **
    Je salue cordialement les pèlerins francophones, particulièrement les élèves venus de Strasbourg ! Je vous invite à l’écoute assidue de la Parole de Dieu et à vivre pleinement du Mystère de l’Eucharistie, pour être familiers du visage de Jésus. Vous pourrez alors le reconnaître dans les personnes qui sont pauvres, faibles et souffrantes. Bon pèlerinage à tous !
    ***
    Dear Brothers and Sisters,
    During the Christmas season we celebrated the mystery of the Incarnation as the culmination of God’s gradual self-revelation to Israel, a revelation mediated by those great figures such as Moses and the Prophets who kept alive the expectation of God’s fulfilment of his promises. Jesus, the Word made flesh, is truly God among us, “the mediator and the fullness of all revelation” (Dei Verbum, 2). In him, the ancient blessing is fulfilled: God has made his face to shine upon us (cf. Num 6:25). As the Incarnate Son, the one mediator between God and man (cf. 1 Tim 2:5), Jesus does not simply speak to us about God; he shows us the very face of God and enables us to call him our Father. As he says to the apostle Philip, “whoever has seen me has seen the Father” (Jn 14:9). May our desire to see the Lord’s face grow through our daily encounter with him in prayer, in meditation on his word and in the Eucharist, and thus prepare us to contemplate for ever the light of his countenance in the fullness of his eternal Kingdom.
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    I am pleased to greet all the English-speaking visitors present at today’s Audience, including the pilgrimage groups from Australia and the United States of America. My particular greeting goes to the pilgrims from the Catholic Near East Welfare Association. I also welcome the deacons from Saint Paul Seminary and the many college and university students present. May the light of the Lord’s face shine upon all of you and fill you with his richest blessings of joy and peace!
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    Queridos irmãos e irmãs,
    Deus dá-se a conhecer, revela-se, entra na história, agindo por meio de mediadores, como Moisés, os Juízes, os Profetas, que comunicam ao seu povo a Sua vontade. Esta revelação alcança a sua plenitude em Jesus Cristo. N’Ele, Deus vem visitar a humanidade, de um modo que excede tudo o que se podia esperar: fazendo-Se homem. Com Cristo, se concretiza um desejo que permeava todo o Antigo Testamento: ver a face de Deus. De fato, por um lado, o povo de Israel sabia que Deus tinha uma face, ou seja, é Alguém com quem podemos entrar em relação, mas por outro lado, estavam cientes de que era impossível, nesta vida, ver a face de Deus; esta permanecia misteriosa, inacessível e, portanto, não representável. Mas, com a Encarnação, Deus assume uma face humana. Jesus nos mostra a face de Deus e por isso é o Mediador e a plenitude de toda a revelação: n’Ele vemos e encontramos o Pai; n’Ele podemos invocar a Deus como Pai; n’Ele temos a salvação.
    **
    Uma saudação cordial aos peregrinos de língua portuguesa, nomeadamente ao grupo de “Cantorias”, da Diocese de Viseu: me quisestes recordar em vosso canto. Agradeço-vos e, de bom grado, vos encorajo na consagração à Virgem Maria para um feliz êxito na vossa configuração a Cristo. Desçam sobre vós e vossas famílias as Bênçãos de Deus. Obrigado.

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    PONTIFICAL ACT

    ◊  Vatican City, 15 January 2013 (VIS) – The Holy Father appointed Bishop Desiderius Rwoma as bishop of Bukoba (area 8,608, population 876,350, Catholics 527,515, priests 128, religious 438), Tanzania. Bishop Rwoma, formerly bishop of Singida, Tanzania, was also named as apostolic administrator “sede vacante et ad nutum Sanctae Sedis” of the Diocese of Singida. He succeeds Bishop Nestorius Timanywa of Bukoba, whose resignation from the pastoral care of that diocese the Holy Father accepted, upon having reached the age limit.

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    MESSAGE du Pape pour la journée mondiale du malade 2013/Pope’s MESSAGE for the World Day of the Sick 2013/ MENSAGEM de Sua Santidade Bento XVI para o XXI dia mundial do doente

