Exhortation du Pape François avant l’Angélus. Mercredi 01 Novembre 2017.

Chers frères et sœurs, bonjour et bonne fête!

La solennité de la Toussaint est “notre” fête: non pas parce que nous sommes “bien” mais parce que la sainteté de Dieu a touché notre vie.

Les saints ne sont pas de parfaits modèles, mais des personnes traversées par Dieu. Nous pouvons les comparer aux vitraux des églises, qui font entrer la lumière de différentes tonalités de couleurs. Les saints sont nos frères et sœurs qui ont accueilli la lumière de Dieu dans leur cœur et qui l’ont transmise au monde, chacun selon sa propre “tonalité”. Mais ils ont tous été transparents, ils ont lutté pour enlever les taches et les obscurités du péché, de façon à faire passer la délicate lumière de Dieu. Voilà le but de la vie : faire passer la lumière de Dieu et c’est aussi le but de notre vie.

En effet, aujourd’hui, dans l’Evangile, Jésus s’adresse aux siens, à nous tous, en nous disant « heureux » (Mt 5,3). C’est le mot par lequel commence sa prédication, qui est « évangile », bonne nouvelle, parce que c’est la voie du bonheur. Qui est avec Jésus est bienheureux, est heureux. Le bonheur ne consiste pas à avoir quelque chose ou à devenir quelqu’un, non, le vrai bonheur c’est d’être avec le Seigneur et de vivre par amour. Vous croyez cela ?

Le vrai bonheur ne consiste pas à avoir quelque chose ou à devenir quelqu’un : le vrai bonheur c’est d’être avec le Seigneur et de vivre par amour. Vous croyez cela ? Nous devons progresser pour croire cela.

Alors, les ingrédients pour la vie heureuse s’appellent les béatitudes : sont bienheureux les simples, les humbles qui font de la place pour Dieu, qui savent pleurer pour les autres et pour leurs propres erreurs, restent doux, luttent pour la justice, sont miséricordieux envers tous, gardent la pureté du cœur, travaillent toujours pour la paix, et demeurent dans la joie, ne haïssent pas, et, quand ils souffrent, répondent au mal par le bien.

Voilà les béatitudes. Elles ne demandent pas des gestes éclatants, elles ne sont pas pour les supermen, mais pour qui vit les épreuves et les fatigues de chaque jour. Les saints sont ainsi : ils respirent comme tout le monde l’air pollué du mal qu’il y a dans la monde, mais sur le chemin, ils ne perdent jamais de vue le parcours de Jésus celui indiqué par les béatitudes, qui sont comme la carte de la vie chrétienne. Aujourd’hui, c’est la fête de ceux qui ont atteint l’objectif indiqué par cette carte : pas seulement les saints du calendrier, mais tant de frères et sœurs « de la porte à côté », que nous avons peut-être rencontré et connus. C’est aujourd’hui une fête de famille, de tant de personnes simples, cachées qui, en réalité, aident Dieu à faire avancer le monde. Et il y en a tant aujourd’hui ! Il y en a tant ! Merci à ces frères et sœurs inconnus qui aident Dieu à faire avancer le monde, qui vivent au milieu de nous : saluons-les tous par de beaux applaudissements !

Avant tout, dit la première béatitude, il y a les « pauvres de cœur » (Mt 5,3). Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’ils ne vivent pas pour le succès, le pouvoir ni l’argent. Ils savent que qui accumule des trésors pour soi ne s’enrichit pas devant Dieu (cf. Lc 12,21). Ils croient au contraire que le Seigneur est le trésor de la vie, l’amour du prochain la seule vraie source de gain. Parfois nous sommes mécontents du fait qu’il nous manque quelque chose ou nous sommes préoccupés si nous ne sommes pas considérés comme nous le voudrions. Rappelons-nous que notre béatitude n’est pas là, mais dans le Seigneur et dans l’amour: ce n’est qu’avec lui, qu’en aimant que l’on vit en bienheureux.

Enfin, je voudrais citer une autre béatitude, qui ne se trouve pas dans l’Evangile, mais à la fin de la Bible, et qui parle du terme de la vie : « Heureux les morts qui meurent dans le Seigneur » (Ap. 14 , 13). Demain, nous serons appelés à accompagner nos défunts de notre prière pour qu’ils jouissent pour toujours du Seigneur. Rappelons avec gratitude ceux qui nous sont chers et prions pour eux.

Que la Mère de Dieu, Reine des saints et Porte du Ciel, intercède pour notre chemin de sainteté et pour ceux qui nous sont chers qui nous ont précédés et sont déjà partis pour la Patrie céleste.

Catholics and Lutherans mark 500th anniversary of Reformation

October 31st 2017 marks the 500th anniversary of the day on which German theologian Martin Luther published his 95 theses, setting in motion the events of the Protestant Reformation.

To mark the occasion, the Pontifical Council for Promoting Christian Unity and the Lutheran World Federation on Tuesday issued a joint statement, giving thanks for the spiritual and theological gifts received through the Reformation and recalling the commemorative events that have taken place over the past year.

Exactly one year ago, Pope Francis travelled to the Swedish cities of Lund and Malmo to take part in a joint commemoration of the Reformation alongside leaders of the Lutheran World Federation. A moving liturgy in the ancient Lund cathedral and a joyful celebration of young people in Malmo arena focused on asking forgiveness for the sins of past centuries, while also celebrating the progress of the last fifty years and pledging to step up joint efforts in the service of those most in need.

Commitment to continue the ecumenical journey

One year on, today’s statement recalls those historic events, in particular the commitment by Pope Francis and former LWF president Bishop Munib Younan to continue the ecumenical journey.

The statement says the shared journey of the past fifty years has resulted in “the removal of prejudices, the increase of mutual understanding and the identification of decisive theological agreements”.

While Catholics and Lutherans can still not share at the Eucharistic table, the two Churches acknowledge their “joint pastoral responsibility to respond to the spiritual thirst and hunger of our people to be one in Christ “.

New insights into Reformation

Commemorating the Reformation together in many countries around the world, the statement says, has allowed Lutherans and Catholics new insights into events of the 16th century which led to their separation. Noting the theological progress that was made through the Joint Declaration on the Doctrine of Justification, the statement says growing communion and shared service are a sign of hope for the world of today to overcome divisions and fragmentation.

The statement concludes with a commitment to continue the journey towards unity, guided by God’s Spirit, in the knowledge that “what we have in common is far more than that which still divides us”.

Please find the full statement below:

Joint Statement by the Lutheran World Federation and the Pontifical Council for Promoting Christian Unity on the conclusion of the year of the common commemoration of the Reformation, 31st October 2017

On 31st of October 2017, the final day of the year of the common ecumenical Commemoration of the Reformation, we are very thankful for the spiritual and theological gifts received through the Reformation, a commemoration that we have shared together and with our ecumenical partners globally. Likewise, we begged forgiveness for our failures and for the ways in which Christians have wounded the Body of the Lord and offended each other during the five hundred years since the beginning of the Reformation until today.

We, Lutherans and Catholics, are profoundly grateful for the ecumenical journey that we have travelled together during the last fifty years. This pilgrimage, sustained by our common prayer, worship and ecumenical dialogue, has resulted in the removal of prejudices, the increase of mutual understanding and the identification of decisive theological agreements. In the face of so many blessings along the way, we raise our hearts in praise of the Triune God for the mercy we receive.

