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05/07/2017

De nous à vous - From us to you - De nós para vós

De vous à nous - From you to us - De vós para nós

De nous à vous - From us to you - De nós para vós



Intention de prière du Saint Père pour juillet 2017

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L’intention de prière du Pape pour juillet 2017 concerne les personnes éloignées de la foi chrétienne. François demande de prier : « Pour nos frères qui se sont éloignés de la foi afin qu’ils redécouvrent, par notre prière et notre témoignage évangélique, la présence du Seigneur riche en miséricorde et la beauté de la vie chrétienne. »

 
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En la Solennité des saints apôtres Pierre et Paul, le Pape remet les palliums aux nouveaux archevêques

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L’actualité de l’Eglise a été dominée le  jeudi 29 juin 2017 au Vatican par la célébration de la solennité des saints apôtres Pierre et Paul. A cette occasion, le Pape a présidé Place Saint Pierre la messe concélébrée notamment par les cinq nouveaux cardinaux dont la création est intervenue la veille. Ont aussi concélébré, les 36 nouveaux archevêques qui ont reçu des mains du Saint Père leurs palliums, ornement distinctif des archevêques.

La vie de l’apôtre est confession, persécution et prière

S’inspirant des lectures de la solennité, François a basé son homélie sur trois mots essentiels pour la vie de l’apôtre :  confession, persécution et prière. La vie de l’Apôtre, a indiqué le Pape, jaillit de la confession que Jésus est le messie attendu, le Dieu Vivant, le Seigneur de sa vie. Comme l’Apôtre Pierre, Jésus nous adresse particulièrement la question : « pour toi, Qui suis-je ? ». Avec Pierre, renouvelons aujourd’hui notre choix comme disciples et apôtres qui suivent Jésus jusqu’à la fin, sur son chemin qui passe par la Croix et les persécutions, dont souffrent beaucoup de chrétiens aujourd’hui. Cette confession, a poursuivi le Saint Père, se débouche en offrande de soi pour le Christ et pour les autres, à l’exemple de saint Paul, pour qui « vivre, c’était le Christ qui a donné sa vie pour lui ». Enfin, a déclaré François, La vie de l’Apôtre, qui jaillit de la confession et débouche en offrande, se déroule tous les jours dans la prière. Prier c’est confier à Dieu notre chemin pour qu’il en prenne soin, a encore dit le Saint Père.

Remise des Palliums aux 36 nouveaux archevêques

A la fin de la célébration eucharistique, le Pape a remis les palliums, qu’il avait bénit au début de la messe, aux 36 nouveaux archevêques. Parmi eux, sept provenaient d’Afrique. Il s’agit de : Mgr Edmond Djitangar, archevêque de N’Djamena, au Tchad ; Mgr Faustin Ambassa Ndjodo, archevêque de Garoua, au Cameroun ; Mgr Fridolin Ambongo Bessungu, archevêque de Mbandaka Bikoro, en République Démocratique du Congo ; Mgr Michel Didi Adgum Mangoria, archevêque de Khartoum, au Soudan ; Mgr Inácio Saύré, archevêque de Nampula, au Mozambique ; et Mgr Anthony Muheria, archevêque de Nyeri, au Kenya.

Angélus : Pierre et Paul, deux colonnes de l’Eglise

A 12h00, heure de Rome, des nombreux fidèles se sont rassemblés Place Saint Pierre pour prier avec le Pape la prière de l’Angélus. Dans son exhortation précédant cette prière mariale, le Saint Père, a souligné la double libération miraculeuse dont ont été bénéficiaires les apôtres Pierre et Paul, que les Pères de l’Eglise aimaient comparer à deux colonnes sur lesquelles repose la construction visible de l’Eglise. Alors qu’ils étaient mis en prison, le Seigneur est intervenu pour libérer chacun d’eux.

Ces deux libérations de Pierre et Paul révèlent le cheminement de ces deux apôtres, envoyés par le Seigneur pour annoncer l’Evangile dans des milieux difficiles, voire hostiles. Avec les problèmes qu’ils ont vécu, au niveau personnel et ecclésial, ils nous disent que le Seigneur est toujours à nos côtés, qu’il ne nous abandonne pas, surtout au moment de la lutte contre l’ennemi. Notre vrai ennemi, a dit le Pape, c’est le péché et le malin qui nous y induit. Quand nous nous réconcilions avec Dieu, spécialement dans le sacrement de la Pénitence, nous recevons la grâce du pardon et nous sommes libérés des chaines du mal et alléger du poids de nos erreurs. Ainsi nous nous pouvons poursuivre notre parcours de joyeux annonciateurs et témoins de l’Evangile, démontrant que nous avons reçu en premier la miséricorde, a encore dit le Pape.

Salutations à la Délégation du Patriarcat Œcuménique

A la fin de la prière de l’Angélus, le Saint Père avait salué la présence d’une délégation du Patriarcat Œcuménique, envoyée par le Patriarche Œcuménique Bartholomé, pour la fête des saints Pierre et Paul. Cette présence a indiqué le François, a est le signe des liens fraternels existantes entre nos Eglises.

Stanislas KAMBASHI,SJ,                            Radio Vatican/ Français-Afrique

 
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Mgr Ladaria, nommé Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi

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Le Pape a dit merci au Cardinal Gerhard Ludwig Müller, au terme de son mandat de cinq ans comme Préfet de la Congrégation pour la Doctrine et Président de la Commission Ecclesia Dei, de la Commission Pontificale Biblique et de la Commission Théologique Internationale. Pour lui succéder, le Saint Père a nommé Mgr Luis Francisco Ladaria Ferrer, qui était jusqu’ici secrétaire de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Jésuite d’origine espagnole, Mgr Ladaria est aussi Président de la Commission d’étude sur le Diaconat des Femmes.

 
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Mise à jour des activités du Pape pour l’été

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Au Vatican, c’est le rythme d’été et donc des vacances qui commence. Ainsi, pendant cette périodes, les audiences générales des mercredi du Pape sont suspendues jusqu’au 2 aout ; tandis que ses messes matinales en la Chapelle de la Maison Sainte Marthe reprendront en septembre. La seule activité publique du Saint Père reste l’Angélus des dimanche.

 
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Hymne officiel des JMJ Panama 2019

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« Me voici! Je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon ta parole ». C’est ce verset de l’Evangile de Luc qui ouvre l’hymne officiel de la 34ème édition des Journées Mondiales de la Jeunesse, qui auront lieu en 2019 à Panama. L’hymne a été présenté le lundi 03 juin 2017 par Mgr José Domingo Ulloa Mendieta, archevêque de Panama, en présence des milliers des jeunes, adultes et du clergé ayant fait le déplacement de la capitale panaméenne.

Un appel à la mission

Cet hymne exprime la mission à laquelle nous sommes appelés comme disciples et missionnaires de cette époque, à l’exemple de la Bienheureuse Vierge Marie, a expliqué Mgr Mendieta, qui a exprimé l’enthousiasme de le mettre à la disposition des jeunes du monde, pour qu’en l’écoutant, ils puissent se préparer avec joie à se laisser transformer par Dieu.

L’auteur de l’hymne est un catéchiste

L’hymne est l’œuvre de Abdiel Jiménez, catéchiste et psalmiste de la Paroisse Christ Ressuscité de San Miguelito, auteur de nombreux chants liturgiques, membres de nombreux chœurs.

L’exemple de Marie

Le texte exhorte les jeunes à vivre à l’exemple de Marie : « être comme Marie, disponible à sortir – récite une strophe – Eglise en sortie, avec amour, jeune, témoin et disciple avec joie, foi et vocation. »

Vainqueur parmi plus de 50 propositions

Après une sélection de 56 propositions, examinées par un jury composé d’une douzaine de musiciens professionnels panaméens, trois hymnes ont été retenus. Le comité exécutif des JMJ, a ensuite travaillé de concert avec le Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie, et ensemble ils ont choisi ce qu’est devenu l’hymne officiel des JMJ Panama 2019. La production a ensuite été complétée par deux semaines de travail.

Janvier 2019, le Rendez-vous à Panama

Annoncé par le Pape François à la fin des JMJ Cracovie 2016 (Pologne), la 34ème édition des Journées mondiales de la Jeunesse se tiendra du 22 au 27 juin 2019 à Panama, capitale de l’Etat du même nom.

 
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SUDÃO DO SUL. Sem a paz não se consegue fazer nada, diz o Card. Turkson

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O Presidente da Conferência Episcopal do Sudão, Dom Edward Hiiboro Kussala, expressou profunda gratidão e apreço, em nome de todos os bispos, pelo afectuoso apoio do Papa Francisco ao Sudão do Sul, País martirizado pela guerra, fome e cólera.

No passado dia 21 de junho, o Prefeito do Dicastério para o Desenvolvimento Humano Integral, Cardeal Peter Turkson, havia apresentado a iniciativa “O Papa para o Sudão”, quando se anunciou um financiamento ao País de 500 mil euros, destinado a projectos de ajuda no campo da saúde, da educação, da agricultura.

Uma intervenção concreta não isolada, porque a Santa Sé busca há tempos um caminho para obter a paz, como explicou à Rádio Vaticano o Cardeal Turkson:

“O nosso dicastério olha para estes acontecimentos com um pouco de tristeza. Estive lá duas vezes. A primeira vez levei uma carta do Santo Padre ao Arcebispo de Juba; a segunda vez levei uma pequena mensagem ao governo. Devo dizer que o respeito pela Igreja ainda existe. O Presidente recebe com prazer visitas como as minhas e a do Núncio de Nairobi no Sudão do Sul. Existe um respeito tal pela Igreja, que quando outros diplomatas não conseguem uma audiência, pessoas da Igreja, como o Núncio, como eu, procuram levar a mensagem para resolver um pouco a situação. Portanto, considero que a Igreja ainda tem algum papel a desempenhar naquela situação”.

O Senhor Cardeal pensa em regressar em breve ao Sudão do Sul?

“Certo, estamos tentando organizar uma outra visita ali. Como sabemos, o Santo Padre já demonstrou sua solicitude, enviando um pouco de ajuda para a educação, para a saúde, para os remédios. Este é um gesto bonito, mas a situação no Sudão do Sul exige ainda algo mais. Assim, prevemos uma visita para o futuro próximo, para se inteirar da situação, para elaborar um programa de ajuda e de assistência à população que agora foge. As pessoas abraçam as armas, fazem qualquer coisa para ganhar um salário, porque não tem um ganho, não existe assistência por parte do governo. A situação é um pouco caótica”.

Como acenou anteriormente, o Santo Padre tem uma solicitude particular, sente uma dor particular pelas vítimas deste conflito, que depois, são os mais pobres, ou seja, os deserdados, as pessoas esquecidas. A ajuda internacional existe?