    ◊  « Va, et toi aussi, fais de même » (Lc 10, 37)
    Chers frères et sœurs !
    1. Le 11 février 2013, mémoire liturgique de Notre-Dame de Lourdes, on célébrera de façon solennelle au Sanctuaire marial d’Altötting la XXIème Journée mondiale du Malade. Cette journée est pour les malades, pour les personnels de santé, pour les fidèles chrétiens et pour toutes les personnes de bonne volonté « un temps fort de prière, de partage, d’offrande de la souffrance pour le bien de l’Église et un appel à tous à reconnaître dans les traits du frère malade la Sainte Face du Christ qui, par sa souffrance, sa mort et sa résurrection a opéré le salut de l’humanité » (JEAN-PAUL II, Lettre de création de la Journée mondiale du malade, 13 mai 1992, n. 3). En cette circonstance, je me sens particulièrement proche de chacun de vous, chers malades qui, dans les lieux d’assistance et de soins ou aussi à la maison, vivez un moment difficile d’épreuve à cause de l’infirmité et de la souffrance. Qu’à tous, parviennent les paroles rassurantes des Pères du Concile œcuménique Vatican II : « Vous n’êtes ni abandonnés ni inutiles : vous êtes les appelés du Christ, sa transparente image » (Message aux pauvres, aux malades, à tous ceux qui souffrent).
    2. Pour vous accompagner dans le pèlerinage spirituel qui de Lourdes, lieu et symbole d’espérance et de grâce, nous conduit au Sanctuaire d’Altötting, je voudrais proposer à votre réflexion la figure emblématique du Bon Samaritain (cf. Lc 10,25-37). La parabole évangélique narrée par saint Luc s’insère dans une série d’images et de récits sur la vie quotidienne, avec lesquels Jésus veut faire comprendre l’amour profond de Dieu envers chaque être humain, spécialement lorsqu’il se trouve dans la maladie et la souffrance. Mais, en même temps, avec les paroles qui concluent la parabole du Bon Samaritain, « Va, et toi aussi fais de même » (Lc 10, 37), le Seigneur indique quelle est l’attitude que doit avoir chacun de ses disciples envers les autres, particulièrement s’ils ont besoin de soins. Il s’agit donc de puiser dans l’amour infini de Dieu, à travers une relation intense avec lui dans la prière, la force de vivre quotidiennement une attention concrète, comme le Bon Samaritain, envers celui qui est blessé dans son corps et dans son esprit, celui qui demande de l’aide, même s’il est inconnu et privé de ressources. Cela vaut non seulement pour les agents de la pastorale et de la santé, mais pour tous, également pour le malade lui-même, qui peut vivre la condition qui est la sienne dans une perspective de foi : « Ce n’est pas le fait d’esquiver la souffrance, de fuir devant la douleur, qui guérit l’homme, mais la capacité d’accepter les tribulations et de mûrir par elles, d’y trouver un sens par l’union au Christ, qui a souffert avec un amour infini » (Enc. Spe salvi, 37).
    3. Plusieurs Pères de l’Église ont vu dans la figure du Bon Samaritain Jésus lui-même, et dans l’homme tombé aux mains des brigands Adam, l’Humanité égarée et blessée par son péché (cf. ORIGENE, Homélie sur l’évangile de Luc XXXIV, 1-9 ; AMBROISE, Commentaire sur l’évangile de saint Luc, 71-84 ; AUGUSTIN, Discours 171). Jésus est le Fils de Dieu, Celui qui rend présent l’amour du Père, amour fidèle, éternel, sans barrières ni limites. Mais Jésus est aussi Celui qui “se dépouille ” de son “habit divin”, qui s’abaisse de sa “condition” divine, pour prendre la forme humaine (Ph 2, 6-8), et s’approcher de la douleur de l’homme, jusqu’à descendre aux enfers, comme nous le récitons dans le Credo, et porter espérance et lumière. Il ne retient pas jalousement le fait d’être égal à Dieu, d’être Dieu (cf. Ph 2, 6), mais il se penche, plein de miséricorde, sur l’abîme de la souffrance humaine, pour verser l’huile de la consolation et le vin de l’espérance.
    4. L’Année de la foi que nous sommes en train de vivre constitue une occasion propice pour intensifier la diaconie de la charité dans nos communautés ecclésiales, pour être chacun un bon samaritain pour l’autre, pour celui qui se tient à côté de nous. Dans ce but, je voudrais rappeler quelques figures, parmi les innombrables dans l’histoire de l’Église, qui ont aidé les personnes malades à valoriser la souffrance sur le plan humain et spirituel, afin qu’elles soient un exemple et un stimulant. Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte Face, « experte en scientia amoris » (JEAN-PAUL II, Lett. ap. Nuovo millenio ineunte, n. 42), sut vivre « en union profonde avec la Passion de Jésus », la maladie qui la conduira « à la mort à travers de grandes souffrances » (Benoît XVI, Audience générale, 6 avril 2011). Le Vénérable Luigi Novarese, dont beaucoup gardent vivant encore aujourd’hui le souvenir, ressentit de façon particulière dans l’exercice de son ministère l’importance de la prière pour et avec les malades et les personnes souffrantes, qu’il accompagnait souvent dans les sanctuaires mariaux, particulièrement à la grotte de Lourdes. Poussé par la charité envers le prochain, Raoul Follereau a consacré sa vie au soin des personnes atteintes de la maladie de Hansen jusque dans les endroits les plus reculés de la planète, promouvant entre autre la Journée Mondiale contre la Lèpre. La bienheureuse Thérèse de Calcutta commençait toujours sa journée en rencontrant Jésus dans l’Eucharistie, pour sortir ensuite dans les rues avec le Rosaire en main pour rencontrer et servir le Seigneur présent dans ceux qui souffrent, spécialement en ceux qui ne sont « ni voulus, ni aimés, ni soignés ». Sainte Anna Schäffer de Mindelstetten sut, elle aussi, unir de façon exemplaire ses souffrances à celles du Christ : « la chambre de malade se transforma en cellule conventuelle et la souffrance en service missionnaire… Fortifiée par la communion quotidienne, elle devint un intercesseur infatigable par la prière, et un miroir de l’amour de Dieu pour les nombreuses personnes en recherche de conseil » (Homélie pour la canonisation, 21 octobre 2012). Dans l’Évangile, émerge la figure de la bienheureuse Vierge Marie, qui suit son Fils souffrant jusqu’au sacrifice suprême sur le Golgotha. Elle ne perd jamais l’espérance dans la victoire de Dieu sur le mal, sur la souffrance et sur la mort, et elle sait accueillir avec la même tendresse pleine de foi et d’amour le Fils de Dieu né dans la grotte de Bethléem et mort sur la croix. Sa ferme confiance en la puissance divine est illuminée par la Résurrection du Christ, qui donne espérance à celui qui se trouve dans la souffrance et renouvelle la certitude de la proximité et de la consolation du Seigneur.
    5. Je voudrais enfin adresser ma vive reconnaissance et mon encouragement aux institutions sanitaires catholiques et à la société civile elle-même, aux diocèses, aux communautés chrétiennes, aux familles religieuses engagées dans la pastorale de la santé, aux associations des personnels de santé et du volontariat. Puisse en tous grandir la conscience que « en accueillant avec amour et générosité toute vie humaine, surtout si elle est faible et malade, l’Église vit aujourd’hui un moment capital de sa mission » (JEAN-PAUL II, Exh. ap. postsynodale Christifideles laici, n. 38).
