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02/11/2016

De nous à vous - From us to you - De nós para vós

De vous à nous - From you to us - De vós para nós

De nous à vous - From us to you - De nós para vós



Chronique du Voyage du Pape en Suède

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Le Pape a effectué, du lundi 31 octobre 2016 au mardi 1 Novembre, son 17 Voyage Apostolique qui l’a conduit en Suède, en l’occasion de la commémoration des 500 ans de la réforme luthérienne. Le Saint Père a été accueilli par le Premier Ministre Suédois, Mr. Stefan Lӧfven ; la ministre suédoise de la culture, Mme Alice Bah-Kuhnke ; le Nonce Apostolique en Suède ; Mgr Henryck Jόzef Nowacki ; ainsi que par d’autres autorités étatiques et des membres de la Fédération Luthérienne Mondiale, sans oublier les autorités ecclésiales.

Après son arrivée, François a notamment eu une rencontre privée avec le Premier Ministre à l’Aéroport Internationale de Malmö et a ensuite rendu une visite de courtoisie à la famille royale suédoise, où il a été accueilli par le Roi de la Suède, Carl XVI Gustav et par la Reine Silvia. Le Saint Père a offert au couple royal un tableau de la Misericordia Vultus, réalisé à l’occasion de l’Année Sainte de la Miséricorde.

En début d’après-midi, le Pape a pris part à la prière œcuménique commune, dans la Cathédrale de Lund. Après le discours du Secrétaire de la Fédération Luthérienne Mondiale, Martín Jung, François a prononcé son mot. « Demeurez en moi, comme moi en vous » : c’est avec ces paroles évangéliques que le Saint Père a commencé son discours. Par ces paroles, a dit François, Jésus exprime son désir d’unité pour tous ceux qui croient en Lui. De même, « dans cette rencontre de prière, ici à Lund, nous voulons manifester notre désir commun de rester unis à lui pour avoir la vie ». Cette rencontre, a poursuivi le Pape, est aussi l’occasion de rendre grâce pour tant des frères et des sœurs qui, sans se résigner à la division, ont maintenu vive l’espérance de la réconciliation. Le Saint Père a ensuite reconnu les efforts, au cours de l’histoire, des catholiques et des luthériens pour cheminer ensemble sur le chemin de réconciliation, notamment à travers le dialogue œcuménique. « Nous ne pouvons pas nous résigner à la division et à l’éloignement que la séparation a provoquée entre nous », a affirmé le Pape, avant d’indiquer que le contexte de la commémoration de la Réforme de 1517 nous offre une nouvelle occasion de cheminer ensemble et une opportunité de réparer un moment crucial de notre histoire, afin de surmonter les controverses et les malentendus qui nous ont longtemps divisés.

 « Nous les chrétiens, nous serons un témoignage crédible de la miséricorde dans la mesure où le pardon, la rénovation et la réconciliation sont une expérience quotidienne au milieu de nous », mais aussi par le service de la dignité que nous pouvons rendre à la dignité de chaque personne. Sans ce témoignage et ce service au monde et dans le monde, notre foi chrétienne est incomplète, a conclu François.

Durant cette prière œcuménique, le Pape et le Président de la Fédération Luthérienne Mondiale, le Pasteur Mounib Younan, ont signé une déclaration commune, dans laquelle ils expriment un vif désir d’unité. Dans ce document, les deux responsables commencent par rendre grâce pour le chemin déjà parcouru sur le chemin de l’unité. Ils confessent et déplorent devant le Christ que Luthériens et catholiques ont blessé l’unité visible de l’Eglise ; et expriment le désir de passer du conflit à l’unité. Les deux leaders religieux s’engagent pour d’ultérieur progrès dans la communion, enracinés dans le baptême. Ils condamnent la violence et l’extrémisme dont souffrent aujourd’hui des nombreux peuples, et exhortent Luthériens et Catholiques à travailler ensemble pour accueillir les étrangers qui sont forcés de fuir la guerre et les persécutions, et à défendre les droits des réfugiés et de ceux qui cherchent l’asile. Luthériens et catholiques sont aussi encouragés à prendre soin de la création, avec amour et responsabilité.

Le Pape et le Pasteur Younan ont conclu leur déclaration commune en lançant un appel aux Luthériens et aux Catholiques du monde entier à poursuivre, avec audace, créativité, joie et espérance, l’engagement dans la recherche de l’unité et de la réconciliation.

Dans la soirée de ce même lundi, le Pape s’est rendu au stade de Malmö Arena pour une rencontre œcuménique (« l’événement œcuménique »). Cette rencontre a notamment été ponctuée par des discours et des témoignages des personnes réfugiées en Suède, dont deux femmes, une burundaise et une sud-soudanaise. Dans son discours, le Saint Père a notamment rendu grâce pour la commémoration conjointe des 500 ans de la Réforme, qui, a-t-il déclaré, se célèbre « avec un esprit rénové et en étant conscients que l’unité des chrétiens est une priorité, parce que nous reconnaissons que [entre nous] ce qui nous unit est beaucoup plus que ce qui nous sépare ». Le chemin entrepris pour y parvenir est déjà un grand don que Dieu nous fait, a poursuivi François. Mais le Pape a aussi reconnu que « le dialogue entre nous a permis d’approfondir la compréhension réciproque, de créer la confiance mutuelle et de confirmer le désir de marcher vers la pleine communion ». L’un des fruits que ce dialogue a produit, a affirmé le Saint Père, est la collaboration entre diverses organisations de la Fédération Luthérienne Mondiale et de l’Église Catholique.

A la fin de cet « événement œcuménique », Caritas Internationalis et Lutheran World Federation World Service ont signé une déclaration commune d’accords, « dans le but de développer et de consolider une culture de collaboration pour la promotion de la dignité humaine et de la justice sociale. »

Le mardi 1 Novembre, deuxième et dernier jour de son 17ème Voyage Apostolique, François a célébré, au Stade de Malmö, la Messe, en la solennité de la Toussaint. Dans son homélie, le Pape a indiqué que nous célébrons en fait la fête de la sainteté. Cette sainteté ne se manifeste pas seulement dans les actions éclatantes, mais dans l’effort à vivre une vie chrétienne qui est fidèle, au quotidien, aux exigences du baptême. Ce qui caractérise les saints, parmi lesquels se trouvent beaucoup de nos frère et sœurs, a poursuivi le Pape, est qu’ils sont réellement heureux. Le secret de ce bonheur authentique, ils le trouvent dans l’amour de Dieu ; et ils ont fait des béatitudes leur chemin. Les béatitudes, a déclaré le Pape, sont le profil du Christ, et par conséquent le profile ou la carte d’identité du chrétien, disciple du Christ. Parmi les béatitudes, le Saint Père a épinglé « Bienheureux les doux ». La douceur, a indiqué François, nous permet de laisser de côté ce qui nous divise ou nous oppose, et nous enseigne à chercher les voies toujours nouvelles pour avancer sur le chemin de l’unité.

A la fin de cette célébration eucharistique, et avant la prière de l’Angélus, le Pape a adressé des mots de remerciements aux autorités et au peuple suédois pour leur accueil ; mais aussi aux responsables de la Fédération Luthérienne Mondiale, avec qui il a célébré, au cours de ce Voyage Apostolique, les 500 ans de la réforme luthérienne (protestante).

Après son arrivée à Rome, le Pape s’est rendu, comme il le fait d’habitude avant et après chaque Voyage Apostolique, à la Basilique Sainte Marie Majeure, pour prier la Vierge et lui dire merci pour son intercession.

Stanislas KAMBASHI, SJ,                                Radio Vatican/ Français-Afrique

 
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Pope's visit to Sweden hails new era in Catholic-Lutheran relations

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Pope Francis arrived back in Rome on Tuesday afternoon at the conclusion of his 17th Apsotolic journey abroad which took him to the southern Swedish cities of Lund and Malmo. Earlier in the day he celebrated Mass for the local Catholic community, urging them to follow in the footsteps of the saints of the past.

But the two key events of the trip took place Monday, as the Pope joined Lutheran leaders for a common commemoration of the Protestant Reformation that divided Europe five centuries ago.

While we can’t change the past, we can profoundly transform the way we remember it. That’s the message of the joint statement signed in Lund Cathedral on Monday by Pope Francis and by Bishop Younan, president of the World Lutheran Federation.

It’s also a theme at the heart of a 2013 Catholic-Lutheran publication called ‘From Conflict to Communion’ which laid the foundation for Monday’s historic events. In six short chapters, the book summarises ways in which historians have looked anew at the Reformation and seen how Luther didn’t want to divide the Church, but rather to reform and clean up what he saw as corrupt, clerical practises. A call that seems strikingly similar to Pope Francis’ denunciation of corruption and clericalism in the Church today. (Perhaps that’s why his critics like to call him ‘the Protestant Pope’).

The roots of this joyful yet poignant common commemoration stretch back over decades of patient, theological dialogue between what one Lutheran leader called ‘the bold prophets’ of the past. Those who worked tirelessly to overcome conflict and division, sometimes at the cost of their own lives.

The divisions of five centuries ago, of course, don’t mean much to the thousands of young people who cheered and sang as their Church leaders entered the packed arena. They’re struggling with the modern conflicts that are still tearing apart communities and taking lives in the Middle East, in Africa, in Asia or in Latin America. Five Catholics and Lutherans, men and women from those different continents spoke publically about the way their faith has given them courage to continue the struggle in the most difficult and dangerous circumstances. The Pope and the Lutheran president thanked them for their examples of commitment and service to those most in need.

Both the prayer service in the cathedral and the public event in the arena were moving and uplifting occasions – described by Bishop Younan as “a modern miracle of the Holy Spirit” who touched the hearts of the first disciples two thousand years ago in his native Jerusalem.

So do these events mean that Christian unity is just around the corner? That differences around our visions of Church, Eucharist and Ministry are suddenly overcome? That new arguments over women’s ordination or same-sex relationships are no longer important? No, these old and new issues will require the patient, unglamorous work of theologians for many years to come. But I do believe that Monday’s events model a new way of working together,  a new style of engaging with differences and a new sense of shared Christian service, so desperately needed in today’s divided and suffering world.

(Vatican Radio)

 
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Acte pontifical

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Le Pape a nommé un certain nombre d’Archevêques et d’Evêques membres de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements. Parmi eux, on compte le Cardinal John Olorunfemi Onaiyekan, Archevêque d’Abuja, au Nigeria ; le Cardinal Philippe Nakellentuba Ouédraogo, Archevêque de Ouagadougou, au Burkina Faso ; Mgr Arlindo Gomes Furtado, Evêque de Santiago de Cabo Verde, au Cap Vert ; Mgr Jean-Pierre Kwambamba Masi, Evêque auxiliaire de Kinshasa, en République Démocratique du Congo.

