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29/11/2017

De nous à vous - From us to you - De nós para vós

De vous à nous - From you to us - De vós para nós

De nous à vous - From us to you - De nós para vós



VATICAN : Chronique du 21e voyage apostolique du Pape François au Myammar

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Le Pape François a entamé  dimanche soir, 26 novembre son  21e voyage apostolique au  Myanmar.

Le premier grand rendez-vous du Pape, dans la matinée de mercredi, troisième jour de son voyage apostolique, a été la sainte messe qu’il a présidée au Kyaikkasan Ground de Yangon. Une messe qui a rassemblée plus 150.000 fidèles. Dans son homélie, le Saint-Père a invité les catholiques du Myanmar à être des signes de la miséricorde de Dieu qui apporte soulagement aux blessures les plus douloureuses et constitue un GPS spirituel qui guide infailliblement vers la vie intime de Dieu et le cœur du prochain. Je sais qu’au Myanmar, a-t-il soutenu, beaucoup portent les blessures de la violence, qu’elles soient visibles ou invisibles. De la croix, a poursuivi François, vient aussi la guérison. Là, Jésus a offert ses blessures au Père pour nous, les blessures par lesquelles nous sommes guéris. Le Saint-Père, qui a offert un calice à la communauté catholique, a aussi invités les fidèles de Myanmar à être des messagers de la véritable sagesse, profondément miséricordieux envers ceux qui sont dans le besoin, avec la joie qui vient du repos dans les blessures de Jésus, qui nous a aimés jusqu’au bout.

Au terme de la célébration le cardinal Charles Bo, archevêque de Yangon, a remercié le Pape et a affirmé que la vie ne sera jamais plus la même pour les catholiques du Myanmar. Nous rentrons à la maison, a-t-il déclaré, avec une énergie spirituelle extraordinaire, fiers d’être catholiques, mis au défi de vivre l’Evangile.

Dans l’après-midi de mercredi, le Saint-Père s'est rendu au Kaba Aye Center, un des temples bouddhistes les plus vénérés de l’Asie sud-orientale, pour y rencontrer le Conseil suprême « Sangha », plus haute autorité bouddhiste du Myanmar.  Dans son adresse aux moines bouddhistes, le Pape a invité à parler d’une seule voix en affirmant la valeur pérenne de la justice, de la paix et de la dignité fondamentale de chaque être humain.

Sur les bases de nos traditions spirituelles respectives, a dit François, nous savons qu’il existe une voie pour aller de l’avant, qu’il existe un chemin qui conduit à la guérison, à la compréhension mutuelle et au respect. Une voie fondée sur la compassion et sur l’amour. Le grand défi de nos jours, a-t-il ajouté, est d’aider les personnes à s’ouvrir au transcendant. Pour être unis, a encore dit le Pape, il est nécessaire de dépasser toutes les formes d’incompréhension, d’intolérance, de préjugé et de haine. Il a souhaité un effort pour promouvoir la patience et la compréhension, pour guérir les blessures des conflits qui au fil des années ont divisé les personnes de diverses cultures, ethnies et convictions religieuses. Pour ce faire, le Pape a cité les paroles du Bouddha : « Élimine la colère avec l’absence de colère, vaincs le méchant avec la bonté, défais l’avare avec la générosité, vaincs le menteur avec la vérité ». Et il s’est référé aussi les paroles de saint François d’Assise : « Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix. Là où est la haine que je porte l’amour, là où est l’offense que je porte le pardon… Là où sont les ténèbres que je porte la lumière, et là où est la tristesse que je porte la joie ». Puissent les Bouddhistes et les Catholiques cheminer ensemble sur ce chemin de guérison, et travailler côte à côte pour le bien de chaque habitant de cette terre, tel a été le vœu du Saint-Père devant le Conseil suprême des Bouddhistes.