    Je confie cette XXIème Journée mondiale du Malade à l’intercession de la Vierge Marie, Mère des Grâces vénérée à Altötting, afin qu’elle accompagne toujours l’humanité souffrante, en quête de soulagement et de ferme espérance ; qu’elle aide tous ceux qui sont engagés dans l’apostolat de la miséricorde à devenir des bons samaritains pour leurs frères et sœurs éprouvés par la maladie et par la souffrance. À tous j’accorde de grand cœur la Bénédiction apostolique.
    Du Vatican, 2 janvier 2013.
    ***
    Go and do likewise” (Lk 10:37)
    Dear Brothers and Sisters,
    1. On 11 February 2013, the liturgical memorial of Our Lady of Lourdes, the Twenty-first World Day of the Sick will be solemnly celebrated at the Marian Shrine of Altötting. This day represents for the sick, for health care workers, for the faithful and for all people of goodwill “a privileged time of prayer, of sharing, of offering one’s sufferings for the good of the Church, and a call for all to recognize in the features of their suffering brothers and sisters the Holy Face of Christ, who, by suffering, dying and rising has brought about the salvation of mankind” (JOHN PAUL II, Letter for the Institution of the World Day of the Sick, 13 May 1992, 3). On this occasion I feel especially close to you, dear friends, who in health care centres or at home, are undergoing a time of trial due to illness and suffering. May all of you be sustained by the comforting words of the Fathers of the Second Vatican Council: “You are not alone, separated, abandoned or useless. You have been called by Christ and are his living and transparent image” (Message to the Poor, the Sick and the Suffering).
    2. So as to keep you company on the spiritual pilgrimage that leads us from Lourdes, a place which symbolizes hope and grace, to the Shrine of Altötting, I would like to propose for your reflection the exemplary figure of the Good Samaritan (cf. Lk 10:25-37). The Gospel parable recounted by Saint Luke is part of a series of scenes and events taken from daily life by which Jesus helps us to understand the deep love of God for every human being, especially those afflicted by sickness or pain. With the concluding words of the parable of the Good Samaritan, “Go and do likewise” (Lk 10:37), the Lord also indicates the attitude that each of his disciples should have towards others, especially those in need. We need to draw from the infinite love of God, through an intense relationship with him in prayer, the strength to live day by day with concrete concern, like that of the Good Samaritan, for those suffering in body and spirit who ask for our help, whether or not we know them and however poor they may be. This is true, not only for pastoral or health care workers, but for everyone, even for the sick themselves, who can experience this condition from a perspective of faith: “It is not by sidestepping or fleeing from suffering that we are healed, but rather by our capacity for accepting it, maturing through it and finding meaning through union with Christ, who suffered with infinite love” (Spe Salvi, 37).
    3. Various Fathers of the Church saw Jesus himself in the Good Samaritan; and in the man who fell among thieves they saw Adam, our very humanity wounded and disoriented on account of its sins (cf. ORIGEN, Homily on the Gospel of Luke XXXIV,1-9; AMBROSE, Commentary on the Gospel of Saint Luke, 71-84; AUGUSTINE, Sermon 171). Jesus is the Son of God, the one who makes present the Father’s love, a love which is faithful, eternal and without boundaries. But Jesus is also the one who sheds the garment of his divinity, who leaves his divine condition to assume the likeness of men (cf. Phil 2:6-8), drawing near to human suffering, even to the point of descending into hell, as we recite in the Creed, in order to bring hope and light. He does not jealously guard his equality with God (cf. Phil 2:6) but, filled with compassion, he looks into the abyss of human suffering so as to pour out the oil of consolation and the wine of hope.
    4. The Year of Faith which we are celebrating is a fitting occasion for intensifying the service of charity in our ecclesial communities, so that each one of us can be a good Samaritan for others, for those close to us. Here I would like to recall the innumerable figures in the history of the Church who helped the sick to appreciate the human and spiritual value of their suffering, so that they might serve as an example and an encouragement. Saint Thérèse of the Child Jesus and the Holy Face, “an expert in the scientia amoris” (Novo Millennio Ineunte, 42), was able to experience “in deep union with the Passion of Jesus” the illness that brought her “to death through great suffering” (Address at General Audience, 6 April 2011). The Venerable Luigi Novarese, who still lives in the memory of many, throughout his ministry realized the special importance of praying for and with the sick and suffering, and he would often accompany them to Marian shrines, especially to the Grotto of Lourdes. Raoul Follereau, moved by love of neighbour, dedicated his life to caring for people afflicted by Hansen’s disease, even at the world’s farthest reaches, promoting, among other initiatives, World Leprosy Day. Blessed Teresa of Calcutta would always begin her day with an encounter with Jesus in the Eucharist and then she would go out into the streets, rosary in hand, to find and serve the Lord in the sick, especially in those “unwanted, unloved, uncared for”. Saint Anna Schäffer of Mindelstetten, too, was able to unite in an exemplary way her sufferings to those of Christ: “her sick-bed became her cloister cell and her suffering a missionary service. Strengthened by daily communion, she became an untiring intercessor in prayer and a mirror of God’s love for the many who sought her counsel” (Canonization Homily, 21 October 2012). In the Gospel the Blessed Virgin Mary stands out as one who follows her suffering Son to the supreme sacrifice on Golgotha. She does not lose hope in God’s victory over evil, pain and death, and she knows how to accept in one embrace of faith and love, the Son of God who was born in the stable of Bethlehem and died on the Cross. Her steadfast trust in the power of God was illuminated by Christ’s resurrection, which offers hope to the suffering and renews the certainty of the Lord’s closeness and consolation.
    5. Lastly, I would like to offer a word of warm gratitude and encouragement to Catholic health care institutions and to civil society, to Dioceses and Christian communities, to religious congregations engaged in the pastoral care of the sick, to health care workers’ associations and to volunteers. May all realize ever more fully that “the Church today lives a fundamental aspect of her mission in lovingly and generously accepting every human being, especially those who are weak and sick” (Christifideles Laici, 38).
    I entrust this Twenty-first World Day of the Sick to the intercession of Our Lady of Graces, venerated at Altötting, that she may always accompany those who suffer in their search for comfort and firm hope. May she assist all who are involved in the apostolate of mercy, so that they may become good Samaritans to their brothers and sisters afflicted by illness and suffering. To all I impart most willingly my Apostolic Blessing.
