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09/08/2017

De nous à vous - From us to you - De nós para vós

De vous à nous - From you to us - De vós para nós

De nous à vous - From us to you - De nós para vós



Catéchèse du Pape (09/08/2017)/Pope’s catechesis (09/08/2017)/Catequese do Papa (09/08/2017)

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Speaker: frères et sœurs, depuis les débuts de son ministère en Galilée, Jésus se fait proche des lépreux, des possédés, des malades et des exclus. Il partage la souffrance humaine, et quand il la croise, jaillit du plus profond de lui-même cette attitude qui caractérise le christianisme : la miséricorde. Jésus éprouve de la compassion. Or, le cœur du Christ incarne et révèle le cœur de Dieu qui, là où une personne souffre, veut sa guérison, sa libération, sa vie « en plénitude ». C’est pour cela que Jésus ouvre largement les bras aux pécheurs. Il voit toujours une possibilité de résurrection, même en celui qui a accumulé tant de mauvais choix. Avec le pardon de Dieu, Jésus offre aux personnes qui ont fauté l’espérance d’une vie nouvelle. Ainsi, nous qui sommes habitués au pardon des péchés, peut-être trop « à bon marché », nous devrions nous rappeler que le Fils de Dieu va jusqu’à mourir sur une croix, parce qu’il veut la libération totale et définitive du cœur de l’homme. Aussi, membres de l’Eglise, peuple de pécheurs, nous avons besoin de la miséricorde de Dieu qui a la force de nous transformer et de nous redonner l’espérance, chaque jour. Alors, en comprenant cette vérité de base, nous recevons de Dieu la plus belle mission du monde, celle de l’amour fraternel et de l’annonce d’une miséricorde que Dieu ne refuse à personne.

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Saint  Père

Sono lieto di salutare i pellegrini di lingua francese, in particolare i fedeli venuti dalla Francia e dai Paesi francofoni. La misericordia e il perdono di Dio ci trasformino e ci offrano la speranza, per rendere testimonianza di una vita segnata dall’amore. Dio vi benedica!

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Speaker: je suis heureux de saluer les pèlerins de langue française, en particulier les fidèles venus de France et des pays francophones. Que la miséricorde et le pardon de Dieu nous transforment et nous redonnent l’espérance, pour témoigner d’une vie marquée par son amour. Que Dieu vous bénisse !

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Speaker: Dear Brothers and Sisters:In our continuing catechesis, we now consider God’s mercy as the driving force of Christian hope.  When Jesus forgives the sinful woman, his action causes scandal, because it overturns the dominant attitude of the time.  Instead of rejecting sinners, Jesus embraces them, those who are outcast, “untouchable”.  With a compassion that literally causes him to tremble in his depths, he reveals the merciful heart of God.  This astonishing attitude to those in desperate situations, even those who have made many mistakes in life, marks our Christian identity with the stamp of mercy, and gives a sure foundation to our hope.  We who have experienced God’s forgiveness should avoid the danger of forgetting that this mercy was purchased at a great price: Christ’s death on the Cross.  Our Lord died not because he healed the sick, but because he did what only God can do: forgive sins.  This divine mercy both transforms us and renews our hope.  Our Lord, who rejects no one, graciously bestows upon us the mission to proclaim his mercy to the world.

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Holly Father

Saluto i pellegrini di lingua inglese presenti all’odierna Udienza, specialmente quelli provenienti da Malta, Nigeria, Guam, Canada, e Stati Uniti d’America.  Su tutti voi e sulle vostre famiglie invoco la grazia del Signore Gesù affinché possiate essere un segno della misericordia e speranza cristiana nelle vostre case e nelle vostre comunità.  Dio vi benedica!

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Speaker: I greet the English-speaking pilgrims and visitors taking part in today’s Audience, particularly those from Malta, Nigeria, Guam, Canada and the United States of America. Upon all of you, I invoke the grace of the Lord Jesus, that you may be a sign of mercy and Christian hope in your homes and communities.  May God bless you!

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Locutor: desde o início do seu ministério público, Jesus aproxima-Se e deixa aproximar de Si leprosos, endemoninhados, doentes e marginalizados. Quando encontra uma pessoa que sofre, Ele assume como próprio o sofrimento dela: não prega que este sofrimento se deve suportar heroicamente, mas faz Sua aquela pena, enche-Se de compaixão por aquele homem ou mulher que sofre. Jesus encarna e revela assim o coração de Deus que quer a cura, a libertação e a vida plena daquela pessoa. É por isso que Jesus abre os braços aos pecadores. Ainda hoje há tantas pessoas extraviadas, porque não encontram ninguém disponível para as olhar de modo diferente do comum, ou seja, com os olhos, com o coração de Deus: disponível para as olhar com esperança. Ao contrário, Jesus vê uma possibilidade de ressurreição mesmo para quem fez um monte de opções erradas. Mas isso custou-Lhe a cruz! Jesus não foi crucificado, porque cura doentes, prega a caridade e proclama as Bem-aventuranças, mas (e sobretudo) porque perdoa os pecados, quer a libertação total e definitiva do coração humano, não aceita que o ser humano arruíne toda a sua existência com o pensamento de não poder ser acolhido pelo coração misericordioso de Deus. Por isso, perdoa aos pecadores. E este perdão divino é o motor da esperança! Com o perdão, os pecadores readquirem a serenidade a nível psicológico, vendo-se livres do sentido de culpa. Mas Jesus faz muito mais: oferece-lhes a esperança duma vida nova, uma vida caraterizada pelo amor. E, a quem compreendeu esta verdade basilar, Deus confia a missão mais bela do mundo: o anúncio duma misericórdia que Ele não nega a ninguém.

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Santo Padre

Rivolgo un cordiale saluto ai pellegrini di lingua portoghese, invitando tutti a rimanere fedeli a Cristo Gesù. Egli ci sfida a uscire dal nostro mondo piccolo e ristretto verso il Regno di Dio e la vera libertà. Lo Spirito Santo vi illumini affinché possiate portare la Benedizione di Dio a tutti gli uomini. La Vergine Madre vegli sul vostro cammino e vi protegga.

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Locutor: dirijo uma cordial saudação aos peregrinos de língua portuguesa, convidando todos a permanecer fiéis a Cristo Jesus. Ele desafia-nos a sair do nosso mundo limitado e estreito para o Reino de Deus e a verdadeira liberdade. O Espírito Santo vos ilumine para poderdes levar a Bênção de Deus a todos os homens. A Virgem Mãe vele sobre o vosso caminho e vos proteja.

 
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Radio Vatican : Le départ d’Albert Mianzoukouta

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« Le départ d’Albert Mianzoukouta », ce n’est probablement pas le titre qui convient. J’aurais aimé à la place : “Pour remercier un collègue”. Mais mon intention majeure est ailleurs.

Le 31 juillet 2017 est une date qui marque la fin de service à Radio Vatican pour Albert Mianzoukouta, de la Rédaction Français-Afrique. Un parcours de 26 ans passés dans cet organe de presse de l’Eglise universelle, la « Radio du Pape ». 26 ans, c’est toute une vie, c’est toute une génération. Notre confrère nous quitte en ayant accompli d’immenses services pour nos auditeurs et pour le Saint-Siège. Pourtant, il pouvait encore bien continuer à être parmi nous. Mais les impératifs et les circonstances de la vie ont eu raison sur la volonté d’être à Rome, en Italie, à Radio Vatican. Une décision évidemment pas facile à prendre.

Que de souvenirs, que des choses apprises en côtoyant pendant toutes ces années, non seulement les collègues de service, mais aussi tout ce monde qui passe par Radio Vatican : Cardinaux, évêques, prêtres, chefs d’Etat, ministres, députés,  différentes personnalités du monde de la culture, artistes musiciens, fidèles chrétiens ou non, etc.

Albert Mianzoukouta a été pour nous « immense », par sa stature physique mais surtout par sa capacité du travail et de relation humaine. Cet homme, qui n’est pas entré dans le métier du journalisme par infraction, savait en effet produire, que ce soit en mission de service (comme l’a témoigné notre consœur Marie Duhamel) ou dans le desk, des services de qualité, et ainsi contribuer efficacement à la marche de la rédaction qui savait compter sur son sens de sacrifice et d’altruisme. Il savait détendre l’atmosphère au sein du groupe avec ses blagues et grand sourire, surtout pendant les « heures de pointe » qui précèdent l’entrée au studio.

Ma rencontre avec cet homme à la démarche posée et calme, remonte à 1993, lors de mon premier passage à Radio Vatican. Il me parlait alors, dans ses blagues et anecdotes, du « Royaume », en référence au Royaume Kongo, pour sous-entendre que son pays n’avait rien à envier au Zaïre de Mobutu. Et quand il s’agissait de parler de son Congo natal, il soutenait avec humour que c’était le « vrai Congo », surtout lorsque les voisins d’en-face lui parlaient du « Grand Congo » (République démocratique du Congo). C’est donc dans ce « vrai Congo » que notre confrère va continuer son métier de journaliste. Un peu une sorte de retour à la case départ, mais à un autre niveau, après toutes les expériences qu’il a accumulées pendant son séjour à Rome. Il rejoint de nouveau la « Semaine Africaine » d’où il est parti pour Radio Vatican, pour en prendre la direction, en même temps que la direction de Radio Magnificat de l’archidiocèse de Brazzaville. La « Semaine Africaine, a-t-il dit pour exprimer sa reconnaissance, c’est le journal qui m’a mis le pied à l’étrier ».