 
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VATICANO / Sudão do Sul. Arcebispo de Juba: “o Papa quer visitar o Sudão do Sul”

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O Papa Francisco recebeu em audiência no Palácio Apostólico na manhã desta quinta-feira (27/10) os principais líderes religiosos do Sudão do Sul: Dom Paulino Lukudu Loro, Arcebispo de Juba, o Rev. Daniel Deng Bul Yak, Arcebispo da Província da Igreja Episcopal do Sudão do Sul e o Rev. Peter Gai Lual Marrow, Moderador da Igreja Presbiteriana do Sudão do Sul.

A trágica situação no País foi trazida pelos líderes religiosos à atenção do Papa Francisco que, em seguida, afirmou: "Sofro e vivo convosco, quero visitar o Sudão do Sul”.

No contexto das tensões que dividem a população e destroem a convivência no país, foi ressaltada no encontro a boa e profícua colaboração entre as Igrejas cristãs, que desejam dar a própria contribuição para promover o bem comum, tutelar a dignidade da pessoa, proteger os indefesos e realizar iniciativas de diálogo e de reconciliação.

À luz do Ano da Misericórdia, foi sublinhado que a experiência fundamental do perdão e do acolhimento ao outro é a linha mestra para a construção da paz e do desenvolvimento humano e social.

A este respeito, constatou-se que as várias Igrejas estão empenhadas, em espírito de comunhão e de unidade, no serviço à população, promovendo a difusão de uma cultura do encontro e da partilha.

Por fim, foi reiterada por parte de todos a disponibilidade em caminhar juntos e em trabalhar com renovada esperança e com confiança recíproca, na convicção de que, com base nos valores positivos inerentes às próprias tradições religiosas, se possam mostrar os caminhos para responder de maneira efectiva às aspirações profundas daquela população, que anseia urgentemente a uma vida segura e a um futuro melhor.

P. Bernardo SUATE,                         Rádio Vaticano/ Redação Portuguesa

 
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Les responsables religieux sud-Soudanais, reçus par le Pape

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Le Pape a reçu en audience, le jeudi 27 Octobre 2016, une délégation des principaux chefs religieux du Soudan du Sud. La délégation était composée de Mgr Paulino Lukudu Loro, Archevêque de Juba, du Père Daniel Deng Bul Yak, Archevêque de la Province de l’Eglise Episcopale du Soudan du Sud et du Soudan ; et du Pasteur Peter Gai Lual Marrow, Modérateur de l’Eglise presbytérienne du Soudan du Sud.

Dans le contexte des tensions qui divisent la population et détruisent la cohabitation au Soudan du Sud, durant la rencontre avec le Saint Père, a été soulignée la bonne collaboration entre les Eglises chrétiennes, qui veulent offrir en priorité leur contribution pour promouvoir le bien commun, la dignité de la personne, pour protéger les sans-défense et pour réaliser les initiatives de dialogue et de réconciliation. A la lumière de l’Année de la Miséricorde, les parties ont aussi souligné que l’expérience fondamentale du pardon et de l’accueil de l’autre est la voie royale pour la construction de la paix et du développement humain et social. Au cours de l’entretien a aussi été souligné l’engagement des Eglises chrétiennes qui, dans un esprit de communion et d’unité, travaillent au service de la population, en promouvant la diffusion d’une culture de la rencontre et du partage.

A la fin de leur entretien, les parties ont relevé l’importance de la disponibilité à cheminer ensemble et à travailler avec espérance renouvelée et confiance réciproque, dans la conviction que, mettant en œuvre les valeurs positives de chaque tradition religieuse, on puisse trouver des voies qui répondent de manière effective aux aspirations profondes de la population, qui espère une vie sure et un futur meilleur.

 
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Vatican Radio Communiqué/Communiqué Radio Vatican/Comunicado da Rádio Vaticano

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If you are listening to us on Shortwave, we would greatly appreciate a short report from you on the quality of our programs and of the signal reaching you. Please address your report to: The Africa Promotions Office for Africa, Vatican Radio, 00120 Vatican City.

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Nous demandons à nos auditeurs qui nous suivent sur les Ondes courtes de bien vouloir nous faire parvenir un rapport d’écoute sur la qualité de la réception de nos programmes, à l’adresse du Bureau de Promotion-Afrique de Radio Vatican, 00120 Cité du Vatican.

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Pedimos aos nossos ouvintes que nos escutam em Ondas Curtas que nos enviem um relatório de escuta sobre a qualidade da recepção dos nossos programas, escrevendo ao seguinte endereço do Serviço de Promoção-África da Rádio Vaticano, 00120 Cidade do Vaticano.

 
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Avis pour les radios catholiques africaines et les auditeurs de Radio Vatican/ Notice to Catholic Radio Stations in Africa and listeners of Vatican Ra

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Radio Vatican avait produit en 2011 un album musical, Afrika tenda amani (fais la paix, Afrique), avec le concours de quelques artistes musiciens africains dont Papa Wemba de la République démocratique du Congo et Bonga d’Angola. Cet album qui accompagne l’exhortation post-synodale Africae munus, reflète les thèmes de la Deuxième assemblée spéciale pour l’Afrique du Synode des Évêques (réconciliation, justice et paix), a été expédié à toutes les radios catholiques africaines par le canal des Pères Evêques diocésains auxquels Radio Vatican a fait parvenir 3 copies.

Si jamais une radio n’a pas encore reçu une copie de cet album, elle peut nous écrire (africa@vatiradio.va) pour nous en demander. De même, nous disposons de quelques exemplaires pour nos auditeurs qui en feront la demande. Mais la quantité est fort limitée.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsable du Bureau de Promotion de Radio Vatican pour la zone Afrique

E-mail : africa@vatiradio.va

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In 2011, Vatican Radio produced a music album titled Afrika tenda amani (Make Peace, Africa), with the help of a few African musicians including Papa Wemba of the Democratic Republic of Congo and Bonga from Angola. Three copies of the CD album, which accompanied the publication of the post-synodal exhortation Africae munus  and reflects on the themes of the Second Special Assembly for Africa of the Synod of Bishops (reconciliation, justice and peace) was sent to all  Catholic radio stations in Africa through the local bishops.

If your radio station has not yet received a copy of this album, please write to africa@vatiradio.va to request a copy. Also, we have a limited number of copies for our listeners who may also send their requests to the above email address.

Fr. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Head of the Promotions Office for Africa

Vatican Radio

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A Rádio Vaticano tinha produzido em 2011 um álbum musical denominado Afrika Tenda Amani (faz a paz, África), com a participação de alguns artistas músicos africanos, dentre os quais Papa Wemba da República Democrática do Congo e Bonga de Angola. Este álbum, que acompanha a Exortação pós-sinodal Africae Munus reflecte os temas da Segunda Assembleia Especial para a África do Sínodo dos Bispos (reconciliação, justiça e paz), e foi enviado a todas as Rádios Católicas africanas através dos Senhores Bispos Diocesanos aos quais a Rádio Vaticano fez chegar três cópias.

Se por acaso alguma Rádio ainda não recebeu uma cópia deste álbum, podem nos escrever (africa@vatiradio.va) para solicitá-lo. Da mesma forma, também dispomos de alguns exemplares para os nossos ouvintes que o solicitem. Mas a quantidade é muito limitada.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsável do Departamento de Promoção da Rádio Vaticano, para a região África

E-mail: africa@vatiradio.va

 
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Adresse utile pour Radio Vatican/Useful contact of Vatican Radio/Endereço

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P. Jean-Pierre BODJOKO, SJ

Responsable Bureau de Promotion-Afrique/Head of Africa’s Promotion Office/ Responsável

Sector de promoção-Afrique

e-mail: africa@vatiradio.va

Tel : +39.06.698.83366

 
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PROGRAMME FRANÇAIS-AFRIQUE : SUIVEZ-NOUS SUR FACEBOOK

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En plus de notre site internet, vous pouvez aussi suivre de nos nouvelles sur Facebook à l’adresse : Radio Vatican Français-Afrique. Cliquez sur "j'aime" pour interagir.

 
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Nos fréquences en KHz sur les Ondes courtes (Heure en Temps universel)/ Our frequencies in KHZ on Short Waves (Universal Time)/As nossas frequências e

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Anglais-Afrique/ English-Africa/Inglês-África :

5 :00 : 9660

6 :30 : 9660 - 11625 

17 :30 : 9660 - 11625 

20 :00 : 9660 - 11625

[Rome: FM: 103.80]

 

Français-Afrique/French-Africa/Francês-África :

4 :30 : 9650

6 :00 : 9660 - 11625 

17 :00 : 11625 - 13765 

20 :30 : 9660 - 11625 

[Rome: FM: 103.80]

 

Portugais-Afrique/ Portuguese-Africa/Português-África :

5 :30 : 7360 - 9660

18 :00 : 9660 - 11625

[Rome: FM: 103.80]

 

Kiswahili :

3 :30 : 7360 

16 :00 : 11625 - 13765 

[Rome: FM: 103.80]

 

NB:

Partout dans le monde, on peut suivre nos programmes à travers notre site internet www.radiovaticana.va.  De même, on peut suivre en direct les images des événements, des cérémonies du Pape sur notre Player video live dont le lien se trouve sur notre site internet.

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Please note that you can follow our programmes at all times, day and night the world over. Just go to www.radiovaticana.va. Also you can follow a live video coverage of Papal events by clicking on the video player on the website.

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Em todo o mundo é possível seguir os nossos programas através do nosso sito internet www.radiovaticana.va Do mesmo modo, se podem também seguir in directo as imagens dos acontecimentos e cerimónias do Papa  no nosso Player vídeo ao vivo, cujo link também se encontra no nosso sito internet.

 
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De vous à nous - From you to us - De vós para nós



Bishops urge Pope Francis to visit South Sudan to foster peace

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Church leaders from South Sudan are urging Pope Francis to visit their troubled country in support of their efforts to restore peace between warring factions.

At a meeting with Pope Francis in Rome, Catholic, Anglican and Presbyterian leaders gave him an update on the deteriorating situation in South Sudan. The Catholic Archbishop of Juba, Paulino Lukudu Loro, told him: "There is war, there are killings, there's death, there are refugees, and there are people in camps across the country.”

Pope Francis was “ready to visit,” said Archbishop Loro. If the Holy Father came to the world’s youngest nation, it would raise awareness of the critical humanitarian and security situation.  “The Holy Father can help us talk to the international community, to the regional community, and to our government,” the Juba prelate said.

Francis Flood, CAFOD and Trocaire’s Country Representative in South Sudan, said Pope Francis would receive a “warm welcome”, adding: “We are working tirelessly with our local Church partners to get emergency aid to communities affected by the conflict, under very challenging conditions. Such a visit would hopefully boost efforts to get the country’s leaders to work towards achieving long lasting peace and prosperity so that people can return to their homes, schools, farms and businesses.”