Le troisième rendez-vous du Pape mercredi était sa rencontre dans l’après-midi avec l’ensemble des 22 évêques birmans dans la cathédrale de l’Immaculée conception de Yangon. Rencontre durant laquelle le Saint-Père a appelé à la formation morale des jeunes, pour qu’ils soient de joyeux missionnaires dans leur pays. Si l’Eglise de Myanmar possède une foi solide, une des grandes bénédictions de cette Eglise est sa jeunesse, a souligné le Saint-Père, en relevant le nombre élevé de séminaristes et de jeunes religieux. Il a aussi exhorté les évêques de Myanmar à effectuer des visites pastorales régulières dans les paroisses et les communautés. Ceci afin de faire grandir le troupeau en sainteté, en particulier pour les laïcs et les catéchistes. Le Pape s’est aussi montré soucieux de la santé physique et spirituelle des évêques, à travers la prière notamment. A l’échelle du pays, il a recommandé aux évêques d’être sel et lumière en vue de la guérison des cœurs, à l’intérieur de l’Eglise et avec les quelque 130 autres ethnies du Myanmar. Cela concerne en particulier le dialogue œcuménique et la collaboration interreligieuse. Ainsi que l’engagement envers les pauvres, dont l’Eglise dans ce pays peut être fière.

A la fin de sa troisième journée dans le pays, le Pape devait rencontrer en privé les jésuites de Birmanie à l’archevêché. Le jeudi 30 novembre au matin, il célébrera une messe spéciale pour les jeunes, à la cathédrale de Yangon, avant de s’envoler pour le Bangladesh.

Au deuxième jour de sa visite apostolique, la grande activité du Pape a été sa rencontre dans l’après-midi, à Nay Pyi Taw, la capitale administrative, avec les autorités du Pays, en commençant par le président de la République de l’Union du Myanmar, M. Htin Kyaw, puis Madame Aung San Suu Kyi, conseillère d’Etat et ministre des Affaires étrangères, et enfin les autorités birmanes, des représentants de la société civile et des membres du Corps diplomatiques, au Myanmar International Convention Center où il a prononcé son premier discours. 

Dans son adresse, le Saint-Père a notamment affirmé que l’avenir du Myanmar devait être la paix, une paix fondée sur le respect de la dignité et des droits de tout membre de la société, sur le respect de tout groupe ethnique et de son identité, sur le respect de l’état de droit et d’un ordre démocratique qui permette à chaque individu et à tout groupe d’offrir sa contribution légitime au bien commun. François a souligné aussi la nécessité de guérir les blessures et de respecter les minorités avant d’ajouter dans son discours que les différences religieuses ne devaient pas être source de division et de méfiance, mais plutôt une force pour l’unité. Il a en outre évoqué la formation des jeunes sur lesquels repose l’avenir du pays. Une formation aux valeurs éthiques d’honnêteté, d’intégrité et de solidarité visant à garantir le renforcement de la démocratie.

Avant de faire en avion le trajet de Yangon à Nay Pyi Taw, le Pape avait reçu en privé, dans l’archevêché de Yangon, 17 représentants des différentes religions du pays. Dans cette rencontre d’environ 40 minutes, François a exhortes les leaders religieux à l’unité dans la diversité, en vue de parvenir à la paix. Mais l’unité n’est pas l’uniformité, a précisé le Pape. Or, a-t-il soutenu, il existe à l’inverse une tendance mondiale à l’uniformité, à être tous pareils. Cela s’appelle la colonisation culturelle et cela tue l’humanité.

De même que la nature est très riche en Birmanie, a fait remarquer le Saint-Père, n’ayons pas peur des différences. Et si nous avons des discussions, soyons sûrs de débattre comme des frères, qui se réconcilient ensuite. Au moment où nous parlons, a affirmé spontanément le Saint-Père, me vient une prière, celle du Livre des Psaumes, : « Qu’il est beau de voir des frères unis! ».

Dans cette rencontre il y avait des bouddhistes, des musulmans du Centre islamique de Birmanie, un hindou, un catholique, un membre du Conseil des Eglises de Birmanie, un anglican, un baptiste, et un juif.

P. Jean-Pierre BODJOKO,SJ,  Radio Vatican/Français-Afrique

 
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VATICANO /Egipto: Pesar do Papa pelo ataque terrorista na mesquita de Rawda

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Num telegrama assinado pelo Cardeal Secretário de Estado Pietro Parolin, o Papa Francisco exprime a sua “profunda tristeza ao saber da grande perda de vidas provocadas pelo ataque terrorista contra a mesquita Rawda, no norte do Sinai”, ocorrido na manhã de sexta-feira (24/11), e que provocou 305 mortos (dos quais 27 crianças) e dezenas de feridos.