On this day we look back on a year of remarkable ecumenical events, beginning on 31st October 2016 with the joint Lutheran – Catholic common prayer in Lund, Sweden, in the presence of our ecumenical partners. While leading that service, Pope Francis and Bishop Munib A. Younan, then President of the Lutheran World Federation, signed a joint statement with the commitment to continue the ecumenical journey together towards the unity that Christ prayed for (cf. John 17:21). On the same day, our joint service to those in need of our help and solidarity  a salso been strengthened by a letter of intent between Caritas Internationalis and the Lutheran World Federation World Service.

Pope Francis and President Younan stated together: “Many members of our communities yearn to receive the Eucharist at one table, as the concrete expression of full unity. We experience the pain of those who share their whole lives, but cannot share God’s redeeming presence at the Eucharistic table. We acknowledge our joint pastoral responsibility to respond to the spiritual thirst and hunger of our people to be one in Christ. We long for this wound in the Body of Christ to be healed. This is the goal of our ecumenical endeavours, which we wish to advance, also by renewing our commitment to theological dialogue.”

Among the blessings of this year of Commemoration is the fact that for the first time Lutherans and Catholics have seen the Reformation from an ecumenical perspective. This has allowed new insight into the events of the sixteenth century which led to our separation. We recognize that while the past cannot be changed, its influence upon us today can be transformed to become a stimulus for growing communion, and a sign of hope for the world to overcome division and fragmentation. Again, it has become clear that what we have in common is far more than that which still divides us.

We rejoice that the Joint Declaration on the Doctrine of Justification, solemnly signed by the Lutheran World Federation and the Roman Catholic Church in 1999,  a salso been signed by the World Methodist Council in 2006 and, during this Commemoration Year of the Reformation, by the World Communion of Reformed Churches. On this very day it is being welcomed and received by the Anglican Communion at a solemn ceremony in Westminster Abbey. On this basis our Christian communions can build an ever closer bond of spiritual consensus and common witness in the service of the Gospel.

We acknowledge with appreciation the many events of common prayer and worship that Lutherans and Catholics have held together with their ecumenical partners in different parts of the world, as well as the theological encounters and the significant publications that have given substance to this year of Commemoration.

Looking forward, we commit ourselves to continue our journey together, guided by God’s Spirit, towards the greater unity according to the will of our Lord Jesus Christ. With God’s help we intend to discern in a prayerful manner our understanding on Church, Eucharist and Ministry, seeking a substantial consensus so as to overcome remaining differences between us. With deep joy and gratitude we trust “that He who has begun a good work in [us] will complete it until the day of Jesus Christ” (Phil 1:6).

Cardinal Fernando Filoni urges young people in Uganda to be active in Church and society

The Prefect of the Congregation for the Evangelization of Peoples, Cardinal Fernando Filoni has just ended a visit to Uganda during which he presided at the closing events of the 50th anniversary of the Archdiocese of Kampala.

Addressing the young people of the Archdiocese on Friday morning Oct. 27, the Cardinal urged them to take Centre stage in the development of the Church in Uganda and Africa as a whole.

"Take in hand”, he said, “the development of your local Church and of your country. Always remember that the spiritual future, as well as other aspects of your continent and of this Nation, no longer depend on missionaries or agents of human development from Europe or from other continents. The future of your respective local societies, the future of the Church in Uganda, and that of Africa at large, depends on each of you!", cardinal Filoni said.

The Cardinal recalled Pope Francis’ visit two years ago and said he is in Uganda to rejoice with the faithful and thank God for the many blessings that the People of God in Kampala have received in the past 50 years".

He reminded the young people that both the Church and the society have much confidence and hope in them, saying "the history of the Church in Uganda clearly shows how young people can make a great contribution to the Kingdom of God and to the transformation of society.” The Uganda Martyrs he said “were young people like you. You well know that most of them were in their teens and twenties. Regardless of their tender age, they are rightly considered the “foundation stones” of the Church in Uganda". The divine seed, sown by the first Missionaries, continued Cardinal Filoni was able to survive and sprout, thanks to those twenty-two young men and boys. "Missionaries and the Martyrs sowed and nurtured the seed of the Gospel through great toil and self-sacrifice - he said -, but most of them did not get to see the results of their labors. You are heirs of the work of missionaries and martyrs, the Cardinal stressed. “You have the sacred duty to continue their work, to be shapers of the present and of the future".

Cardinal Filoni went on to commend them for their active role in the work of evangelization through various Catholic Youth Associations, which are excellent forums for personal growth in faith and fraternity.

After thanking the Archbishop of Kampala Cyprian Kizito Lwanga, along with his collaborators, for having set up such movements which offer a forum for participation in the mission of the Church, he went on to remind the young people gathered at the YES Centre in Kampala that next year’s Synod of Bishops will be dedicated to the youth.

And speaking about vocational discernment, that is the process of making a decision about one’s life, decisions such as whether to enter married life, or become a priest, or embrace the consecrated life, he urged the young people to listen to the voice of God and to allow themselves to be guided by the Holy Spirit when making such decisions.

He concluded by calling on the young people of Uganda to set the right priorities in life.

Vatican Radio Communiqué/Communiqué Radio Vatican/Comunicado da Rádio Vaticano

If you are listening to us on Shortwave, we would greatly appreciate a short report from you on the quality of our programs and of the signal reaching you. Please address your report to: The Africa Promotions Office for Africa, Vatican Radio, 00120 Vatican City.

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Nous demandons à nos auditeurs qui nous suivent sur les Ondes courtes de bien vouloir nous faire parvenir un rapport d’écoute sur la qualité de la réception de nos programmes, à l’adresse du Bureau de Promotion-Afrique de Radio Vatican, 00120 Cité du Vatican.

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Pedimos aos nossos ouvintes que nos escutam em Ondas Curtas que nos enviem um relatório de escuta sobre a qualidade da recepção dos nossos programas, escrevendo ao seguinte endereço do Serviço de Promoção-África da Rádio Vaticano, 00120 Cidade do Vaticano.

Avis pour les radios catholiques africaines et les auditeurs de Radio Vatican/ Notice to Catholic Radio Stations in Africa and listeners of Vatican Ra

Radio Vatican avait produit en 2011 un album musical, Afrika tenda amani (fais la paix, Afrique), avec le concours de quelques artistes musiciens africains dont Papa Wemba de la République démocratique du Congo et Bonga d’Angola. Cet album qui accompagne l’exhortation post-synodale Africae munus, reflète les thèmes de la Deuxième assemblée spéciale pour l’Afrique du Synode des Évêques (réconciliation, justice et paix), a été expédié à toutes les radios catholiques africaines par le canal des Pères Evêques diocésains auxquels Radio Vatican a fait parvenir 3 copies.