“Sim. Existe uma base das Nações Unidas. Tem três localizações. Portanto, existe a presença dos Capacetes Azuis da ONU, existe também aquela da União Europeia com os seus embaixadores e depois existem diversos organismos, outros grupos. Nos anos 60, o Papa Paulo VI disse que o novo nome da paz é o desenvolvimento, mas depois logo acrescentou que o desenvolvimento requer necessariamente a paz. Sem a paz não se pode fazer nada. Este é justamente o drama da situação no Sudão do Sul. É preciso uma situação, uma atmosfera um pouco pacífica para poder colocar em pé certos projectos. As pessoas têm necessidade de casa, de agricultura, de escolas, de hospitais. E existem organismos que estão prontos para ajudar neste sentido. Mas sem uma situação de paz que permita a realização destes projectos, fica tudo difícil”.

O senhor Cardeal é optimista?

“Devemos conseguir, não? E não somente no Sudão do Sul. A mesma solicitude, a mesma preocupação que o Santo Padre demonstrou pela República Centro-Africana, é a mesma que devemos demonstrar pelo Sudão do Sul. O Santo Padre queria ter visitado também o Sudão do Sul. Portanto, o meu optimismo não é devido ao facto de que o Sudão do Sul seja a assim chamada “república cristã”, pois isto não é totalmente verdadeiro. Existem mesquitas. Existe a presença de outras religiões. Existe o Islão, existem os muçulmanos. O facto é que quando existe uma humanidade que sofre, como diz a primeira linha da Gaudium et Spes, este sofrimento não pode não tocar a todos. Estou convencido de que este País tem todo o potencial para levar em frente o seu desenvolvimento”.

Secção Brasileira da Rádio Vaticano

 
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Vatican Radio Communiqué/Communiqué Radio Vatican/Comunicado da Rádio Vaticano

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If you are listening to us on Shortwave, we would greatly appreciate a short report from you on the quality of our programs and of the signal reaching you. Please address your report to: The Africa Promotions Office for Africa, Vatican Radio, 00120 Vatican City.

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Nous demandons à nos auditeurs qui nous suivent sur les Ondes courtes de bien vouloir nous faire parvenir un rapport d’écoute sur la qualité de la réception de nos programmes, à l’adresse du Bureau de Promotion-Afrique de Radio Vatican, 00120 Cité du Vatican.

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Pedimos aos nossos ouvintes que nos escutam em Ondas Curtas que nos enviem um relatório de escuta sobre a qualidade da recepção dos nossos programas, escrevendo ao seguinte endereço do Serviço de Promoção-África da Rádio Vaticano, 00120 Cidade do Vaticano.

 
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Avis pour les radios catholiques africaines et les auditeurs de Radio Vatican/ Notice to Catholic Radio Stations in Africa and listeners of Vatican Ra

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Radio Vatican avait produit en 2011 un album musical, Afrika tenda amani (fais la paix, Afrique), avec le concours de quelques artistes musiciens africains dont Papa Wemba de la République démocratique du Congo et Bonga d’Angola. Cet album qui accompagne l’exhortation post-synodale Africae munus, reflète les thèmes de la Deuxième assemblée spéciale pour l’Afrique du Synode des Évêques (réconciliation, justice et paix), a été expédié à toutes les radios catholiques africaines par le canal des Pères Evêques diocésains auxquels Radio Vatican a fait parvenir 3 copies.

Si jamais une radio n’a pas encore reçu une copie de cet album, elle peut nous écrire (africa@vatiradio.va) pour nous en demander. De même, nous disposons de quelques exemplaires pour nos auditeurs qui en feront la demande. Mais la quantité est fort limitée.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsable du Bureau de Promotion de Radio Vatican pour la zone Afrique

E-mail : africa@vatiradio.va

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In 2011, Vatican Radio produced a music album titled Afrika tenda amani (Make Peace, Africa), with the help of a few African musicians including Papa Wemba of the Democratic Republic of Congo and Bonga from Angola. Three copies of the CD album, which accompanied the publication of the post-synodal exhortation Africae munus  and reflects on the themes of the Second Special Assembly for Africa of the Synod of Bishops (reconciliation, justice and peace) was sent to all  Catholic radio stations in Africa through the local bishops.

If your radio station has not yet received a copy of this album, please write to africa@vatiradio.va to request a copy. Also, we have a limited number of copies for our listeners who may also send their requests to the above email address.

Fr. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Head of the Promotions Office for Africa

Vatican Radio

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A Rádio Vaticano tinha produzido em 2011 um álbum musical denominado Afrika Tenda Amani (faz a paz, África), com a participação de alguns artistas músicos africanos, dentre os quais Papa Wemba da República Democrática do Congo e Bonga de Angola. Este álbum, que acompanha a Exortação pós-sinodal Africae Munus reflecte os temas da Segunda Assembleia Especial para a África do Sínodo dos Bispos (reconciliação, justiça e paz), e foi enviado a todas as Rádios Católicas africanas através dos Senhores Bispos Diocesanos aos quais a Rádio Vaticano fez chegar três cópias.

Se por acaso alguma Rádio ainda não recebeu uma cópia deste álbum, podem nos escrever (africa@vatiradio.va) para solicitá-lo. Da mesma forma, também dispomos de alguns exemplares para os nossos ouvintes que o solicitem. Mas a quantidade é muito limitada.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsável do Departamento de Promoção da Rádio Vaticano, para a região África

E-mail: africa@vatiradio.va

 
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Nos fréquences en KHz sur les Ondes courtes (Heure en Temps universel)/ Our frequencies in KHZ on Short Waves (Universal Time)/As nossas frequências e

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Anglais-Afrique/ English-Africa/Inglês-África :

8 :30 : 11625 - 13765 

19 :30 : 9660 - 15570 

22 :00 : 7360 -9670

 

Français-Afrique/French-Africa/Francês-África :

6 :30 : 9660

8 :00 : 11625 - 13765 

19 :00 : 9660 - 15570 

22 :30 : 7360 - 9670 

 

Portugais-Afrique/ Portuguese-Africa/Português-África :

7 :30 : 9660 - 11625

20 :00 : 9660 - 15570

 

Kiswahili :

5 :30 : 7360 

18 :00 : 9660 - 15570

 

NB:

Partout dans le monde, on peut suivre nos programmes à travers notre site internet www.radiovaticana.va.  De même, on peut suivre en direct les images des événements, des cérémonies du Pape sur notre Player video live dont le lien se trouve sur notre site internet.

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Please note that you can follow our programmes at all times, day and night the world over. Just go to www.radiovaticana.va. Also you can follow a live video coverage of Papal events by clicking on the video player on the website.

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Em todo o mundo é possível seguir os nossos programas através do nosso sito internet www.radiovaticana.va Do mesmo modo, se podem também seguir in directo as imagens dos acontecimentos e cerimónias do Papa  no nosso Player vídeo ao vivo, cujo link também se encontra no nosso sito internet.

 
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PROGRAMME FRANÇAIS-AFRIQUE : SUIVEZ-NOUS SUR FACEBOOK

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En plus de notre site internet, vous pouvez aussi suivre de nos nouvelles sur Facebook à l’adresse : Radio Vatican Français-Afrique. Cliquez sur "j'aime" pour interagir.

 
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Adresse utile pour Radio Vatican/Useful contact of Vatican Radio/Endereço

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P. Jean-Pierre BODJOKO, SJ

Responsable Bureau de Promotion-Afrique/Head of Africa’s Promotion Office/ Responsável

Sector de promoção-Afrique

e-mail: africa@vatiradio.va

Tel : +39.06.698.83366

 
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De vous à nous - From you to us - De vós para nós



BENIN : Le Nonce apostolique en visite pastorale à Parakou

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Mgr Brian Udaigwé, Nonce apostolique près le Bénin et le Togo a présidé, le vendredi 23 Juin 2017 au monastère Notre-Dame de l’Etoile des Bénédictines à Parakou, la messe de la Journée mondiale de prière pour la sanctification des prêtres en la solennité du Sacré-Cœur. C’était, à en croire l’ordinaire du lieu, Mgr l’archevêque Pascal N’Koué, le début d’une visite pastorale du Nonce dans l’archidiocèse de Parakou, quatre jours durant, du 23 au 26 Juin 2017. C’était également la journée habituellement retenue par Mgr N’Koué pour tenir avec l’ensemble de son clergé diocésain, le presbyterium de fin de l’année pastorale au cours duquel il procède à la publication des nouvelles affectations, à l’annonce d’envois en mission de ses  prêtres ou à la création de nouvelle paroisses ou quasi Paroisses. La visite du Nonce s’est poursuivie les autres jours par la découverte de plusieurs autres structures, institutions ou  réalités de l’archidiocèse dont  la ferme agro-pastorale de Ténonrou d’environ 600 ha, qui signifie « là où la terre est finie », un village oublié, abandonné et condamné à la misère par les autorités publiques et que l’Eglise se donne la mission de réhabiliter ; preuve que « l’Eglise s’intéresse aux pauvres » à en croire Mgr N’Koué. Ceci, sans oublier la messe de clôture du pèlerinage interdiocésain des membres du Cœur des dévots de l’immaculée conception qu’il a présidée au pied de la Vierge Marie, Notre-Dame de Komiguéa, Reine des Familles. Cette visite pastorale du Nonce à Parakou a été pour Mgr N’Koué et ses collaborateurs, une occasion de célébrer à leur tour et à leur manière les noces d’argent sacerdotales du Nonce apostolique et d’en rendre grâce avec lui au Seigneur.

Guy DOSSOU-YOVO,                                            Cotonou, pour Radio Vatican

 
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TCHAD: N’Djamena, un archidiocèse sans cathédrale

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« Je suis un archevêque sans cathédrale…pour combien de temps ? Dieu seul sait ! ». C’est ainsi que s’exprime, avec humour, l’archevêque de N’Djamena, Mgr Edmond Goethbe Djitangar, dans une Lettre adressée « aux amis et partenaires de l’archidiocèse de N’Djamena », lors de son dernier déplacement à Rome pour revoir le pallium des mains du Pape François (29 juin 2017). L’humour est pourtant accompagné de « pincement de cœur » car l’archidiocèse de N’Djamena est actuellement sans cathédrale. L’église-cathédrale est en effet en chantier depuis 2013, mais la reprise des travaux tarde, faute des moyens financiers. Voilà pourquoi Mgr Djitangar lance un appel à l’aide.