“Ao exprimir a sua solidariedade ao povo egípcio nesta hora de luto nacional”, o Pontífice na mensagem “encomenda as vítimas à misericórdia de Deus Altíssimo e invoca as bênçãos divinas de consolo e paz sobre as suas famílias”.

“Ao renovar a sua firme condenação por este cruel acto de brutalidade dirigido contra civis inocentes reunidos em oração, Sua Santidade une-se a todas as pessoas de boa vontade, implorando que os corações endurecidos pelo ódio aprendam a renunciar ao caminho da violência, que leva a um grande sofrimento e a abraçar o caminho da paz”.

P. Bernardo SUATE, Rádio Vaticano/Programa Português

 
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Pope Francis consoles Nigerian families

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The Holy Father Pope Francis has expressed deep shock and commiserated with the families of the recent bomb attack at Medina Mosque in Mubi, Adamawa State in which 50 people lost their lives. Several others were injured in the terror attack. Pope Francis described the incident as a senseless and deplorable act. The Pope’s message is contained in a letter signed by the Vatican Secretary of State, Cardinal Pietro Parolin.

The message reads, “Having learned with sadness of the bombing at the Medina Mosque in Mubi, His Holiness Pope Francis extends heartfelt condolences to all who are mourning the loss of loved ones and those injured in this senseless and deplorable act of violence. Entrusting the deceased to the merciful love of the Almighty, His Holiness offers the assurance of his prayers for the community and his encouragement to the civil authorities and emergency personnel in the aftermath of this tragic attack.”

Last  Tuesday, 50 people were killed when a suicide bomber blew himself up in the Mosque. The blast happened during early morning prayers at the Madina Mosque in the Unguwar Shuwa area of Mubi, some 200 kilometres from the Adamawa state capital, Yola. It was described as the worst attack in Adamawa since December 2016, when two female suicide bombers killed 45 people at a crowded market in the town of Madagali.

The Police attributed the recent attack to members of the terrorist organisation, Boko Haram.

(CNSNg.org)

 
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Vatican Radio Communiqué/Communiqué Radio Vatican/Comunicado da Rádio Vaticano

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If you are listening to us on Shortwave, we would greatly appreciate a short report from you on the quality of our programs and of the signal reaching you. Please address your report to: The Africa Promotions Office for Africa, Vatican Radio, 00120 Vatican City.

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Nous demandons à nos auditeurs qui nous suivent sur les Ondes courtes de bien vouloir nous faire parvenir un rapport d’écoute sur la qualité de la réception de nos programmes, à l’adresse du Bureau de Promotion-Afrique de Radio Vatican, 00120 Cité du Vatican.

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Pedimos aos nossos ouvintes que nos escutam em Ondas Curtas que nos enviem um relatório de escuta sobre a qualidade da recepção dos nossos programas, escrevendo ao seguinte endereço do Serviço de Promoção-África da Rádio Vaticano, 00120 Cidade do Vaticano.

 
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Avis pour les radios catholiques africaines et les auditeurs de Radio Vatican/ Notice to Catholic Radio Stations in Africa and listeners of Vatican Ra

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Radio Vatican avait produit en 2011 un album musical, Afrika tenda amani (fais la paix, Afrique), avec le concours de quelques artistes musiciens africains dont Papa Wemba de la République démocratique du Congo et Bonga d’Angola. Cet album qui accompagne l’exhortation post-synodale Africae munus, reflète les thèmes de la Deuxième assemblée spéciale pour l’Afrique du Synode des Évêques (réconciliation, justice et paix), a été expédié à toutes les radios catholiques africaines par le canal des Pères Evêques diocésains auxquels Radio Vatican a fait parvenir 3 copies.