    From the Vatican, 2 January 2013
    ***
    «Vai e faz tu também o mesmo» (Lc 10, 37)
    Amados irmãos e irmãs!
    1. No dia 11 de Fevereiro de 2013, memória litúrgica de Nossa Senhora de Lourdes, celebrar-se-á de forma solene, no Santuário mariano de Altötting, o XXI Dia Mundial do Doente. Este dia constitui, para os doentes, os operadores sanitários, os fiéis cristãos e todas as pessoas de boa vontade, «um momento forte de oração, de partilha, de oferta do sofrimento pelo bem da Igreja e de apelo dirigido a todos para reconhecerem na face do irmão enfermo a Santa Face de Cristo que, sofrendo, morrendo e ressuscitando, operou a salvação da humanidade» (JOÃO PAULO II, Carta de instituição do Dia Mundial do Doente, 13 de Maio de 1992, 3). Nesta circunstância, sinto-me particularmente unido a cada um de vós, amados doentes, que, nos locais de assistência e tratamento ou mesmo em casa, viveis um tempo difícil de provação por causa da doença e do sofrimento. Que cheguem a todos estas palavras tranquilizadoras dos Padres do Concílio Ecuménico Vaticano II: «Sabei que não estais (…) abandonados, nem sois inúteis: vós sois chamados por Cristo, a sua imagem viva e transparente» (Mensagem aos pobres, aos doentes e a todos os que sofrem).
    2. Para vos acompanhar na peregrinação espiritual que nos leva de Lourdes, lugar e símbolo de esperança e de graça, ao Santuário de Altötting, desejo propor à vossa reflexão a figura emblemática do Bom Samaritano (cf. Lc 10, 25-37). A parábola evangélica narrada por São Lucas faz parte duma série de imagens e narrações tomadas da vida diária, pelas quais Jesus quer fazer compreender o amor profundo de Deus por cada ser humano, especialmente quando se encontra na doença e no sofrimento. Ao mesmo tempo, porém, com as palavras finais da parábola do Bom Samaritano – «Vai e faz tu também o mesmo» (Lc 10, 37) –, o Senhor indica qual é a atitude que cada um dos seus discípulos deve ter para com os outros, particularmente se necessitados de cuidados. Trata-se, por conseguinte, de auferir do amor infinito de Deus, através de um intenso relacionamento com Ele na oração, a força para viver diariamente uma solicitude concreta, como o Bom Samaritano, por quem está ferido no corpo e no espírito, por quem pede ajuda, ainda que desconhecido e sem recursos. Isto vale não só para os agentes pastorais e sanitários, mas para todos, incluindo o próprio enfermo, que pode viver a sua condição numa perspectiva de fé: «Não é o evitar o sofrimento, a fuga diante da dor que cura o homem, mas a capacidade de aceitar a tribulação e nela amadurecer, de encontrar o seu sentido através da união com Cristo, que sofreu com infinito amor» (Enc. Spe salvi, 37).
    3. Diversos Padres da Igreja viram, na figura do Bom Samaritano, o próprio Jesus e, no homem que caiu nas mãos dos salteadores, Adão, a humanidade extraviada e ferida pelo seu pecado (cf. ORÍGENES, Homilia sobre o Evangelho de Lucas XXXIV, 1-9; AMBRÓSIO, Comentário ao Evangelho de São Lucas, 71-84; AGOSTINHO, Sermão 171). Jesus é o Filho de Deus, Aquele que torna presente o amor do Pai: amor fiel, eterno, sem barreiras nem fronteiras; mas é também Aquele que «Se despoja» da sua «veste divina», que baixa da sua «condição» divina para assumir forma humana (cf. Flp 2, 6-8) e aproximar-Se do sofrimento do homem até ao ponto de descer à mansão dos mortos, como dizemos no Credo, levando esperança e luz. Ele não Se vale da sua igualdade com Deus, do seu ser Deus (cf. Flp 2, 6), mas inclina-Se, cheio de misericórdia, sobre o abismo do sofrimento humano, para nele derramar o óleo da consolação e o vinho da esperança.
    4. O Ano da fé, que estamos a viver, constitui uma ocasião propícia para se intensificar o serviço da caridade nas nossas comunidades eclesiais, de modo que cada um seja bom samaritano para o outro, para quem vive ao nosso lado. A propósito, desejo recordar algumas figuras, dentre as inúmeras na história da Igreja, que ajudaram as pessoas doentes a valorizar o sofrimento no plano humano e espiritual, para que sirvam de exemplo e estímulo. Santa Teresa do Menino Jesus e da Santa Face, «perita da scientia amoris» (JOÃO PAULO II, Carta ap. Novo millennio ineunte, 42), soube viver «em profunda união com a Paixão de Jesus» a doença que a levou «à morte através de grandes sofrimentos» (Audiência Geral, 6 de Abril de 2011). O Venerável Luís Novarese, de quem muitos conservam ainda hoje viva a memória, no exercício do seu ministério sentiu de modo particular a importância da oração pelos e com os doentes e atribulados, que acompanhava frequentemente aos santuários marianos, especialmente à gruta de Lourdes. Movido pela caridade para com o próximo, Raul Follereau dedicou a sua vida ao cuidado das pessoas leprosas mesmo nos cantos mais remotos da terra, promovendo entre outras coisas o Dia Mundial contra a Lepra. A Beata Teresa de Calcutá começava sempre o seu dia encontrando Jesus na Eucaristia e depois saía pelas estradas com o rosário na mão para encontrar e servir o Senhor presente nos enfermos, especialmente naqueles que não são «queridos, nem amados, nem assistidos». Santa Ana Schäffer, de Mindelstetten, soube, também ela, unir de modo exemplar os seus sofrimentos aos de Cristo: «o seu quarto de enferma transformou-se numa cela conventual, e o seu sofrimento em serviço missionário. (...) Fortalecida pela comunhão diária, tornou-se uma intercessora incansável através da oração e um espelho do amor de Deus para as numerosas pessoas que procuravam conselho» (Homilia de canonização, 21 de Outubro de 2012). No Evangelho, sobressai a figura da Bem-aventurada Virgem Maria, que segue o sofrimento do Filho até ao sacrifício supremo no Gólgota. Ela não perde jamais a esperança na vitória de Deus sobre o mal, o sofrimento e a morte, e sabe acolher, com o mesmo abraço de fé e de amor, o Filho de Deus nascido na gruta de Belém e morto na cruz. A sua confiança firme no poder de Deus é iluminada pela Ressurreição de Cristo, que dá esperança a quem se encontra no sofrimento e renova a certeza da proximidade e consolação do Senhor.
    5. Por fim, quero dirigir um pensamento de viva gratidão e de encorajamento às instituições sanitárias católicas e à própria sociedade civil, às dioceses, às comunidades cristãs, às famílias religiosas comprometidas na pastoral sanitária, às associações dos operadores sanitários e do voluntariado. Possa crescer em todos a consciência de que, «ao aceitar amorosa e generosamente toda a vida humana, sobretudo se frágil e doente, a Igreja vive hoje um momento fundamental da sua missão» (JOÃO PAULO II, Exort. ap. pós-sinodal Christifideles laici, 38).
    Confio este XXI Dia Mundial do Doente à intercessão da Santíssima Virgem Maria das Graças venerada em Altötting, para que acompanhe sempre a humanidade que sofre, à procura de alívio e de esperança firme, e ajude todos quantos estão envolvidos no apostolado da misericórdia a tornar-se bons samaritanos para os seus irmãos e irmãs provados pela enfermidade e o sofrimento, enquanto de bom grado concedo a Bênção Apostólica.
    Vaticano, 2 de Janeiro de 2013.