Si jamais une radio n’a pas encore reçu une copie de cet album, elle peut nous écrire (africa@spc.va) pour nous en demander. De même, nous disposons de quelques exemplaires pour nos auditeurs qui en feront la demande. Mais la quantité est fort limitée.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsable du Bureau de Promotion de Radio Vatican pour la zone Afrique

E-mail : africa@spc.va

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In 2011, Vatican Radio produced a music album titled Afrika tenda amani (Make Peace, Africa), with the help of a few African musicians including Papa Wemba of the Democratic Republic of Congo and Bonga from Angola. Three copies of the CD album, which accompanied the publication of the post-synodal exhortation Africae munus  and reflects on the themes of the Second Special Assembly for Africa of the Synod of Bishops (reconciliation, justice and peace) was sent to all  Catholic radio stations in Africa through the local bishops.

If your radio station has not yet received a copy of this album, please write to africa@spc.va to request a copy. Also, we have a limited number of copies for our listeners who may also send their requests to the above email address.

Fr. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Head of the Promotions Office for Africa

Vatican Radio

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A Rádio Vaticano tinha produzido em 2011 um álbum musical denominado Afrika Tenda Amani (faz a paz, África), com a participação de alguns artistas músicos africanos, dentre os quais Papa Wemba da República Democrática do Congo e Bonga de Angola. Este álbum, que acompanha a Exortação pós-sinodal Africae Munus reflecte os temas da Segunda Assembleia Especial para a África do Sínodo dos Bispos (reconciliação, justiça e paz), e foi enviado a todas as Rádios Católicas africanas através dos Senhores Bispos Diocesanos aos quais a Rádio Vaticano fez chegar três cópias.

Se por acaso alguma Rádio ainda não recebeu uma cópia deste álbum, podem nos escrever (africa@spc.va) para solicitá-lo. Da mesma forma, também dispomos de alguns exemplares para os nossos ouvintes que o solicitem. Mas a quantidade é muito limitada.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsável do Departamento de Promoção da Rádio Vaticano, para a região África

E-mail: africa@spc.va

Nos fréquences en KHz sur les Ondes courtes (Heure en Temps universel)/ Our frequencies in KHZ on Short Waves (Universal Time)/As nossas frequências e

Anglais-Afrique/ English-Africa/Inglês-África :

8 :30 : 11625 - 13765 

19 :30 : 9660 - 15570 

22 :00 : 7360 -9670

Français-Afrique/French-Africa/Francês-África :

6 :30 : 9660

8 :00 : 11625 - 13765 

19 :00 : 9660 - 15570 

22 :30 : 7360 - 9670 

Portugais-Afrique/ Portuguese-Africa/Português-África :

7 :30 : 9660 - 11625

20 :00 : 9660 - 15570

Kiswahili :

5 :30 : 7360 

18 :00 : 9660 - 15570

NB:

Partout dans le monde, on peut suivre nos programmes à travers notre site internet www.radiovaticana.va.  De même, on peut suivre en direct les images des événements, des cérémonies du Pape sur notre Player video live dont le lien se trouve sur notre site internet.

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Please note that you can follow our programmes at all times, day and night the world over. Just go to www.radiovaticana.va. Also you can follow a live video coverage of Papal events by clicking on the video player on the website.

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Em todo o mundo é possível seguir os nossos programas através do nosso sito internet www.radiovaticana.va Do mesmo modo, se podem também seguir in directo as imagens dos acontecimentos e cerimónias do Papa  no nosso Player vídeo ao vivo, cujo link também se encontra no nosso sito internet.

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Change of e-mail address/ changement d’adresse électronique

Hello!

The e-mail address africa@vatiradio.va will not be valid after the 25 September 2017. Kindly send your messages using the new e-mail address: africa@spc.va from now onwards.

Best regards

*

Salut!

L’adresse électronique africa@vatiradio.va ne sera plus opérationnelle après le 25 septembre 2017. Prière d’envoyer dorénavant vos messages à la nouvelle adresse : africa@spc.va

Salutations cordiales

*

Bom dia,

O endereço electrónico africa@vatiradio.va vai deixar de funcionar a partir do dia 25 de Setembro de 2017. Pedimos o favor de, a partir desse dia, enviar as mensagens para o novo endereço: africa@spc.va

Saudações cordiais

Adresse utile pour Radio Vatican/Useful contact of Vatican Radio/Endereço

P. Jean-Pierre BODJOKO, SJ

Responsable Bureau de Promotion-Afrique/Head of Africa’s Promotion Office/ Responsável

Sector de promoção-Afrique

e-mail: africa@spc.va

Tel : +39.06.698.83366

CAMEROUN : Fin de séjour du Nonce Apostolique

Mgr Piero Pioppo a fait ses adieux le 26 Octobre 2017 à Yaoundé. En effet, le Nonce Apostolique au Cameroun et en Guinée équatoriale est arrivé en fin de séjour. Ses adieux officiels ont été marqués par une audience au palais de l’unité. Le président Paul Biya et lui ont échangé entre autres sur les relations qui existent entre l’Etat du Cameroun et celui du Vatican. Un bilan positif selon Mgr Piero Pioppo, qui a indiqué que les relations entre le Cameroun et qui sont en train de se perfectionner. Pour preuve, le président Paul Biya a été reçu 6 fois au Vatican et le pays a l’insigne honneur de compter 3 visites apostoliques sur son territoire. Les deux premières du pape jean Paul II en 1985 et 10 ans plus tard, en 1995 ; la troisième visite est celle du Pape Benoit 16 en 2009.

Au sortir des 60 minutes de tête à tête avec le chef de l’Etat Camerounais, Mgr Piero Pioppo s’est réjoui des avancées réalisées au Cameroun durant son séjour, notamment la création de deux nouveaux diocèses (Bafang et Kumba) et la nomination d’une dizaine d’évêques. Mgr Pioppo court à présent vers mission autant fructueuse en Indonésie, un pays dont la majorité des habitants sont musulmans mais qui comporte quand même une dizaine de provinces ecclésiastiques.

Sr. Paule Valérie MENDOGO,                                 Douala, pour Radio Vatican 

RD CONGO : Séjours du Nonce Apostolique à Mbandaka

Le Nonce Apostolique en République Démocratique du Congo, Mgr Luis Mariano MONTEMAYOR a séjourné à partir du vendredi 27 Octobre 2017, à Mbandaka, chef-lieu de de la Province administrative de l’Equateur et siège de l’Archidiocèse de Mbandaka-Bikoro et de la Province Ecclésiastique de Mbandaka. Il a été accueilli chaleureusement par les autorités politico-administratives de l’Equateur, les membres du clergé, des religieux et religieuses ainsi qu’une foule immense des chrétiens.  Le nonce n’a pas séjourné non seulement en sa qualité de Nonce Apostolique en République Démocratique du Congo, mais aussi comme Légat du Pape François pour présider la cérémonie de l’imposition du Pallium à l’Archevêque de Mbandaka Bikoro, S.E. Mgr Fridolin Ambongo Besungu.  Durant son séjour de cinq jours à Mbandaka, Mgr le Nonce Apostolique en République Démocratique du Congo a procédé le  samedi 28 Octobre 2017, à la bénédiction de la pierre tombale de feu Monseigneur Joseph Kumuondala, inhumé à la cathédrale St Eugène de Mbandaka. Au cours de la grande célébration du dimanche 29 0ctobre au stade BAKUSU de Mbandaka, il  a procédé à l’imposition du Pallium au nouvel Archevêque de Mbandaka-Bikoro. Il s’était rendu par après à Bikoro afin d’étudier les conditions de faisabilité pour la réhabilitation du diocèse de Bikoro, rattaché à celui de Mbandaka depuis 1975 avec la mort de son évêque, Mgr Camille Vankerkhove.