Si jamais une radio n’a pas encore reçu une copie de cet album, elle peut nous écrire (africa@spc.va) pour nous en demander. De même, nous disposons de quelques exemplaires pour nos auditeurs qui en feront la demande. Mais la quantité est fort limitée.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsable du Bureau de Promotion de Radio Vatican pour la zone Afrique

E-mail : africa@spc.va

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In 2011, Vatican Radio produced a music album titled Afrika tenda amani (Make Peace, Africa), with the help of a few African musicians including Papa Wemba of the Democratic Republic of Congo and Bonga from Angola. Three copies of the CD album, which accompanied the publication of the post-synodal exhortation Africae munus  and reflects on the themes of the Second Special Assembly for Africa of the Synod of Bishops (reconciliation, justice and peace) was sent to all  Catholic radio stations in Africa through the local bishops.

If your radio station has not yet received a copy of this album, please write to africa@spc.va to request a copy. Also, we have a limited number of copies for our listeners who may also send their requests to the above email address.

Fr. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Head of the Promotions Office for Africa

Vatican Radio

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A Rádio Vaticano tinha produzido em 2011 um álbum musical denominado Afrika Tenda Amani (faz a paz, África), com a participação de alguns artistas músicos africanos, dentre os quais Papa Wemba da República Democrática do Congo e Bonga de Angola. Este álbum, que acompanha a Exortação pós-sinodal Africae Munus reflecte os temas da Segunda Assembleia Especial para a África do Sínodo dos Bispos (reconciliação, justiça e paz), e foi enviado a todas as Rádios Católicas africanas através dos Senhores Bispos Diocesanos aos quais a Rádio Vaticano fez chegar três cópias.

Se por acaso alguma Rádio ainda não recebeu uma cópia deste álbum, podem nos escrever (africa@spc.va) para solicitá-lo. Da mesma forma, também dispomos de alguns exemplares para os nossos ouvintes que o solicitem. Mas a quantidade é muito limitada.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsável do Departamento de Promoção da Rádio Vaticano, para a região África

E-mail: africa@spc.va

 
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Nos fréquences en KHz sur les Ondes courtes (Heure en Temps universel)/ Our frequencies in KHZ on Short Waves (Universal Time)/As nossas frequências e

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Anglais-Afrique/ English-Africa/Inglês-África :

8 :30 : 11625 - 13765 

19 :30 : 9660 - 15570 

22 :00 : 7360 -9670

 

Français-Afrique/French-Africa/Francês-África :

6 :30 : 9660

8 :00 : 11625 - 13765 

19 :00 : 9660 - 15570 

22 :30 : 7360 - 9670 

 

Portugais-Afrique/ Portuguese-Africa/Português-África :

7 :30 : 9660 - 11625

20 :00 : 9660 - 15570

 

Kiswahili :

5 :30 : 7360 

18 :00 : 9660 - 15570

 

NB:

Partout dans le monde, on peut suivre nos programmes à travers notre site internet www.radiovaticana.va.  De même, on peut suivre en direct les images des événements, des cérémonies du Pape sur notre Player video live dont le lien se trouve sur notre site internet.

***

Please note that you can follow our programmes at all times, day and night the world over. Just go to www.radiovaticana.va. Also you can follow a live video coverage of Papal events by clicking on the video player on the website.

***

Em todo o mundo é possível seguir os nossos programas através do nosso sito internet www.radiovaticana.va Do mesmo modo, se podem também seguir in directo as imagens dos acontecimentos e cerimónias do Papa  no nosso Player vídeo ao vivo, cujo link também se encontra no nosso sito internet.

 
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PROGRAMME FRANÇAIS-AFRIQUE : SUIVEZ-NOUS SUR FACEBOOK

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En plus de notre site internet, vous pouvez aussi suivre de nos nouvelles sur Facebook à l’adresse : Radio Vatican Français-Afrique. Cliquez sur "j'aime" pour interagir.

 
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Change of e-mail address/ changement d’adresse électronique

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Hello!

The e-mail address africa@vatiradio.va will not be valid after the 25 September 2017. Kindly send your messages using the new e-mail address: africa@spc.va from now onwards.

Best regards

*

Salut!