Et si Albert a eu le temps de remercier ses collègues qui étaient nombreux à lui dire au-revoir, le 3 août 2017, lors de la cérémonie d’au-revoir organisée par sa rédaction, en présence de Mgr Lucio Ruiz, Secrétaire du Secrétariat pour la Communication, nous profitons aussi par ces quelques lignes pour le remercier, à haute voix, au nom de toute l'équipe du Service Français-Afrique, pour ce qu’il a été pour nous.

De toute façon, il sait qu’il nous quitte sans nous quitter. Ce n’est qu’un « arrivederci », comme disent les italiens ; car souvent, on se rencontre pour se séparer et on se sépare pour se rencontrer.

Jean-Pierre BODJOKO, SJ                           Responsable de la Rédaction Français-Afrique

 
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Vatican Radio Communiqué/Communiqué Radio Vatican/Comunicado da Rádio Vaticano

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If you are listening to us on Shortwave, we would greatly appreciate a short report from you on the quality of our programs and of the signal reaching you. Please address your report to: The Africa Promotions Office for Africa, Vatican Radio, 00120 Vatican City.

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Nous demandons à nos auditeurs qui nous suivent sur les Ondes courtes de bien vouloir nous faire parvenir un rapport d’écoute sur la qualité de la réception de nos programmes, à l’adresse du Bureau de Promotion-Afrique de Radio Vatican, 00120 Cité du Vatican.

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Pedimos aos nossos ouvintes que nos escutam em Ondas Curtas que nos enviem um relatório de escuta sobre a qualidade da recepção dos nossos programas, escrevendo ao seguinte endereço do Serviço de Promoção-África da Rádio Vaticano, 00120 Cidade do Vaticano.

 
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Avis pour les radios catholiques africaines et les auditeurs de Radio Vatican/ Notice to Catholic Radio Stations in Africa and listeners of Vatican Ra

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Radio Vatican avait produit en 2011 un album musical, Afrika tenda amani (fais la paix, Afrique), avec le concours de quelques artistes musiciens africains dont Papa Wemba de la République démocratique du Congo et Bonga d’Angola. Cet album qui accompagne l’exhortation post-synodale Africae munus, reflète les thèmes de la Deuxième assemblée spéciale pour l’Afrique du Synode des Évêques (réconciliation, justice et paix), a été expédié à toutes les radios catholiques africaines par le canal des Pères Evêques diocésains auxquels Radio Vatican a fait parvenir 3 copies.

Si jamais une radio n’a pas encore reçu une copie de cet album, elle peut nous écrire (africa@vatiradio.va) pour nous en demander. De même, nous disposons de quelques exemplaires pour nos auditeurs qui en feront la demande. Mais la quantité est fort limitée.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsable du Bureau de Promotion de Radio Vatican pour la zone Afrique

E-mail : africa@vatiradio.va

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In 2011, Vatican Radio produced a music album titled Afrika tenda amani (Make Peace, Africa), with the help of a few African musicians including Papa Wemba of the Democratic Republic of Congo and Bonga from Angola. Three copies of the CD album, which accompanied the publication of the post-synodal exhortation Africae munus  and reflects on the themes of the Second Special Assembly for Africa of the Synod of Bishops (reconciliation, justice and peace) was sent to all  Catholic radio stations in Africa through the local bishops.

If your radio station has not yet received a copy of this album, please write to africa@vatiradio.va to request a copy. Also, we have a limited number of copies for our listeners who may also send their requests to the above email address.

Fr. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Head of the Promotions Office for Africa

Vatican Radio

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A Rádio Vaticano tinha produzido em 2011 um álbum musical denominado Afrika Tenda Amani (faz a paz, África), com a participação de alguns artistas músicos africanos, dentre os quais Papa Wemba da República Democrática do Congo e Bonga de Angola. Este álbum, que acompanha a Exortação pós-sinodal Africae Munus reflecte os temas da Segunda Assembleia Especial para a África do Sínodo dos Bispos (reconciliação, justiça e paz), e foi enviado a todas as Rádios Católicas africanas através dos Senhores Bispos Diocesanos aos quais a Rádio Vaticano fez chegar três cópias.

Se por acaso alguma Rádio ainda não recebeu uma cópia deste álbum, podem nos escrever (africa@vatiradio.va) para solicitá-lo. Da mesma forma, também dispomos de alguns exemplares para os nossos ouvintes que o solicitem. Mas a quantidade é muito limitada.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsável do Departamento de Promoção da Rádio Vaticano, para a região África

E-mail: africa@vatiradio.va

 
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Nos fréquences en KHz sur les Ondes courtes (Heure en Temps universel)/ Our frequencies in KHZ on Short Waves (Universal Time)/As nossas frequências e

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Anglais-Afrique/ English-Africa/Inglês-África :

8 :30 : 11625 - 13765 

19 :30 : 9660 - 15570 

22 :00 : 7360 -9670

 

Français-Afrique/French-Africa/Francês-África :

6 :30 : 9660

8 :00 : 11625 - 13765 

19 :00 : 9660 - 15570 

22 :30 : 7360 - 9670 

 

Portugais-Afrique/ Portuguese-Africa/Português-África :

7 :30 : 9660 - 11625

20 :00 : 9660 - 15570

 

Kiswahili :

5 :30 : 7360 

18 :00 : 9660 - 15570

 

NB:

Partout dans le monde, on peut suivre nos programmes à travers notre site internet www.radiovaticana.va.  De même, on peut suivre en direct les images des événements, des cérémonies du Pape sur notre Player video live dont le lien se trouve sur notre site internet.

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Please note that you can follow our programmes at all times, day and night the world over. Just go to www.radiovaticana.va. Also you can follow a live video coverage of Papal events by clicking on the video player on the website.

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Em todo o mundo é possível seguir os nossos programas através do nosso sito internet www.radiovaticana.va Do mesmo modo, se podem também seguir in directo as imagens dos acontecimentos e cerimónias do Papa  no nosso Player vídeo ao vivo, cujo link também se encontra no nosso sito internet.

 
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PROGRAMME FRANÇAIS-AFRIQUE : SUIVEZ-NOUS SUR FACEBOOK

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En plus de notre site internet, vous pouvez aussi suivre de nos nouvelles sur Facebook à l’adresse : Radio Vatican Français-Afrique. Cliquez sur "j'aime" pour interagir.

 
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Adresse utile pour Radio Vatican/Useful contact of Vatican Radio/Endereço

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P. Jean-Pierre BODJOKO, SJ

Responsable Bureau de Promotion-Afrique/Head of Africa’s Promotion Office/ Responsável

Sector de promoção-Afrique

e-mail: africa@vatiradio.va

Tel : +39.06.698.83366

 
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De vous à nous - From you to us - De vós para nós



NIGERIA : ataque numa igreja católica no sul do país

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Onze pessoas foram mortas e uma vintena ficou ferida durante um ataque ocorrido domingo 6 de Agosto na igreja católica de Ozubulu, no Estado nigeriano de Anambra (Sul do país), noticiou a agência italiana ANSA, citando dados referidos por Garba Umar, Comissário da Polícia do Estado daquele local.

O ataque que ocorreu por volta das 06 horas da manhã, terá sido perpetrado – segundo algumas fontes - por cinco pessoas que abriram fogo sobre uma centena de fiéis reunidos para a celebração da santa Missa. No entanto, a polícia referiu ter sido apenas um assaltante, vestido de preto, que entrou na Igreja à procura de uma pessoa especifica que queria  matar; abriu fogo e, na tentativa de fuga, continuou a disparar, matando e ferindo mulheres e crianças que aí se encontravam. O Presidente da Nigéria, Muhammadu Buhari condenou duramente o ataque.

David RUI SAMBO,                        para a Rádio Vaticano

 
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LIBERIA: Bishop urges faithful not to accept gifts from politicians

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Liberia’s Catholic Bishop of the Diocese of Cape Palmas, Andrew J. Karnley has directed the faithful not to accept gifts from politicians seeking their vote.

On 25 October 2017, Liberians will vote in Presidential and Legislative elections across the country. Africa’s first female President and Nobel Peace Prize winner, Ellen Johnson-Sirleaf who has led the country for the past ten years is not seeking a further mandate.

Below is an article by Michael T. Biddle (Harper, Liberia):

'No parish in the Diocese of Cape Palmas is to accept a gift from politicians, Bishop Andrew Karnley has urged the faithful.