Bénie en 1965, celle qu’on appelait  alors Cathédrale Notre Dame de l’Assomption, a été atteinte par une bombe incendiaire en 1980, au cours de la guerre civile de 1979-1985 qui a ensanglanté le Tchad. l’incendie a provoqué l’écroulement de la toiture faite en charpente de bois et de tuiles. Après des efforts, la cathédrale est restaurée et dédicacée à « Notre Dame de la Paix » en 1986. « Mais les dommages  de l’incendie demandaient de travaux plus conséquents pour que toutes les structures du bâtiment soient opérationnelles et abritent les services diocésains comme auparavant. » Le gouvernement tchadien, qui s’était engagé à reconstruire les édifices détruits par la guerre, avait accepté de prendre en charge totale la reconstruction de la cathédrale à l’identique de l’originel. « Les travaux devaient coûter 7 200 000 000 frs CFA, soit environ 11 millions d'euros et durer 18 mois ». Mais avec la crise financière, due à la chute du cours du pétrole, le chantier de la cathédrale a été fermé, il y a bientôt quatre ans.

Entre-temps, les fidèles de cette juridiction prient et exercent d’autres activités paroissiales sous une Tente. Mais la Tente-Cathédrale a vieillit et le coût électrique va s’augmentant. La prise de possession canonique du siège métropolitain de N’Djamena par Mgr Djitangar en février 2016 a même été organisée dans une autre paroisse, pour des raisons de commodité.

« A quand la reprise des travaux de la Cathédrale ? » C’est la question que les fidèles adressent souvent à leur archevêque, au cours de ses visites pastorales. A son tour, Mgr Djitangar sensibilise les chrétiens, afin qu’ils apportent leur contribution. Une commission a été mise en place pour la levée des fonds auprès des communautés locales comme auprès des autres communautés religieuses du pays et des pouvoirs publics.

Mais Mgr Djitangar compte aussi sur l’Eglise universelle et sur les bonnes volontés, afin de reconstruire cet édifice religieux, car les enjeux sont grands souligne l’archevêque de N’Djamena. « De cette restauration de la cathédrale de N’Djamena, dépendra la visibilité de notre Église du Tchad, de son respect et de son enracinement dans la société  tchadienne. Son poids et son engagement pour la promotion socioculturelle des populations sont reconnus de tous. »

La réalisation de cette restauration permettra de tourner la page de guerre et d’entrer dans une dynamique de la paix, peut-on encore lire dans Lettre adressée « aux amis et partenaires de l’archidiocèse de N’Djamena », qui est accompagnée d’une fiche technique.

 

Voici l’intégralité de la Lettre de Mgr Djitangar, accompagnée de la fiche technique :

 

Lettre  Aux amis et partenaires de l'archidiocèse de N'djamena

                                Frères et sœurs bien chers dans le Christ

Je viens me présenter à vous en toute simplicité comme le nouveau pasteur de l’Eglise-Famille de Dieu qui est à N’Djamena (Tchad), successeur sur ce siège métropolitain de:

-           Mgr Paul-Pierre-Yves DALMAIS (1957-1980),

-           Mgr Charles VANDAME (1981-2003),

-           Mgr Mathias NGARTERI Mayadi (2003-2013)

Je suis Mgr DJITANGAR GOETBE Edmond, évêque de  Sarh  de 1991 à 2016. J’ai été transféré au siège métropolitain de N'Djaména le 20 août 2016. J'en ai pris possession le 15 octobre 2016. Je me trouve actuellement en Italie en attente de la célébration eucharistique  de remise du pallium, présidée par le Saint-Père le 29 juin prochain.

La prise effective du pallium se fera ultérieurement, selon les nouvelles dispositions, au cours d’une Eucharistie solennelle, dans notre Église-Cathédrale de N'Djaména. Cette célébration me donnera le même pincement de cœur que j’ai éprouvé le 15 octobre dernier, lors de la prise de possession du siège métropolitain de N'Djaména. C’est parce que notre église-cathédrale est en chantier depuis 2013. Mais un chantier suspendu pour une reprise…sine die.

Les fidèles de la paroisse-cathédrale se sont sentis humiliés et ont protesté, à raison, que la cérémonie de prise de possession ait  lieu dans une paroisse autre que la cathédrale. En effet, la tente qui sert de lieu de culte provisoire ne pouvait accueillir qu’un nombre limité de fidèles et pour cette raison, la célébration avait été organisée à la Paroisse Sacré Cœur de Chagoua...et la situation reste la même avec la réception du pallium.

Je l’ai dit avec humour à mes confrères évêques du Tchad et des pays voisins présents à la célébration : « Je suis un archevêque sans cathédrale ...pour combien de temps, Dieu seul sait ! ». Après 8 mois de présence pastorale à N’Djamena, j’ai mesuré combien cette situation est pénible pour toute notre Église diocésaine et pour tous les fidèles catholiques de passage à N’Djamena. Un petit rappel historique de cette cathédrale permettra de comprendre comment cette situation est née et s'est développée pour aboutir au point où nous en sommes.

A l’origine, on ne parlait pas encore de cathédrale puisque Fort-Lamy (aujourd’hui N’Djamena) n’était que  «  la mission centrale » d’un territoire en voie d’évangélisation. Le projet de construire une église dédiée à Notre Dame des Victoires est né en 1942, de l'initiative de quelques officiers français réunis autour du colonel LECLERC (devenu plus tard général puis maréchal de France).Ils étaient partis de Fort-Lamy avec une colonne de volontaires français et de "tirailleurs"(soldats indigènes) de l’Afrique Equatoriale Française (AEF) pour rallier la France Libre.

Après les campagnes victorieuses en Tripolitaine(Lybie), un  « Comité local pour la construction d’une église à Fort-Lamy » fut créé et sera chargé de recueillir des fonds sous forme de souscription afin de commencer les travaux de construction. Les choses vont trainer à la fin de la guerre (peut-être à cause de la mort tragique du maréchal Leclerc).

En 1951, Mgr Joseph du BOUCHET alors Préfet apostolique de Fort-Lamy, relancera le projet en l’orientant vers une future cathédrale dédiée à Notre Dame de l'Assomption. En 1958 l'archidiocèse de Fort Lamy fut érigé et le premier archevêque, Mgr Paul DALMAIS, va s’engager à fond dans la recherche des financements et portera l’œuvre à accomplissement. La cathédrale Notre Dame de l’Assomption sera  bénie le 28 mars 1965.

La guerre civile qui a ensanglanté  le pays de 1979 à 1985 va mettre la cathédrale de N’Djamena dans une position délicate. Elle se trouvait dans la ligne de démarcation des principaux groupes belligérants et constituait le lieu de croisement des tirs…Sa crypte a servi de lieu de rencontre de belligérants pour une tentative de négociation éphémère…Le 30 avril 1980, une bombe incendiaire l’atteindra et provoquera un grand incendie qui fera écrouler la toiture faite en charpente de bois et de tuiles. Ce fut une grande consternation pour toute l’Eglise du Tchad.

A la fin de la guerre civile. Mgr Charles VANDAME, nouvel archevêque de N’Djamena,  entreprendra une collecte de fonds pour une restauration de la cathédrale. Avec la contribution de l’Eglise universelle et des autres Eglises locales (les diocèses du Tchad y ont apporté leur modique contribution de 1500 dollars US), la toiture sera rabaissée, réduite de moitié et faite d’une charpente métallique et des tôles.

La cathédrale restaurée sera dédicacée à « Notre Dame de la Paix »le 6 décembre 1986. Mais les dommages  de l’incendie demandaient de travaux plus conséquents pour que toutes les structures du bâtiment soient opérationnelles et abritent les services diocésains comme auparavant. Quatre curés vont se succéder et feront de leur mieux pour qu’une vie paroissiale effective soit possible.

Quand Mgr Mathias NGARTERI, premier archevêque tchadien de N’Djamena prendra la charge de l'archidiocèse, les fidèles catholiques et le clergé de N’Djamena vont lui exprimer ouvertement leur désir de remettre la toiture de la Cathédrale comme elle était avant la guerre. Le gouvernement qui grâce à la manne pétrolière s’était engagé dans une grande œuvre de reconstruction des édifices détruits par la guerre, a accepté de prendre en charge totale, la reconstruction de la cathédrale à l’identique de l’originel. Les travaux devaient coûter 7 200 000 000 frs CFA, soit environ 11 millions d'euros et durer 18 mois.

Le chantier est confié aux groupements des entreprises SOGEA-SATOM et les travaux ont effectivement démarré le 22 juillet 2013. Pour permettre la réalisation de l'ouvrage qui avait et  devait durer, les paroissiens de la cathédrale ont emménagé sous une grande Tente dressée non loin de là pour continuer provisoirement  leurs activités pastorales ordinaires. Mais avec la crise financière due  à la chute du prix du baril de pétrole, le chantier de la cathédrale fut un des tout premiers à fermer…quelques mois après son démarrage…il y a bientôt quatre ans.

La Tente-cathédrale a vieilli et a toujours plus besoin d'énergie électrique pour y maintenir un peu de fraîcheur et permettre des célébrations liturgiques (en 2015 les frais d'électricité  sont montés à 30.534 euros). Le remplacement de la tente et le renouvellement des générateurs d’électricité sont nécessaires mais leurs coûts  sont élevés. Mais engager de telles dépenses ne prolongera-t-il pas cette situation de précarité de notre Eglise du Tchad à travers le plus fort symbole de la présence chrétienne dans la capitale tchadienne ?

Nous comprenons que l’Etat tchadien, malgré sa bienveillance envers  l’Eglise catholique n’est pas près de sortir de la crise financière actuelle. Les mesures pour la juguler restent vaines parce que les causes de la banqueroute sont connues et aucune mesure appropriée n’a été prise et appliquée. A ma prise de possession du siège métropolitain, tous les regards étaient tournés vers l'archevêque pour prendre position dans cette situation. Une grève générale aux conséquences sociales très dure paralysait le pays depuis un mois et a duré jusqu’en décembre 2016.

La Conférence Episcopale du Tchad (CET) a, dans son traditionnel Message de Noel inviter les différents protagonistes sociopolitiques à un sursaut national pour engager un vrai dialogue social. Mais la tentation de violence reste permanente et la méfiance générale. Nos messages restent des cris dans le désert.

Dans mes rencontres et visites pastorales de ces huit mois de ministère épiscopal à N’Djamena, la question qui revenait toujours était: ”A quand la reprise des travaux du chantier de la Cathédrale?" Pour beaucoup, il fallait trouver les moyens de faire pression sur le gouvernement pour qu'il tienne sa promesse. Mais la réalité est, et nous le comprenons, que ce chantier n'est pas sa première préoccupation actuelle.

Nous avons commencé à  expliquer aux différentes communautés que ce n'est pas à l'Etat de nous construire une cathédrale puisque nous sommes dans un Etat laïc. Mais l’Etat, par bienveillance ou par devoir de réparation (dommage de guerre) a pris sur lui de nous aider à réhabiliter notre cathédrale. Nous ne pouvons pas rester les bras croisés pour attendre une fin de chantier hypothétique.

Nous devons nous-mêmes nous organiser, avec l'aide de tous nos frères et sœurs catholiques du monde entier, pour poursuivre ce projet qui a été élaboré par nous, comptant d’abord sur nous et sur l’Eglise universelle. L’Etat était initialement prévu comme un des donateurs principaux pour y apporter sa contribution comme ce fut le cas de la première cathédrale. C’est en substance l’objet principal du message de Pâques que j'ai adressé aux fidèles de l'archidiocèse de N'Djaména.