L’adresse électronique africa@vatiradio.va ne sera plus opérationnelle après le 25 septembre 2017. Prière d’envoyer dorénavant vos messages à la nouvelle adresse : africa@spc.va

Salutations cordiales

*

Bom dia,

O endereço electrónico africa@vatiradio.va vai deixar de funcionar a partir do dia 25 de Setembro de 2017. Pedimos o favor de, a partir desse dia, enviar as mensagens para o novo endereço: africa@spc.va

Saudações cordiais

 
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Adresse utile pour Radio Vatican/Useful contact of Vatican Radio/Endereço

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P. Jean-Pierre BODJOKO, SJ

Responsable Bureau de Promotion-Afrique/Head of Africa’s Promotion Office/ Responsável

Sector de promoção-Afrique

e-mail: africa@spc.va

Tel : +39.06.698.83366

 
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De vous à nous - From you to us - De vós para nós



Ghana’s Bishops on Amoris Laetitia and nation’s family life

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Opening the 2017  Plenary Assembly, recently, on the theme: “Integral Pastoral Care for the Family in the light of Amoris Laetitia,” Archbishop Philip Naameh, of Tamale Archdiocese and President of the Ghana Catholic Bishops’ Conference (GCBC), brought to the fore some of the concerns and challenges facing Ghanaian family life. The Archbishop was particularly worried that the Ghanaian family was experiencing emerging trends which were at variance with the ideal family image foreseen by the Church’s tradition of faith and morals.

Archbishop Naameh noted the need for integral pastoral care targeting marriage and family life in Ghana.

Archbishop Jean-Marie Speich, the Apostolic Nuncio to Ghana, told the Bishops that their theme for this year’s plenary session was apt since it reflected Pope Francis’ Post-Synodal Exhortation, ‘Amoris Laetitia.’

“I appreciate the aptness of the theme chosen by the Ghana Catholic Bishops’ Conference for this Plenary Assembly, focusing on the integral Pastoral care of families which is indeed the goal of Pope Francis’ groundbreaking new document,” the Nuncio said.

Damian AVEVOR, in Accra, Ghana

 
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DRC Catholic Bishops thank Pope Francis

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The Bishops of the Democratic Republic of Congo have acknowledged Pope Francis's gesture of taking time off his busy schedule to pray for peace in their country.

Last week on Thursday, Pope Francis led a prayer vigil for peace in South Sudan and the Democratic Republic of Congo. The Holy Father prayed for an end to the armed conflicts in the two countries. He also prayed for victims of the violence currently prevailing.

In a Pastoral Statement delivered at the end of an Extraordinary Plenary Assembly, the DRC Bishops thanked Pope Francis for demonstrating his closeness to the people of the two countries and for his pastoral care towards them.

“The Cardinal, Archbishops and Bishops, members of the National Episcopal Conference of Congo (CENCO), meeting in an Extraordinary Plenary Assembly in Kinshasa, from 22 to 24 November 2017, moved by the need for the pastoral care for the Congolese people, sharing in their sufferings,  have (used this plenary) to focus mainly on the socio-political situation of our country,” The Bishops said.

They added, “In these difficult times, Pope Francis took the initiative to pray on 23 November 2017 for peace in our country and in South Sudan. We take this opportunity to send our heartfelt and sincere thanks (to the Holy Father). (The coinciding prayer) celebrations we organised on this occasion, in our own dioceses in the Democratic Republic of Congo, bear witness to our unwavering attachment to the Successor of Peter,” The statement reads in part.

In the same message, the Bishops call upon President Joseph Kabila to explicitly declare that he will not present himself as a candidate in presidential elections now scheduled for 23 December 2018. The Bishops said they are "deeply disturbed" by the violence; the general mistrust and scepticism pervasive in the whole country right from the grassroots to the top.

Elections in the DRC were initially meant to have taken place in December 2016, shortly before the expiry of President Kabila's second and last term in office. The government decided instead to postpone the elections citing insecurity in the country and the need for more time to conduct a voter registration exercise.

Following intense negotiations mediated by the Catholic Bishops, towards the end of 2016, the government accepted an Agreement that said elections would take place before the end of 2017. Unfortunately, the implementation of this Agreement suffered serious setbacks and has not been implemented.

Now the Bishops have said it is essential that President Kabila’s government summons the necessary “political will, to reassure the Congolese people and all international partners by giving guarantees for the effective holding of elections (in December 2018).”