Hercules KITOKO, Journaliste CECOS-CENCO

RD CONGO : Saint Jean-Paul II, Pape de la mission et de l’économie

Le dimanche 22 octobre, dimanche de la mission universelle, l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo, a présidé l’eucharistie dans la cathédrale Notre-Dame du Congo pour commémorer la fête liturgique de saint Jean-Paul II. Le cardinal Monsengwo a présenté le saint Pape comme un missionnaire par ses voyages mais aussi par sa pensée qui a redonné à l’Eglise la conscience missionnaire. Saint Jean-Paul II était aussi un Pape de l’économie. Après la messe, l’organisation des intellectuels Chaire Jean-Paul II a organisé un café scientifique dans le hall Assanef, des anciens élèves des Frères des Ecoles chrétiennes. L’économie au service de l’homme, tel a été le thème général abordé tour à tour par les professeurs Claude Sumata de l’Université catholique du Congo et Evariste Mabi Mulumba de l’Université de Kinshasa.

Le président de la Chaire Jean-Paul II, monsieur l’abbé Léonard Santedi a expliqué le choix de ce thème par l’enseignement social dispensé par le saint Pape Jean-Paul II, auteur, notamment, d’encycliques comme Laborem exercens, sur le travail, Sollicitudo rei socialis et Centesismus Annus.

P. Jean-Baptiste MALENGE Kalunzu, OMI,                    Kinshasa, pour Radio Vatican

COTE D'IVOIRE : Fin du Conseil Régional du Laïcat de la CERAO-RECOWA

Il faut créer un conseil national de laïcat dans chaque pays membre de la Conférences Episcopales Régionale de l’Afrique de l’Ouest Francophone; c’est ce qui ressort du conseil régional du laïcat de l’Afrique de l’ouest qui a refermé ses portes le samedi 28 octobre 2017.

C’est par une Eucharistie à la chapelle du Centre Cerao de pastorale et de mission d’Abidjan, que se sont achevés les 3 jours de travaux des délégués des pays membres de cette institution sous régionale. Les représentants des conseils nationaux du laïcat du Bénin, du Burkina Faso, du Ghana, du Sénégal, du Togo, et de la Côte d'Ivoire ont travaillé à élaborer une feuille de route pour la mobilisation des laïcs en vue d’un laïcat ouest-africain encore plus engagé en étant sel et lumière dans leur milieu de vie respectif.  Un laïcat engagé passe par la formation, l’éducation, la mise en synergie des conseils nationaux ouest africains et la création de structures adéquates. Ce sont quelques-unes des taches que le conseil tentera d’accomplir, au plus vite selon le président du conseil régional du laïcat de l’Afrique de l’ouest le Ghanéen Joseph Ako. Le prochain conseil régional  du laïcat de l’Afrique de l’ouest aura lieu au mois d’octobre 2018 au centre Cerao de pastoral et de mission à Abidjan en Côte d'Ivoire

Françoise NIAMIEN,                                               Abidjan, pour radio Vatican 

RD CONGO : A chacun son rôle dans la situation socio-politique

 « A chacun son rôle entre l’Eglise et la classe politique, et dans l’Eglise, entre les laïcs et le clergé ». Le Secrétaire général de la Conférence épiscopale nationale du Congo, monsieur l’abbé Donatien Nshole, l’a martelé au cours d’une conférence-débat organisée le vendredi 27 octobre par le Centre d’Information et d’Animation Missionnaire des Missionnaires de Scheut dans la salle des conférences de la paroisse saint Joseph de Kinshasa-Matonge. Monsieur l’abbé Nshole a présenté la mission de l’Eglise dans le Congo d’aujourd’hui et de demain. Il a rappelé le rôle joué par l’épiscopat au service de la nation. La première tâche aura été la prière. Ensuite, par des appels et des messages, des plaidoyers à l’étranger, de bons offices jusqu’à l’accord politique entre pouvoir et opposition signé à la Saint Sylvestre, le 31 décembre 2016, par exemple, la conférence épiscopale vise en tout le bonheur du peuple congolais et la dignité de l’homme. L’Eglise n’agit pas à la manière des activistes sociaux, a rappelé l’abbé Nshole. L’Eglise éduque les consciences. L’Eglise ne connaît que la non-violence.

Le secrétaire de la Commission épiscopale des communications sociales, monsieur l’abbé Jean-Marie Bomengola est aussi intervenu, pour rappeler certains détails du contenu des échanges ayant abouti à l’accord de la Saint Sylvestre. Il a insisté sur les opportunités offertes mais parfois manquées maintenant que l’année 2017 va finir et qu’il est matériellement impossible de penser organiser les élections politiques prévues. Ce qu’il reste à faire, le professeur Thierry Nlandu, catholique et activiste de la société civile, l’a esquissé en présentant une analyse socio-politique depuis les années 1990. Que le Congolais se mette debout, qu’il travaille pour le changement social fermement mais sans céder à la violence. Thierry Nlandu a interpellé ainsi les laïcs catholiques. L’activité politique et leur apanage, a-t-il rappelé en citant la Conférence épiscopale. De nombreux intervenants dans le débat ont stigmatisé la tendance à s’en remettre à d’autres dans le rôle qui revient aux Congolais et à chaque chrétien en conscience. Le modérateur de la conférence-débat, le frère joséphite de Kinzambi Jean-Daniel Mupopo, a annoncé que le Centre d’Information et d’Animation Missionnaire organisera d’autres conférences-débats dans les trois régions apostoliques de l’archidiocèse de Kinshasa. 

P. Jean-Baptiste MALENGE Kalunzu, OMI,                    Kinshasa, pour Radio Vatican

BENIN : Les conclusions de la session plénière ordinaire des évêques

La première session plénière ordinaire des évêques du Bénin  à Porto-Novo au titre de l’année 2017-2018 a pris fin le mercredi 25 octobre 2017. Au terme de ladite session qui a abordé plusieurs questions d’ordre social, politique et religieux d’intérêt majeur, les évêques du Bénin  se sont adressés au peuple de Dieu et à tous les hommes de bonne volonté. Ils l’ont fait à travers le communiqué final qui a sanctionné la fin de leurs travaux et qu’ils ont décliné en 9 points. On y retiendra pour l’essentiel la crise politique au Togo, l’incendie survenue les 3 et 4 Octobre 2017 dans le quartier Louho dans le 5e arrondissement de Porto-Novo, la situation socio-politique du Bénin marquée surtout par des mouvements sociaux et des grève dans le secteur de la santé, la précarité ambiante et la pauvreté qui frappe une large frange de la population. Les évêques du Bénin ont également reçu en audience plusieurs personnalités dont une délégation du gouvernement béninois, une autre de la commission technique chargée des réformes dans le secteur de la santé et une autre encore du Comité technique du Recensement Administratif à vocation d’Identité de la population (RAVIP). Au plan purement ecclésial, les évêques du Bénin ont salué le lancement de l’année pastorale dans les divers diocèses du pays ; l’organisation par les Sœurs de Saint Augustin du Bénin du jubilé de leur fondation. Ils ont enfin invité tous les fidèles du Christ à participer généreusement à la collecte du Fonds catholique de solidarité édition 2017 qui débutera sous peu dans tous les diocèses du Bénin et qui sera clôturé par le téléthon prévu pour le 30 décembre 2018.