Par un Acte, nous avons mis en place une commission chargée d’étudier les modalités concrètes de levée  des fonds auprès des communautés chrétiennes locales, des chrétiens tchadiens de l'extérieur, des autres communautés religieuses du pays et des pouvoirs publics. L'archevêque se donne la charge de toucher à travers les institutions romaines, toutes les Églises d'Europe,  d'Amérique, d'Asie et d'Afrique ainsi que les organismes de l'Eglise universelle,  susceptibles de nous aider  à reconstruire notre église-cathédrale.

Nous ne voulons pas remettre en question la contribution de l’Etat dans le projet et nous n’avons pas la prétention de le remplacer au niveau de l’apport financier, mais nous voulons tendre la perche pour que  le culte et les activités pastorales autour de la cathédrale reprennent leur cours rapidement. La reprise du chantier du projet sous une forme ou une autre ou une autre apaiserait le cœur des fidèles catholiques. Les aspects techniques et juridiques de la question seront discutés avec les partenaires impliqués dans le projet.

Les enjeux sont grands.

De cette restauration de la cathédrale de N’Djamena, dépendra la visibilité de notre Église du Tchad, de son respect et de son enracinement dans la société  tchadienne. Son poids et son engagement pour la promotion socioculturelle des populations sont reconnus de tous. Nous avons encore  l’ambition de faire plus et nous ne pouvons pas nous arrêter en si bon chemin.

L'histoire de cette cathédrale est un peu le reflet de l'histoire de notre pays, de son évolution sociale et culturelle. L’architecture de la cathédrale initiale avait  intégré de manière très heureuse à la modernité, le style de construction des cases en obus des Massa et des Mousgoum du sud-ouest car le Tchad est un carrefour de nations, de cultures et de religions.

La Cathédrale  et la Mosquée Malik Fayçal, à peu de distance l’une de l’autre, ont été pendant longtemps et devront continuer d’être, le symbole d'un Etat laïc où toutes les religions peuvent librement s'exprimer et vivre dans la cohabitation pacifique. Bien plus, la « Plate-forme des leaders religieux »institution d’Etat reste un cadre favorable de développement des bons rapports et de dialogue entre les fidèles de différentes confessions religieuses, pour une meilleure cohabitation pacifique des citoyens.

Les noms successivement donnés  à cette église devenue cathédrale montrent le parcours historique de l'Eglise catholique au Tchad. Elle est passée de "Notre Dame des victoires" (l'état de belligérance) à " Notre Dame de l'Assomption" (couronnement de l'évangélisation du pays) à "Notre Dame de la paix", hautement significative dans une région troublée par des conflits sanglants. La façade principale de ce qu’on voit de la Cathédrale aujourd’hui fait penser à deux mains qui se joignent pour implorer du ciel, la paix sur le Tchad.

Si ce projet de restauration se réalisait, nous aurons tourné à jamais la page des souvenirs douloureux de la guerre et nous entrerions véritablement dans la dynamique de la paix en la consolidant par les ferventes prières qui monteront de ce lieu de culte vers le Seigneur, par l’intercession de la Sainte Vierge Marie, sa Mère et notre Mère.

Cette petite présentation de notre projet accompagne un dossier plus technique qui sera soumis à l’appréciation de nos amis et partenaires pour que chacun s'imprègne de la nécessité de cette restauration de la Cathédrale Notre Dame de la Paix de N’Djamena, de l'immensité de la tâche qui nous attend et de l’incapacité de notre Eglise à réaliser ce projet toute seule.

                        Comment pensons-nous procéder

1.         Faire connaître cette situation et ce projet à nos supérieurs hiérarchiques et mettre à leur disposition les informations nécessaires pour nous aider à toucher  tous nos frères et sœurs de l’Eglise universelle, susceptibles de nous aider à avancer dans le projet.

2.         Créer un Comité local de réflexion et de suivi pour mettre en route un mécanisme de recueil de fonds auprès des communautés chrétiennes, des autres communautés religieuses et des personnes de bonne volonté, pour contribuer à la réalisation du projet.

3.         Créer dans la Diaspora tchadienne un Comité des tchadiens, des Anciens et Amis du Tchad dans chaque pays pour établir des réseaux de solidarité autour du projet.

4.         Entrer en négociations avec l’Etat pour la reprise des travaux de réhabilitation de la Cathédrale Notre Dame de la Paix en proposant notre contribution, fruit de ce que nous aurons récolté.

Ce qui nous tient à cœur c'est de reprendre possession de notre projet de redonner à cette cathédrale sa valeur de  symbole de la  foi des fidèles catholiques du Tchad : elle a été et restera  un signe de partage et de communion avec les frères et sœurs l'Église universelle et avec toutes les personnes de bonne volonté qui nous  aiderons pour sa réalisation. Nous n'avons pas de délais de temps...mais l’urgence du témoignage de la présence chrétienne au Tchad nous presse.

Que le Seigneur bénisse ce projet et tous ceux et celle qui vont contribuer à le réaliser et que Notre Dame de la Paix nous tienne tous unis les uns aux autres sous sa protection maternelle.

+ DJITANGAR Goetbé Edmond    

 Archevêque métropolitain de N’Djamena (Tchad)

 
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Zambia: Diocese launches Catholic Bible in local languages

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Zambia’s Diocese of Solwezi Bishop, Charles Kasonde, this week presided over Holy Mass to launch and commission the locally translated Catholic Bible in three local languages namely, Kaonde, Lunda and Luvale. The three languages are widely spoken in the Diocese of Solwezi.

Speaking in a homily at St. Daniel’s Cathedral Parish, Bishop Kasonde said that Christians need to deepen their knowledge and assimilation of the Word of God by making it the basis of their Christian lives.

Before delivering the homily, the Bishop presented Bibles to six senior citizens present in the congregation (three men and three women). He then gave Bibles to two of the youngest babies who were in the Cathedral. This was a symbolic gesture of the Word of God passing from one one generation to another.

“Before the homily, I would want to perform a ritual of two generations as we receive the Word of God,” Bishop Kasonde said. “I want to connect the two generations of people who helped to plant Ekklesia (the Church) and the younger generation who are growing and who are going to continue to carry out the work of planting Ekklesia...all these I am going to give a Bible each,” explained the Bishop amid applause from the congregation. Bishop Kasonde pointed out that since 1959, the Church in Solwezi has been using the Protestant Bible for its pastoral and liturgical needs.

Earlier in the week, the Bishop had witnessed the offloading of the Bibles from a truck driven by a Muslim man who drove over 2,000 Kilometres to make the delivery.

The Bishop, in particular, expressed appreciation to the Overseas Bible Outreach; the people of South Korea and the Bible Society of Zambia for their invaluable assistance. The translations were carried out by the Solwezi Diocese Pastoral and Liturgical Commissions. The Bishop thanked members of these Commissions for the long hours they put into the work of translation.

“Worth mentioning also is the magnanimous cooperation of the Bible Society of Zambia who allowed us to use their text for the realisation of the Catholic translation of the Word of God,” the Solwezi Bishop said in his acknowledgement note.

Bishop Kasonde said there was the need to be grateful to God and the Korean people for enabling the Diocese reach the stage of having the Word of God translated into the local languages.

“I would like to express and pay tribute of thanks to the Overseas Bible Outreach for funding the printing cost of these Bibles. We will commit ourselves to pray for the success of its apostolate. I am particularly grateful to the Archbishop of Seoul, His Eminence Andrew Cardinal Yeom Soo Jung, Rev. Fr. Francis Lee and the Catholic Publishing House of South Korea for their contribution to facilitate the printing of these Bibles in Kaonde, Lunda and Luvale. May God bless and reward you for the work you are doing: Bringing the Word of God closer to the people,“ the Solwezi Ordinary said.

The Catholic Bible contains additional books and some additions. It has a total of 73 books, 46 in the Old Testament while the Protestant Bible has 39 books in the Old Testament. Both the Catholic and Protestant Bible have 27 books in the New Testament.

The additional books in the Catholic Bible are known as the Deuterocanonical/Apocrypha books. These are Tobit, Judith, 1 Maccabees, 2 Maccabees, Wisdom, Sirach (Ecclesiasticus), and Baruch. The Catholic Bible also includes additions to the books of Esther and Daniel.

Wilbroad MUSONDA,                                  in Solwezi

Email: engafrica@vatiradio.va

 
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Célébration de la solennité des saints Apôtres Pierre et au Paul au Burkina Faso

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En communion avec l’Eglise universelle répandue dans tout l’univers, l’Eglise Famille de Dieu qui est au Burkina Faso, a célébré la solennité des saints Pierre et Paul en l’église Cathédrale de Ouagadougou aux intentions du Saint Père, le Pape François. C’est le Nonce Apostolique au Burkina – Niger, Mgr Piergiorgio Bertoldi, qui a présidé cette Eucharistie, concélébrée par cinq évêques dont l’archevêque de Koupèla, Mgr Séraphin Rouamba qui en a assuré la prédication. Après avoir relevé que Pierre et Paul s’opposent sur beaucoup d’aspects de leurs vies, il a fait remarquer qu’ils se retrouvent pour l’essentiel : la foi en Jésus-Christ. En terminant son homélie, l’archevêque de Koupèla a demandé au Nonce Apostolique de bien vouloir traduire au Saint Père François, l’amour et la communion de prière de l’Eglise Famille de Dieu au Burkina-Niger, à son en son endroit.

Au terme de l’Eucharistie qui fut belle et priante, le Nonce Apostolique s’est adressé à l’Assemblée des fidèles dans laquelle on pouvait compter  le chef de l’Etat lui-même, M. Roch Marc Kabore ainsi que de nombreux diplomates en poste au Burkina Faso. Mgr Piergiorgio Bertoldi a expliqué le sens de cette célébration en ces termes : « Ce soir on était en train de prier, de remercier Dieu pour le Pape. Moi je suis l’ambassadeur du Saint Siège. Dans toutes les ambassades on célèbre ce jour-là. »

Dans le cas de figure du Burkina Faso, l’ambassadeur du Saint Siège auprès du Burkina Faso et du Niger a apprécié la collaboration entre l’Eglise et « le pays des Hommes intègres » : « Dans un contexte comme celui du Burkina, on a plusieurs raisons pour remercier. Pas tout simplement remercier l’Eglise Catholique en elle-même, ses pasteurs et ses fidèles, mais aussi remercier le peuple Burkinabè avec tous ses représentants, les autres confessions religieuses, les musulmans notamment, les autorités coutumières et bien entendu, l’Etat. La collaboration entre les différentes réalités est une collaboration extrêmement positive tout à fait en faveur du peuple Burkinabè ».