In Yirol region, CAFOD and Trocaire are helping more than 4,800 people with food – maize flour, beans, cooking oil and salt – as well as supplying clean water to communities by rehabilitating boreholes.

South Sudan, which gained independence in July 2011, is the world’s youngest country. Despite initial hopes of a peaceful future, conflict broke out in December 2013 between factions loyal to President Salva Kiir and the former Vice President, Dr Riek Machar.  A fragile peace agreement, signed in August 2015, has now broken down, leading to pockets of fighting across the country.

There is growing concern that the conflict is taking on ethnic overtones. On 26 October, the UN High Commissioner for Human Rights, Zeid Ra’ad Al Hussein, warned that unless the alarming rise in hate speech and incitement to violence against ethnic groups was reined in, “mass atrocities” could erupt.

Archbishop Loro was joined in Rome by Daniel Deng Bul, Archbishop and Primate of the Episcopal Church of South Sudan and Sudan, Right Rev. Peter Gai Lual Marrow, Moderator of the Presbyterian Church of South Sudan, Fr. James Oyet Latansio, General Secretary of the South Sudan Council of Churches, and Ferdinand Von Hasbury, Adviser to the South Sudan Council of Churches.

David MUTUA,                                CAFOD in Nairobi

 
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MOÇAMBIQUE. Religiosas apelam à concórdia no País

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Religiosas da Congregação do Menino Jesus e da Sagrada Família, em Maputo, foram uníssonas este domingo, ao afirmarem que os moçambicano devem primar pelo espírito da concórdia mútua e da harmonia social.

Estes apelos surgem numa altura em que o País vive uma tensão político-militar caracterizada por confrontos armados entre as forças governamentais e homens armados da Renamo (o maior Partido da oposição).

"Nós temos que ter concórdia, enquanto moçambicanos. Neste ano do Jubileu da Misericórdia, é preciso que façamos valer a nossa união e harmonia", disse a Irmã Maria de Jesus, da Sagrada Família.

Ir. Maria de Jesus é de opinião de que todas as forças vivas da sociedade se juntem e unam as forças no sentido de trazer a paz efectiva ao país. "A paz dos moçambicanos depende intrinsecamente dos próprios moçambicanos. Aproveitemos este momento especial do ano Jubilar para buscarmos os valores da paz, concórdia e harmonia social", acrescentou.

Sob o mesmo diapasão alinha a Irmã Beata de Fátima, da Congregação do Menino Jesus, para quem, é preciso que os moçambicanos minimizem o que os divide e maximizem o que os une e só assim, segundo afirma, poderá haver o espírito de concórdia e construção de mais consenso.

"Em 40 anos de independência do nosso país, já deveríamos ter uma paz efectiva. Ou seja, a paz depende de nós mesmos. Os políticos devem fazer  a sua parte, como também cada um de nós deve fazer a sua parte", asseverou. Irmã Fátima diz não fazer sentido que os moçambicanos, depois de longos anos de luta contra o colonialismo, hoje lutem entre si.

Refira-se que estes apelos foram tecidos à margem de uma confraternização de Irmãs e Consagradas de diferentes Congregações, num encontro em Maputo.

Hermínio José,                                   Maputo, para a Rádio Vaticano

 
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BENIN : Un nouveau Président pour la Conférence épiscopale du Bénin

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Le  Centre Henri Vignonde  du diocèse de Lokossa a abrité du 23 au 26 octobre 2016, la première session ordinaire plénière de la Conférence Episcopale du Bénin (CEB),  au titre de l’année pastorale 2016-2017. Au cours de la messe d’ouverture de la session présidée par Mgr  Brian Udaigwe, Nonce Apostolique près le Bénin et le Togo, à la  cathédrale Saint Pierre-Claver de Lokossa, les évêques ont rendu grâce pour la vie de l’Eglise du Bénin et du monde. Ils ont accueilli en leur sein avec beaucoup de chaleur le nouvel archevêque de Cotonou, Mgr Roger Houngbédji,  ordonné le 24 septembre 2016, à Cotonou, en lui réitérant leurs vives félicitations, implorant sur son ministère épiscopal qui commence, l’abondance des grâces divines, pour la gloire de Dieu et le salut des hommes. Après avoir salué et analysé plusieurs dossiers et suivi entre autres au cours de leurs travaux, une  communication de M. Firmin Adjahossou, Chargé de Programmes de la Commission Justice, Paix et Développement du SCEAM (Symposium des Conférences Episcopales d’Afrique et de Madagascar), sur le thème: « L’Eglise et la Communauté Politique au service du Bien Commun et du développement Intégral du Bénin »,  les évêques du Bénin ont, au terme de leurs assises, procédé au renouvellement statutaire des membres du Conseil Permanent de la CEB, suite à l’admission à la retraite de Mgr Antoine Ganye, Archevêque émérite de Cotonou. L’évêque de Lokossa, Mgr Victor Agbanou est désormais le nouveau président de la CEB avec comme Vice-Président: Mgr Eugène Houndekon, Evêque d’Abomey ; Conseiller: Mgr Roger Houngbedji, Archevêque de Cotonou et Secrétaire Général : Mgr Pascal N’koue, Archevêque de Parakou.

Guy DOSSOU-YOVO,                                Cotonou, pour Radio Vatican

 
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GABON : Ouverture de l’Année Pastorale 2016-2017 à Port Gentil

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Le dimanche 30 octobre 2016 a eu lieu l’ouverture de l’Année Pastorale dans le diocèse de Port-Gentil, à la Cathédrale Saint-Louis, où l’Evêque, Monseigneur Eusebius Chinekezi Ogbonna Managwu, a envoyé chaque chrétien en mission pour révéler la face du Père au monde, au nom de Jésus, par la puissance de l’Esprit Saint, Esprit de force, d’amour et de raison.

Au cours de cette messe, deux messages importants ont été livrés. Le premier : celui de la Commission Nationale Famille, Education et Apostolat des Laïcs de la Conférence Episcopale, qui demande d’organiser une Prière de Jéricho en faveur du Gabon ; afin que Dieu lui-même accomplisse sa Sainte Volonté dans ce pays. Le second : celui de l’Evêque qui demande de célébrer une messe de requiem dans chaque paroisse pour les Défunts tombés au cours des manifestations qui ont suivi la proclamation des résultats de l’Election présidentielle du 27 août 2016.

Avant de renvoyer le peuple dans la paix du Christ, Monseigneur Eusébius a invité les Fidèles à se joindre à lui dans l’action de grâce pour ses 24 ans de sacerdoce qu’il célèbrera avec tous les Saints le 1er novembre.

Bernadette MBANDJOU,                            Port-Gentil, pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : Funérailles de monsieur l’abbé Joseph Mulimbi, assassiné à Lubumbashi

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Monsieur l’abbé Joseph Mulimbi Nguli, prêtre de l’archidiocèse de Lubumbashi, dans le Haut-Katanga, assassiné dans la nuit du 21 octobre 2016 au quartier Golf Malela à Lubumbashi, a été enterré le jeudi 27 octobre dans le cimetière du monastère bénédictin de Kiswishi.

Auparavant, près de trois cents prêtres ont concélébré lors de la messe d’adieu dans la cathédrale Saints Pierre et Paul de Lubumbashi. La place de la cathédrale était si pleine de monde que la circulation routière sur les avenues adjacentes a été interrompue pendant des heures.

L’évêque de Sakania-Kipushi, Mgr Gaston Ruvezi et l’archevêque émérite de Lubumbashi, Mgr Floribert Songa-Songa, ont concélébré. L’archevêque de Lubumbashi, Mgr Jean-Pierre Tafunga, en mission à l’étranger, a délégué l’évêque de Kilwa-Kasenga, Mgr Fulgence Muteba, pour présider l’eucharistie.

« Nous venons au pied de la croix du Christ exprimer notre colère, notre révolte et notre désapprobation de ce meurtre qu’aucun motif ne peut justifier. Nous ne le faisons pas, cependant, à la manière du monde, mais en tant que chrétiens, c’est-à-dire, des gens ayant foi en la résurrection ». Ainsi s’est exprimé Mgr Muteba dès l’entrée.

Dans l’homélie, l’évêque de Kilwa-Kasenga a rappelé que la vie humaine est sacrée, que Dieu interdit de tuer. Mgr Muteba a déploré la fréquence de crimes odieux perpétrés dans la ville de Lubumbashi et ailleurs et qui sèment la peur et le doute.

« Au nom de vous tous ici présents, a dit Mgr Muteba, je soutiens chaleureusement la plainte contre les assassins introduite par l’archidiocèse de Lubumbashi auprès des instances judiciaires, pour réclamer qu’une enquête soit diligentée et que justice soit rendue. De même, en votre nom, a poursuivi l’évêque, je soutiens entièrement la pétition d’indignation du clergé de l’archidiocèse introduite auprès de ceux qui ont en charge la sécurité des biens et des personnes dans notre province. Trop, c’est trop. On a assez tué. Ça doit s’arrêter. Plus jamais ça !, a-t-il clamé.

P. Jean Baptiste MALENGE KALUNZU,OMI,                            Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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Pastoral letter: The Family in Zimbabwe in the light of Amoris Laetitia

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The Zimbabwe Catholic Bishops’ Conference (ZCBC) has released a Pastoral letter on marriage and family titled, ‘The Family in Zimbabwe in the light of Amoris Laetitia.’

The Pastoral letter, addressed to all Zimbabwean families, is a reflection of Pope Francis’ Apostolic Exhortation, 'Amoris Laetitia' - On the Joy of Love in the family, released in April 2016.

In the introduction of this 18 paged letter, the Bishops wish "to promote and protect, support and strengthen the family in every way, especially at a time when families feel the pressure of political tensions, economic collapse and other forces."

“The message which we as Bishops of Zimbabwe wish to convey is meant to cheer and encourage, fill with hope, to give praise, understanding and support to all married couples and families,” it reads.

On sexuality integrated into humanity, the Bishops write that “God created a man for a woman and woman for man,” hence “same-sex unions are not part of the creator’s design.” The Bishops add, “There is no free option. Men and women should be happy about their complementarity, helping each other with their various gifts.”

The letter also urges families to educate young people about how to relate to their own bodies and how to behave towards persons of the other sex.

On faith and marriage, the letter states that pastors or marriage instructors must try and revive the faith of young bridegrooms or brides by inviting them to meet and encounter Jesus personally. They write that presenting valid baptism certificates alone is not enough as some, though baptised, may no longer be active in the practice of their faith.

The Church leaders in the letter, emphasise that Christian marriage is based on the completely unselfish, self-giving love of Christ and therefore preparation for Holy matrimony needs a complete reawakening of the faith or even a first encounter with Christ in the context of the Christian community.

In other sections, the Bishops address issues of child protection, individualism, human dignity, family at a time of social and political tensions and economic failure as well as poverty.