The tendency of offering individuals or a community with gifts in return for voting favours by politicians has since become a normal phenomenon in our society which has often made eligible voters elect individuals into power wrongly. It is against such factors that the Catholic Bishop of Cape Palmas has issued a stern warning to all parishes (in his diocese) to desist from receiving offers from politicians even those aspirants who are Catholics.

Bishop Karnley has in the past lashed out at political figures who have failed to provide good and quality leadership for the people. He has criticised the tendency of politicians who make last minute interventions (including donations and gifts) to win votes.

The Bishop of Cape Palmas reminded Liberians to make the ultimate sacrifice and vote for individuals who they believe can change their living conditions for the better rather dancing to the rhythm of those that can offer 'nasonon' or RITCO/NICOM products and rice. (RITCO and NICOM are large distillery factories in Liberia)

Ahead of the start of official campaigning, both incumbents and aspirants are often seen providing cash, food, drinks and other handouts to various communities as means of consolidating support during the elections.

 

SA Bishops can bring about healing to the problem of racism

 

On the second day of the SACBC Plenary being held at Mariannhill, South Africa’s Bishop João Rodrigues of the Diocese of Tzaneen has said that racism is not only a problem but a sin. He stated that failure to address this issue now would lead South Africa to a worse-off situation in the future.

Bishop Rodrigues said that those who are racists are sick and are injured people who need healing, as much as those who were affected by racism. He added that South Africa should be healed from memories of the past, and this does not mean forgetting past events. Instead, past events should be approached with a new spirit.

The Bishop of Tzaneen says that tackling the problem of racism requires fraternal sharing and confrontation of past experiences. He said that the Church should be the first agent to address this issue because she understands better the dignity of the human person made in the image of God. She also knows what the Kingdom of God is all about.

Explaining the Kingdom of God in relation to the problem of racism in South Africa, Bishop Rodrigues used the analogy of the parable of the net found in the  Bible. He said that the Kingdom of God is something dynamic other than static. It requires all to take part in it and experience it. The Kingdom of God is inclusive and knows no race.  Before God everybody is equal, and all have the same dignity.

Bishop Rodrigues said that there is a possibility that some people in South Africa were not racists before but may now be racists because they are not able to embrace change.  He gave an example of the late 1970s when he was in the seminary. At the time, white people were dominant even in the whole administration, but the reality now is different. The seminary is black with a white minority. This kind of change should be embraced, he said. It reflects the dynamism of the Kingdom of God; It has to be always discovered.

According to Bishop Rodrigues, life should not be seen in terms of race distinctions.  All persons are equal in dignity before God. The Bishop also referred to the Genocide in Rwanda where people of the same race killed each other. Another group undermined the dignity of the other.  It was not about colour; it was the sickness of perceiving another person as not being equal in dignity.

“In South Africa, we are a rainbow nation, as Archbishop Desmond Tutu declared and this should be treasured.  We are making one beautiful nation,” the Bishop said. He urged South Africans not be afraid of fraternal confrontation where racism is concerned.

“Fraternal confrontation is very important in addressing the problem of racism in South Africa. We need to sit around and tell each other fraternally about what they did to us so that healing and reconciliation can be achieved.  The wounds of the past should be touched as to bring healing to them,” Bishop Rodrigues said

The Bishop of Tzaneen also underscored the importance of the Eucharist as a place where all should come for healing. He invited fellow Bishops to be the first agents of this healing. Bringing healing to matters of race, in South Africa, should be part of the mission of Bishops. Bishops should work together to bring about healing and reconciliation within the Church and in society. He concluded by urging Southern Africa’s Bishops to do all they can to bring healing and reconciliation to South Africa.

For more information about the Southern Africa Bishops’ discussion on racism kindly contact Archbishop William Slattery and arrange time for an interview. Contact: +27-834685473 

(SACBC)

 
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NIGERIA: The Bishops of Ibadan Ecclesiastical Province discuss issues regarding the Church and their nation

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The Catholic Bishops of Ibadan Archdiocese, Ilorin, Ondo, Ekiti, Oyo and Osogbo Dioceses  have just ended their second meeting during which they discussed issues regarding the Church and their nation. Please find the final communique below.

THE CHURCH AND THE TRAVAILS OF A GROWING NATION

COMMUNIQUE ISSUED AT THE END OF THE SECOND MEETING OF THE CATHOLIC BISHOPS OF IBADAN PROVINCE FOR 2017 HELD AT SAINT KIZITO PASTORAL CENTRE, OKE GADA, EDE, OSUN STATE.

PREAMBLE 

We, the Catholic Bishops of Ibadan Ecclesiastical Province, comprising Ibadan Archdiocese, Ilorin, Ondo, Ekiti, Oyo and Osogbo Dioceses, after our second meeting for the year 2017, having prayerfully deliberated over pertinent issues in the Church and the nation, hereby issue the following communique:

 

The Ongoing Marian Year

As our Catholic faithful in the Province continue to celebrate the Marian year in prayer, spiritual activities and praise to Almighty God for the gift of faith, we call upon all Christians to unite in the honour of the Blessed Virgin Mary whom God chose to be the mother of His only begotten Son, Jesus Christ our Lord. Let us teach by our words, prayer and example that wherever the Church is, there Mary is. We urge all Catholics to participate wholeheartedly in the spiritual and pastoral programmes laid out for the Marian Year, and thus inspire others to imbibe the virtues of Mary. The message of repentance, reconciliation and peace which Mary brought to us at Fatima, Portugal, 100 years ago is more relevant now than ever.  All Catholics must turn up during this celebration to model that message in our families, communities and nation.

 

Enduring Commitment to Liturgical Rules

We highly commend priests, catechists, evangelizers, the choir and other agents of the Church’s liturgy for striving to heed our call for strict adherence to the Liturgical rules and regulations. Liturgical worship is the lifeblood that flows through the veins of the Church gathered as the body of Christ. When it is contaminated or diluted, the body of Christ suffers in its authentic identity. We urge all agents of liturgical worship to study well the Church’s instruction on Liturgical worship and humbly adhere to them in deference to the Holy Spirit in the Church of God. The Church does not gain anything by promoting a pop religion which accommodates every fad and whims generated by the entertainment industry.

 

The Sad Incident in Nnewi Diocese

We commiserate with the Bishop of Nnewi Diocese, Most Reverend Hillary Okeke, and the faithful of the Diocese, the government and people of Anambra State and several families directly affected by the mass murder which occurred on Sunday 6th August, 2017, at St Philip Catholic Church, Ozubulu, Anambra State. We uphold still the sanctity of every human life given by God and not to be taken away by anyone and therefore can never denounce enough the evil of such a horrendous and callous killing of innocent worshippers right in the Church during the Holy Mass. Different accounts have been given to analyze the mayhem. The bottom line is that the security situation in Nigeria remains at best, tenuous. We strongly condemn whatever may be at the root of this and similar occurrences.  Those who are charged with securing human life and property in the nation must simply do more to protect the citizens. One must ask how murderers like the perpetrators of the Ozubulu mayhem came about such deadly weapons. The proliferation of arms in Nigeria deserves urgent and decisive action. We call on all our faithful to pray that the souls of the departed may rest in perfect peace and that God may bring enduring peace to Nigeria. We also reiterate that the right of all Nigerians to freely adhere to any religion of their choice is sacrosanct and must be protected by all legitimate means.

 

The Resurgence of Terrorism

We regret the recent resurgence of Boko Haram activities in the North Eastern part of Nigeria. The criminal group seems to have returned with double strength. We commend the Presidential order that has returned the Nigerian Military Service Chiefs in full force to the centre of the battle. Sadly the wanton destruction of lives and property in Southern Kaduna is also yet to abate. While commending the military and other security agencies in Nigeria for their commitment to the integrity of the nation, we urge them to eschew all forms of corruption, nepotism and betrayal and fight for the unity and integrity of Nigeria. History and humanity will honour their sacrifice and commitment. All Nigerians have the responsibility to collaborate with the security agencies by giving information where necessary and obeying the rules of vigilance and personal security at all times.

 

The Restructuring of Nigeria

The ongoing discourse about restructuring in Nigeria has gathered considerable momentum. In the process, different definitions have emerged on what restructuring could mean and what form such a process should take. It is regrettable that an issue of such importance that should be an issue of justice can be subjected to so much intellectual gymnastics, political sentiments and personal interest. Most people in Nigeria agree that, as it is currently constituted, our country is simply not serving the development and self-realization of most of its citizens and therefore needs to be revisited. In other words, let all of us, leaders and people agree to jettison political machinations and self-serving interests and restructure Nigeria according to the laws of equity and justice. We will thus be saving our own lives and the future.