Paul DAH,                              Ouagadougou pour Radio Vatican

 
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QUÉNIA. Empenho da Igreja com refugiados somalis no campo Dadaab

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Perseguidos em casa e indesejados no Quénia: esta é a dramática situação dos refugiados somalis de fé muçulmana no campo de refugiados de Dadaab, na região de Garissa, nordeste do Quénia. Mais de 245 mil pessoas que fugiram de perseguições e violência no seu País de origem deverão até ao fim do ano abandonar o campo de refugiados. As autoridades quenianas, de facto, decidiram libertar a área e repatriar todos os refugiados.

Bispo de Garissa: situação trágica e inaceitável

Segundo o Bispo de Garissa e presidente da Comissão Episcopal para os Migrantes, Dom Joseph Alessandro, esta é uma situação trágica e inaceitável. "São pessoas que fugiram da violência por parte  de grupos extremistas, e agora terão de abandonar o campo para regressar à Somália. Eles são refugiados e como tais devem ser tratados. Na verdade – recordou o prelado – eles devem ser aceites e apoiados”.

Acampamentos improvisados para os Somalis expulsos

Para enfrentar a decisão do governo queniano, as autoridades somalis improvisaram, no estado meridional de Jubaland, que faz fronteira com o Quénia, acampamentos improvisados para acomodar os somalis expulsos. Trata-se, no entanto, precisamente de alojamentos precários: pouco ou nenhum acesso à saúde, educação e abastecimento de água potável, e serviços higiénicos limitados. A decisão do Quénia de repatriar na Somália os refugiados está ligada à aproximação das eleições administrativas e presidenciais marcadas para o próximo dia 8 de agosto, num clima de retórica anti-refugiados alimentada pelos temores em relação ao grupo extremista somali al-Shabaab.

O apoio da Igreja local aos refugiados

O Bispo Alessandro teme por aqueles que voluntariamente vão aceitar de regressar a casa. E recordou que, recentemente, uma família de refugiados regressada a Somália, perdeu quatro filhos antes de fugir novamente para voltar ao campo de Dadaab. O bispo, juntamente com algumas organizações católicas, está fazendo todo o possível para ajudar estas pessoas. Também o Administrador Apostólico de Djibouti, Dom Giorgio Bertin, está empenhado com a Caritas local para dar apoio aos refugiados. "Eu tenho ajudado muitas pessoas - disse Dom Bertin - a regressar à Somália partindo de Djibouti. Temos fornecido comida e cuidados médicos, mas ainda não é suficiente. A situação no sul da Somália é difícil". Entretanto, as instituições de caridade católicas continuam a ocupar-se da educação e apoio psicológico e espiritual. O Bispo Alessandro garantiu que os refugiados não serão abandonados.

P. Bernardo SUATE,                         Rádio Vaticano/ Redação Portuguesa

 
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RD CONGO : Mgr Joseph Moko : « Il faut aussi parler de belles réalités du pays »

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L’Eglise de la RDC a célébré la 51ème Journée mondiale des communications sociales le dimanche 2 juillet. Dans l’archidiocèse de Kinshasa, Mgr Jean-Pierre Kwambamba, évêque auxiliaire chargé des communications sociales, a présidé une eucharistie dans l’église Notre-Dame de Fatima de Kinshasa-Gombe. Y ont participé : des membres de la commission diocésaine des communications sociales, des responsables des médias catholiques et des membres de l’association des coopérateurs pauliniens, fondée voilà cent ans par le bienheureux Jacques Alberione, fondateur aussi de congrégations religieuses dédiées à l’apostolat par les moyens de communication sociale.

Et sur le Message du Saint-Père pour la 51ème Journée mondiale des communications sociales, Mgr Joseph Moko, évêque du diocèse d’Idiofa, a proposé un commentaire en commençant par revenir sur le texte biblique que le pape donne comme titre à son Message : « Ne crains pas, car je suis avec toi. » C’est déjà un message d’assurance du Seigneur, a dit Mgr Moko en relevant que le sous-titre du Message du Saint-Père est donc une vraie interpellation : « Communiquer l’espérance et la confiance en notre temps. »

Pour Mgr Moko, il y a trop de mauvaises nouvelles sur la RDC, et qui découragent. Mais on ne peut pas tricher avec la réalité si difficile à vivre. Comme évêque du milieu rural, l’évêque d’Idiofa reconnaît qu’il y a beaucoup de belles choses dans le pays et ses habitants, qui travaillent en associations pour éloigner la misère, par exemple. Et quand la Conférence épiscopale dénonce, ce n’est pas sans reconnaître les belles choses qui se font !

Il faut donc, selon Mgr Moko, parler du Congo autrement, en donner aussi de bonnes nouvelles. La Commission épiscopale des communications sociales travaillera aussi à redorer l’image du pays, à donner la belle image qui correspond à des réalités belles du pays, de sorte que les acteurs sociaux puissent s’identifier à cette belle image.

P. Jean Baptiste MALENGE KALUNZU,OMI,                            Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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ANGOLA. Reconciliação nacional entre os desafios do 1° Congresso Eucarístico Nacional

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Onze dias depois do encerramento do primeiro congresso eucarístico nacional que decorreu na cidade do Huambo de 12 a 18 de Junho, o desafio dos fiéis católicos em Angola agora passa a ser a materialização de todos os assuntos analisados durante o congresso dominado, essencialmente por «convívio, catequeses, celebrações e partilha» à luz do episódio evangélico dos dois discípulos a caminho de Emaús na companhia de Jesus Ressuscitado.

«Um Congresso para um tempo novo»: assim se intitulou a homilia do Cardeal Patriarca de Lisboa, D. Manuel Clemente que presidiu à Eucaristia conclusiva do I Congresso Eucarístico Nacional de Angola.

O Cardeal foi o Enviado Especial do Santo Padre ao Congresso

E o presidente da Conferência Episcopal de Angola e são Tomé Dom Filomeno do Nascimento Vieira Dias disse que chegou a altura do cristão católico angolano colocar de parte as acções que o coloquem longe da Eucaristia.

Para além da Eucaristia o processo de reconciliação nacional marcou igualmente o Primeiro Congresso Eucarístico. Angola viveu um período longo de guerra civil (1975 – 2002), agora está num processo de reconstrução material e também espiritual, Encarnação Pimenta psicóloga e uma das prelectoras do Congresso disse ser importante neste processo de reconciliação valorizar aqueles que verdadeiramente contribuíram para a paz em Angola.

Anastácio SASEMBELE,                                Luanda, para a Rádio Vaticano

 
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TOGO : l’Association Catholique des Veuves et Orphelins célèbre son 20ème anniversaire

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La paroisse Sacré-Cœur de Jésus de Yadè, dans le diocèse de Kara, a servi de cadre à l’Association Catholique pour la Veuve et l’Orphelin (ACVO) de célébrer, le samedi 01 juillet 2017,  les 20 ans de son existence au Togo. Venues des diocèses de Lomé, de Sokodé et de Kara, plus de 150 femmes veuves se sont retrouvées à Yadé pour faire une évaluation de leurs activités, pour exposer leurs produits, rappeler leurs objectifs, motiver d’autres veuves à adhérer à leur mouvement et    inviter des bonnes volontés à les soutenir.

La messe d’action de grâce et d’ouverture des travaux a été présidée par le Père Patrice Limdeyou, curé de la paroisse hôte. Dans son homélie, il a exhorté les membres de AVCO à travailler comme des témoins de l’Evangile à l’instar des Apôtres afin que Dieu bénisse leurs activités.

L’Association Catholique pour la Veuve et l’Orphelin, encore appelée ACVO-Excellence Vie, a été créée le 07 juin 1997 au Togo par une veuve qui, à la suite du décès de son mari, a cherché à reconstruire sa vie en solidarité avec d’autres femmes qui vivaient la même situation.

P. Gustave WANME,                                   Lomé, pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : le diocèse de Kabinda lance une campagne pour les manifestations pacifiques

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A l’instar des autres diocèses de la RDC, Mgr Valentin Masengo Nkinda, évêque de Kabinda, a lancé officiellement le dimanche 2 Juillet 2017 la campagne pour les manifestations pacifiques.

Pendant tout ce temps, l’Eglise catholique de Kabinda, par le truchement de la commission diocésaine justice et paix, va bel et bien mobiliser la population pour réclamer le respect de l’Accord de la Saint Sylvestre et l’organisation des élections au plus tard le 31 décembre 2017 en République Démocratique du Congo.

Cette campagne de sensibilisation pour les manifestations pacifiques concerne toutes les 28 paroisses catholiques du diocèse de Kabinda installées dans les provinces de Lomami et Sankuru», a annoncé Mgr Masengo dans un point de presse tenu à l’Evêché de Lutembo.

L’évêque compte bien déployer ses envoyés partout dans les villes et villages de son diocèse pour passer le message. Le pays va très mal. Mettons-nous debout pour bâtir un pays plus beau que celui d’aujourd’hui. En cette période préélectorale nous avons le devoir sacré de nous approprier les lois qui règlementent notre vivre ensemble, notamment l’Accord de la Saint-Sylvestre, l’unique feuille de route, solidement fondé sur la Constitution de la République, dont il faut exiger le respect et la mise en application intégrale par les signataires», a expliqué Maitre Prince Kapenga, président diocésain de la commission justice et paix.

L’Eglise locale encourage la poursuite de l’éducation civique et électorale ainsi qu’un engagement actif et pacifique de tous afin d’éradiquer les causes profondes des souffrances des peuples congolais.

Johnny KASONGO,  de Radio Veritas/ Kabinda

 
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Les ordinations du 24 et 25 juin 2017 au Congo Brazzaville

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Les 24 et 25 ans juin pouvait être qualifié de week-end d’ordinations, dans l’Église famille de  Dieu  au  Congo-Brazzaville, précisément dans les diocèses d’Owando, Dolisie et  Ouesso.

Le Samedi 24 juin 2017, en la solennité de la nativité de Saint Jean Baptiste, les évêques d’Owando et de  Dolisie ont conféré dans leur diocèse respectif les ordinations diaconales et presbytérales.

 A Owando, deux  (2) diacres et six (6) prêtres ont été ordonnés des mains de Mgr Victor Abagna Mossa, l’ordinaire du lieu.

A ces ordinations qui ont eu lieu à la place Mariale de la Cathédrale  Christ Roi de l’Univers, on a  noté  la présence du Nonce Apostolique au Congo et au Gabon, Mgr Francisco Escallente Molina, de l’évêque de Gamboma, Mgr Urbain Ngassongo et du secrétaire Général de la conférence des  évêques du Congo, l’Abbé Brice Armand Ibombo, sans oublier les fidèles qui ont répondu  massivement à ce rendez-vous unique de l’année.