(Jesuit Communications Zimbabwe – Mozambique)

Email: engafrica@vatiradio.va

 

Below is the full statment:

THE FAMILY IN ZIMBABWE IN THE LIGHT OF AMORIS LAETITIA, THE JOY OF LOVE:

A Pastoral Letter of ZCBC To All Families

 

Mission Sunday 23 October 2016

Introduction:

As Bishops of Zimbabwe we wish to promote and protect, support and strengthen the Family in every way, especially at a time when families feel the pressure of political tension, economic collapse and other forces.

The Bishops of Southern Africa (IMBISA: Angola, Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibia, Sao Tome e Principe, South Africa, Swaziland, Zimbabwe) looked at the situation of the Family at their IMBISA Plenary Assembly in November 2013, held in Gaborone/Botswana, consulting married people and making use of their experience, as they had done in 1998 in Windhoek/Namibia.

In 2014 at a special Bishops’ Synod and in 2015 at a General Synod, Bishops of the whole world debated marriage and family. In 2016 Pope Francis, as Bishop of Rome and universal pastor, making use of the wisdom and pastoral experience of the whole Church, wrote and published the Apostolic Exhortation THE JOY OF LOVE (Amoris Laetitia) for all pastors, for the guidance of all married people, for all preparing to get married and for all whose marriages have met with difficulties.

As the title of the 166-page document suggests, Love is at the centre of marriage and family which gives great Joy. This is indeed Good News.

The 17th Plenary Assembly of SECAM (Symposium of Episcopal Conferences of Africa and Madagascar met in July 2016 in Luanda (Angola) on the theme: “The African Family, Yesterday, Today and Tomorrow in the Light of the Gospel” and addressed a message of hope and solidarity to the Families in Africa as well as a set of very practical recommendations for the pastoral ministry of the family in Africa.

The message which we as Bishops of Zimbabwe wish to convey is meant to cheer and encourage, fill with hope, to give praise, understanding and support to all married couples and families.

Our God and Creator has made Man and Woman for Love which is to give Joy. If this joy seems to have been eroded by doubt and distrust then we want to recover it.

“We need a healthy dose of self-criticism,” Pope Francis recommends (The Joy of Love, No.36). The recommendation is directed at the pastors of the Church, catechists who give marriage instructions, parents, family elders, and teachers of the faith.

“There is no sense in simply decrying present-day evils, as if this could change things. Nor is it helpful to try to impose rules by sheer authority.” (No 35).

“We have long thought that simply by stressing doctrinal, bioethical and moral issues, without encouraging openness to grace, we were providing sufficient support to families, strengthening the marriage bond and giving meaning to marital life” (No 37). “We have often been on the defensive, wasting pastoral energy on denouncing a decadent world without being proactive in proposing ways of finding true happiness…..Jesus…never failed to show compassion and closeness to the frailty of individuals like the Samaritan woman or the woman caught in adultery” (No 38).

Pope Francis stresses “openness to GRACE” and the “COMPASSION OF JESUS”. Our Holy Father urges us that we correct the imbalance in our catechesis where “we speak more about law than about grace, more about the Church than about Christ, more about the Pope than about God’s word” ( Pope Francis, Evangelii Gaudium, No. 38). He urges us to act as Jesus did and always “show compassion and closeness to the frailty of individuals like the Samaritan woman or the woman caught in adultery” (Joy of Love, No.38).

This means of course that we ourselves as pastors and teachers must likewise be ‘close to individuals’, i.e. close to married couples, must walk with them, share their joy, but also their anxieties and worries and “carry their burdens”. We must open for them an understanding of grace, i.e. the gift Christ gives us of love and mercy, compassion and the strength ‘to take up our cross’ together. What a dramatic challenge to pastors and shepherds who thought that “getting people married” was merely an administrative act![1]

The Holy Father asks pastors everywhere to be kindhearted and sensitive to the people in their care rather than judgmental and formal. This is after all no more than we learn from the Good Shepherd.

Sexuality integrated into Humanity

“Male and female he created them” (Genesis 1: 27). Sexuality is an integral part of every human person. A person is either entirely male or entirely female. Man and woman are equal in their human dignity and yet different. Their difference is physical, psychological, mental, spiritual.

In western culture there is a tendency to play down the difference and deny the ‘unity in diversity’ between the sexes. Young people are no longer helped to accept their identities as men and women.

But God created man for woman and woman for man. “Same-sex-unions” are not part of the Creator’s design. There is no free option. Men and women should be happy about their complementarity, helping each other with their various gifts.[2]

Sexuality is not merely an uncontrollable drive or instinct. Men tend to think that they have no control over their bodies and expect the woman to “take care of herself” if she falls pregnant. Accepting responsibility for the other, and not leaving the woman all alone, makes their mutual LOVE REAL, and gives it depth. This is the “Joy of Love”. The pregnant wife is sure that her husband will not leave her alone, and the husband accepts the child as his and his wife’s, the fruit of their love.

We are responsible for how we make use of this gift. That is why there is need to educate young people about how to relate to their own bodies and behave towards persons of the other sex. Our sexuality has its place in marriage as a lifelong and fruitful relationship. For us as free persons the intimate sexual relationship gives expression to our mutual love and faithfulness.

When the married partners are giving themselves to each other in sexual intimacy they are responsible for each other.

“I care about you, and you care about me.”

“Your burden is mine, and my burden is yours.”

“Your joy is mine, and my joy is yours”.

“Therefore a man leaves his father and mother and clings to his wife, and they become one flesh” (Genesis 2: 24).

“If one member suffers, all suffer together with it; if one member is honoured, all rejoice together with it…..Now you are the body of Christ and individually members of it” (1. Cor. 12: 26 - 27) Man and woman, becoming “one flesh” or “one body”, have everything in common. What is “mine”, is not just mine, what is “yours”, is not just yours, it is always “ours”.

 
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Church in Ghana to Deploy 2000 Election Observers

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The Catholic Church in Ghana will deploy 2000 election observers across the country during general elections slated for December.

Matthew Eghan, the National President of the Catholic Justice and Peace Commission (CJPC), said that the observers selected from all the 20 dioceses of the Church in Ghana would be deployed across all the regions in the country to help ensure a free, fair, transparent and violent-free election on 7 December.

Eghan was speaking at the end of a three-day civic education and election observation training workshop organised by the Justice and Peace Commission of the National Catholic Secretariat in collaboration with the Konrad Adenauer Foundation at the Samaritan Villa in Kumasi, this week. This is according to Ghanaweb Online.

Participants at the training workshop were taken through the roles and responsibilities of election observers and instructed on how to gather credible information during an election. They were also cautioned to be diligent as they embarked on their duties and urged to demonstrate fairness in their reports.

Eghan nevertheless was quick to underline that the attainment of peace before, during and after the election was the responsibility of all Ghanaians.

Speaking at the same conference, Vicar General (VG) of the Archdioceses of Kumasi, Fr Louis Tufour, appealed to the various religious groups in the country to educate the populace on the need to ensure a peaceful election.

(Ghanaweb; CISA)

Email: engafrica@vatiradio.va  

 
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Lutheran - Catholic humanitarian cooperation alive and well in Africa

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On the occasion of Pope Francis’ apostolic visit to Sweden, Caritas Internationalis and the Lutheran World Federation (LWF) ’s World Service sign a Declaration of Intent, to strengthen collaboration and cooperation.

Through the signing, the humanitarian and development arms of the two Churches recommit themselves to working together in responding to the world’s humanitarian needs. Pope Francis is in Sweden for the ecumenical commemoration of the 500th anniversary of the Reformation.

In Africa, cooperation between Lutherans and Catholics is alive and well. In Zambia, for example, the signing ceremony will be seen as the cementing of a cordial relationship that has existed for years. Cooperation in the humanitarian and development areas has actually been going on for a long time.

Christian denominations, in Zambia, tend to cooperate directly or through an alliance and platform popularly referred to (in the country) as the “three Church Mother bodies.”

The three Church mother bodies comprise the Zambia Conference of Catholic Bishops (ZCCB); the Evangelical Fellowship of Zambia (EFZ) which represents Charismatic and Pentecostal Churches as well as the Council of Churches in Zambia (CCZ). CCZ is the umbrella body for Protestant churches that traditionally are also members of the World Council of Churches.

The Evangelical Lutheran Church in Zambia is a member of the Lutheran World Federation. With regard to size and numbers, there are not that many Lutheran Churches in Zambia. Notwithstanding this fact, the Lutheran Church in Zambia is spiritually vibrant and pulls more than its weight regarding humanitarian and development activities. As a core member of the three Church mother bodies in Zambia, the Lutheran Church participates and collaborates actively in the health and education sectors of the country. The Church mother bodies are also very outspoken on advocacy issues to do with democracy and the republican constitution.

Lutherans and Catholics have worked and continue to collaborate on HIV/AIDS and in the Malaria eradication campaigns under the auspices of the Churches Health Association of Zambia (CHAZ). The two Churches have been active in the management and implementation of Global Fund grants. In Zambia, Global Fund grants are channelled to Faith Based Organisations (FBOs) through CHAZ.

Although the care of refugees in Zambia is a major reponsibility of the government and United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR), Refugees have always been an important area of concern for both the Catholic Church and Lutherans. The Catholic Church in Zambia’s over fifty-year tradition of advocacy and care for refugees is equal to that of Lutherans. The latter started to care for refugees in Zambia when  Mayukwayukwa refugee camp was established to care for Angolans fleeing war in their homeland. Lutherans were also the lead agency for UNHCR Zambia’s Maheba camp and in 1986 when Ukwimi camp for Mozambican Refugees in the eastern part of the country was commissioned.

It is therefore not surprising that the Declaration of Intent that re-commits the strengthening of collaboration between Caritas Internationalis and Lutheran World Federation/ World Service is being signed as Pope Francis is on this apostolic visit. 

Underlining the importance of the signing event, Caritas Internationalis’ Secretary General Michel Roy said the ecumenical activities in Sweden are more than commemoration. They also signal the start of concrete action by Lutherans and Catholics in service of the world’s poor.

Fr. Paul SAMASUMO,                                 Vatican Radio/ English-Africa

Email: engafrica@vatiradio.va

 
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RD CONGO : Rentrée académique dans trois instituts de l’enseignement supérieur des consacrés

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Ils viennent de passer la première semaine de la nouvelle année académique 2016-2017. Les étudiantes et étudiants des trois instituts d’enseignement supérieur régis par l’Assemblée des supérieurs majeurs des religieux. Ce sont : l’Université Saint Augustin, l’Institut Supérieur Pédagogique Catholique et l’Institut Saint Eugène de Mazenod des missionnaires oblats de Marie Immaculée.