 

Moral Decadence in our Society

We decry the degeneration of the moral fibre of our society due to many internal and external factors. The aggressive assault of new age, decadent ideologies, particularly from the Western world threaten to overwhelm our cultural and spiritual values. These seem to gain momentum everyday through strategies of intimidation and inducement of even political, traditional and religious authorities by foreign countries, international organizations and powerful individuals. The socializing institutions of society like the family, the school and the media too have been considerably weakened by economic and political forces. We appeal to families, guardians, religious, traditional and political leaders to be vigilant and work together to protect and strengthen our cultural, moral and religious values. These constitute our God-given African identity. Our youth and people need clear guidance and assistance in the face of a deluge of information and ideologies available to them through the social media and the internet. To throw up our hands and leave them to find their way alone is to shirk our responsibilities. 

 

Lingering Challenges in the Education Sector

The education sector in our country remains in crisis. The Catholic Church, long before Nigeria’s independence, has invested her resources in education because of her commitment to the holistic development of the citizenry. This has brought great benefit to many individuals and institutions of Nigeria. We therefore demand that government at all levels recognize the status of the Catholic Church as a Missionary, non-profit institution. It is unfair and unjust therefore to penalize such an institution which serves the people, irrespective of creed or tribe, through multiple taxation and debilitating laws. We also call on the authorities to be vigilant and curb the encroaching sexualization of the education sector which is effected through the so-called Comprehensive Sexuality Education (CSE) and dubious Maternal Health procedures. Government should not spend public money on the proliferation of artificial contraceptive methods to the neglect of basic infrastructure and the grassroots health needs of our people.

 

Rights of Workers and Unpaid Wages

Regular remuneration for work done is a matter of justice. We lament the current situation in many States of Nigeria where workers are not promptly and regularly paid for work done. Pensioners also continue to languish in painful expectation of their entitlements and many families and individuals are deprived of their legitimate livelihood. This has brought untold suffering and resentment within the society.  We strongly urge the governments of affected states to rectify this miserable situation. A resentful citizenry cannot be effectively mobilized for any meaningful development.

 

Conclusion

Finally, we give thanks to God for His mercy upon Nigeria as we continue our daily journey of life as individuals and communities. As People of God, called to be ‘Salt of the Earth and Light of the World’ (Matthew 5:16), we are called to confront our challenges concretely as Christians with joyful hope and complete trust in God that our collective efforts will still lead to a meaningful life and a happy end. May Mary, Queen of Nigeria intercede for our country for justice peace and harmony both now and in the future.

 

Most Rev. Gabriel Abegunrin                                              Most Rev. John Oyejola

President                                                                                Secretary.

 
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CONGO-BRAZZAVILLE: Mgr Urbain Ngassongo demande aux nouveaux prêtres et diacres d’évangéliser les périphéries du diocèse

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À l’occasion de la fête de la Transfiguration du Seigneur, dimanche 6 août 2017, Mgr Urbain Ngassongo, Évêque de Gamboma (Département des Plateaux), a ordonné six  nouveaux ministres de Dieu: quatre  prêtres et deux  diacres. C’était au cours d’une messe célébrée à la Place mariale de la cathédrale  Saint Pie X de Gamboma. 

Il s’agit des abbés Dutrône Ngaunyo, Joseph Kobo, Silvère Mambila et Zeus Okanza, qui ont reçu l’ordination presbytérale des mains de Mgr Urbain Ngassongo, et les abbés Belvy Elenga et Benechou Dongali, qui ont été ordonnés diacres.

L’Évêque de Gamboma, après avoir insisté sur le rôle  du diacre et du prête, a poursuivi  son homélie, en faisant sien l’enseignement de Jésus à ses trois Disciples au Mont Thabor. Vous  aussi, vous étiez au Mont Thabor de la formation sacerdotale, vous avez le désir permanent d’être  en présence de  Dieu comme diacres et prêtes, afin de rayonner comme des Thabor sacerdotaux, leur a-t-il enseigné.

Vous serez ordonnés au service de Dieu et de l’Église universelle dans un diocèse rural, les fidèles attendent  des pasteurs et non des fonctionnaires. Vous avez donc, la mission de redescendre dans les périphéries existentielles de nos réalités rurales pour annoncer la Bonne Nouvelle, a précisé l’Évêque. Un message bien perçu par une foule d’environ 5000 fidèles qui avaient écumé la Place mariale de la cathédrale de Gamboma, parmi lesquels, les délégations venues de la République Démocratique du Congo et du Togo.

Au terme de l’eucharistie, Mgr Urbain Ngassongo a salué la présence de ses confrères Mgr Victor Abagna Mossa et Mgr Yves Marie Monot, respectivement Évêques d’Owando et de Ouesso. Il a par ailleurs lancé un message de paix pour le Département du Pool (Diocèse de Kinkala). 

Séverin MOUSSAVOU,                               Brazzaville, pour Radio Vatican

 
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RD CONGO :Clôture des quinzièmes Journées diocésaines des jeunes de Mahagi-Nioka

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L’évêque de Mahagi-Nioka, dans la province de l’Ituri, Mgr Sosthène Ayikuli, a célébré la messe de clôture des quinzièmes Journées diocésaines des jeunes dans la cour de l’église paroissiale Notre-Dame du bon secours de Biringi.

Les Journées diocésaines ont réuni du 27 au 31 juillet quelque 2500 jeunes venus des dix-neuf paroisses et quasi-paroisses du diocèse. Des jeunes, accompagnés de leurs aumôniers, sont venus aussi des diocèses voisins d’Isiro-Niangara et de Dungu-Doruma. Ils sont venus aussi de l’Ouganda, et une centaine sont parmi les 3000 réfugiés du Soudan du sud, dont un prêtre, le père Lazaro.

« Jeunes, soyez missionnaires pour l’élan et la promotion de la famille » était le thème général. Mgr Ayikuli a parlé de : « Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel. » L’évêque a recommandé aux jeunes de se trouver un accompagnateur, un couple, un prêtre ou un consacré pour les aider à bien choisir pour le mariage ou la vie consacrée et sacerdotale.

A la fin de la messe, l’évêque de Mahagi-Nioka a béni tous les jeunes, il a particulièrement remercié les jeunes de l’Ouganda et du Soudan du sud, et il a exprimé le souhait de voir les liens de fraternité grandir entre les trois pays.

P. Jean-Baptiste MALENGE Kalunzu,                   Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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CAMEROUN : les obsèques de Mgr Jean Marie Benoit BALA célébrées dans une grande solennité

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Le feuilleton sur la mort de Mgr Jean Marie Benoit Bala ouvert avec sa disparition le 31 Mai 2017 vient de finir. Après la levée de corps mercredi 02 Aout à l’Hôpital Général de Yaoundé, une messe de requiem a été célébrée en la Cathédrale Notre Dame des Victoires présidée par le Nonce Apostolique au Cameroun et en Guinée Equatoriale. Installé en sa Cathédrale, une série de messes a donné lieu à une nuit de prière et de recueillement pour le repos de son âme. Son inhumation en la Cathédrale Saint Sébastien au quartier Gondon à Bafia ce 03 Aout 2017 était le dernier épisode. L’émoi était à son comble. Ceux qui l’ont connu et côtoyé évêques du Cameroun, du Gabon et de la Guinée Equatoriale, de Digne en France, prêtres, religieuses, amis et connaissances, membres de sa famille, membres du Gouvernement sont venus lui dire leurs derniers adieux. Pleins de souvenirs ont été évoqués en sa mémoire. Un travailleur, un homme de paix qui savait prendre de son temps pour écouter et prodiguer un conseil. En présence de Son Excellence Mgr Pioro PIOPPO, Nonce Apostolique au Cameroun et en Guinée équatoriale, des hommages solennels ont été rendus au serviteur de Dieu pour l’immensité de la mission accompli.  C’était à la place des fêtes de Bafia. Mgr Jean Marie Benoit BALA, dans sa douceur a réussi à construire une église fraternelle dans le Mbam d’où ce slogan qui était devenu leur cri de ralliement : « dans la fraternité, le Mbam vivra ». Son âme a été confiée au Seigneur. Que son âme repose en paix.

Sr Cécile Eveline NSENG,                           Yaoundé, pour Radio Vatican

 
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RWANDA: Le Diocèse de Byumba a célébrée la journée de l’enfance missionnaire, ce lundi 7 Aout 2017

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Ce lundi, 7 Aout 2017, le Diocèse de Byumba a célébré l’événement triple de la journée de l’enfance missionnaire, le jubilé de 100 ans de sacerdoce au Rwanda et le pèlerinage annuel des enfants. L’ordinaire du lieu, Mgr Servilien NZAKAMWITA, dans son message, a appelé  les parents et tous les éducateurs à  laisser les enfants approcher Jésus.

Le Nonce Apostolique au Rwanda, Mgr Mgr Andrzej Józwowicz, qui a précédé la messe est revenue sur la genèse de cette journée : « La journée internationale de l’œuvre pontificale de l’enfance missionnaire a été voulue et fondue par le Saint Père Pie 12 en 1950, le jour de l’Epiphanie du Seigneur afin de créer une conscience missionnaire chez les enfants et les jeunes en vue d’établir un lien avec tous les enfants et les jeunes du monde entier mais surtout ceux vivant dans des pays qui souffrent et qui sont dans le besoin ».  Les jeunes sont l’espérance de la mission a-t-il ajoutée, le Nonce apostolique, citant le Pape François  dans la partie finale du message pour la prochaine journée missionnaire mondiale. Cette journée a réunie plus de 2500 enfants venant des vingt  paroisses du Diocèse de  Byumba.