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    VATICAN: Cardinal Leonardo Sandri Ends Visit to Egypt

    ◊  The Prefect of the Congregation for Oriental or Eastern Churches, Cardinal Leonardo Sandri on Friday (Jan. 11) ended his six-day visit to Egypt. The cardinal celebrated mass in the Latin Rite on Thursday evening to officially open the Church of Our lady of Peace in the city of Sharm-El-Sheik. During the visit the cardinal among other engagements met with some 200 lay pastoral workers and celebrated mass in the Coptic-rite for the Congregation of the Egyptian Sisters of the Sacred Heart of Jesus in Alexandria, as they mark the centenary of their foundation. Cardinal Sandri also held talks with Pope Tawadros II, the new Head of the Coptic Orthodox Church of Egypt, in a monastery outside Cairo. There are 22 Eastern Catholic Churches that are in full communion with the Roman Catholic Church. They have their own hierarchy and system of governance though their synods. However, the pope exercises his primacy over them through the Congregation for the Eastern Churches.
    Festus TARAWALIE Vatican Radio/English-Africa

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    BENIN : Colloque international de philosophie à Cotonou. Du 21 au 25 janvier 2013
    « Justice, cultures et charité à l’occasion du 1er anniversaire de l’exhortation apostolique Africæ munus »

    ◊  Sous le haut patronage de l’Institut Catholique de Paris (ICP), du Conseil Pontifical de la Culture (Rome) et de la Conférence Épiscopale du Bénin
    Lieu : Institut des Artisans de Justice et de Paix
    Chant d’Oiseau - 04 BP 578 Cotonou, Bénin - Tel : +229.21.30.29.30
    À l’occasion du premier anniversaire de l’Exhortation Apostolique Africæ munus, sur « l’Église en Afrique au service de la réconciliation, de la justice et de la paix », signée par le Pape Benoît XVI à Ouidah (Bénin) le 19 novembre 2011, l’Institut Catholique de Paris, le Conseil Pontifical de la Culture, la Délégation du Bénin à l’UNESCO, l’Université Nationale d’Abomey-Calavi, l’Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest et l’Université Catholique de Yaoundé co-organisent à Cotonou (Bénin), du 21 au 25 janvier 2013, un colloque international de philosophie sur le thème « Justice, cultures et charité ».
    Ce colloque a pour objectif d’engager une réflexion philosophique sur le concept de justice, à partir des nouvelles formes de justice qui se sont déployées depuis la Seconde Guerre mondiale suite aux tragédies qui ont eu lieu, notamment en Afrique. L’enjeu est donc de repenser le concept de justice à l’épreuve des situations où la justice pénale classique n’est pas caduque mais atteint ses limites. Nous pensons en particulier aux situations qui requièrent une justice transitionnelle, mise en œuvre dans des contextes interculturels et interreligieux.
    Dans toute société en transition démocratique, on observe la mise en œuvre de processus de pacification, de réconciliation et de justice à l’égard des crimes passés, que ce soit par la justice pénale classique ou bien par d’autres formes de justice comme la justice transitionnelle. Or ces processus sont souvent très complexes, surtout quand ils impliquent des communautés de cultures et de religions différentes.
    Repenser le concept de justice de manière contemporaine, c’est donc prendre en compte cette complexité, qui recouvre au moins trois dimensions: conflictualité, interculturalité et interreligiosité.