Fr. Paul SAMASUMO, Vatican Radio/ English-Africa

 
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Message de l’Assemblée Plénière Extraordinaire des Evêques Membres de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO)

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LE PEUPLE CONGOLAIS CRIE SA SOUFFRANCE (cf. Exode 3,7)

Allons vite aux élections

Message de l’Assemblée Plénière Extraordinaire des Evêques Membres de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO)

1.Nous, Cardinal, Archevêques et Evêques, membres de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO), réunis en Assemblée Plénière Extraordinaire à Kinshasa, du 22 au 24 novembre 2017, mus par la sollicitude pastorale  à l’égard du Peuple congolais, partageant ses  souffrances, nous sommes penchés principalement sur la situation sociopolitique de notre pays.

2.En ces temps difficiles, le Pape François a pris l’initiative de prier, le 23 novembre 2017, pour la paix dans notre pays et au Soudan du Sud. Nous saisissons la présente occasion pour lui adresser de tout cœur nos vifs et sincères remerciements. Les célébrations que nous avons organisées à cette occasion dans nos différents diocèses de la République Démocratique du Congo témoignent de notre indéfectible attachement au Successeur de Pierre.

I. LA SITUATION  DRAMATIQUE DE NOTRE PAYS

3.Cinq mois après notre message intitulé «  Le Pays va très mal. Debout, Congolais ! Décembre 2017 approche » dans lequel nous avons stigmatisé la violation de l’Accord politique global et inclusif du Centre Interdiocésain de Kinshasa et ses conséquences, nous constatons qu’il n’y a pas d’avancée significative. L’imbroglio politique et la souffrance de la population qui en résulte dépassent le seuil du tolérable. Nous sommes profondément déçus de nous retrouver dans le même contexte de tensions qu’à la fin de l’année 2016. Le Peuple ne tolérera pas que cela se répète en 2018.

4.En effet, parce que les élections n’ont pas été organisées dans le délai constitutionnel, un compromis a été laborieusement trouvé par l’Accord de la Saint-Sylvestre pour une sortie pacifique de la crise. Cet Accord prévoyait, entre autres :

- La nomination du Premier Ministre présenté par le Rassemblement (III.3.3.) ;

- La désignation des membres du Conseil National de Suivi de l’Accord et du Processus Electoral (CNSA) (VI.2.2.) ;

- La redynamisation de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) (IV.5.a)) ;

- Les mesures de décrispation (VI) ;

- La tenue des élections au plus tard en décembre 2017 (IV.2.).

5.Malheureusement la mise en œuvre de cet Accord  a subi des graves entorses, surtout aux points évoqués ci-dessus. Cet art d’embrouiller les choses a sensiblement entamé la confiance et a donné lieu au scepticisme  entre acteurs politiques, et dans le chef des Congolais vis-à-vis de la classe politique et des institutions de la République. Dès lors le peuple est désemparé. En effet, les décisions qui mettent le peuple devant un fait accompli sans respecter les clauses de l’Accord créent un manque de confiance.

C’est dans ce contexte de méfiance généralisée que la CENI a publié, le 5 novembre 2017, le calendrier électoral.

II. L’URGENCE D’ALLER AUX ELECTIONS

6.Eu égard à ce qui précède, afin d’éviter des manœuvres dilatoires et passer de prorogation en prorogation, il y a urgence d’aller aux élections.  Il est indispensable, sur fond d’une sincère volonté politique, de rassurer le Peuple congolais et tous les partenaires internationaux en donnant des garanties pour la tenue effective des élections.

7.A cet effet, sans céder à la résignation, nous recommandons :

 A nous tous Congolais :

-Prenons conscience que nous, Peuple congolais, sommes le souverain primaire et qu’il n’y aura pas de changement sans l’implication de chacun de nous;

-Prenons connaissance du calendrier électoral;

-Demeurons vigilants et assurons le suivi des garanties et des dates péremptoires du calendrier pour les faire respecter ;

-Participons activement au processus électoral ;

-En cas de besoin, manifestons notre désapprobation de manière pacifique, en rejetant tout recours à la violence, conformément à la Constitution.