Dans son adresse aux ordinands, le vice-président de  la Conférence Episcopale du Congo, a  parlé «  du  service, de  l’annonce de l’évangile et du respect ». 

L’après-midi  du même samedi, le  diocèse de Dolisie a pris le relais : Mgr Bienvenu Manamika, évêque dudit  diocèse, a conféré les ordinations à un (1) diacre et six (6) prêtres parmi lesquels , Lewis Moundanga de la congrégation des fils de la charité ; en  présence des vicaires généraux des diocèses de Pointe Noire, de Nkayi, et du supérieur général des  fils  de la charité.

Uune quarantaine des  prêtes venus de plusieurs horizons et de 15.525 fidèles environs ont investi  la place Mariale de la Cathédrale Saint Paul.

Dans  son  exhortation l’ordinaire de Dolisie a appelé les nouveaux Ministres de  Dieu à imiter le Christ, prêtre par excellence.

Le diocèse de Ouesso a clôturé  la liste des ordinations  du  week-end. Le  dimanche 25 juin  2017, douzième dimanche du  temps ordinaire de l’année A, en église Saint Michel de Pokola,

Mgr Yves  Marie Monot, évêque de Ouesso, a  partagé sa joie avec le Nonce  Apostolique  accompagné de  Mgr Victor  Abagna  Mossa, de Mgr Urbain  Ngassongo  et  du  secrétaire général  de la  conférence  épiscopale du Congo.

Trois (3)  grands  séminaristes ont reçu le diaconat transitoire des mains de Mgr Francisco  Escalente Molina.

Dans son homélie, le Nonce  a exhorté  le  peuple de Dieu à la pratique des œuvres  de miséricorde   à la fois corporelles et spirituelles, à beaucoup prier pour les prêtres.                                                                

Vous  serez  ordonné  diacres pour le service de la parole de Dieu et des  pauvres.

Ne  soyez  pas  des  serviteurs qui ne servent qu’une catégorie de personnes  en  vue du  profit.

Votre  élévation de ce  jour  ne  vous permet pas d’être  des diacres fonctionnaires de l’Église. Ne pensez pas à la carrière, pensez avant tout au service, à la mission que l’Eglise vous donne », a-t-il  ajouté.

Cette  célébration a connu une présence remarquable des prêtres et fidèles venus de toutes les paroisses du diocèse et d’ailleurs. 

 Séverin  MOUCE,                            Brazzaville, pour Radio Vatican

 
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BURKINA FASO : Ordinations sacerdotales à Ouagadougou

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Bien que présent avec son auxiliaire, Mgr Léopold Ouédraogo, le Cardinal Philippe Ouédraogo, archevêque de Ouagadougou, a cependant délégué au Nonce Apostolique au Burkina Faso et au Niger, Mgr Piergiorgio Bertoldi, le pouvoir d’ordonner prêtres, sept diacres dans la cathédrale de l’Immaculée Conception, le samedi 1er juillet 2017.

Des sept ordonnés, deux le sont au compte de l’archidiocèse de Ouagadougou, trois pour l’Ordre des Serviteurs des Malades (Les Camilliens), un pour la Congrégation des Fils de Marie Immaculée et un pour la Petite Œuvre de la Divine Providence (Don Orione). En plus des trois évêques, on notait la présence de l’évêque émérite de Ouagadougou, Mgr Jean Marie Compaore, celle de près de trois cents prêtres, de parents et amis des ordinands en nombre tel qu’une grande partie de l’assemblée a dû suivre la messe dehors. Malgré tout, ce fut une liturgie d’ordination très belle et vraiment priante.

Ce même samedi 1er juillet était jour d’ordination presbytérale dans certains autres diocèses du Burkina tels, Bobo-Dioulasso, Dori, Kaya, Koupèla, Nouna. Des ordinations dans d’autres diocèses du Burkina Faso doivent suivre dans les prochains jours.

Paul DAH,                             de Ouagadougou pour Radio Vatican

 
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TCHAD : Fin de l’année académique au Centre Cornelia Cornelly

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38 lauréates de la 17ème promotion du Centre de Formation Féminin Cornelia Cornelly des Sœurs du Saint Enfant Jésus ont reçu leur parchemin le vendredi 30 juin 2017 au cours d’une célébration eucharistique présidée par Mgr Alphonse Karamba, Vicaire Général de l’Archidiocèse de N’Djaména en présence des parents, amis, religieuses, religieux et autorités administratives.

Cette 17ème promotion a ainsi tenu rendre grâce à Dieu pour les merveilles manifestées durant ce temps de formation.

Ouvert en 1995 et reconnu en 2001, le centre a formé en 17 ans plus de 1 500 jeunes filles et filles mères qui sont aujourd’hui en activité un peu partout. Le centre forme en 2 ans dans les domaines de la couture, de restauration et de l’hôtellerie puis dispense les cours en anglais, en français, en informatique et en alphabétisation.

Les filles formées dans ce centre sont issues de différentes confessions religieuses et même celles qui n’appartiennent à aucune confession sont admises pour la formation.

Dans son homélie, Mgr Alphonse Karamba a invité les récipiendaires à compter sur Dieu pour la suite de leur vie professionnelle. « Si nous avons le Christ avec nous, nous pouvons aller plus loin. Si le Christ nous a purifié, nous pouvons créer notre entreprise sans problème. Il suffit de lui faire confiance et la communauté humaine nous reconnaîtra », a dit le Vicaire Général de N’Djamena. La Directrice du centre, la Sœur Pauline Umeh a demandé aux lauréates d’ouvrir déjà leur ateliers de couture et restaurants, de faire la fierté de leurs parents et de tous ceux qui ont contribué à leur formation.

Mahamout Moussa, Directeur Général de l’administration du travail au ministère de la fonction publique, de l’emploi et du dialogue social a signifié que la remise de ce diplôme marque la fin d’une formation mais exige aux récipiendaires de se lancer dans la vie active.

La visite des expositions des ateliers de couture et de restaurant du centre ont mis un terme à cette cérémonie.

Edouard TAKADJI,                          N’Djaména pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : Premiers vœux chez les Filles de Saint Paul

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Dans l’archidiocèse de Kinshasa, la famille paulinienne a célébré son patron, l’apôtre saint Paul, le vendredi 30 juin. Le père Patrick Nshole, de la Société missionnaire Saint Paul, l’a expliqué lors de la messe présidée dans la cour de la communauté des Filles de Saint Paul sur la dixième rue à Kinshasa-Limete. Paul est le vrai fondateur de la famille paulinienne, d’après le bienheureux Jacques Alberione, qui a fondé la dizaine de congrégations et instituts dont certains sont présents en RDC.

Le père Patrick Nshole a particulièrement recommandé l’exemple de saint Paul à deux novices des Filles de saint Paul. Après le noviciat à Nairobi, au Kenya, elles sont venues prononcer leurs premiers vœux de religion à Kinshasa. Ce sont les sœurs Francine Nkokanga et Ghislaine Masika.

La supérieure déléguée des Filles de saint Paul en RDC et en Côte d’Ivoire, sœur Godelieve Mastaki Ngalula, a reçu ces vœux au nom de la supérieure générale, sœur Anna Maria Parenzan.

Sœur Mastaki a fait remarquer à l’assemblée qu’à Nairobi, à la même heure qu’à Kinshasa, huit autres jeunes Africaines ont prononcé leurs premiers vœux comme Filles de saint Paul. L’Afrique est bénie, a-t-elle commenté.

P. Jean Baptiste MALENGE KALUNZU,OMI,                            Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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BURKINA FASO : Admission et Prise de soutane au Grand Séminaire de Kossoghin

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C’est ce mercredi 28 juin 2017 que s’est déroulé le rite d’admissio et de la prise de soutane au Grand Séminaire Saint Pierre-Saint Paul de Kossoghin à Ouagadougou. Ce rite par lequel l’Eglise reconnait officiellement les séminaristes comme candidats au sacerdoce ministériel, a concerné 61 grands séminaristes de la 3ème année de philosophie. La cérémonie était présidée par Mgr Laurent Dabiré, évêque de Dori, en présence de nombreux prêtres concélébrants et des parents et amis des élus du jour.

Une moitié de ces jeunes poursuivra la formation théologique au Grand Séminaire Saint Jean-Baptiste à Ouagadougou et l’autre au Grand Séminaire Saint Pierre Claver de Koumi à Bobo-Dioulasso. Un séminariste bénéficiera de la suite de la formation théologique au Grand Séminaire Saint Augustin de Samaya, au Mali.

Cette promotion est la deuxième à avoir suivi la effectué du cycle philosophique jusqu’à la licence, avant le rite de l’admissio et de la prise de soutane. Pour cette année académique 2016-2017, le Grand Séminaire comptait 235 séminaristes résidents, puisque le Séminaire, affilié à l’université saint Thomas d’Aquin (USTA), accueille pour les cours de  philosophie des étudiants externes.

Paul DAH,                              Ouagadougou pour Radio Vatican

 
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MOÇAMBIQUE. CPLP lança Confederação empresarial em Maputo

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A Confederação Empresarial da Comunidade de Países da Língua Portuguesa (CPLP) lançou na passada sexta-feira em Maputo, a primeira Conferência Económica do mercado desta organização intercontinental. O evento será realizado na segunda quinzena de Outubro do corrente ano, na capital moçambicana, onde as empresas da CPLP terão a oportunidade de partilhar as suas ideias, prioridades, que vão permitir a criação do “novo mercado da CPLP”.

Falando à margem do evento, o presidente da Confederação Empresarial da CPLP, o moçambicano Salimo Abdula, disse que o empresariado está apostado em transformar a CPLP de uma organização política para uma instituição mais virada para assuntos económicos. Segundo Abdula, para se atingir o desiderato urge melhorar a mobilidade de pessoas e bens dentro da comunidade.

“Está sendo discutida o centro de arbitragem, conciliação e mediação da CPLP, que é uma forma de podermos ajudar a conciliar aquilo que são conflitos comerciais entre as empresas que estão a investir no espaço da CPLP”, disse. Explicou que a organização carece de um regimento único, instrumento que vai criar facilidades de negócio entre os seus membros. Sublinhou que o regimento também deverá estabelecer a língua portuguesa como padrão nos negócios.

“Não faz sentido que, muitas vezes, para mantermos contratos internacionais tenhamos que obedecer a legislação de outras comunidades”, criticou. Temas como reconhecimento de profissões dentro da CPLP, Constituição de empresas de capital estrangeiro, Ligações aéreas e marítimas serão discutidos durante a primeira conferência económica do mercado CPLP. Aliás, no final da conferência, os membros da CPLP deverão adoptar um Tratado de Maputo, que vai estabelecer medidas concretas para a materialização do projecto.