    Présentation
    Le REPHI (Réseau Philosophique de l’Interculturel)
    L’interculturel est devenu aujourd’hui un enjeu fondamental dans de nombreux domaines du savoir et des pratiques. Concept large, il connaît une certaine fortune, sans que l’on saisisse toujours de quoi il retourne et sur quelles bases théoriques il repose. Cette difficulté provient notamment de son statut incertain.
    L’interculturel n’est ni une théorie, ni une démarche, ni un concept doté d’une définition consensuelle, mais un champ de recherche à l’intérieur duquel différents présupposés théoriques se croisent.
    Fidèle à sa tradition de pensée et à partir de son rayonnement international, la Faculté de Philosophie de l’ICP offre un cadre de recherche, sous la forme d’un réseau de philosophes, doctorants et enseignants, où l’interculturel comme paradigme de recherche est appréhendé dans son rapport à la philosophie: le REPHI.
    Trois axes de recherche s’imposent pour le REPHI.
    1/ Le premier axe est conceptuel.
    La démarche interculturelle constitue une autre manière d’analyser la diversité culturelle, non pas à partir d’une perception réifiante des cultures définies comme entités indépendantes et homogènes, mais à partir des processus complexes et des interactions en jeu.
    2/ Le deuxième axe est méthodologique.
    Il s’agira, pour le chercheur, de s’interroger de manière réflexive autant sur la culture de l’autre que sur la sienne. Ceci implique de développer un travail sur les outils de la recherche, en commun avec des chercheurs d’aires culturelles différentes et donc porteurs de traditions de pensée et de méthodes spécifiques.
    3/ Le troisième axe est un appel à penser autrement.
    La démarche interculturelle requiert l’ouverture du champ de la philosophie au-delà de ses seules frontières occidentales et l’affranchissement des rigidités conceptuelles. Il ne s’agit pas d’adopter une attitude relativiste, mais de rechercher un éclairage mutuel pour penser ce qui reste encore à penser.
    Le REPHI
    Créé en 2010, le Réseau Philosophique de l’Interculturel est un groupe de recherche de la Faculté
    de Philosophie de l’ICP. Dirigé par le professeur Serge Gougbèmon et appuyé par un comité scientifique solide, il se veut pensée philosophique de l’interculturel dont le champ de recherche doit être renouvelé afin de penser autrement ce rapport à l’autre transformé par l’évolution du monde et, a fortiori, de la subjectivité. En ce sens, le REPHI, porté par une réflexion philosophique tant théorique que pratique, est également interdisciplinaire.

    Quelques intervenants au Colloque international de philosophie à Cotonou:
    - Mgr Antoine Ganyé, Archevêque de Cotonou
    - Mgr Michael Blume, Nonce apostolique pour le Bénin et le Togo
    - Mgr Xavier Rambaud, Vicaire épiscopal du diocèse de Paris pour les Communautés étrangères et les prêtres étudiants étrangers,
    - Mgr Barthélemy Adoukonou, Secrétaire du Conseil Pontifical de la Culture (Rome)
    - Le délégué de l’UNESCO à Cotonou
    - M. João J. Vila-Chã, Représentant du COMIUCAP
    - Professeur Paulin Hountondji, Université d’Abomey-Calavi
    - M. François Adebayo Abiola, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique
    - Emmanuel Falque, Doyen de la Faculté de Philosophie, ICP
    - Serge Gougbèmon, Directeur du REPHI, ICP
    - Jean-François Petit, ICP, Rédacteur en chef de La Documentation Catholique
    - Barbara Cassin, CNRS
    - André Quenum, Directeur du journal La Croix du Bénin
    - Emmanuel Falque
    - Serge Gougbèmon
    - Paul Béré, SJ, Consulteur de la Secrétairerie générale du Synode – Directeur des études ITCJ
    - Barbara Cassin, CNRS
    - Epiphane Zoro, Magistrat, spécialiste en Droits de l’Homme et Justice transitionnelle
    - Mgr Nicodème Barrigah-Bénissan, Président de la Commission vérité, justice et réconciliation au Togo
    - Raúl Fornet-Betancourt, Université de Brême
    - Hubert Faes, ICP
    - Cyrille Koné, Université de Ouagadougou
    - Fred Poché, Université Catholique de l’Ouest
    - Émilie Tardivel-Schick, ICP
    - Bencherki Benmeziane, Université d’Oran
    - Edouard Ade, UCAO

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    http://www.radiovaticana.va/en3/Africa_newsletter.asp
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    Adresses utiles pour Radio Vatican/Useful contacts of Vatican Radio/Endereço

    ◊  P. Federico LOMBARDI, SJ
    Directeur Général/General Director/Director Geral
    e-mail: lombardi@vatiradio.va

    M. Giacomo GHISANI
    Relations Internationales/International Relations/ Relações Internacionais
    e-mail : relint@vatiradio.va
    Tel : +39.06.698.83945

    P. Jean-Pierre BODJOKO, SJ
    Responsable Bureau de Promotion-Afrique/Head of Africa’s Promotion Office/ Responsável Sector de promoção-Afrique
    e-mail: africa@vatiradio.va
    Tel : +39.06.698.83366

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    De vous à nous - From you to us - De vós para nós