Diogène NDAGIJIMANA,                            Rwanda, pour Radio Vatican

 
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BURKINA FASO : célébration des vœux perpétuels, jubile d’argent et jubile d’or

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La Cathédrale Notre Dame de Lourdes de l’Archidiocèse de Bobo-Dioulasso a servi de cadre de célébration  des   vœux perpétuels  de huit sœurs de l’Annonciation de Bobo et du jubilé d’or et d’argent de vie religieuse de onze autres dans cette famille religieuse.

La célébration eucharistique présidée par son excellence Monseigneur Jean-Baptiste TIAMA, évêque de Sikasso au Mali, a connu la présence de sept autres évêques, ainsi que de nombreux prêtres, religieux et religieuses et  des  parents, amis et connaissances, venus du Burkina, de la Côte d’Ivoire et du Mali.

Pour Mgr TIAMA, quel qu’ait été le parcours des sœurs en honneur ce 1er Août, il y a lieu de rendre grâce au Seigneur en qui   elles se sont confiées.  Car c’est lui qui a daigné accueillir les premiers dons qu’elles ont fait de leur vie et les a accompagnées jour après jour dans leur oui jusqu’à ce jour béni. L’évêque de Sikasso a ensuite recommandé aux sœurs professes et jubilaires, de savoir alors donner au monde ce qu’elles ont reçu de Dieu : le Christ qu’il faut leur faut aimer et annoncer.

Au terme de la célébration, Mère Léa BELEMSAGA, supérieure générale des sœurs de l’Annonciation de Bobo, a félicité les  élues du jour, et a invité tous les fidèles chrétiens à les  accompagner par la prière et les conseils, afin qu’elles vivent au mieux les  engagements pris devant Dieu et devant les Hommes, fidèlement, jusqu’au bout.

Paul DAH,                        Ouagadougou, pour radio Vatican

 
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RD CONGO : première Journée d’excursion catéchétique des jeunes au diocèse de Kikwit

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Au diocèse de Kikwit, dans la province du Kwilu, Mgr Timothée Bodika a inauguré, le samedi 5 août, une série d’excursion-catéchétique. Dans la cour du lycée Siama, l’évêque de Kikwit a célébré la messe pour quelque 2000 jeunes. Il les a ensuite entretenus autour du thème : « Les jeunes, la foi, le discernement vocationnel. » L’évêque de Kikwit prépare ainsi les jeunes de son diocèse à suivre le prochain synode des évêques sur le thème de la jeunesse. L’évêque a demandé aux jeunes de ne pas avoir peur de s’exprimer.  Les jeunes ne doivent pas être comme des gens qui contemplent le monde. Ils ont à dire et à faire pour le progrès de l’humanité et de l’Eglise. L’évêque de Kikwit a invité les jeunes au discernement de leur vocation avec l’aide de personnes avisées. N’hésitez pas, a dit Mgr Bodika, à répondre à l’appel de Dieu soit au mariage soit à la vie consacrée. L’évêque de Kikwit a aussi invité tous ceux qui ont la charge d’encadrer les jeunes à les aider à voir loin pour qu’ils deviennent des personnes utiles dans la société. A leur tour, les jeunes ont posé beaucoup de questions à l’évêque et ils ont ainsi engagé un dialogue avec lui. Le chômage des jeunes, le manque de modèles à suivre, le scandale dans l’Eglise , le tribalisme dans l’embauche, la menace des sectes, la corruption dans les milieux éducatifs, les contrevaleurs véhiculés par les médias, voilà autant de thèmes abordés dans les questions des jeunes auxquels l’évêque de Kikwit a répondu. L’excursion-catéchèse sera désormais organisée chaque année pendant les grandes vacances scolaires.

P. Jean-Baptiste MALENGE Kalunzu,                   Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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BENIN : Vœux perpétuels chez les Sœurs dominicaines

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La paroisse Yeesu Kparo Geo du Diocèse de N’dali a accueilli, le samedi 29 Juillet 2017 les vœux des sœurs Marthe Amoussou Abadahoué et Martine Awa Zoug- more, toutes deux membres de la famille religieuse des Sœurs dominicaines de l’Anuciata. Respectivement issue de la paroisse Saint Charles luwanga d’Agla dans l’archidiocèse de Cotonou, de nationalité béninoise et native de Paouignan dans le diocèse de Dassa-Zoumè, puis originaire du Burkina-Faso et née à Bonoua en CÔTE- D’IVOIRE, Marthe et Martine ont été entourées de nombreux fidèles chrétiens catholiques, de religieuses et religieux ainsi que de  plusieurs prêtres concélébrants autour de l’ordinaire du lieu, Mgr Martin Adjou-Moumouni qui a présidé à la messe d’action de grâce en présence de la Sœur Carmen Bosch, Supérieure du Vicariat Saint François Coll d’Afrique des Sœurs dominicaines de l’Anuciata entre les mains desquelles les nouvelles professes ont émis leurs vœux. A en croire le Père Anicet, Dominicain sollicité pour prononcer  l’homélie, « les professes sont invitées à toujours tenir à l’amour, centre de toute vocation, de tout appel ». Il les a exhortées à « tout quitter, tout laisser  et accepter de se perdre afin de gagner le Christ ». Il les a surtout conviées  à « être partout témoins  de la Miséricorde : la Sœur Marthe auprès des jeunes et la Sœur Martine aux côtés des enfants ».

Guy DOSSOU-YOVO,                      Cotonou, pour Radio Vatican

 
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BENIN : Vie religieuse à l’honneur à Abomey

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50 ans de vie religieuse et trois vœux temporaires au sein de la communauté des Sœurs Apôtres du Sacré-Cœur de Jésus ! C’est ce double motif d’action de grâce qui a mobilisé, le samedi 29 juillet 2017 autour de la sœur jubilaire, Bertilla Valtulina et des nouvelles professes Victoire Sifonnou de la paroisse Notre-Dame du Sacré-Cœur de Bannikani, Chimène Afadonougbo de la paroisse Saint Enfant Jésus d’Adagamè et Maurine Kinvognédo de la paroisse Notre-Dame de l’Assomption d’Agnangnan, plus d’une trentaine de prêtres concélébrants, des religieuses et religieux toutes congrégations confondues ainsi que de nombreux fidèles chrétiens laïcs venus les soutenir de leurs prières. C’est la paroisse Christ Roi de l’univers de Djimè- Houawé – Soglogon avec son curé, le Père Jean-Baptiste Djessoukpo dans le diocèse d’Abomey qui ont abrité la messe d’action de grâces  présidée par l’évêque du lieu, Mgr Eugène Cyrille Houndékon qui, à partir des textes de la liturgie de jour a aidé les fidèles à  comprendre que « devenir femmes et hommes de Dieu, c’est recevoir et répondre  après Abraham à  l’appel : ‘’Quitte ta parenté et la maison de ton père, et va…, et tu deviendras une bénédiction’’. C’est  éprouver avec  Jésus la joie pour chanter les louanges de notre Père qui donne  de servir dans le monde pour le salut des âmes. C’est surtout aller trouver le repos et conduire au repos auprès du Christ les hommes qui peinent sous le poids des fardeaux de tous genres ».

Guy DOSSOU-YOVO,                      Cotonou, pour Radio Vatican

 
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BENIN : Pèlerinage à Dassa-Zoumè

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Les fidèles de la paroisse Saint Michel de Cotonou étaient  les 29 et 30 Juillet 2017, au  pied de la Vierge Arigbo de Dassa-Zoumè en pèlerinage,  dans le cadre des 80 ans de création de la paroisse. Sous la présidence de leur Curé, le Père Augustin Placide Houéssinon, Sma. Ils étaient plus de six cents paroissiens à vivre ce temps fort marial en prélude à celui jubilaire qu’organise la paroisse en Terre Sainte du 25 Octobre au 04 Novembre 2017. « A l’école de Marie, apprends à connaître et à aimer Jésus-Christ, Visage de la Miséricorde dans la vérité et dans l’amour ».  C’est le thème du pèlerinage que les organisateurs ont monnayé en trois sous-thèmes à savoir : ‘‘L’éducation des enfants : valeurs à communiquer’’ animé par le Père Brice Ouinsou ; ‘’’éducation par la santé du corps et la saine alimentation’’  par Mme Danielle Pliya et « A l’école de Marie, apprends à connaître et à aimer Jésus-Christ, Visage de la Miséricorde de Dieu dans la vérité et dans le bien » développé par le Curé. Au-delà de la bénédiction  des objets de piété et l’envoi en mission conférés aux pèlerins par Mgr. François Gnonhossou, évêque de Dassa-Zoumè après la présentation officielle aux fidèles de la toute nouvelle Vice-Présidente du Conseil pastoral paroissial de la paroisse en la personne de Mme Francine Aïssi – Houangni au cours de la messe inaugurale du pèlerinage qui leur a été dite par le recteur du sanctuaire marial, le Père Jean-Benoît Gnambodè, la messe de clôture du pèlerinage a permis au Père Houéssinon, Sma, d’exhorter à l’homélie,  les pèlerins à toujours « rechercher Dieu en tout et  à accueillir sa présence ».