Guy DOSSOU-YOVO,                                Cotonou, pour Radio Vatican 

REPUBLIQUE DU CONGO : Journée mondiale de la mission à Pointe-Noire

L’église Saint Jean Marie Vianney de Mpita, à Pointe-Noire a brillé de tous ses éclats pour accueillir la cérémonie des vœux temporaires des sœurs Marie Claire Nabouzebi et Marie Renée Mikita et des vœux perpétuels des sœurs  Marie Michelle Mouko et Marie Emmanuelle Bafouidi-Soni, dans l’Ordre des Sœurs Missionnaires de Nazareth qui est une congrégation diocésaine. La Sœur Lydia Portella, fondatrice de la dite congrégation, les prêtres, les personnes consacrées ainsi que les parents, ont rehaussé de leur présence pour cette grande fête, le dimanche 22 octobre 2017. Mgr Miguel Angel Ollaveri, Évêque du diocèse dans son homélie a souligné ce que cet engagement représente dans la vie des sœurs. En citant le Pape François, l’Évêque  a conclu en demandant aux professes de ne pas avoir peur, car c’est le Christ, le maître de la moisson dit-il qui vous appelle dans son champ. Il était assisté, pour la messe solennelle de Mgr Daniel Mizonzo, Évêque de Nkayi, président en exercice  de la conférence Épiscopale Congolaise, de Mgr Louis Portelle Mbuyu, Évêque de Kinkala et de l’abbé Alain Loemba Makosso, Vicaire Général du diocèse de Pointe-Noire.

En cette journée de la mission universelle de l’église où le Seigneur nous appelle à lui disons merci pour ses biens faits, mais aussi aux Évêques et la sœur Lydia Portella, notre Supérieure, de nous avoir accepté dans la famille des Sœurs de Nazareth a dit la sœur Bafouidi-Soni au nom de ses consœurs à la fin de  la messe.

Par ailleurs dans l’archidiocèse de Brazzaville, la sœur Mariette Lucretia Wata des Sœurs Servantes de Cana a prononcé ses vœux définitifs devant la sœur Ursule Tsimabakidi Supérieure Générale de la congrégation en cette même journée mondiale de la mission. C’est Mgr Urbain Ngassongo, Évêque de Gamboma qui a présidé cette messe en la Cathédrale Sacré Cœur de Brazzaville devant plusieurs prêtres, des personnes consacrées, des parents de la Sœur Mariette et de nombreux fidèles. La cérémonie a coïncidé avec le neuvième anniversaire du rappel à Dieu de leur Fondateur, Mgr Ernest Kombo, SJ. Il fut le premier Évêque de Nkayi de 1983-1986, Administrateur Apostolique de Pointe-Noire de 1986- 1990 et d’Owando de 1990 à 2008. Parlant de l’importance de la Vie Consacrée, Mgr Urbain, dans son homélie, a demandé à la Sœur Wata de vivre et d’observer les trois vertus de : chasteté, obéissance et pauvreté. Aux Sœurs de Cana, l’Évêque les a invitées au service à l’exemple de Marie à Cana, puis au pardon, au dialogue et l’amour pour le bien de la communauté. En fin pour terminer, l’Évêque de Gamboma a rappelé à la sœur Wata que les vœux perpétuels ne sont pas pour une année mais pour toute la vie et mérite donc responsabilité, courage, persévérance et confiance dans le Seigneur qui appelle et choisit lui-même ses collaborateurs.

Séverin MOUSSAVOU,                                          Brazzaville,  pour Radio Vatican 

RD CONGO : Les moines bénédictins reviennent en mission

Le diocèse de Kilwa-Kasenga, dans la province du Haut-Katanga, a célébré la Mission universelle, le dimanche 29 octobre, par l’accueil de trois moines bénédictins, les pères Médard Kimengwa, Thierry Mutekwa et le frère Robert Kakese. L’évêque de Kilwa-Kasenga, Mgr Fulgence Muteba, les a solennellement accueillis au cours d’une messe célébrée dans la pro-cathédrale Sainte Croix de Kasenga. En signe d’accueil, l’évêque a lavé les mains aux trois religieux, puis il leur a donné l’accolade. Les trois moines ont ensuite reçu des mains de leur Prieur, le Père Jean-Chrysostome Mansaba, du monastère Notre Dame de Kiswishi, non seulement la croix de mission, mais aussi la Règle de Saint Benoît et le psautier. Les moines bénédictins ont fondé le diocèse de Kilwa-Kasenga. Mais le dernier moine a quitté Kasenga en 1960, laissant la place aux Salésiens de Don Bosco. Le 29 octobre 2017, donc, ce fut un retour à la mission. Pour marquer le sens de l’histoire, la cérémonie a ainsi commencé avec la présentation à l’assemblée de la croix de mission, celle-là même qui fut remise aux premiers missionnaires bénédictins arrivés au Katanga au début du vingtième siècle. Une forte délégation de moines est venue du Monastère Notre Dame des Sources de Kiswishi, dans l’archidiocèse de Lubumbashi. La délégation était conduite par le Père Abbé Ansgar Smith, Président de la congrégation de l’Annonciation, venu d’Allemagne, et de son Conseiller pour le Congo, le père Jean-Marie Christian, membre de la communauté monastique Saint André de Belgique. 

P. Jean-Baptiste MALENGE Kalunzu, OMI,                    Kinshasa, pour Radio Vatican

REPUBLIQUE DU CONGO : Clôture de la session des prêtres Exorcistes diocésains

Six jours d’écoutes et d’échanges entre les révérends pères  conférenciers  Paul Marie  de France et  Pamphile Fanou du Benin respectivement responsables des prêtres exorcistes de la langue française dans le monde et  d’Afrique, et les participants à la session de formation des prêtres exorcistes des diocèses de la république du Congo-Brazzaville.

Cette session de formation a été ouverte aux prêtres et aux laïcs charismatiques du 23 au 28 octobre 2017 en l’église Saint Jean Marie Vianney de Mpita. Organisée par le diocèse de Pointe-Noire et la fraternité les Petits Serviteurs du Saint Esprit autour du thème : les Esprits des Eaux, elle avait pour but  de recadrer certaines déviations constatées çà et là lors des séances d’exorcisme. Étaient aussi présent, les Évêques des diocèses  de Pointe-Noire, Kinkala, Gamboma et Dolisie.