Herminio José,                                   Maputo, para a Rádio Vaticano

 
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Nigerian parents condemn Sex Education textbook

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Nigerian parents are up in arms against a Nigerian Social Studies textbook used for learners in the first year of Junior Secondary School (JSS 1). According to the parents represented by the  Association of Concerned Mothers (ASCOM), the Comprehensive Sexuality Education (CSE) being offered to their children, in school, is nothing but the promotion of an “unwholesome and dangerous ideology.”

“Research has clearly shown that CSE is one of the most insidious attacks on the safety, health and innocence of our children. CSE claims to have an evidence-informed approach to effective sex, relationships and HIV/STI education. However, this ideology, which is already in use in government schools and some private schools in our country, promotes such things as abortion, homosexuality, masturbation and other controversial sexual ideologies to our children as young as eight years,” says Ngozi Agu and Chinelo Ujubuoñu of  ASCOM.

Parents find particularly offensive page 50 of the book authored by S. O. Omotuyole. They claim the textbook sexualizes children. The Association has written to the Federal Minister of Education to withdraw the book. They are also unhappy with the Gender education in the Nigerian school curriculum.

Education in Nigeria is overseen by the Ministry of Education. Local authorities take responsibility for implementing the policy for state-controlled public education and state schools at a regional level.  Students spend six years in Secondary School, that is three years of Junior Secondary School (JSS).

The Association of Concerned Mothers (ASCOM) is a registered NGO promoting family values and creating awareness of the rights and duties of parents in Nigeria. The Association also carries out activities focusing on the family and the moral education of children.

(Email: engafrica@vatiradio.va)

 
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CABO VERDE. Governo anuncia criação de novas representações diplomáticas

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Representantes das Missões Diplomáticas e das Organizações Internacionais acreditadas em Cabo Verde estiveram reunidas com o Primeiro Ministro.

Ulisses Correia e Silva, já fez saber que foi uma oportunidade para o executivo agradecer todo o empenho que esses parceiros têm  feito para ajudar Cabo Verde no seu desenvolvimento. Fez saber ainda que o Governo está engajado na mudança do perfil da economia cabo-verdiana. Uma das principais medidas asseguradas pelo chefe do Governo é reforçar a cooperação com outros países e a abertura de novas representações diplomáticas no país.

Da parte do Corpo Diplomático o Decano e Embaixador da Rússia, Boris Kurdyumov, garantiu que Cabo Verde terá todo o apoio na realização desse evento.

O  IV Fórum Mundial de Desenvolvimento Económico e Local, cujo País anfitrião é Cabo Verde, está marcado para 17 a 20 de Outubro, na Cidade da Praia, e se prevê uma participação de cerca de dois mil participantes entre convidados nacionais e estrangeiros.

Rádio Nova, para a Rádio Vaticano

 
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CAMARÕES. Multinacional obrigada a compensar empresário local

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Depois de uma disputa com duração de 15 anos, uma notável empresa multinacional do sector alimentar foi condenada nos Camarões por concorrência desleal a pagar 15 milhões de dólares a um empresário local produtor de leite para crianças. Na década de 90 a empresa colocou no mercado um produto mais barato: um movimento que pôs em crise a empresa local. Mais tarde, verificou-se que o leite era composto também por gorduras vegetais. Daí a condenação por concorrência desleal e fraude comercial. Um exemplo, este, de como muitas vezes o mundo desenvolvido se relaciona com a realidade africano. A Rádio Vaticano [Giancarlo La Vella] falou desta questão com Enrico Casale, da revista 'África' dos Padres Brancos:

Muitas destas multinacionais têm volumes de negócios que são superiores ao Produto Interno Bruto (PIB) da maior parte dos Países africanos e têm, portanto, um poder comercial e contratual tal que os Estados se encontram numa situação de temor. Muitas vezes e de bom grado também estas multinacionais exploram a falta de legislação ou então as deficiências nos sistemas judiciais para conseguirem ter razão nas disputas comerciais que os opõem a estes Países, que são vítimas sem qualquer poder de reacção.

Neste caso, tem algo mais; existe mesmo uma fraude comercial, porque a empresa estava a produzir leite usando gorduras vegetais …

Sim, tenhamos em mente que casos como este tem havido muitos outros. Me recordo de uma grande empresa de hidrocarbonetos que extraía o petróleo das areias betuminosas, poluindo impunemente os recursos aquíferos e do solo e, portanto, danificando seriamente as comunidades locais. Esta empresa multinacional conseguiu esquivar-se da lei.

E olhando para o futuro, possivelmente melhor, como se pode criar uma viragem nas relações com África?

Estas são violações - em minha opinião - dos direitos humanos. Há violações que vão além da violação dos direitos comerciais, mas violam os direitos fundamentais do homem. Por conseguinte, nestes casos, na minha opinião, se deveriam abrir espaços legais a nível internacional, perante os quais se pode recorrer para ter justiça contra estas multinacionais que operam violando as leis mais elementares de funcionamento.

Voltando à história do pequeno empresário dos Camarões, 15 milhões de dólares em compensação servirão para fazer repartir a sua empresa?

Sim, vão ajudar a reiniciar a produção e, se espera, a fazer retomar a ocupação e, portanto, a criar empregos localmente. A coisa que é útil sublinhar, neste caso, é como a justiça local funcionou; e quando a justiça local funciona também as multinacionais são obrigadas a inclinar-se e respeitar as leis nacionais. Portanto, também uma cooperação por parte dos Estados ocidentais em relação com os sistemas judiciais de cada País pode ser muito útil, porque fortalece os sistemas de defesa que estes Países têm para com as multinacionais.

P. Bernardo SUATE,                         Rádio Vaticano, Redação Portuguesa 

 
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EGIPTO. Al-Azhar apresenta projecto de lei contra violência extremista

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Nenhuma violência em nome do Alcorão. É o que reitera o texto de uma proposta de lei, voltado a  enfrentar as violências e as propagandas sectárias realizadas em nome da religião islâmica. O documento - elaborado por estudiosos da Universidade egípcia de al-Azhar, o principal centro teológico-académico do Islão sunita – foi apresentado ao escritório da Presidência da República egípcia.

A informação é do próprio Grão Imame de al-Azhar, Ahmed Al-Tayyeb, que especificou que o projecto de lei reafirma a total incompatibilidade entre a violência justificada com argumentos religiosos e a lei islâmica.

Reduzir o ódio e a intolerância e propor uma convivência pacífica

O projecto de lei – aprovado pelos estudiosos de al-Azhar e sucessivamente apresentado aos colaboradores do Presidente egípcio Abdel Fattah al-Sisi - tem por objectivo reduzir as manifestações de ódio e de intolerância promovidas por grupos extremistas e  repropor o princípio de cidadania como base numa convivência pacífica entre compatriotas pertencentes a diversos componentes religiosos.

Uma tentativa de conter as ondas terroristas que ciclicamente atacam, com o objectivo de desestabilizar o Egipto, atingindo com particular virulência os fiéis da Igreja Copta, a maior comunidade cristã do Médio Oriente.

Não à instrumentalização do Alcorão

O texto – refere o L’Osservatore Romano – evita entrar em detalhes quanto às penas a serem impostas a quem se tornar responsável por instigar o ódio religioso e de crimes a ele ligados, o que  deverá, no entanto, ser especificado pelo Legislativo.

Todavia, numerosos observadores consideram que a iniciativa tem o evidente objectivo de expressar uma clara tomada de distância de al-Azhar em relação às teorias e propagandas, que no seio de uma variegada comunidade islâmica, justificam o ódio e a violência citando o Alcorão e fazendo uso de argumentos de fundo religioso.

Declaração dos Direitos do Homem na base do projecto de lei

O Comité que trabalhou no esboço do projecto de lei – guiado por Mohamed Abdel Salam, consultor jurídico do Grão Imame de al-Azhar - havia sido instituído no passado dia 13 de maio, sendo formado por cinquenta estudiosos, especialistas em diversos sectores jurídicos.

Na redacção do esboço de lei – foi referido – os membros do Comité levaram em consideração alguns textos fundamentais, como a Declaração Universal dos Direitos do Homem, além da Constituição egípcia e das disposições do Direito Penal vigente no Egipto.

L’Osservatore Romano

 
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GUINÉ-BISSAU. Governo suspende emissões da RTP/RDP-África e Agência Lusa no País

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A partir da meia-noite desta sexta-feira,30 de Junho, as emissões da RTP/RDP-África e Agência Lusa vão ficar suspensas na Guiné-Bissau.

O Governo guineense decidiu suspender as emissões deste órgãos de Comunicação Social de Portugal devido à "caducidade" do acordo de cooperação.

Víctor Pereira, Ministro da Comunicação Social da Guiné-Bissau, disse na sexta-feira em Conferência de imprensa que "não podemos ter aqui televisões nem rádios piratas".

A Liga Guineense dos Direitos Humanos condenou a atitude do Governo da Guiné-Bissau.

A Rádio Televisão Portuguesa é a principal parceira do governo da Guiné-Bissau na área da Comunicação Social. É a entidade que responsabiliza pelo funcionamento do Centro Emissor de Nhacra onde se encontram as antenas da Radiodifusão Nacional da Guiné-Bissau, da Televisão Pública, TGB, da Rádio França Internacional e da própria RTP/RDP África, além da assistência técnica a outros centros emissores nas regiões da Guiné-Bissau.

Indira Correia BALDÉ,                                 Bissau, para a Rádio Vaticano

 
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ANGOLA. O País se prepara para as próximas eleições gerais de 23 de agosto

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Está animada a pré-campanha eleitoral rumo às eleições gerais de 23 de agosto próximo e as formações políticas concorrentes, nomeadamente MPLA, UNITA, PRS, FNLA APN e a CASA-CE, se desdobram na caça ao voto em todo o território nacional.

No Sábado (24/06) a UNITA realizou em Luanda uma passeata para a divulgação da imagem do seu candidato Isaías Samakuva e a sua posição no boletim de voto às próximos eleições de Agosto durante a passeata o secretário-geral do galo, Franco Marcolino Nhani, apelou a todas as forças partidárias que concorrem às eleições no sentido de optarem por uma postura de respeito e harmonia.

E a Aliança patriótica Nacional (APN) apresentou igualmente no sábado, aqui em Luanda, o seu programa de governação e manifesto eleitoral. O seu presidente, Quintino de Moreira, apresentou as principais linhas de força da sua formação partidária, o desemprego está entre as prioridades da APN.

E em Viana o PRS apresentou igualmente no sábado o seu plano de governação para Angola, o partido dos renovadores sociais tem um programa que assenta em três eixos fundamentais aqui apresentado em síntese pelo presidente do partido Benedito Daniel.

No Sábado o candidato do MPLA a presidente da República foi apresentado aos militantes e simpatizantes do seu partido na província do Uíge. Durante o seu discurso João Lourenço defendeu a valorização do capital humano.

E depois de apresentar o seu programa de governação a FNLA manteve igualmente no sábado o primeiro encontro com a juventude. O seu presidente, Lucas Ngonda, falou dos objectivos da Frente Nacional de Libertação de Angola para com o País.