Le 15 octobre, pour les professeurs et étudiants des trois instituts rassemblés dans l’église paroissiale Notre-Dame d’Afrique de Kinshasa-Lemba, l’évêque de Kole, dans les provinces du Kasai central et du Sankuru, Mgr Emery Kibal, a présidé la messe à l’Esprit-Saint pour l’ouverture de la nouvelle année académique. Mgr Kibal est un ancien professeur à l’Institut Saint Eugène de Mazenod et à l’Université saint Augustin. Dans l’homélie, il a exhorté la communauté des étudiants et professeurs à se mettre tous sous la mouvance de l’Esprit, afin de produire des fruits de l’Esprit au courant de l’année académique 2016-2017.

Après la messe, c’était au tour du professeur Matthieu Kabeya de prendre la parole dans une leçon inaugurale intitulée « L’Enseignement-apprentissage à l’université aujourd’hui ». Pour le professeur Kabeya, les difficultés d’aujourd’hui, dans le contexte de l’enseignement supérieur en République démocratique du Congo, rendent plus exaltante la fonction d’accompagnateur que doit exercer l’enseignant auprès de l’apprenant, centre et acteur de l’apprentissage.

Chacun des trois instituts aura retenu la leçon dans la perspective particulière de son orientation : la philosophie, la théologie et la psychologie pour l’université Saint Augustin ; la pédagogie pour l’Institut Supérieur Pédagogique Catholique ; la théologie et les sciences de la mission pour l’Institut Saint Eugène de Mazenod.

P. Jean Baptiste MALENGE KALUNZU,OMI,                            Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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TCHAD : Mgr Djitangar explique le sens de la Toussaint et de la commémoration des fidèles défunts

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Au Tchad, le sens de la célébration de la fête de la Toussaint et de la commémoration des fidèles défunts n’a toujours pas été bien compris par les chrétiens. L’Archevêque de N’Djaména, Mgr Edmond Djitangar, a animé un point de presse à ce sujet, la veuille de ces célébrations.

Alors que chaque année, les prêtres passent tout leur temps à expliquer à travers différentes célébrations, la différence qui existe entre la fête de tous les saints et la commémoration des fidèles défunts, nombreux sont les chrétiens qui restent encore dans la confusion. Pour l’Archevêque de N’Djaména, il n’est plus question que cette confusion persiste. « Les Saints ne sont pas seulement ceux que l’Eglise déclarent tels. Ils le sont simplement du fait de l’appartenance au corps unique du Christ qu’ils constituent avec leurs frères et sœurs baptisés. Et quand nous célébrons la Toussaint, ce n’est pas seulement l’Eglise des vivants, ceux qui sont là, que nous célébrons ; ni ceux qui sont partis, qui sont dans l’au-delà ; mais l’Eglise unique ».

Mgr Djitangar est revenu sur la commémoration de tous les fidèles défunts : « Ceux que nous célébrons comme étant déjà dans la béatitude céleste ne font que le chemin à ceux qui sont en marche vers le ciel ».

L’Archevêque de N’Djaména a invité les chrétiens à prier pour les défunts. « Commencer par aller à l’eucharistie du matin et ensuite, l’après-midi, s’ils le peuvent, aller se recueillir et évoquer ; non pas pour renouveler le chagrin qu’ils ont d’avoir perdu un être cher, mais surtout pour renouveler l’espérance qu’ils sont vivants dans le Christ ».

Quelques jours après ces explications, et dans sa tournée pastorale peu de jours après son installation, c’est à la paroisse Sainte Félicité et Perpétue que Mgr Edmond Djitangar a célébré la fête de la Toussaint. C’est à travers cette joie manifestée que la communauté chrétienne de la paroisse Sainte Félicité et Perpétue d’Atrone II de l’Archidiocèse de N’Djaména a communié avec les Saints en cette fête de la Toussaint.

La paix et la justice sont revenues plusieurs fois dans l’homélie de  Mgr Djitangar. « Si nous  ne nous imposons pas aux autres, si nous n’imposons pas notre point de vue aux autres, si nous ne cherchons pas à les dominer, alors nous vivons l’humilité, qui est une béatitude. Et l’héritage le plus précieux que Dieu nous donne, c’est sa présence permanente dans nos cœurs. Heureux sommes-nous  si nous avons faim et soif de justice, il n’y a qu’un seul Dieu qui peut nous rassasier », a indiqué l’Archevêque de N’Djamena.

Tout en demandant  aux fidèles chrétiens de demeurer fermes dans leur foi, Mgr Djitangar  les a invité à être miséricordieux. « Nous sommes devenus le temple du Seigneur parce que Dieu nous aime et Dieu compte sur nous. Dieu nous a déjà marqué du sceau de la foi », a-t-il déclaré. Et l’Archevêque de poursuivre : « Gardons les mains ouvertes et les bras levés vers le Seigneur pour le louer, pour le remercier, pour lui rendre grâce pour tous les biens qu’il nous fait, mais en même temps aussi pour le supplier pour notre monde. Que cette célébration de la Toussaint d’aujourd’hui nous permet de sentir davantage combien de fois nous sommes forts », a encore déclaré Mgr Djitangar.

Edouard TAKADJI,                          N’Djaména pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : Ouverture de l’année académique 2016-1017 au Philosophat Saint Augustin de Kisangani

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Le samedi 29 octobre 2016 a été une journée spéciale  au Philosophat  Saint Augustin de Kisangani. Cette institution supérieure de formation des prêtres a célébré l’ouverture de l’année académique 2016-2017.  Tout avait été prévu pour donner à cet événement un cachet particulier.

Dans un premier temps, une messe du Saint Esprit a été présidée par le Vicaire Général de l’Archidiocèse de Kisangani, Mgr François Mwarabu Ngalema, délégué de l’Archevêque, Mgr Marcel Utembi Tapa. Douze prêtres ont concélébré. La liturgie de la messe a été animée par 103 séminaristes venus de tous les diocèses de la Province Ecclésiastique de Kisangani. Ceux-ci, au cours de ce temps de prière ont laissé éclater leur joie par des chants exécutés avec art et dévotion. Et l’assistance, composée des invités et des professeurs laïcs n’a pas manqué d’accompagner la chorale des séminaristes. Au cours de la messe, le mot d’ordre de l’année a été communiqué aux séminaristes à savoir : «  Descendre vite pour rencontrer avec joie le Christ ». Ces paroles ont aussi été transmises aux grands  séminaristes - théologiens qui débutaient de même l’année au théologat  interdiocésain de Bunia.

Dans un deuxième temps, après la messe, tout le monde a été convié à rejoindre la salle polyvalente pour participer à une séance académique. Celle-ci a été marquée par divers discours : celui du recteur, celui du secrétaire général académique et la déclaration d’ouverture de l’année académique par Mgr le Vicaire Général. Enfin, un exposé magistral ayant pour thème «  l’alphabétisme scientifique » a été présenté  par un des professeurs de cet alma mater.

Des agapes fraternelles ont conclu dans l’allégresse les cérémonies de ce jour.

Abbé Jean Paul MAKELELE KAKULE

Secrétaire-Chancelier de l’Archidiocèse de Kisangani

 
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BENIN : la fête de tous les saints a Gbedadba

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C’est sous les chants en langue nationale ‘’fongbé’’ de la chorale Hanyé que les fidèles de l’église paroissiale Notre-Dame de la Visitation de Gbèdagba, de l’archidiocèse de Cotonou, au Bénin, ont  vécu la messe de la solennité de la Fête de la Toussaint le mardi 1er  Novembre 2016 dite par le Curé de la paroisse, le Père Justin Bocovo. L’occasion a été donnée au Père Bocovo d’aider les fidèles chrétiens à retenir que les saints sont «  toutes les personnes, canonisées ou non, qui ont été sanctifiées par l’exercice de la charité, l’accueil de la miséricorde et le don de la grâce divine ».  Pour lui, « un saint n’est pas un étranger lointain ! Ce n’est ni un héros ni un modèle de vertu.  C’est  un frère ou une sœur qui nous a précédés dans la foi et reste attentif à notre vie. Le saint est un exemple vivant de ce qui est possible pour chacun d’entre nous : répondre pleinement à l’amour de Dieu en vivant l’Evangile et en aimant à notre tour les autres ». Il en a profité pour exhorter les participants à savoir choisir les prénoms de saint pour leurs enfants, en les suppliant d’arrêter la mode qui consiste à donner aux enfants des noms bizarres de certains joueurs ou d’artistes lus dans des livres ou romans, ou  vus dans les films ou feuilletons. Et  le Père Bocovo d’indiquer aux fidèles quelques voies de la sainteté : « travailler à être un bon père ou une bonne mère de famille; être un bon chrétien modèle pour ses frères et sœurs ; un bon prêtre ou une bonne religieuse; un bon élève ou un bon apprenti, un bon citoyen ; un bon politicien, un bon président de la république pour son pays…, c’est déjà emprunter le chemin de la sainteté ». Car a-t- il martelé : « C’est dans le quotidien de notre vie que nous tissons la toile de la sainteté.... ».

Guy DOSSOU-YOVO,                                Cotonou, pour Radio Vatican

 
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Congrès nationale des familles au Bénin

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Samedi 22 Octobre 2016. L’évêque d’Abomey, Mgr Eugène Cyrille Houndékon a présidé au Hall des Arts et de la Culture à Cotonou, la messe de clôture du premier congrès  des Familles du Bénin, ouvert le lundi 17 octobre par le Père Philippe Kinkpon, Vice-président de l’institut pontifical Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille et Vicaire général de l’archidiocèse de Cotonou, représentant son archevêque empêché, Mgr Roger Houngbédji. Placé sous le haut patronage de Mgr François Gnonhossou, Evêque de Dassa-Zoumé, président de la commission épiscopale pour l’apostolat des laïcs et la famille et avec la bénédiction de tous les autres Evêques du Bénin,  ce premier congrès des familles organisé par le Renouveau charismatique catholique du Bénin avec la collaboration des membres de la pastorale familiale du diocèse, a eu pour thème central : «  Famille béninoise, ne te laisse pas bafouer sur ta propre terre ; deviens ce que tu es et resplendis ». La dizaine des communications présentées par d’éminentes personnalités averties des questions de famille et les riches débats et témoignages qui les ont suivies ont permis aux familles participantes de recouvrer leur identité et de s’engager à porter haut le flambeau de la restauration des familles béninoises. Ces assises ont été également pour les participants, l’occasion rêvée de confier ensemble au Seigneur les soucis et les joies des familles aussi bien du Bénin que du monde entier à travers des séances d’intercession en présence de Jésus-Hostie pour une intériorisation des thèmes débattus et des enseignements vécus.

Guy DOSSOU-YOVO,                                Cotonou, pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : Nouveaux prêtres au diocèse d’Inongo

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Au diocèse d’Inongo, dans la province du Mai-Ndombe, monsieur l’abbé Olivier Bonianga a célébré sa première messe le lundi 31 octobre dans l’église paroissiale Notre-Dame de Fatima à Oshwe.