Guy DOSSOU-YOVO,                      Cotonou, pour Radio Vatican

 
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TCHAD : célébration de la fête de la Transfiguration du Seigneur

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Plusieurs activités ont précédé et marqué la fête de la transfiguration  du Seigneur célébrée le dimanche 6 août 2017 dans différents diocèse du Tchad.

Dans le diocèse de Doba, après 5 jours d’échanges et de partages, la Rencontre  de l’Equipe nationale des responsables de bureaux diocésains du Tchad du mouvement Kemkogui de l’apostolat des enfants à pris fin par une messe d’action de grâce célébrée à la cathédrale de Doba  par l’Abbé Grégoire Ngarmadji. 

L’évaluation des activités de la campagne d’année  de l’année pastorale 2016-2017 placé sous le thème : Kemkogui, dans l’esprit de la solidarité et de la miséricorde, soyons enraciné dans nos famille et dans l’église pour construire un monde prospère, la vie des enfants dans le mouvement kemkogui, l’élaboration de la nouvelle campagne d’année pour l’année pastorale 2017-2018 sont au cœur de la rencontre de Doba.

Il ressort des différents rapports présentés par les délégations  diocésaines que la situation des enfants devient de plus en plus inquiétant. Nombres d’enfants ne sont pas scolarisés, certains vendus par leurs propres parents comme enfants bouviers. 

La marginalisation des enfants adoptifs, le non-respect des droits de l’enfant et le mariage précoce des enfants ne sont pas perdu de vue.

Dans le vicariat de Mongo, ce sont les jeunes du mouvement jeunesse estudiantines Chrétiens de l’archidiocèse de N’Djaména qui ont fait le déplacement dans ce vicariat pour leur camp de fin d’année. Placé sous le thème : jeunes transcendons  nos clivages, soyons artisans de paix dans notre société, ce camps donne également l’opportunité à ces jeunes d’évaluer l’année pastorales écoulée. Ce camp faut-il le préciser prendra fin le 12 aout prochain.

Les membres de l’association des anciens Kemkogui ADAK de l’archidiocèse eux ont évalué le 5 aout dernier,  l’année pastorale 2016-2017. La question du mariage des enfants et la non scolarisation de nombreux enfants a fait l’objet des débats.

Ce  5 aout, c’est également la rentrée  au Grand Séminaire Saint Luc de Bakara. 39 séminaristes ont été accueilli dans cette maison de formation, par le Recteur l’abbé Dominique Tinodji et le staff des formateur.

A Batchoro dans le diocèse de Laï, c’est l’association des guides du Tchad qui organise une formation à l’intention des filles de ce diocèse sur plusieurs thèmes variés dont le mariage des enfants et sur les droits de l’enfant.

 Edouard TAKADJI,                                     N’Djaména, pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : les sœurs canossiennes se forment à la culture médiatique

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Une trentaine de sœurs Filles de la charité servantes des pauvres, les canosiennes, ont entamé, le jeudi 3 août, à Aru, dans la province de l’Ituri, une session de cinq jours de formation à la culture médiatique. Venues des communautés de Kisangani, Bunia, Watsa, Ariwara et Kinshasa, soit de cinq diocèses, elles sont réunies dans les locaux du lycée Adia Lemi d’Aru. La formation est assurée par deux membres de l’équipe internationale des formateurs du Centre de Recherche et d’Education en Communication, le CREC, monsieur l’abbé Janvier Yameogo du Secrétariat pour la communication du Saint-Siège et le père Jean-Baptiste Malenge, professeur de communication et de philosophie et correspondant de Radio Vatican à Kinshasa.

Pourquoi les sœurs canosiennes organisent-elles cette formation ? La supérieure provinciale du Congo, sœur Joséphine Dusi a répondu : « C’est pour mieux connaître les moyens de communication, leur utilité et leur utilisation responsable selon les recommandations de l’Eglise pour vivre avec fidélité les exigences de notre consécration dans cette société que nous avons organisé cette formation. Ainsi, nous espérons qu’elle nous donnera les lumières nécessaires pour chercher toujours la volonté de Dieu sans nous laisser emporter par la mentalité du monde. Etant donné que notre fondatrice, sainte Madeleine de Canossa, nous a demandé de marcher avec le temps, cette formation nous aidera certainement à être à la page et à devenir plus créatives pour vivre notre mission de faire connaître et aimer Jésus à cette société médiatique où nous sommes appelées à être des témoins joyeux et prophétiques ».

P. Jean-Baptiste MALENGE Kalunzu,                   Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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TCHAD : atelier de formation sur les techniques de plaidoyer et de responsabilité sociale

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Le  2 aout 2017, après  3 jours des travaux, l’atelier de formation sur les techniques de plaidoyer et de responsabilité sociale organisé par la plateforme interconfessionnelle a pris fin dans les locaux de la Conférence Episcopale du Tchad. 45 jeunes venus de trois confessions religieuses constituant la plateforme interconfessionnelle ont pris part à cette formation qui leur permet d’être désormais des acteurs de plaidoyer de demain pour le bien être d’autres jeunes non seulement de ceux de N’Djaména mais de l’ensemble du pays.

Outiller ces jeunes en technique de plaidoyer pour qu’ils soient capables de défendre leurs droits, de participer à la prise de décision qui engage leur avenir mais aussi de les aider à jouer pleinement leur rôle dans la société est le but fixé par les organisateurs de cette formation.

La place de la jeunesse dans la société, la charte africaine des droits de l’enfant, les techniques de plaidoyer, la vision chrétienne et islamique du mariage des enfants sont entre autres, les thèmes ayant fait l’objet de cette formation.

Le coordinateur de la plateforme interconfessionnelle, l’abbé Romain Guélbé a souligné que cette formation est venu à point nommé et aidera ces jeunes non seulement à être responsables mais aussi d’aider les autres jeunes à une prise de conscience. Notons que c’est pour la première fois que la plateforme interconfessionnelle organise une telle formation.

Edouard TAKADJI,                          N’Djaména, pour Radio Vatican

 
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BENIN: des Lecteurs en pèlerinage à Allada

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Ils étaient près de 900 lecteurs des différentes paroisses de l’archidiocèse de Cotonou à se rendre du vendredi 04 au dimanche 06 Août 2017 en pèlerinage diocésain annuel au pied de la Vierge Marie, Notre-Dame de la Divine miséricorde au sanctuaire marial d’Allada. Avec leur aumônier diocésain, le Père Saturnin Nougbodohoué et leur coordonnateur, le frère Raphaël Zossoungbo de la paroisse Saint Joseph de Gbodjè,  ils ont réfléchi autour du thème : « Comment aimer le Christ, vrai visage de la miséricorde du Père » que le frère Vivien Kouwanou de la Radio Immaculée conception d’Allada leur a développé. Ici l’occasion a été surtout donnée à l’orateur d’aider les pèlerins  à comprendre davantage comment connaître le Christ et comment l’aimer pour y découvrir le vrai visage de la miséricorde du Père à travers la culture du pardon, d’humilité dans le service de la Parole de Dieu. Et profitant à l’homélie de la méditation des textes de ce dimanche 06 août, fête de la transfiguration du Seigneur, le Père Nougbodohoué a exhorté les lecteurs à savoir écouter le Christ. « Ecouter, leur a-t-il dit, ce n’est pas seulement prêter oreille ; c’est intérioriser la parole et agir en conséquence. Car, on ne peut écouter quelqu’un que lorsqu’on a confiance en lui, parce que sa parole est crédible ». Pour l’aumônier des lecteurs de l’archidiocèse, « écoutez-le » entendu à la transfiguration est une « injonction de Dieu le Père nous poussant à aller souvent au pied de Jésus pour mieux l’écouter, mieux proclamer sa Parole  pour  en vivre en vrais  disciples du Christ, sel de la terre et lumière du monde.

Guy DOSSOU-YOVO,                      Cotonou, pour Radio Vatican

 
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UNICEF: O mundo salve as crianças esfomeadas e violentadas na RDC

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“O mundo não deve fechar os olhos perante a trágica situação em que se encontram as crianças e as famílias na região do Grande Kassai, na República Democrática do Congo; situação ligada às  terríveis violências perpetradas pelo Governo e os grupos filo-governamentais de um lado, e pelas milícias antigovernamentais, de outro.