Séverin MOUSSAVOU,                                          Brazzaville, pour Radio Vatican

CAMEROUN : Le sanctuaire Notre Dame du Rosaire de Mesa Mvele a ouvert ses portes

Le sanctuaire Notre Dame du Rosaire de Mesa Mvele, nouvellement créé il y a seulement quelques mois, vient d’abriter sa toute première activité : Le pèlerinage diocésain qui ouvre les activités de l’année mariale. C’est donc un privilège du dernier né des lieux de piété populaire de l’archidiocèse d’accueillir et d’abriter un événement de cette grandeur. Les pèlerins venus de plusieurs paroisses et zones pastorales ont massivement répondu présents.  La pluie de ce jour ne leur a nullement empêché de découvrir le chemin du rosaire qu’ils ont parcouru par groupe en priant le chapelet. Le site pavoisé par les mystères du rosaire a été aménagé par tous les chrétiens de la zone pastorale d’Awàe. Tout en encouragent les chrétiens et toutes les personnes qui se sont investis pour donner vie à ce site, Mgr Jean Mbarga n’a pas manqué de montrer la place que la prière du Rosaire doit avoir dans la vie des chrétiens aujourd’hui. Et par-delà, l’urgence à prier le rosaire pour implorer la Mère du Christ à qui cette année est dédiée pour qu’elle intercède en faveur du Cameroun, ce pays qui lui a été confié il y a plusieurs années et qui traverse des moments difficiles.  C’est depuis 54 ans que la Mère de Dieu est vénérée dans cette paroisse a reconnu Monseigneur Jean Mbarga. Les prêtres de la zone et ceux venus de Yaoundé une trentaine environ ont assisté l’Archevêque dans la célébration de la première eucharistie sur le site du Sanctuaire. A la fin de la messe, Mgr a procédé à la pause de la première pierre et la quête de ce jour servira pour les constructions qui ont déjà reçu une aide considérable du diocèse.

Sr. Cécile Eveline NSENG, CFMY,                                                 Yaoundé, pour Radio Vatican

RD CONGO : Le nouveau supérieur provincial des Missionnaires oblats entre en fonction

Le nouveau supérieur provincial des missionnaires oblats de Marie Immaculée, le père Joseph Ntumba, a pris ses fonctions au cours d’une concélébration eucharistique présidée le samedi 28 octobre 2017 dans la chapelle du scolasticat saint Eugène de Mazenod à Kinshasa-Kintambo par Mgr Louis Mbwol, évêque émérite d’Idiofa et doyen d’âge des missionnaires oblats congolais. Joseph Ntumba, qui était jusque-là maître des novices à Ifwanzondo, dans la province du Kwilu, a prononcé sa profession de foi après l’homélie prononcée par le supérieur provincial sortant, le père Abel Nsolo. Le père Nsolo a souhaité bon courage à son successeur, il a remercié les uns et les autres, non seulement ses confrères oblats mais aussi les membres consacrés et laïcs de la famille oblate, se reconnaissant dans le charisme de saint Eugène de Mazenod, leur fondateur. Un moment de silence a été observé en mémoire du journaliste Désiré Baere, décédé récemment, président de l’Association Missionnaire de Marie Immaculée, regroupement de laïcs. Le président du Comité de Discernement en vue du Renouvellement de l’Administration Provincial, a alors donné lecture du Décret de nomination signé à Rome par le Supérieur général des oblats de Marie Immaculée, le père Louis Lougen. Le même décret nomme six membres du conseil provincial : les pères Jean-Pierre Fetshi, Armand Nyami, Adolphe Vunga, Paul Manesa, Didier Mupaya et Adrien Gesse. A la fin de la messe, le nouveau provincial a prononcé une allocution au cours de laquelle il a invité les Oblats à l’espérance et surtout à un recentrement autour de l’idéal de la vie consacrée oblate. Il a promis la convocation prochaine d’une Assemblée provinciale pour élaborer une vision commune pour les trois prochaines années de leadership. 

P. Jean-Baptiste MALENGE Kalunzu, OMI,                    Kinshasa, pour Radio Vatican

CAMEROUN : Année de grâces chez les Filles de Marie de Yaoundé

Le dimanche 15 Octobre 2017, Mgr Jean Mbarga, Archevêque de Yaoundé a procédé à l’ouverture solennelle de l’année mariale chez les Filles de Marie de Yaoundé, première congrégation autochtone placée sous le patronage de la Très Sainte Vierge Marie.

Après avoir pris part au lancement officiel de l’année mariale à la Cathédrale Notre Dame des Victoires de Yaoundé dimanche 01er Octobre 2017, la congrégation des Filles de Marie de Yaoundé, a, à son tour pris le relais. C’était à Mimetala où Monseigneur Jean Mbarga Archevêque de Yaoundé a présidé une cérémonie similaire à celle de la Cathédrale. Il faut dire que l’annonce de la nouvelle décrétant une année mariale dans l’archidiocèse de Yaoundé, a été accueillie avec grande joie par les Filles de Marie qui voient en cela un nouveau clin d’œil que le Seigneur leur fait à travers leur Mère la Très Sainte Vierge Marie. Des réflexions menées ont ouvert des pistes pour la célébration au niveau personnel, communautaire, sectorielle, congrégationelle et diocésain avec des actions concrètes clairement définies. Sous la houlette de la Supérieure Générale, la Révérende Mère Marguerite Marie Elomo, les sœurs ont pris conscience de la place qu’elles occupent dans l’Eglise locale de Yaoundé et leur implication en tant  que première congrégation diocésaine placée sous le patronage de la Mère du ciel. Joie partagée par leur Père évêque qui a pris soin de redécouvrir avec elles leur identité, de servantes, d’épouses du Christ, de belles filles de la Sainte Vierge, de sœurs du Christ, de premières religieuses entre autres. Monseigneur a invité les sœurs à se mettre sous les pieds de Marie comme au cénacle et à donner Jésus au monde. Une année de grâces pendant laquelle il faut appeler Marie au secours pour la résolution des problèmes présentés en intentions de prière. 

Sr. Cécile Eveline NSENG, CFMY,                                                 Yaoundé, pour Radio Vatican

Africa urged to protect the family from spiritual and moral vulnerability

The National Directors of the Pontifical Mission Societies (PMS)  of the Catholic Churches of English-Speaking Africa recently gathered in Harare for two weeks with the aim of strengthening the missionary communion and to share notes on how to carry forward the mission of the Church. Two such meetings are organized in Africa after a considerable period of time one for the French-speaking Directors and another one for the English-speaking Directors to support the Holy Father, Pope Francis, in his solicitude for all the Churches in the world.

The Pontifical Mission Societies President, Archbishop Protase Rugambwa, reminded the church in Africa quoting the words of blessed Pope Paul VI that faith of African Churches is fruit of the laudable testimony and sacrifice of countless missionaries who, leaving behind their families, lands and churches of origin, came to share with us the gift of the life, love, and truth of Jesus Christ, that is the gift of life. By this Archbishop Rugambwa urged the Church in Africa to remain focused in its missionary work and breath life in churches around the world whose faith was waning. He said Africa was the source of vocations for missionary work because of her vibrant family spirit and youthful generation. Archbishop Rugambwa stressed that missionary hope lies in Africa despite the continent’s misery and injustice.

“Our African countries, so tormented by misery, injustice and fratricidal struggles, see the family and the gift of children as a renewed force of hope. Our nations are generally young; nations that express, even in the midst of the social, political, and military conflicts, a great hope through our young generations. The youth, our sons and daughters are a true reason for hope and thanksgiving. Human life, our children and our youth, reveal the extent in which marriage and family are crucial to an evangelization that takes our cultures seriously. Our people believe in life and do not fear generating children, new citizens who are destined to become, through baptism, sons and daughters of God,” stressed Archbishop Rugambwa.