L’évêque d’Inongo, Mgr Philippe Nkiere, a ordonné prêtres à Oshwe, la veille, dimanche 30 octobre, messieurs les abbés Olivier Bonianga, François Mamve et José Monemo. Olivier Bonianga est originaire de la paroisse d’Oshwe où la précédente ordination sacerdotale a eu lieu voilà vingt-neuf ans. Toute la zone d’Oshwe s’est donc donné rendez-vous pour vivre le grand événement. Tous ont vu comment on devient prêtre.

Trente-six prêtres ont concélébré. Après la messe, tous se sont réunis pour le repas offert par la paroisse d’Oshwe, suivi des manifestations publiques et des danses folkloriques avec le groupe Lokilinda d’Oshwe et Moyene de Kutu.

Dès le mardi 1er novembre, certains invités et les membres du clergé ont pris la route ou la pirogue en direction de la ville de Nioki. Le dimanche 6 novembre, Mgr Philippe Nkiere ordonnera quatre autres prêtres : messieurs les abbés Arnold Booto et Fabrice Iyanza et les deux frères jumeaux Mbo et Mpia Bayangela.

P. Jean Baptiste MALENGE KALUNZU,OMI,                            Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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TCHAD : les jeunes SCOUT s’engagent pour la nouvelle année pastorale 2016-2017

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Les jeunes Catholiques et non catholiques appartenant au mouvement  SCOUT du Tchad ont relancé leurs activités pour l’année pastorale 2016-2017 lors d’une célébration eucharistique le 30 octobre dernier à la Paroisse Sainte Félicité et Perpétue de N’Djaména.

A travers cette célébration, les jeunes ont rendu grâce à Dieu pour l’année écoulée mais aussi demandé à Dieu d’être toujours à leur côté.  L’Abbé Patrice Noudjiram, aumônier des Scouts a sollicité la bénédiction de Dieu pour que les activités se déroulent dans des bonnes conditions : « nous voudrions Lui renouveler notre engagement et en même temps nos remerciements pour qu’Il soit toujours de nos côtés pour l’année qui commence, qu’Il soit avec nous et qu’Il nous aide à vivre notre mouvement selon notre engagement, selon notre cœur ».

Dans son homélie en abordant les textes du 31ème dimanche du temps ordinaire de l’année C,  L’Abbé Noudjiram a indiqué que « les trois textes de la liturgie dominicale nous rappellent la miséricorde de Dieu. Nous ne pouvons pas vivre la miséricorde sans la communiquer à nos frères et sœurs. Dieu, ne nous abandonne pas. C’est nous qui l’abandonnons. Dieu a toujours le souci de notre bien-être, il ne veut pas que nous soyons perdus. Par notre propre liberté, nous disons que nous voudrions être indépendants de Dieu, nous ne voulons pas de son secours ».

Edouard TAKADJI,                          N’Djaména, pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : A Isiro, deux religieux de saint Vincent de Paul célèbrent leur jubilé d’argent

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Les deux premiers Congolais membres de la congrégation des religieux de Saint Vincent de Paul, les frères Jean-Faustin Dramile et Isnard Makolokpo ont célébré, le dimanche 30 octobre, leurs vingt-cinq ans de vie consacrée. Le supérieur général de leur congrégation, le père Bertin Sanon, venu de Rome, a concélébré lors de la messe présidée par le supérieur provincial du Congo, le père Charles-Alain Pululu, dans l’église paroissiale Notre-Dame du saint Rosaire d’Isiro, dans le diocèse d’Isiro-Niangara, province du Haut-Uele.

Le célébrant du jour a rappelé à l’assemblée l’importance de la prière du chapelet en la clôture du mois marial d’octobre. Le père Pululu a exhorté ses deux confrères jubilaires à continuer à aimer Dieu de tout leur cœur et à le servir en servant les pauvres conformément au charisme des Religieux de Saint Vincent de Paul.

Le supérieur général a alors reçu le renouvellement des vœux des frères Jean-Faustin Dramile et Isnard Makolokpo. Après les avoir félicités et bénis, il leur a remis aussi un diplôme de bénédiction du Saint-Père François. Le père Bertin Sanon a remercié le diocèse d’Isiro-Niangara qui a donné à sa congrégation ses deux premiers membres congolais. Œuvrer pour le développement intégral de l’homme et garantir l’avenir de la Vice-Province du Congo en personnel religieux et en infrastructures seront la priorité des Religieux de Saint Vincent de Paul en RD Congo et au diocèse d’Isiro-Niangara, selon le Supérieur général.

Le vicaire général du diocèse, Mgr Sylvain Malitano, a remercié les religieux au nom de l’évêque d’Isiro-Niangara, Mgr Julien Andavo. Il s’est félicité de bonnes relations pastorales entre la congrégation et le diocèse notamment avec la signature d’un contrat de collaboration en bonne et due forme.

P. Jean Baptiste MALENGE KALUNZU,OMI,                            Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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BENIN : Une « Maison du soleil à Cotonou »

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L’Institut des Filles de Marie Auxiliatrice à Cotonou a ouvert le mercredi 26 Octobre 2016 au quartier Hindé non loin du marché international Dantokpa une nouvelle maison d’accueil : « La Maison du Soleil » pour l’accueil, le soutien et la formation des filles - mères mineures et de leurs bébés. Restés en location depuis 5ans, les nouveaux  bâtiments  de la « Maison du soleil » ont été inaugurés et bénis par le père Denis Akoupé,  grâce à l’appui financier de  Manos Unidas et de l’Organisation Non Gouvernementale « Médecins du monde », en présence de nombreux religieux et religieuses, prêtres, autorités politico administratives, partenaires venus de la Suisse, de l’Espagne, des filles du centre, des parents et amis ainsi que des représentants d’institutions internationales telles que l’Unicef ainsi que ceux du corps diplomatique et consulaire. « La Maison du Soleil » est, à en croire les promoteurs, «  un centre d’accueil des filles mineures qui tombent enceinte suite à des violences sexuelles. Ceci pour les amener à connaître leurs droits, leur statut de mamans et à mieux les assumer ; à accroître leur connaissance en santé sexuelle et reproductive et  à être réinsérée sur le plan socio-professionnel. Et pour ce faire la maison dispose de quatre filières de formation : la cuisine ; la savonnerie ; la pâtisserie et la boulangerie. La  formation de  la fille mère admise dans la « Maison du soleil » est de six mois avant sa réinsertion sociale avec la collaboration des familles.

Guy DOSSOU-YOVO,                                Cotonou, pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : Vœux des Frères de Saint Joseph de Mikilayi

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Monseigneur Marcel Madila, archevêque de Kananga, a, au cours d’une célébration eucharistique, reçu les vœux de frère André Tshiasuma et encouragé les Frères Denis Makabu et Paul Balowe qui fêtaient leur 25 ans de vie religieuse. C’était le vendredi 28 Octobre 2016, à la Paroisse Sainte Famille, dans l’Archidiocèse de Kananga.

Dans son homélie, le Père de l’Eglise de Kananga a, à travers les lectures du jour,  invité les heureux du jour à construire leur vie sur la parole de Dieu, proclamée par les Apôtres, c’est-à-dire sur le Christ, la pierre angulaire. Pour cela, il leur suffira de contempler encore et toujours saint Joseph, le patron de cet institut, qui est le tout premier parmi les congrégations diocésaines de l’Eglise locale de Kananga.

En effet, la vocation d’un frère de Saint Joseph ne peut réussir que si elle se déploie comme une terre fertile où poussent les vertus du silence, de l’humilité, de l’obéissance, de la confiance, de la disponibilité, et du travail, a souligné le Père Evêque.

A tous, Mgr Madila a exprimé sa gratitude pour le service rendu à l’Eglise et a encouragé chacun à tendre vers l’idéal de la justice incarnée par saint Joseph le charpentier.

Abbé Dieudonné BAKUTEKEMENYI

 
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TCHAD : des diocésains de Sarh effectuent un pèlerinage

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Pour marquer l’Année de la Miséricorde, les membres du Mouvement KOTAR Ya Marie du diocèse de Sarh viennent d’effectuer un pèlerinage à Manda 1 Barh Sara. Ils ont parcouru plus de  30 kilomètres à pied pour arriver à la Place du Sanctuaire Notre Dame de Barh Sara.

Chant, prière, récitation du chapelet, méditation, enseignement et partage  ont été de moments forts de ce pèlerinage. L’Abbé Jacques Tamaya, l’aumônier du mouvement  KOTAR Ya Marie, a indiqué que le pèlerinage fait partie des activités prévues pour l’année de la miséricorde. Certaines personnes, a-t-il poursuivi, ont déjà effectué  ce pèlerinage à la porte Sainte de la Cathédrale de Sarh, et aussi à la paroisse Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus à Koumra.

Plusieurs autres fidèles chrétiens n’appartenant pas à ce mouvement ont été également de la partie. Il s’agit par exemple des membres des chorale et d’autres mouvements et services.

Notons que les autres mouvements et service du diocèse ont annoncé effectuer aussi ce pèlerinage avant la fin de l’Année jubilaire de la Miséricorde.

Edouard TAKADJI,                          N’Djaména pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : La Paroisse Saint Laurent de Kananga célèbre 10 ans d’existence

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Monseigneur Marcel Madila, archevêque de Kananga, a fêté, le dimanche 30 octobre 2016,  ensemble avec les Chrétiens de la Paroisse Saint Laurent, les dix ans d’existence, depuis que cette paroisse a été érigée canoniquement. C’était au cours d’une célébration eucharistique, à laquelle ont concélébré plus de 15 prêtres.

Dans son homélie, le Père Evêque a, à travers le dix-neuvième chapitre de l’Evangile selon saint Luc, invité le peuple de Dieu à voir ce qu’il y a de positif dans les autres, car Jésus voit plus loin que nos faiblesses, notre mal, nos péchés, il voit ce que nous pouvons devenir et ne regarde pas notre passé. Comme Zachée, Jésus invite chacun de nous à descendre de son lieu d’observation pour s’examiner, s’évaluer et voir ce qu’il est devant Dieu.

Il a exhorté les fidèles de Saint Laurent à ouvrir leur cœur au Seigneur, afin qu’Il vienne y habiter. Mgr Madila a surtout demandé aux paroissiens de travailler pour l’avènement de la paix dans notre pays.

Abbé Dieudonné  BAKUTEKEMENYI

 
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ÁFRICA / Moçambique: Igreja no combate à feitiçaria e tráfico humano

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Em Moçambique há cerca de 20 mil refugiados de vários países africanos. Cerca de metade está no campo de refugiados em Nampula, enquanto que a outra metade está espalhada pelas várias cidades do País. Dos que estão no campo se ocupam o ACNUR (Alto Comissariado das Nações Unidas para os Refugiados) e o Governo moçambicano. 

A Igreja faz a sua parte sobretudo no plano do acompanhamento pastoral e espiritual e de sensibilização da população local para os factores que levam esses refugiados a deixar os seus países de origem e, por conseguinte, a tratá-los como irmãos. 