    CAMEROUN : Les évêques contre le mariage homosexuel

    ◊  La première assemblée générale de l’année 2013 des évêques de la Conférence épiscopale du Cameroun vient de s’achever à Sangmélima, province du Sud-Cameroun. Elle a eu lieu du 05 au 11 Janvier dernier. Au cours de cette rencontre, les évêques du Cameroun ont énergiquement critiqué les attaques répandues aujourd’hui contre les valeurs de la vie, du mariage et de la famille. Ils ont à cet effet réitéré le principe biblique du mariage entre « un homme et une femme ». En ce sens, la polygamie très répandue en Afrique comme l’homosexualité que voudrait imposer les sociétés occidentales, sont des dérives graves et des atteintes à la valeur de la vie, à la dignité de la personne humaine et à l’essence de la famille. Les évêques du Cameroun ont à cet effet demandé que le carême 2013 soit celui de la préservation de la vie, du mariage et de la famille. Il faut dire que cette intervient des évêques vient au moment où le tribunal de grande instance de Yaoundé vient de relaxer deux jeunes présumés homosexuels, condamné en première instance à cinq ans d’emprisonnement ferme.
    Toujours dans le cadre des nouvelles du Cameroun, le diocèse d’Edéa est en train d’organiser un pèlerinage à Mariemberg, première église catholique au Cameroun. Ce pèlerinage aura lieu du 30 Janvier au 02 février 2013. Monseigneur Jean Bosco NTEP invite à cet effet tous les chrétiens à y être présents, car ce sera également l’occasion de l’ouverture de l’année de la foi dans le diocèse.
    Abbé Jean Isidore NKONDOG
    Service diocésain de la communication
    Diocèse d'Edéa
    Cameroun

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    CENTRAL AFRICAN REPUBLIC: The Archbishop of Bangui involved in the Peace Process

    ◊  In the Central African Republic, where a ceasefire seems to be holding following talks in Gabon, it has emerged that Archbishop Dieudonne Nzapalainga of Bangui represented civil society and helped mediate at the talks in Libreville. Last Friday, the rebel coalition Seleka agreed to a ceasefire and to join the government of President Francois Bozize in a government of national unity following the talks in the Gabonese city. In less than a month, the Seleka rebel alliance captured more than 10 towns, including the city of Bambari. During its occupation, rebels looted a diocesan-run radio station and killed journalist Elisabeth Blanche Ologio. Catholic Relief Services programme in Central African Republic as well as the U.N. Humanitarian Air Service were disrupted as a result of the rebel advance, which began on the 10 of December, making it difficult to help those in need before the lull in the fighting.
    Festus TARAWALIE Vatican Radio/English-Africa

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    KENYA: The Archbishop of Mombasa calls on the Kenyan government to end tribal clashes in the Tana River ahead of elections in March

    ◊  The Catholic Archbishop of Mombasa has appealed to the Kenyan government to take strong action to end tribal clashes in the Tana River Region. Violence between Pokomo and Orma communities there have killed hundreds since the beginning of last year. Archbishop Boniface Lele says the military should be deployed in the area if the police fail to contain the situation. He urged the government to take the issues seriously. Kenya will hold General Election in March and there are fears that violence might intensify.
    Festus TARAWALIE Vatican Radio/English-Africa

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    TANZANIA: The Missionaries of the Precious Blood (CPPS) have four newly incorporated members

    ◊  The Missionaries of the Precious Blood (CPPS) of the Vicariate of Tanzania have celebrated the incorporation of four new members. The incorporation and diaconate of Raymond Deonatus Kaele, John Greyson Msengi, Alex Alphonce Isengwa and Danford Barnabas Mahumi took place at the venerable Merlini Formation House in Miyuji in Dodoma on the 5th and the 6th of January. The celebration was presided over by Fr. Reginald Mrosso, Director of the Vicariate of Tanzania. In his homily, he said this was a time to give thanks to God as the congregation founded by St. Gasper prepares to mark its bicentenary and also as the church marks the Year of Faith. He called on the newly incorporated members to reflect on God’s action by offering themselves in total service to others.
    The Missionaries of the Precious Blood are a world-wide community with over 500 definitively incorporated members. The vicariate of Tanzania was founded as a mission zone in 1966 by CPPS missionaries from Italy. It became a delegation in the 1970s and since 1998 it holds the title of vicariate. The next state is to become a province.
    In Tanzania, the CPPS work in numerous forms of ministry, including in parishes, educational and health institutions.
    At the end of June last year, the Vicariate of Tanzania began its three years of intense reflection and journey towards the climax of the Bicentenary celebration in 2015.
    Festus TARAWALIE Vatican Radio/English-Africa

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    RD CONGO : le frère Guillaume Kipoy, nouveau supérieur général des Frères joséphites de Kinzambi (Diocèse de Kikwit)

    ◊  Au diocèse de Kikwit, dans la province du Bandundu, les frères joséphites de Kinzambi ont à nouveau un supérieur général. Le frère Guillaume Kipoy a été élu le 24 décembre dernier lors d’un chapitre général de la congrégation tenu à Kikwit sous la présidence de l’évêque, Mgr Marie-Edouard Mununu.
    Cette élection a mis fin au mandat du père jésuite Gilbert Mbambi nommé par le Saint-Siège en 2007 comme Commissaire pontifical pour diriger la congrégation des frères après la démission du supérieur général d’alors, le frère Arthur Kasay.
    Le nouveau supérieur général, le frère Guillaume Kipoy, est professeur de philosophie à l’université urbaniana de Rome. Il est aussi directeur de l'Institut Supérieur de catéchèse et spiritualité missionnaire à Rome. Le frère Nazaire Kapumba sera le nouveau vicaire général de la congrégation. Cinq autres frères seront membres du conseil général : les frères Wenceslas Iseme, Nicodème Kalulu, Théotime Lumbwele, Narcisse Mungeye et Siméon Munyololo
    La congrégation des frères joséphites de Kinzambi a été fondée en 1937 par le jésuite Mgr Joseph Guffens pour l'éducation de la jeunesse. Les 106 frères joséphites de Kinzambi œuvrent aujourd’hui dans l’enseignement primaire et secondaire, dans les soins des malades et la communication sociale dans les diocèses de Kikwit et Kenge, dans la province du Bandundu, dans l’archidiocèse de Kinshasa et dans l’archidiocèse de Kisangani, dans la province Orientale.
    P. Jean-Baptiste MALENGE KALUNZU, OMI Correspondant de Radio Vatican