Archbishop Rugambwa challenged the Church in Africa to prioritize and protect the family so as to safeguard the future of the continent.

He said: “ A solid future for our nations will be the result of a church that is increasingly dedicated to work in favor of life, from its origin to natural death, provided that the family is firmly rooted in the sacrament of marriage, at the heart of which the love between a man and a woman meets and is introduced in the love of Christ for his Church.”

The Archbishop called priests, religious and the laity to be deeply rooted in faith and charity in protecting families from all sorts of spiritual and moral vulnerability. He said by virtue of its central importance and the various threats looming over it, distortion of the notion of marriage and family, devaluation of maternity and trivialization of abortion, easy divorce and the relativism of a new ethics, the family needs to be protected and defended so that it may offer society the service expected of it, that of providing men and women capable of building a social fabric of peace and harmony.

The National Director of Pontifical Mission Societies (PMS) of Nigeria who is also the President of National Directors of English Speaking Africa (NDESA), Fr. George Ajana said the principal mandate for the PMS was to evangelise, making all the faithful missionaries in their respective calling. Fr. Ajana emphasized that this continental meeting was a platform at which, plans, projections and concrete activities are designed putting in place a synergy for the enhancement of the evangelization apostolate of the Church in Africa for the benefit of humanity and the greater glory of God.

“Because of its importance to the Church in the continent and the universal church, this gathering provides a unique opportunity for us as a family to reach out with the Good News of Christ, making every Catholic faithful; Bishops, priests, consecrated persons and the laity, missionaries ad intra and ad extra,”  Fr. Ajana said.

According to Fr. Ajana the NDESA meeting was an opportunity to brainstorm on how to move the mission of Christ forward in the African continent with dynamism and commitment and at the same time consider the individual and collective challenges and find ways of ameliorating them so as to put the church in Africa on a better spiritual and pastoral pedestal.

“Among other things, this meeting provides us with an opportunity to initiate missionary animation and activities that can help the church in addressing the challenges facing her missionary activities with particular regards to the role of the family, the youths and the media, especially social media. We have the duty to challenge on how to make the church more present, spiritually and pastorally in the context of the modern day world,” expressed Fr. Ajana.

The meeting was organised by the Zimbabwe Catholic Bishops’ Conference PMS National Director, Fr. David Muguti. The delegates  toured Chinhoyi and Masvingo Dioceses to assess progress on missionary work in the country and to learn from the Zimbabwean experience.

By Br. Alfonce KUGWA (Director of Social Communications at the Bishops Conference of Zimbabwe).

CAMEROUN: Trois ex détenus, prêts à faire leur retour dans la société

Achille, Raphael et Serge, dès leur sortie de la prison centrale de New Bell, ont  passé  4 années de formation humaine intégrale  au centre de réhabilitation de Yassa. Cette institution  mise sur pied par VOPS (Victim Offender Prison Care Support) est gérée par des laïcs et des religieuses de la congrégation diocésaine des sœurs de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus. Ces derniers ont décidé que le temps était venu pour leurs trois pensionnaires de retourner vivre dans la société. La cérémonie de réinsertion sociale a eu lieu le 22 Novembre 2017 à Douala.

Trois temps forts ont marqué cette cérémonie de réinsertion sociale. D’abord, une messe d’action de grâce, au cours de laquelle l’Abbé Grégoire Essimbe a demandé aux ex-détenus de ne plus mettre leur corps au service du péché, et de savoir repartir à zéro. Ensuite la bénédiction du matériel pour leurs nouveaux logements. Enfin, leur installation solennelle par les membres de VOPS. Les trois ex-détenus entendent mettre à profit la formation reçue pour devenir d’honnête citoyens, fidèles aux valeurs morales et chrétiennes. Ils comptent aussi travailler de leur main pour vivre décemment. A cet effet, ils ont chacun appris un métier durant leurs années de préparation à la réinsertion sociale.

Il ne reste plus qu’à souhaiter, comme le souligne d’ailleurs sœur Gwendoline Bidjisang,  que la société réserve un accueil fraternel à ses ex détenus afin qu’ils ne retournent pas à leurs anciens vices et que la formation holistique qu’ils ont reçue au sortir de la prison, les aide de façon pérenne.

Sr Paule Valérie MENDOGO,                                  Douala, pour Radio Vatican 

Nigerians with psychological challenges need pastoral care

The call has been made for more committed attention to the pastoral care of Nigerians who have mental and psychological challenges. Fr. Peter Babangida Audu recently made the appeal at a thanksgiving Mass to celebrate the 25th anniversary of his priestly ordination. The ceremony took place recently at Our Lady’s Catholic Church, Independence Way, in Kaduna.

Fr. Babangida who went down memory lane, giving gratitude to God and all those who have contributed to his priestly life-journey; noted that it had not been all a bed of Roses. The jubilarian expressed the wish to dedicate the remaining years of his priestly life to the pastoral care of those suffering from different social and psychological challenges and illnesses.

In his words: “… here in our country, Nigeria, we have not put human life first. We have in our communities, men, women, and children who have been abandoned. In our communities, addiction to alcohol, mental trauma, and several other emotional issues have become a widespread reality.” He continued, “Everyday, we see young people walking on the negative side of life, lonely, dispirited, without hope of a reasonable and fulfilling life. We see broken families in marriages that have failed; we stare at retired persons in the face as they (walk) our streets without focus -in pain and hopelessness,” said Fr. Babangida.

The priest regretted that society, especially those who could help restore these victims back to a healthy life, have abandoned them and tagged them, “useless”. He disclosed his determination is to dedicate the rest of his priestly ministry to assisting this sector of Nigerian society through the inauguration of a non-governmental organisation (NGO) that he intends to establish soon. He called on the faithful to support his dream.

Speaking at the same event, the Catholic Bishop of Sokoto Diocese, Bishop Matthew Hassan Kukah commended Fr. Babangida's simple lifestyle. He praised him as a missionary of note and an ambassador with integrity.

(CNSNg.org)  

Pain hebdomadaire du catholique. Trente et unième dimanche ordinaire année A. Dimanche 05 novembre 2017. Par Ambassadeur Théodore C. LOKO

I Traits définitoires du laïcat

Les laïcs constituent l’ensemble des chrétiens qui ne sont pas membres de l’ordre sacré et de l’ordre religieux (Lumen Gentium n° 31, cf. Can 207 §1) et qui, de par leur baptême, en leur qualité de fidèles, sont incorporés au Christ et intégrés au peuple de Dieu, d’où leur participation, à leur manière, à la fonction sacerdotale, prophétique et royale du Christ (cf. Can 204 §1).  "Tous les laïcs ont le devoir et le droit de travailler à ce que le message divin du salut atteigne sans cesse davantage tous les hommes de tous les temps et de tout l'univers" (Can 211).

La foi est un acte personnel : la réponse libre de l’homme à l’initiative de Dieu qui se révèle. Mais la foi n’est pas un acte isolé. Nul ne peut croire seul, comme nul ne peut vivre seul. Nul ne s’est donné la foi à lui-même comme nul ne s’est donné la vie à lui-même. Le croyant a reçu la foi d’autrui, il doit la transmettre à autrui. Notre amour pour Jésus et pour les hommes nous pousse à parler à autrui de notre foi. Chaque croyant est ainsi comme un maillon dans la grande chaîne des croyants. Je ne peux croire sans être porté par la foi des autres, et par ma foi, je contribue à porter la foi des autres (Cathéchisme de l’Eglise catholique, Première partie, première section, chapitre troisième, article 1er).