A Igreja faz isso através da CEMIRDE, Comissão Episcopal para Migrantes, Refugiados e Deslocados. O Presidente deste organismo é D. Adriano Langa, e nele trabalha a irmã Marinês Biasibetti, Missionária Escalabriniana, brasileira. 

Ambos vieram ao Vaticano a semana passada para a Conferência do "Grupo Santa Marta" (26 e 27/10/16) que luta contra o tráfico humano. É que a maior parte das vítimas deste tráfico são mulheres e crianças, pessoas em movimento, migrantes.  

Em entrevista à nossa Emissora, a irmã Marinês explicou que em Moçambique já se fala de tráfico humano e a Igreja, juntamente com as Autoridades do País, tem-se muito empenhado nisso, mas permanece ainda um tabu falar do tráfico de órgãos e de partes do corpo humano essencialmente para fins de feitiçaria. É que isto está ligado à cultura em muitos países africanos e a Igreja, embora vá ganhando coragem de condenar isso, não faz ainda o suficiente. 

Um estudo feito pela CEMIRDE com financiamento da CAFOD e a colaboração de antropólogos, revelou que 95% desse tráfico não é para transplante, mas sim para feitiçaria. Muitas vítimas são pessoas albinas, mas não só. A irmã dá o exemplo de um jovem ao qual, precisamente nestes dias, foi extirpado os órgãos sexuais. 

Uma forma de combater isso seria trazer a questão da feitiçaria para o palco internacional do "Grupo Santa Marta", organismo criado em 2014 pelo Papa Francisco para combater o tráfico humano no mundo. 

Na entrevista que nos concedeu a irmã Marinês fala ainda das acções que a CEMIRDE tem levado a cabo, das que tem em programa e da cooperação com bispos e autoridades civis de países vizinhos. O Ano Jubilar da Misericórdia - refere - levou a pôr este conceito no centro de todas as actividades, reforçando o espírito de misericórdia que já os anima.

Dulce ARAÚJO,                                Rádio Vaticano/ Redação Portuguesa 

 
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TUNISIE : Assurer un meilleur encadrement de la femme agricultrice africaine

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Une  exposition des produits de la femme agricultrice africaine a été organisée les 28, 29 et 30 octobre une à Tunis, avec la participation de plusieurs pays  du continent dont l’Algérie, le Burkina Faso, le Maroc, la Mauritanie, ou le Mali. Cette exposition avait pour objectif  faire connaître les capacités des femmes rurales en Afrique à développer la production et à attirer les investissements. L’exposition visait aussi, à échanger les expériences entre les femmes agricultrices de la région et à donner une belle image de la solidarité des femmes et des peuples africains, estimant que l'économie sociale et solidaire est un moyen efficace pour encadrer et accompagner la femme agricultrice à tous les niveaux de la production.  Les trois jours d’exposition  étaient, pour les participantes, une occasion pour présenter leurs produits et attirer une nouvelle clientèle, outre la création d'un réseau de relations constitué de femmes africaines qui travaillent dans le secteur agricole. De nouvelles réglementations internationales seront prises  pour  harmoniser les textes réglementaires relatifs à l'étiquetage et  permettre une libre circulation des denrées alimentaires en toute sécurité pour le consommateur. L'exposition a été organisée en marge des travaux du forum africain de la femme agricultrice et l'économie sociale et solidaire qui s'est tenu à l'initiative notamment  de  l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, FAO en vue d’améliorer les conditions des femmes agricultrices sur le continent africain.

Marie José Muando BUABUALO,                          Radio Vatican/ Français-Afrique

 
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CPLP – Um possível alargamento da cidadania sem conflitos

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Na reunião da Comunidade de Países de Língua Portuguesa (CPLP), reunião em curso nestes dias na cidade de Brasília, no Brasil, o Primeiro Ministro Português, António Costa, propôs a “liberdade de fixação de residência” de todo e qualquer cidadão de um dos países da CPLP em todo e qualquer País da Comunidade. Trata-se, naturalmente, de um projecto ambicioso, que, pelos mais variados motivos, divide as opiniões de analistas jurídicos e cidadãos interessados. Há quem ache o projecto uma oportunidade a não perder, no sentido de finalmente a CPLP “ir mais longe” e de fazer algo de concreto e importante para a Comunidade. Isso vale sobretudo para aqueles para quem a Instituição não pode restringir-se à questão de uma língua comum, “o português”, quando existem questões sociais, políticas e económicas  de interesse comum que não podem ser escamoteados. O desafio é, portanto, maior do que pode inicialmente parecer e parte precisamente da premissa segundo a qual “a CPLP deveria ir até mais longe”. Todavia, a pergunta que resta sem resposta é a seguinte: ir até mais longe? Concretamente em que aspectos? Com efeito, a colocação em pé de um tal  projecto tem inclusive implicações transfronteiriças que têm, desde logo, a ver com a questão “Schengen” que pode facilmente bloquear o projecto.

Em conformidade com os juristas que se estão a pronunciar sobre o projecto, para além da questão “Schengen”, o mesmo poderia não reunir o consenso requerido junto dos países que compõem a CPLP. De facto, o Acordo “Schengen”, que já garante a livre circulação de pessoas, bens e capital de cidadãos Europeus nesse espaço, não prevê a circulação e estadia ilimitada no mesmo, de cidadãos extracomunitários. O único membro da CPLP que o pode fazer é Portugal por ser membro da União  Europeia, por isso, dizem alguns académicos, a questão da liberdade de fixação de residência de membros da CPLP nos Países da CPLP não pode ser decretada unilateralmente por Portugal, pois necessitaria de uma analise mais profunda e aprovação conjunta com os restantes Estados-membros. Como caso de exemplo das dificuldades  reais a evocar poderia ser o facto de que um cidadão Angolano, que por exemplo tivesse de se deslocar sem necessidade de visto, de Angola a Portugal, graças à eventual cidadania comum na CPLP, ver-se-ia barrado a prosseguir a viagem de Portugal à França  por falta de visto  de entrada na França que faz parte da União Europeia,  mas não da CPLP. Uma tal situação implicaria uma reformulação na questão da cedência de vistos a Angolanos que queiram entrar no Espaço Schengen a partir de Portugal, País para os Angolanos não necessitariam de visto.   

É de recordar que o problema da cidadania lusófona é uma ideia antiga, mas até aqui se foi limitando à questão da facilitação ou não de vistos de circulação na CPLP dos cidadãos membros dessa instituição. Já em 2001, o governo de José Manuel Durão Barroso assinara acordos que facilitavam a cedência de vistos por questões de saúde, tratamentos médicos e educação, para estudantes, todavia, eram cedências insuficientes em relação às espectativas dos cidadãos da CPLP. No fim de contas o que muitos cidadãos da CPLP esperam da Instituição é o acesso a vistos de total liberdade de circulação, mas é precisamente essa possibilidade que chocaria com os princípios “Schengen”, portanto, a questão deve, de preferência, passar por decisões pragmáticas e não tanto pelo lado jurídico. Porquê? Porque a liberdade total de circulação dos cidadãos europeus faz com que não existam fronteiras físicas, ou seja, um membro da CPLP que por exemplo estabelecesse residência em Portugal poderia ir de carro até qualquer ponto da União Europeia, mas,  uma vez que a CPLP contém no seu espaço cerca de 250 milhões de pessoas,  o o parlamento europeu poderia afirmar que uma tal dimensão de população a circular ou  a fixar residência na União Europeia seria demasiado extensa para ter acesso à entrada livre na União a partir de Portugal, pois, isso implicaria novos elementos de segurança interna do espaço “Schengen” em que Portugal se transformaria em porta aberta de entrada de extracomunitários da CPLP na União Europeia, num momento em que tais extracomunitários não teriam condições de ser reconhecidos como cidadãos europeus”. É  verdade que o Acordo de Porto Seguro entre Portugal e o Brasil, acordo assinado em 2002 confere essa liberdade de movimentos aos turistas brasileiros num período até 90 dias, e “Schengen” nunca se pronunciou contra isso”. É de recordar aqui, que os brasileiros são essencialmente provenientes da Europa e portanto a sua circulação e estadia na União Europeia goza de uma maior tolerância, o que já não aconteceria para com os extracomunitários provenientes da Africa, mesmo fazendo parte da CPLP de que Portugal é membro.

A conclusão a que chegam muitos dos consultados sobre a questão sugere que a proposta poderá ter sucesso caso surja a facilitação de cedência de vistos “a curto e médio prazo para fins específicos”.

Para  Miguel Sousa, comentador da SIC, (citamos) “a Comunidade de Países de Língua Portuguesa só seria útil caso Brasil e Angola - os mais poderosos da CPLP - se interessassem”. Miguel Sousa Tavares considera a agora proposta “liberdade de fixação de residência” precipitada e que já deveria ter sido discutida internamente.  

Uma possível Saída do impasse

Sem perder-se no impasse e pessimismos acima expressos, o que há que fazer é encontrar alternativas pragmáticas e factíveis. O mais prático e sensato seria enveredar paulatinamente por actos que possam ser postos em prática sem entrar em choque com as leis e os princípios “Shengen”. Para começar, e como ponto de partida, deveriam ser decretados, ou postos em prática, dentro da CPLP, uma lei ou princípios segundo os quais um cidadão de um dos países da CPLP, que nasça num dos países dessa Comunidade adquira automaticamente a nacionalidade do país da CPLP em que nasce, seguindo os princípios do “jus soli” e o do “ius sanguinis”. A essas leis ou princípios pode-se juntar de modo extraordinário a facilitação da aquisição da nacionalidade para os pais cujo filhos tenham adquirido a nacionalidade com base no princípio do “ius soli”. Isso teria a vantagem, para todos os cidadãos membros da CPLP, de uma real integração na Comunidade. Em poucas palavras, e sempre a título de exemplo, um cidadão que nasça de pais angolanos que vivem em Portugal teria automaticamente a nacionalidade portuguesa sem perder a angolana e vice-versa para os filhos de Portugueses que nasçam em Angola. No fim de contas são já muitos os portugueses que têm a dupla nacionalidade: angolana e portuguesa, e vice-versa. Uma tal lei e princípios certamente não teriam como ser legalmente rejeitados pela União Europeia. O mesmo se diz dos cidadãos Portugueses que nascem noutros países da CPLP que não deveriam passar pelas dificuldades de aquisição de nacionalidade automática nos Países da CPLP em que nascem. Um outro aspecto que para começar não teria implicações com as leis e princípios “Schengen” e da União Europeia seria, desde já, a facilitação de vistos a todos, tendo como base de tal facilitação, ser membro da CPLP. Nesse caso os vistos deveriam permitir estadias mais longas com várias entradas e várias saídas sem ter que pedir sempre um novo visto, por exemplo no espaço de seis meses ou mesmo de um ano.