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    BRITAIN: European Court of Human Rights declares British Airways Guilty of Religious Discrimination

    ◊  The European Court of Human Rights has found the British Airways guilty of discrimination in a case involving one of its employees who said she suffered discrimination at work over her Christian beliefs. The employee, Nadia Eweida, a Coptic Christian residing in south London, said she was forbidden to wear a cross visibly because the employer regarded it as offensive to employees of other religions, but she defied the orders leading her to stay out of work for several months in 2006. The Judges said in their ruling on Tuesday that her rights had been violated under the European Convention on Human Rights. British Airways has been ordered to retain her as an employee and to compensate her. The Anglican archbishop of York, John Ssentamu, has praised the court for taking a bold decision and has encouraged Christians of all denominations not to fear and not to feel ashamed of wearing the symbols of their religions. He noted that the cross is a key symbol for Christianity because of its relationship with salvation history. Pope Benedict XVI has several times pointed out that secularism is increasing digging deep into western society and one of its consequences is to exclude God, Religion and religious symbols from daily life.
    John Baptist TUMUSIIME Vatican Radio/English-Africa

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    PAIN HEBDOMADAIRE DU CATHOLIQUE. TROISIEME DIMANCHE ORDINAIRE ANNEE C. Dimanche 20 janvier 2013. Par Théodore C. LOKO*

    ◊  I. Traits définitoires du laïcat
    Les laïcs constituent l’ensemble des chrétiens qui ne sont pas membres de l’ordre sacré et de l’ordre religieux (Lumen Gentium n° 31) et qui, de par leur baptême, sont incorporés au Christ et intégrés au peuple de Dieu, d’où leur participation, à leur manière, à la fonction sacerdotale, prophétique et royale du Christ.
    II. Textes du jour : Néhémie 8,2-4a, 5-6, 8-10 ; Psaume 19 ; 1 Corinthiens 12,12-30 ou 12,12-14, 27 ; Luc 1,1-4 ; 4,14-21
    III. Commentaire
    Cinq siècles avant Jésus-Christ, le scribe Esdras lit publiquement les Ecritures et ses adjoints interviennent afin que tous les comprennent. Le peuple écoute avec respect la Loi de Dieu et pleure de joie. Dans la deuxième moitié du V° siècle avant Jésus-Christ, Néhémie, haut fonctionnaire du roi perse, est envoyé en mission à Jérusalem pour relever les murailles de la ville. Il demande aux scribes de fixer par écrit les traditions orales d’Israël, puis il convoque le peuple pour qu’il écoute et ratifie la Loi du Seigneur. Ce qu’Esdras lit du haut de l’estrade, c’est la “ Torah ”, les cinq premiers livres de la Bible. Le peuple a une attitude respectueuse. Il se lève pour écouter le texte biblique. Le texte est lu d’abord en hébreu, qui est la langue liturgique, mais le peuple ne le comprend plus : il parle l’araméen. Les lévites rendent le texte accessible. Le peuple accueille la Loi avec la joie. (Première lecture) “ Les préceptes du Seigneur sont droits, ils réjouissent le cœur ”, dit le psaume 18 qui suit cette lecture. Ce même amour des Ecritures transparaît dans le psaume : “ La loi du Seigneur est parfaite, qui redonne vie ”. Jésus, à son tour, dans la synagogue de Nazareth, présente et commente les Ecritures. Elles s’accomplissent en lui (évangile).
    La liturgie nous propose aujourd’hui deux extraits de l’évangile de Luc qui ont un point commun : la Parole de Dieu. Le premier extrait est le prologue de l’évangile, qui décrit une véritable chaîne de transmission. Tout part de l’événement Jésus-Christ. Sa venue est inscrite dans l’histoire des hommes. Il y a eu des témoins oculaires. Après la mort-résurrection de Jésus, ceux-ci ont raconté ce qu’ils ont vu et entendu, et ce qu’ils ont compris du message de Jésus. Ils sont devenus les serviteurs de la Parole. Après la phase orale, vient la phase écrite. Sur la base de témoignages, des gens entreprennent de composer un récit. Luc ne nomme pas ces auteurs, mais il s’appuie sur leurs récits pour composer le sien. Il décrit son travail. En bon écrivain, il a commencé par ramasser sa documentation et s’est informé soigneusement de tout depuis les origines, c’est-à-dire la naissance de Jésus et ce qui l’a immédiatement précédé. Avec ce matériau, Luc fait un exposé suivi, qu’il adresse et dédicace à son ami Théophile. Celui-ci porte un beau nom. Théophile signifie en effet “ ami de Dieu ”, celui qui aime Dieu et celui qui est aimé par lui. Luc précise enfin ses intentions : il écrit pour que Théophile se rende bien compte de la solidité des enseignements qu’il a reçus.
    Au début de cette année au cours de laquelle nous entendrons presque tous les dimanches des extraits de l’évangile de Luc, nous pouvons nous assimiler à ce personnage et prendre à notre compte la parole de Jésus dans la synagogue de Nazareth : “ Cette parole de l’Ecriture, que vous venez d’entendre, c’est aujourd’hui qu’elle s’accomplit ”.
    *Ambassadeur du Bénin près le Saint Siège

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