II Textes du jour : Malachie 1,14b-2b.8-10 ; Psaume : 130 ; 1 Thessaloniciens 2,7b-9.13 ; Matthieu 23,1-12

III Commentaire

Les textes liturgiques de ce dimanche mettent l’accent sur les pièges de l’autorité, nous font un rappel à l’ordre et provoquent une véritable remise en question. Dans la première lecture, nous pouvons entendre cet avertissement : quand nos traditions génèrent des règles qui deviennent des fardeaux pour les plus fragiles d’entre nous, nous devons nous interroger, en Église, comme nous y incite souvent le pape François. Le prophète Malachie reproche aux prêtres de son temps de « pervertir l’alliance ». Ils ont pour fonction de se consacrer à Dieu et de chercher sa gloire. Ils doivent enseigner la loi qui leur a été confiée par Moïse. Or voilà qu’au lieu de penser à la gloire de Dieu, ils ne font que rechercher leur seul intérêt. Mais en leur montrant leur péché, le prophète les appelle à la conversion. Il leur rappelle que Dieu est un Père qui aime chacun de ses enfants. Ce rappel à l’ordre s’adresse aussi à nous tous, prêtres et laïcs. À travers ces paroles du prophète, c’est Dieu qui nous parle aujourd’hui. Il nous invite à accueillir son amour et à nous laisser transformer par lui.

Le texte de l’Evangile fait partie de la section de l’évangile de Matthieu qui suit l’entrée messianique de Jésus à Jérusalem et qui précède la passion. La crise se noue, qui va déboucher sur le drame de Pâques.

Contrairement aux Sadducéens qui s’en tiennent à la lettre de la Loi, les rabbins de cette école, devenue dominante, perçoivent la nécessité d’interpréter la Torah en fonction des circonstances nouvelles. Un souci de modernité les habite. Même si Jésus s’en démarque, il ne les récuse pas frontalement. Le reproche essentiel porte sur la prépondérance de l’observance par rapport à la prise en considération de la faiblesse et de circonstances qui rendent les préceptes impossibles à suivre.

Dans la communauté chrétienne, c’est l’attachement à la personne de Jésus, à travers lui à Dieu, et le service des frères qui deviennent le maître-mot. La phrase qui clôt notre péricope est emblématique. Elle trouvera une illustration éclatante dans la scène du lavement des pieds rapportée par Jean.

S’adressant à la foule, Jésus dénonce les comportements des scribes et des pharisiens. Mais ce qu’il leur dit vaut aussi pour chacun de nous. Qu’il s’agisse des autorités religieuses, politiques ou parentales, ces pièges sont en général les mêmes.

- Premier piège : « Ils disent et ne font pas ».

- Deuxième piège : Ils pratiquent l’autorité comme une domination et non comme un service.

- Troisième piège : « Ils agissent toujours pour être remarqués des hommes ».

- Quatrième piège : « Ils aiment les places d’honneur dans les repas, les premiers rangs dans les synagogues, ils aiment recevoir le titre de Rabbi (Maître) ».

Dans la seconde lecture, l’attitude de Paul correspond à ce que recommande l’Évangile de ce jour. Elle s’inspire de l’amour qui vient de Dieu. Seulement avec la prière, les choses pourront être ajustées de manière convenable. En effet, « d’où parlons nous en priant ? De la hauteur de notre orgueil et de notre propre volonté. L’humilité est le fondement de la prière. … L’homme est un mendiant de Dieu. » (CEC 2559)

Revue de la presse catholique africaine. Dimanche 29 octobre 2017

Cette revue de la presse catholique africaine nous conduit d’abord en République Démocratique du Congo où le portail CENCO.CD nous rapporte que l’Eglise continue d’espérer la libération des Abbés kipasa et Akilimali. Le portail remarque que trois mois se sont écoulés depuis que les Abbé kipasa et Akilimali de la paroisse de Bunyuka, diocèse de Butembo-Beni à l’Est de la République Démocratique du Congo ont été kidnappés. L’information sur la localisation de leurs ravisseurs, soupire CENCO.CD, avait redonné espoir. Selon le portail, on a comme l’impression que ce dossier piétine car souligne CENCO.CD, aucune avancée n’est enregistrée dans les démarches concernant leur libération. Toutefois  tempère le portail, l’Église continue toujours d’espérer leur libération et demande au Gouvernement de tout mettre en œuvre pour les retrouver.

Le Gabon accueille les reliques du Saint Pape Jean-Paul II, du 27 octobre au 10 décembre prochain, trente-cinq ans après sa visite apostolique en terre gabonaise, annonce le portail EGLISE CATHOLIQUE DU GABON. Ce temps de grande spiritualité, précise le portail, est organisé par la communauté des Béatitudes, qui célèbre ses trente ans d’existence au Gabon. Après une messe d’action de grâce en la cathédrale Notre Dame de l’Assomption de Libreville, rapporte le portail,  les reliques de Saint Jean-Paul II, de vénérée mémoire, seront acheminées en procession aux Béatitudes.

Le bihebdomadaire catholique LA SEMAINE AFRICAINE nous donne son point de vue sur l’œcuménisme, sa mise en œuvre et fait également des suggestions. Le premier commandement que le christ nous a laissé, souligne LA SEMAINE AFRICAINE, est de nous aimer les uns les autres. Et il ne peut y avoir d’amour sans unité. Ainsi, face à l’incapacité des chrétiens qui n’arrive pas à se témoigner des actes d’amour et qui n’attendent que des semaines œcuméniques pour prier ensemble, LA SEMAINES AFRICAINE s’interroge : pourquoi ne pas organiser des journées d’échanges et de partage entre les séminaristes catholiques, évangéliques et salutistes pour favoriser l’œcuménisme ? pourquoi ne pas organiser des opérations salubrités ou retroussons nos manches œcuméniques dans nos quartiers ? Tout cela, estime LA SEMAINE AFRICAINE, est possible pour celui qui croit et a confiance en Dieu, car, précise LA SEMAINE AFRICAINE, Dieu est là où deux ou trois sont réuni en son nom.

L’éloignement comme l’enclavement d’un endroit ne rebute pas la direction générale de la caisse nationale de prévoyance sociale, rapporte le journal LA CROIX de Madagascar détaillant que  Malgré  l’éloignement, du district de Tanambe dans la région Alaotra Mangoro, elle a bénéficié d’une session de formation sur la protection sociale. Opérateurs économiques, hôteliers, patrons d’établissements scolaires, représentants d’Eglise, remarque le journal, ont bénéficié d’une formation de trois jours sur la protection sociale. LA CROIX de Madagascar nous rappelle que  la région Alaotra Mangoro est l’un des greniers à riz du pays. Ainsi, estime le journal, les paysans de cette zones  méritent d’avoir une pension comme tous les retraités du secteur privé qu’ils soient agriculteurs, éleveurs, artisans ou pêcheurs.

Cédric MOUZOU, SJ,  Radio Vatican/Français-Afrique

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