Moisés MALUMBU,                                    Rádio Vaticano/ Redação Portuguesa

 
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CABO VERDE. O Estado é o maior devedor do INPS

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Em Cabo Verde, o Estado é, neste momento, o maior devedor do Instituto Nacional da Previdência Social (INPS), revelou segunda-feira 31 de outubro, o Presidente do Conselho de Administração, José Augusto Fernandes, no dia em que o INPS assinalou o seu 25º aniversário.

Por esta razão considera aquele responsável que só mecanismos de cobrança coerciva não chegam para melhorar a recuperação das dívidas que ultrapassa, os quatro milhões de contos.

Apesar das elevadas dívidas o sistema é hoje equilibrado. Contudo José Augusto Fernandes salienta que se não forem tomadas medidas em termos de reformas fica difícil garantir a sustentabilidade futura.

Para assinalar os 25 anos de existência, o Instituto realizou uma conferência subordinada ao tema “Os cuidados de saúde e a sustentabilidade do sistema de segurança social”. A abertura foi presidida pelo Ministro da Saúde e da Segurança Social. Arlindo do Rosário defendeu um amplo debate a nível do Conselho da Concertação Social e do Parlamento para se encontrar os caminhos necessários para garantir a sustentabilidade do sistema de Previdência Social em Cabo Verde.

Oficialmente, a Segurança Social foi instituída em Cabo Verde em 1982 com a criação do Instituto de Seguros e Previdência Social (ISPS). As actividades tiveram início em 1983, com a inscrição de dois mil 750 trabalhadores. Em 1991, com a extinção do ISPS, nasceu o INPS que ontem  completou 25 anos de existência.

 Rádio Nova,                          Cabo Verde, para a Rádio Vaticano

 
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Pan-African meeting: Entrenching SCCs in the Church

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Strengthening and networking of Small Christian Communities (SCCs) in Africa and beyond can be a significant contribution of the African Church to the world, the one-week Pan-African meeting on SCCs has observed.  The meeting which convened in the Kenyan capital of Nairobi, early this week, brought together 16 participants from Kenya, Burkina Faso, Germany, Democratic Republic of Congo, Tanzania, Malawi and Zambia.

Speaking at the meeting, Tanzania’s Auxiliary Bishop of Bukoba Diocese, Method Kilaini said the idea of SCCs started in the then Zaire (Democratic Republic of Congo) in 1961, as the fruit of the Second Vatican Council.

Bishop Kilaini quoted Saint Pope John Paul II who praised SCCs saying that Small Christian Communities are focused on, "Christians coming together for prayer, Scripture reading, catechesis and discussion on human and ecclesial problems with a view to a common commitment. These communities are a sign of vitality within the Church, an instrument of formation and evangelization, and a solid starting point for a new society based on 'civilisation of love.'"

The Auxiliary Bishop of Bukoba Diocese explained that the Association of Member Episcopal Conferences in Eastern Africa (AMECEA) countries embraced the concept of Small Christian Communities in 1973 and then adopted the idea as a pastoral priority of the region in 1976. After that, different conferences, dioceses and parishes in Africa started rolling out SCCs as a pastoral programme.

Bishop Kilaini who has more than ten years experience in coordinating activities of Small Christian Communities at the Tanzania Episcopal Conference (TEC) has urged a subtle shift towards networking SCCs with the view to enhancing evangelization.

The Bishop further said that SCCs needed to be made “more systematic by creating social media platforms such as WhatsApp groups, websites, blogs and Facebook to help interact, exchange ideas and share experiences with the World,” he added that the Catholic faithful in Germany had shown interest in SCCs.

Rose ACHIEGO,                               in Nairobi

Email engafrica@vatiradio.va

 
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MOÇAMBIQUE. Crianças órfãs e vulneráveis recebem apoio multiforme

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Pouco menos de 100 crianças órfãs e vulneráveis do Centro Infantil da Matola, província de Maputo, receberam há dias bens diversos oferecidos pela Organização da Mulher Moçambicana.
De acordo com a primeira-dama da República de Moçambique, Isaura Nyusi, os produtos alimentares, utensílios de cozinha, roupa de cama, materiais de limpeza e higiene vão ajudar a minimizar as dificuldades do centro, que acolhe menores e adultos, muitos deles portadores de deficiência física e psicomotora. A iniciativa faz parte do empenho na procura de soluções para a mitigação do sofrimento de diversos grupos sociais vivendo em situação de vulnerabilidade.
Isaura Nyusi explicou que a oferta foi angariada pela OMM, em parceria com a Embaixada da China. “Espero que a parceria continue. Queremos prestar apoio a mais crianças órfãs, mas também outros grupos vivendo em situação difícil, tais como mulheres, crianças, idosos e chefes de família, deficientes, doentes crónicos e vítimas de calamidades naturais”, afiançou a primeira-dama moçambicana.
Por seu turno, a directora do Centro Infantil da Matola, Laura Machanguana, agradeceu a oferta e a visita da primeira-dama. Afirmou que os produtos vão ajudar a suprir as necessidades dos petizes.
Uma das principais dificuldades da instituição, segundo Machanguana, tem a ver com a falta de transporte e bens como fraldas descartáveis. “A maioria das pessoas que acolhemos no centro é portadora de deficiência física e/ou psicomotora. Em caso de doença, é um exercício transportá-la para uma unidade sanitária, precisamos de meios para permitir uma rápida assistência”, concluiu.

Hermínio José,                                   Maputo, para a Rádio Vaticano

 
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Pain hebdomadaire du catholique. Trente-deuxième Dimanche. Temps Ordinaire, Année C. Dimanche 06 Novembre 2016. Par Théodore C. LOKO*

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I. Traits définitoires du laïcat

Les laïcs constituent l’ensemble des chrétiens qui ne sont pas membres de l’ordre sacré et de l’ordre religieux (Lumen Gentium n° 31, cf. Can 207 §1) et qui, de par leur baptême, en leur qualité de fidèles, sont incorporés au Christ et intégrés au peuple de Dieu, d’où leur participation, à leur manière, à la fonction sacerdotale, prophétique et royale du Christ (cf. Can 204 §1). « Tous les laïcs ont le devoir et le droit de travailler à ce que le message divin du salut atteigne sans cesse davantage tous les hommes de tous les temps et de tout l'univers » (Can 211).

II. Textes du jour : 2 Maccabées 7,1-2.9-14 ; Psaume : 16 ; 2 Thessaloniciens 2,16 – 3,5 ; Luc 20,27-38

III. Commentaire :

Les textes liturgiques de ce dimanche nous adressent un message d’espérance. Ils nous parlent de la résurrection des morts et de la vie en Dieu. Ce dogme fait partie de notre foi. C’est même le plus important car il nous montre le but de notre vie.

Dans la première lecture, nous trouvons un témoignage de foi extraordinaire. Cela se passe à une époque dramatique du peuple d’Israël : les empereurs grecs gouvernent la Palestine ; ils veulent imposer leur civilisation, leur culture et leur religion. Ils rencontrent en Israël une farouche résistance. Le texte de ce jour nous parle d’une mère et de ses sept fils qui ont été arrêtés. On veut les obliger à adhérer à la religion païenne. En choisissant de rester fidèles jusqu’à la mort, ils témoignent de leur foi en la résurrection. Ils comprennent que Dieu ne peut abandonner ses fidèles.

La foi en la résurrection est au cœur de l’Évangile. Elle en est même l’élément central. Et pourtant, ils sont nombreux ceux et celles qui ont du mal à y adhérer, même parmi les chrétiens. L’Évangile de ce jour atteste que cela n’allait pas de soi dans le judaïsme de l’époque. Les pharisiens l’acceptaient. Mais les Sadducéens plus conservateurs, l’ont toujours refusé parce qu’elle n’était pas inscrite dans la loi de Moïse. Ils allaient même jusqu’à la tourner en dérision.

La foi en la résurrection des morts est loin de faire l’unanimité chez les chrétiens que beaucoup peinent à imaginer avec justesse. L’évangile de ce jour atteste qu’elle n’allait pas davantage de soi dans le judaïsme du début de l’ère chrétienne. Elle était une des lignes de fracture entre le parti des pharisiens, proches des milieux populaires, qui y adhéraient et celui des sadducéens, proches du grand prêtre et de son conseil, qui la tournaient en dérision.

Les sadducéens sont des conservateurs. Ils rejettent l’autorité des prophètes et des sages et toute nouveauté, ne reconnaissant que le Pentateuque où rien n’est dit de la résurrection dont l’émergence est toute récente (cf. première lecture). Voulant mettre Jésus dans l’embarras et démontrer l’absurdité de cette idée, il lui présente ‘un cas d’école’ construit sur la loi du lévirat et poussé à l’extrême (Dt 25,5-10). Selon cette loi, un homme dont le frère meurt sans enfant doit épouser sa belle-sœur et lui donner un descendant masculin qui sera considéré comme le fils du défunt.

Bon sujet de conversation et d’enseignement pour Jésus. D’abord il va éclaircir le sens de la résurrection. Le Royaume de Dieu ne ressemble pas au monde terrestre. Les hommes ressuscités ne sont pas simplement réanimés comme le pensent les sadducéens... et un certain nombre de chrétiens. Ils sont semblables aux anges : ils appartiennent au monde divin, ils sont vivants pour toujours d’une vie qui n’est plus impactée par la finitude humaine. Il ne leur est plus nécessaire de se perpétuer à travers une descendance. La question des sadducéens ne se pose donc pas. Puis Jésus se place sur le terrain de l’interprétation des écritures dans laquelle ses détracteurs se pensent experts. Jésus se plie ici au mode de lecture traditionnelle du judaïsme. S’appuyant sur le livre de l’Exode que ses interlocuteurs ne contestent pas, il se réfère à la voix qui émane du buisson ardent : « Je suis le Dieu de ton père, le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob » (Ex 3,6).  Si Dieu ne s’intéresse qu’aux vivants et qu’il se désintéresse des morts, comment se fait-il qu’il se réfère aux trois patriarches ? C’est donc qu’ils sont vivants, appelés à une vie éternelle auprès de lui.

Comme les martyrs d’Israël et comme bien des croyants d’aujourd’hui, l’apôtre Paul est confronté à des « gens pervers » qui ne partagent pas sa foi. Comme ses aînés, il s’enracine dans la fidélité de Dieu pour résister à ses ennemis. Il n’a d’autres armes que celles de la Parole. Pour tenir avec l’endurance du Christ, il sollicite la prière de tous. Il nous rappelle ainsi que cette « course » de la Parole est l’affaire de tous et de chacun. Exprimant sa confiance dans le Christ, il encourage les chrétiens à rester fermes dans la foi. Nous ne devons pas craindre ceux qui peuvent tuer le corps. Le plus grand danger vient de ceux qui peuvent tuer l’âme en la détournant de Dieu.

* Ambassadeur du Bénin près le Saint Siège

 
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