O UNICEF, Fundo das Nações Unidas para a Infância, lança um premente apelo, chamando também a atenção para as crescentes necessidades humanitárias daquele país africano, onde as contendas políticas se agudizaram depois que o Presidente Joseph Kabila, no poder desde 2001, manifestou a intenção de não abandonar o poder no final do seu mandato fixado para 19 de Dezembro de 2016 e de querer modificar a Constituição por forma a poder concorrer para um terceiro mandato.

De nada serviu a tentativa de trazer a paz social ao país mediante um acordo alcançado entre as partes no passado dia 31 de Dezembro, com a mediação dos bispos católicos. O acordo previa a manutenção de Joseph Kabila no poder até à realização das eleições até finais deste ano de 2017 e a nomeação de um governo de transição. Mas, até hoje, não se conseguiu criar esse tal governo.

Um dos sinais inquietantes é o homicídio de dois peritos das Nações Unidas e do seu interprete, cujos corpos foram encontrados no passado dia 29 de Março numa fossa. Eles tinham ido à RDC para verificar as sanções impostas ao Governo de Kinshasa pelo Conselho de Segurança da ONU.

Um preço alto, no clima de insegurança geral, está  também a pagar a Igreja católica, que lançou um apelo às autoridades congolesas pedindo-lhes para libertarem dois sacerdotes raptados na noite de 16 para 17 de Julho, na Diocese de Beni-Butembo no Norte do Kivu. E não se têm notícias do paradeiro de outros sacerdotes sequestrados em Outubro de 2012.

   

A população da RDC, mais de 80 milhões de pessoas , é quem mais sofre. Terça-feira, 8 de agosto, foram pelo menos 12 as pessoas mortas em Kinshasa com armas de fogo em diversas zonas da cidade, entre as quais nas proximidades da prisão no centro da capital assaltada no passado mês de maio e donde fugiram 4 mil prisioneiros.

Entre as zonas mais atingidas pelos sangrentos confrontos, está a do Kassai, região mineira, base dos apoiantes e terra natal de Etienne Tshiekedi, histórico opositor do Presidente Kabila, falecido no passado em Fevereiro deste ano. Ali, um milhão de pessoas foi obrigada, nos últimos 12 meses, a abandonar as suas casas. De entre elas, 850 mil crianças. O Alto Comissariado da ONU para os Refugiados (ACNUR ) denunciou na semana passada “crimes contra a humanidade” e “práticas de limpeza étnica” perpetradas contra a população, tanto por soldados governamentais como pela milícia rebelde. Nos últimos três meses – documentou a agencia da ONU – mais de 250 civis foram assassinados, e entre eles 62 crianças em grande parte com menos de 8 anos. Na região foram encontradas 80 fossas comuns e entre os sobreviventes em fuga, cerca de 40 mil foram para a vizinha República de Angola. Entre elas se encontram pessoas mutiladas de maneira atroz. Elas contaram episódios inimagináveis de familiares queimados vivos nas suas casas incendiadas, de violação sexual de crianças e adolescentes, inclusive obrigados a beber o sangue dos seus pais mortos.

Daí “um apelo muito sério dirigido pela ACNUR ao Governo da RDC e ao Presidente Kabila a fim de que “intervenham imediatamente para impedir o expandir-se da violência” e “para respeitar a obrigação de proteger toda a população qualquer que seja a sua etnia de pertença, na região de Kassai”  

A infância violada de todos os modos, “nada pode justificar estas acções”: é o grito de ajuda que lançou Marie-Pierre Poirier, Directora regional do UNICEF para a África setentrional e central.

Quando acolhemos os imigrantes na nossa costa devemos pensar também em tornar possível a vida nos seus países – frisa por sua vez Giacomo Guerrera, Presidente do UNICEF- Itália, relançando o convite à comunidade internacional a intervir rapidamente a fim de salvar pelo menos 400 mil crianças congolesas da má-nutrição aguda e grave que, associada às consequentes patologias, torna impossível a sua recuperação.

Roberta GISOTTI e David RUI SAMBO,                        para a Rádio Vaticano

 
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BRASIL – Difusão da história da África e dos Afro-brasileiros

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No Rio de Janeiro foi descoberto em 2011 as ruínas do “Cais do Valongo”, porta de entrada de pelo menos um milhão de africanos levados como escravos para a América do Sul.

Construído em 1811, esse Cais sofreu, ao longo dos tempos, várias transformações, até ser completamente aterrado em 1911. Virá a ser revelado em 2011 e, a 9 de passado mês de Julho, foi proclamado pela UNESCO, Património Mundial da Humanidade. Uma forma de preservar a memória histórica do Tráfico Transatlântico de africanos e da escravidão e fazer com que essa tragédia humana não volte mais a acontecer.

A preservação do Sítio Arqueológico, Cais do Valongo, e o seu aproveitamento para actividades educativas é da competência da Prefeitura Municipal do Rio de Janeiro – disse à Radio Vaticano Rebeca Otero, Coordenadora interina da Cultura da UNESCO/Brasil. Mas, a UNESCO – acrescentou – vai colaborar com o Município numa série de actividades viradas para a sensibilização acerca da história, da cultura e da situação de vida dos afrodescendentes. Sensibilizar neste sentido é, de facto, um dos objectivos da Década Internacional dos Afrodescendentes estabelecida pela ONU e que vai de 2015 a 2024.

Uma dessas actividades em que a UNESCO/Brasil vai colaborar com o Município do Rio é a construção, nas proximidades do Sítio Arqueológico, Cais do Valongo, de um Museu da Escravidão e da Libertação. Além disso – recordou Rebeca Otero - a UNESCO colaborará na elaboração de uma série de materiais didácticos para o ensino da História da África e Afro-brasileira nas escolas, ensino que se tornou obrigatório com a Lei, 10.639 de 2003.

A propósito da história da África, é importante recordar que em 1964, a UNESCO dava inicio à imensa tarefa de contar essa história na perspectiva dos próprios africanos. 30 anos depois, esse trabalho de centenas de cientistas, na sua maioria africanos, dava origem a uma Colecção “História Geral da África” em 8 volumes editados em inglês, francês e árabe. Agora está em curso a elaboração de um 9º volume que incluirá a descolonização, o fim do Apartheid e a diáspora.

Sendo o Brasil o país com a maior diáspora africana no mundo, para além de ter traduzido para o português os 8 precedentes volumes, está agora amplamente envolvido na elaboração deste nono volume da História Geral da África – afirmou Rebeca Otero.

Este esforço do Brasil em ampla escala e por etapas na elaboração de instrumentos pedagógicos  sobre a história da África e dos afro-brasileiros vai de encontro aos objectivos da Década Internacional dos Afrodescendentes (2015-2024) que incluem a sensibilização  sobre a realidade passada e presente dos afrodescendentes no mundo. E um contributo valioso para esta acção de sensibilização é agora o Cais do Valongo, Património Mundial da Humanidade.

No mesmo encontro em que a UNESCO incluiu esse Cais na sua lista de Património da Humanidade, adquiria também o mesmo título, a cidade angolana de Mbanza Kongo, um local que não é de todo estranho à questão do Tráfico Transatlântico de africanos, na medida em que do contacto bem intencionado desse Reino com os portugueses surgiu, infelizmente, a escravatura, iniciada por estes últimos. Pode-se então pensar nalguma actividade conjunta que envolva essas duas realidades: o Cais do Valongo e Mbanza Congo? Rebeca Otero afirma que até agora não se pensou nisso, mas que não é de excluir, tanto mais que Angola é um país de língua portuguesa.

Dulce ARAUJO                                – Programa Português/Rádio Vaticano 

 
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CABO VERDE: quer “qualidade” na sua próxima presidência da CPLP

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O objectivo foi sublinhado no passado dia 4 em Lisboa no final de uma audiência entre a secretária executiva daquela organização e o chefe da diplomacia cabo-verdiana.

O Ministro dos Negócios Estrangeiros e das Comunidades de Cabo Verde, Luís Filipe Tavares, espera que esta presidência, prevista para 2018-2020, possa ter “uma componente cultural muito forte”, e aposte “nas questões da mobilidade, da cidadania e na promoção da língua portuguesa”.

Em cima da mesa estiveram também as próximas eleições em Angola previstas para 23 deste mês.

Maria do Carmo Silveira, secretária executiva da Comunidade de Países de Língua Portuguesa confirmou que a organização se prepara para enviar uma missão de observadores às eleições angolanas que será chefiada pelo ex-Presidente da República de São Tomé e Príncipe, Miguel Trovoada. Por sua vez o chefe da diplomacia de Cabo Verde disse esperar que as eleições angolanas decorram “num clima de paz”, e “num ambiente cada mais democrático, de liberdade”.

Quanto à situação na Guiné-Bissau, a Secretária Executiva da CPLP afirmou que se está perante uma questão interna e que os guineenses estão melhor colocados para a resolver, mas que a CPLP está preocupada com o alastrar da situação e tem manifestado a sua disponibilidade para ajudar através de uma plataforma de entendimento.