E a CASA-CE esteve no sábado na caça ao voto no âmbito da pré campanha eleitoral no município de Viana. Abel Chivukuvuku voltou a apostar no contacto directo com o cidadão, e uma das suas ideias centrais foi colocar o homem no centro da governação.

Nas eleições gerais de 23 de Agosto serão eleitos o presidente e o vice presidente da República, bem como, os 220 deputados a Assembleia Nacional.

Anastácio SASEMBELE,                               Luanda, para a Rádio Vaticano

 
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Pain hebdomadaire du catholique. Quatorzième Dimanche. Temps Ordinaire. Année A. Dimanche 09 juillet 2017. Par l’Ambassadeur Théodore C. LOKO

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I. Traits définitoires du laïcat :

Les laïcs constituent l’ensemble des chrétiens qui ne sont pas membres de l’ordre sacré et de l’ordre religieux (Lumen Gentium n° 31, cf. Can 207 §1) et qui, de par leur baptême, en leur qualité de fidèles, sont incorporés au Christ et intégrés au peuple de Dieu, d’où leur participation, à leur manière, à la fonction sacerdotale, prophétique et royale du Christ (cf. Can 204 §1). "Tous les laïcs ont le devoir et le droit de travailler à ce que le message divin du salut atteigne sans cesse davantage tous les hommes de tous les temps et de tout l'univers" (Can 211).

La foi est un acte personnel : la réponse libre de l’homme à l’initiative de Dieu qui se révèle. Mais la foi n’est pas un acte isolé. Nul ne peut croire seul, comme nul ne peut vivre seul. Nul ne s’est donné la foi à lui-même comme nul ne s’est donné la vie à lui-même. Le croyant a reçu la foi d’autrui, il doit la transmettre à autrui. Notre amour pour Jésus et pour les hommes nous pousse à parler à autrui de notre foi. Chaque croyant est ainsi comme un maillon dans la grande chaîne des croyants. Je ne peux croire sans être porté par la foi des autres, et par ma foi, je contribue à porter la foi des autres (Cathéchisme de l’Eglise catholique, Première partie, première section, chapitre troisième, article 1er).

II. Textes du jour : Livre du prophète Zacharie 9,9-10 ; Psaume : 144 ; Romains 8,9.11-13 ; Matthieu 11,25-30

III. Commentaire :

Les lectures bibliques de ce dimanche nous rejoignent dans ce que vit notre monde. Comment ne pas être accablés devant toutes ces souffrances, ces victimes de la haine, de la violence et de l’exclusion ? Le risque est grand de se dire qu’au point où nous en sommes, il n’y a rien à faire. Mais voilà qu’aujourd’hui, la Parole de Dieu vient nous bousculer. Le message qu’elle nous adresse par l’intermédiaire de ses envoyés est porteur d’espérance. Même dans les situations les plus désespérées, le Seigneur est là ; il ne nous abandonne pas. Nous pouvons toujours compter sur lui.

Dans l’oracle de la première lecture, le prophète Zacharie invite Sion à laisser éclater sa joie à la nouvelle de l’arrivée de son roi. Celui-ci, figure du messie dans la lignée davidique, est « juste et victorieux » : vainqueur de ses ennemis, il fera régner la justice.  Mais ce qui nous frappe le plus c’est son caractère humble et pacifique : sa monture n’est pas un cheval, monture de guerre, mais un ânon, symbole de douceur. Ce roi fera disparaître tout ce qui rappelle la guerre : instruments de destruction, chars ou chevaux. Il vient donc apporter la paix. La tradition verra dans ce roi-messie l’image du Christ. La prophétie de Zacharie sera citée par les Évangiles de Matthieu et Jean dans leurs récits de l’entrée royale de Jésus à Jérusalem quelques jours avant sa passion.

Dans sa lettre aux Romains, saint Paul nous parle de l’accomplissement de cette promesse. Au jour de notre baptême, nous avons été plongés dans la mort du Christ pour ressusciter avec lui. Il nous revient d’en tirer les conséquences. Nous ne pouvons plus vivre « sous l’emprise de la chair ». La chair c’est le péché qui nous détourne de Dieu et qui nous conduit vers des impasses. L’apôtre nous recommande de « vivre selon l’Esprit » en nous laissant guider par Dieu. L’Esprit Saint ne demande qu’à prendre possession des croyants pour répandre en eux l’amour qui est en Dieu.

Avec l’Évangile, c’est Jésus qui nous invite à faire un pas de plus : « Venez à moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous soulagerai. » (Mt 11, 28) Quand Jésus dit cela, il a face à lui des personnes qu’il rencontre chaque jour sur les routes de Galilée, des gens simples, des pauvres, des malades, des pécheurs, des exclus… Les uns et les autres l’ont poursuivi pour écouter sa parole porteuse d’espérance. Jésus lui-même cherchait ces foules lasses et épuisées « comme des brebis sans berger ». Il les cherchait pour leur annoncer le Royaume de Dieu et pour en guérir beaucoup dans leur corps et leur esprit.

Et voilà qu’aujourd’hui, il les appelle à lui : « Venez à moi ! » Il leur promet le réconfort et le repos. Cette invitation de Jésus s’étend jusqu’à nos jours. Il  veut atteindre tous ceux et celles qui sont opprimés par les conditions de vie précaires. Chaque jour, des hommes, des femmes et des enfants sont victimes de la haine et de la violence des hommes. À cause de la guerre, beaucoup sont obligés de tout quitter pour aller sur une terre étrangère. Et comment ne pas penser aux victimes d’un système économique qui impose aux plus pauvres un fardeau insupportable ?

À côté de pages parfois rudes (la porte étroite, les évocations du jugement),  voici une page lumineuse de l’évangile de Matthieu : une hymne jubilatoire de louange de Jésus à son Père suivie de paroles de miséricorde. Dans cet Évangile, Jésus ne s’adresse que deux fois en paroles à son Père : à ce moment de son ministère et dans son agonie à Gethsémani. Ici c’est une prière de louange qui sort de sa bouche. Les petits dont il est ici question ce sont les disciples (évangile du dimanche précédent) : ouverts à l’écoute de la Parole, ils reçoivent la révélation des mystères du Royaume, le dessein de salut de Dieu pour les hommes. Mais les sages et les intelligents, pourtant versés dans la connaissance des Écritures, ne peuvent comprendre ces mystères à cause de l’endurcissement de leur cœur (cf. Mt 13, 13-15). 

« Tout m’a été remis par mon Père ». Par cette parole Jésus nous dit la relation étroite qui le relie à son Père de qui il reçoit tout son être et qui l’a envoyé dans le monde en lui remettant tous ses pouvoirs. Par son enseignement et par ses actes de guérison, Jésus révèle l’amour du Père pour les hommes. C’est bien cet amour qui s’exprime dans l’invitation pleine de miséricorde qui suit la prière de louange : « Venez à moi, devenez mes disciples car je suis doux et humble de cœur ». Jésus appelle à lui les hommes de bonne volonté. Il oppose au poids des prescriptions de la Loi de Moïse interprétée par les pharisiens, le joug de sa Loi d’amour telle qu’il l’a présentée dans le discours sur la montagne. Jésus dit bien « mon joug » : c’est donc quelque chose que le disciple partage avec lui. Le cœur doux et humble rappelle les béatitudes des pauvres et des doux à qui appartient le Royaume des cieux. Quant au repos, c’est un avant-goût de la rencontre définitive avec Lui dans ce Royaume.

 
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La revue de la presse catholique africaine du Mercredi 05 juillet 2017. Par Albert MIANZOUKOUTA*

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La revue de la presse catholique africaine de ce jour, nous conduit au Béni. En cette période de clôture des parcours académiques, nous lisons dans La CROIX du Bénin que l’école internationale de prière et d’évangélisation Jeunesse Bonheur a organisé une rencontre inter-promotion pour la fin de ses activités. Le Père Veilleur Cyrille Miyigbéna y a partagé une réflexion sur l’insertion sociale et professionnelle des jeunes. Un autre intervenant remarqué, écrit Florent Houessinon, a pris la parole à ces assises : Il s’agit de Mgr Antoine Ganyé, Archevêque de Cotonou vers qui sont allés plusieurs témoignages de reconnaissance pour cette école hors du commun.

« Impressionné par ces avis empoignants, Mgr Antoine Ganyé a exprimé la crainte que ces jeunes, revenus dans leur milieu traditionnel corrompu par les tendances d’homosexualité et d’avortements abusifs, délaissent les gerbes de valeurs religieuses acquises à l’école Jeunesse Bonheur ». Cette école en est à la troisième promotion d’élèves formés.

Au Gabon, le Mouvement chrétien des Cadres et Dirigeants du Gabon organise son université d’été. Sous le thème : «Démocratie et Développement : Eglise du Gabon, quel apport » ?, le mouvement organise ses activités du 7 au 9 juillet. « Cette rencontre internationale, qui verra la participation des MCC de France et du Cameroun, est axée autour de sous-thèmes et d’ateliers pour un engagement chrétien catholique dans le monde et dans la société », écrit EGLISE CATHOLIQUE AU GABON, le portail.

Nous retrouvons avec joie EGLISE CATHOLIQUE RWANDA, le portail de la Conférence épiscopale. Dans sa dernière livraison, il nous présente l’interview de Mgr Célestin Hakizimana, l’ordinaire du diocèse de Gikongoro en plein jubilé de ses 25 ans de fondation et de vie sacerdotale de son Evêque. « Quand j’ai été ordonné prêtre, j’avais pour devise : « Il faut qu’il croisse, que moi je diminue»… Pendant ma vie sacerdotale, je continue à réfléchir sur cette phrase de Jean Baptiste…La Spiritualité de l’effacement, de l’humilité. J’ai essayé tant bien que mal de vivre cette spiritualité... J’ai fait tout ce que je pouvais grâce à l’aide du Seigneur », a répondu Mgr Hakizimana aux journalistes.

A Madagascar, on se réjouit de l’honneur qui a été fait à la Grande Ile avec l’élection d’un haut-cadre du pays à l’Union Africaine. Dans le journal LA CROIX on lit en effet que « le Professeur Victor Harison, candidat présenté par (Madagascar), a été élu au poste de Commissaire aux Affaires économiques de l’Union Africaine (UA). Ce résultat a été obtenu à l’issue à l’issue d’un scrutin de trois tours. Ce vote constitue un événement historique car il s’agit du premier ressortissant (malgache) à occuper un poste électif au sein de l’organe exécutif de l’UA depuis la création de l’OUA en 1963. Le Professeur Victor Harison est l’actuel directeur général de l’INSCAE. Les commissaires africains sont élus pour un mandat de quatre ans », précise le journal catholique.

* Journaliste à Radio Vatican/Français-Afrique

 
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