Domingos PINTO                              – Lisboa, para a Rádio Vaticano

 
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Pain hebdomadaire du catholique. Dix-neuvième dimanche ordinaire année A. Dimanche 13 août 2017. Par Ambassadeur Théodore C. LOKO

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I Traits définitoires du laïcat

Les laïcs constituent l’ensemble des chrétiens qui ne sont pas membres de l’ordre sacré et de l’ordre religieux (Lumen Gentium n° 31, cf. Can 207 §1) et qui, de par leur baptême, en leur qualité de fidèles, sont incorporés au Christ et intégrés au peuple de Dieu, d’où leur participation, à leur manière, à la fonction sacerdotale, prophétique et royale du Christ (cf. Can 204 §1). "Tous les laïcs ont le devoir et le droit de travailler à ce que le message divin du salut atteigne sans cesse davantage tous les hommes de tous les temps et de tout l'univers" (Can 211).

La foi est un acte personnel : la réponse libre de l’homme à l’initiative de Dieu qui se révèle. Mais la foi n’est pas un acte isolé. Nul ne peut croire seul, comme nul ne peut vivre seul. Nul ne s’est donné la foi à lui-même comme nul ne s’est donné la vie à lui-même. Le croyant a reçu la foi d’autrui, il doit la transmettre à autrui. Notre amour pour Jésus et pour les hommes nous pousse à parler à autrui de notre foi. Chaque croyant est ainsi comme un maillon dans la grande chaîne des croyants. Je ne peux croire sans être porté par la foi des autres, et par ma foi, je contribue à porter la foi des autres (Cathéchisme de l’Eglise catholique, Première partie, première section, chapitre troisième, article 1er).

II Textes du jour : 1 Rois 19,9a.11-13a ; Psaume : 84 ; Romains 9,1-5 ; Matthieu 14,22-33

III Commentaire

Les textes bibliques de ce dimanche nous invitent à corriger l’idée que nous nous faisons de Dieu. Comme Élie, comme Paul et comme les apôtres, nous risquons de nous faire de fausses idées sur le vrai Dieu. Mais si nous prenons le temps de le rencontrer dans la prière, nous comprendrons mieux ce qu’il attend de nous. C’est dans le cœur à cœur avec lui que notre foi se purifie.

Élie est l’une des grandes figures prophétiques. Au IXème siècle avant notre ère, il n’a cessé de se heurter à l’arbitraire du pouvoir royal d’Acab et de Jézabel. Poursuivi par leur vindicte, il s’enfuit au désert où il refait, mais à rebours, le chemin qui avait conduit Israël de l’Égypte en Terre promise. Il rejoint ainsi le désert où Dieu avait accordé à son peuple la nourriture nécessaire à sa survie. À Élie, sous le genêt, il donne le pain et l’eau qui non seulement refont ses forces, mais le soulagent suffisamment de son désespoir pour qu’il aille jusqu’au Mont Horeb (autre désignation du Sinaï) où Moïse avait été en présence de Dieu dans le feu, le tonnerre et les tremblements de la terre. À Élie, la Présence se manifeste en son contraire : littéralement, dans « le son subtil d’une brise légère ». Dieu vient donc à lui dans une discrétion telle qu’elle devient extrême proximité. Moment capital où rien ne se passe au dehors, où rien n’est dit, mais reconnu dans un geste d’acquiescement et d’abandon. La parole se suspend comme pour laisser l’alliance se renouveler « en esprit et en vérité » (Jn 4, 23). Élie peut repartir et continuer son œuvre. Trop souvent peut-être, nous cherchons à faire l’expérience de Dieu dans une sorte d’immédiateté, dans des signes plus ou moins tangibles, quand c’est ailleurs qu’il attend de nous révéler ce qu’il veut nous faire connaître de Lui. « Dans certains moments privilégiés, la paix règne soudain dans l’âme par une douce clarté… Il suffit de ne pas se défendre. » (Sándor Márai, Divorce à Buda).

Dans l’Evangile, c’est Jésus lui-même qui vient remettre les choses « à l’endroit ». Rappelons-nous : il vient de multiplier le pain pour nourrir une foule affamée. Imaginons l’excitation de tous ces gens. Les uns et les autres pensent qu’ils ont trouvé le roi qui les libèrera de l’occupant étranger. Jésus se rend compte de ce piège et il fait tout pour que ses disciples n’entrent pas dans ce jeu. C’est pour cela qu’il les renvoie de toute urgence vers l’autre rive. À travers cet événement, il veut nous faire comprendre que le Royaume de Dieu ne correspond pas à l’idée que nous nous en faisons. Pour y entrer, il nous faut quitter notre petit confort, nos certitudes, nos  habitudes. Le Christ nous donne rendez-vous sur « l’autre rive ».

Le récit de la barque nous renvoie une image de l’Église avec Pierre comme le prototype du croyant. Elle affronte les tempêtes, le doute, mais elle se rassemble et partage le pain. Jésus est alors au milieu d’elle : « Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. » (Mt 28, 20). Quand nous vivons nos tempêtes et que nous affrontons nos doutes, nous sommes liés à Jésus par une foi et une confiance indéfectible. Voilà le vrai miracle.

Nous voyons dans la deuxième lecture que l’apôtre Paul s’était lui aussi trompé sur Dieu. Dans un premier temps, il a violemment persécuté les chrétiens. Mais un jour, il a rencontré Jésus sur le chemin de Damas. Pour lui, ce fut le point de départ d’une véritable conversion. " Vérité, le principe de ta parole ! Pour l’éternité, tes justes jugements " (Ps 119, 160). " Oui, Seigneur Dieu, c’est Toi qui es Dieu, tes paroles sont vérité " (2 S 7, 28) ; c’est pourquoi les promesses de Dieu se réalisent toujours (cf. Dt 7, 9). Dieu est la Vérité même, ses paroles ne peuvent tromper. C’est pourquoi on peut se livrer en toute confiance à la vérité et à la fidélité de sa parole en toutes choses. Le commencement du péché et de la chute de l’homme fut un mensonge du tentateur qui induit à douter de la parole de Dieu, de sa bienveillance et de sa fidélité. (CEC 215)

 
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La revue de la presse catholique africaine, Dimanche 06 août 2017

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Partons tout d’abord, pour cette Revue de la Presse catholique africaine dominicale au Bénin où La CROIX nous signale le camp missionnaire des séminaristes qui vient de se clôturer à la paroisse Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face d’Azowlissè. Il a rassemblé, du 15 au 25 juillet, 42 petits séminaristes de différentes paroisses de Cotonou. « Pendant ce séjour, la fraternité a été cultivée au sein du groupe des séminaristes ; elle s’est solidifie ; de nouvelles amitiés se sont nouées aussi », fait remarquer Armando Honfoga, lui-même séminariste, dans les colonnes de l’hebdomadaire catholique.

En Algérie, le Portail EGLISE D’ALGERIE annonce que le « Conseil des Patriarches catholiques d’Orient se réunira à partir du 10 août 2017 à Dimane, résidence d’été du Patriarcat maronite, pour faire le point sur la situation complexe des communautés catholiques autochtones du Moyen-Orient ». Nous suivrons cela avec grand intérêt !

Au Gabon aussi, le portail EGLISE CATHOLIQUE AU GABON, nous adresse une annonce : « La ville de Koulamoutou accueille, du 29 août au 03 septembre 2017, les Journées nationales du Renouveau charismatique catholique gabonais ». Le portail annone ensuite les dispositions pratiques pour prendre part à cet événement en insistant : « compte tenu du trafic important des vacances, les places doivent être réservées deux semaines avant ».

A Madagascar, le quotidien La CROIX nous donne… « Les 10 commandements du chrétien en vacances » ! Eh ! Oui, jouir de son temps de repos est un droit, mais il a aussi ses devoirs, nous rappelle le journal de la Grande Ile. « Un chrétien (ou une chrétienne) en vacances est-ce le chrétien qui prend la liberté d’arrêter de penser à Dieu ? De faire le vide et de prendre congé de Dieu ? », nous demande le journal avec une réponse évidente : non ! « Une petite Bible ; ou une vie de saint à redécouvrir ; ou, pourquoi pas, un petit ouvrage de théologie ; le petit Magnificat », à glisser dans sa valise, fait partie des 10 commandements  présentés.

Enfin, au Congo où La SEMAINE AFRICAINE de Brazzaville a couvert le 2è tour des législatives dimanche passé, le bihebdomadaire signale que les choses ne se sont pas passées au mieux : « 94 candidats dans 47 circonscriptions, dont 7 à Brazzaville. Malheureusement, ce scrutin, comme au premier tour, a connu des dysfonctionnements, des cas de fraudes massives ainsi que quelques incidents, notamment dans les deuxième et troisième circonscriptions de Ouenzé, la première circonscription de Moungali et celle de Poto-Poto, ainsi qu’à Madibou », énumère Cyr Armel Yabbat-Ngo qui constate, quelque peu blasé : « ces élections n’ont pas drainé des foules, comme au premier tour. L’ambiance était plutôt morose ».

 Albert Mianzoukouta, Français Afrique

 
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