8.A Vous, Excellence Monsieur le Président de la République :

Considérant votre charge de garant de la Constitution et du bon fonctionnement des institutions de la République, nous vous exhortons à rassurer l’opinion par une déclaration publique que vous ne serez pas candidat à votre propre succession. Nous sommes convaincus que cela contribuerait à l’apaisement des tensions politiques. Aussi est-il nécessaire que vous vous impliquiez à fond dans la poursuite et le parachèvement de la mise en œuvre des mesures de décrispation politique prévues dans l’Accord.

9.A vous, nos Elus, membres du Parlement, Nous vous demandons de :

-Adopter avec diligence les lois justes qui garantissent la tenue des élections ;

- Assurer le contrôle de l’exécution du budget concernant les élections ;

-Rejeter, selon l’esprit de l’Accord de la Saint-Sylvestre, toute initiative de révision et de changement de Constitution pendant la période préélectorale et électorale ;

-Surseoir jusqu’à la législature prochaine le projet de réformes des certaines lois, notamment la révision de la loi portant organisation et fonctionnement des Associations Sans But Lucratif (ASBL) et des Etablissements d’utilité publique.

10.A vous, membres du Gouvernement, Nous vous recommandons de :

-Veiller au respect des libertés de manifestation et d’expression telles que prévues dans la Constitution;

-Publier, de préférence avant la fin de l’année 2017, le plan  de décaissement des fonds destinés à la CENI en toute transparence;

-Poursuivre, à votre niveau, la mise en œuvre et le parachèvement des mesures de décrispation du climat politique ;

- Veiller à la sécurisation du processus électoral.

11.A vous, membres de la CENI, Nous réitérons notre demande de :

-Rassurer la population de votre indépendance et de votre neutralité ;

-Collaborer efficacement et dans la transparence avec le groupe des experts.

12.A vous, dirigeants des Partis politiques, Nous vous demandons de :

-Proposer des projets de société pertinents en faveur du bien-être du Peuple Congolais, au lieu de vous contenter de faire des cadeaux ponctuels qui frisent la corruption ;

-Assurer l’éducation civique et électoral des membres de vos partis politiques respectifs ainsi que de la population ;

-Ne pas chercher le maintien ou l’accès au pouvoir par des coups de force qui risqueraient de plonger le pays dans le chaos ;

-Eviter l’inconstance et les divisions intestines ; et de travailler plutôt  dans la légalité et l’unité pour l’intérêt de la population ;

-Organiser, en cas de besoin, des manifestations sans violence, conformément aux dispositions de la Constitution.

13.A nous tous, chers frères et sœurs, membres la Société Civile:

-Gardons notre identité organisation apolitique, sans nous laisser inféoder à un quelconque regroupement politique ;

-Veillons à assurer le suivi permanent de la réalisation des activités prévues dans le calendrier électoral et interpeller chaque institution de la République suivant ses responsabilités.

14.A vous nos partenaires, membres de la Communauté Internationale, Nous vous exhortons à :

-Accompagner le Peuple congolais à faire respecter la mise en œuvre du calendrier électoral selon son chronogramme ;

-Faciliter la tenue des élections en 2018 par un appui financier et logistique nécessaire à l’accomplissement des opérations préélectorales et électorales.

CONCLUSION

15.En guise de conclusion, la CENCO tient à rappeler à tous les acteurs politiques et au Peuple congolais tout entier que l’Accord de la Saint-Sylvestre n’est pas mort. Il est et demeure l’unique feuille de route consensuelle pour sortir de cette crise politique qui n’a que trop duré.

16. n même temps qu’elle réaffirme son attachement à cet Accord qu’elle a elle-même parrainé, la CENCO exprime sa ferme volonté d’accompagner le Peuple congolais vers les élections justes, libres et transparentes qui permettront à notre pays de se choisir de nouveaux dirigeants.

17.« Si le Seigneur ne bâtit la maison c’est en vain que peinent les bâtisseurs » (Ps 127). Prions sans cesse pour la réussite de ce processus électoral. Que la Vierge Marie, Reine de la paix et Notre Dame du Congo, intercède pour nous.

Fait à Kinshasa, le 24 novembre 2017

 
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Archbishop urges Kenya’s youth to shun hatred

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Kenya’s Archbishop Anthony Muheria of Nyeri Archdiocese has called on the nation’s young people to shun hatred and tribalism asking them to respond to the love of Christ. Archbishop Muheria was the principal celebrant during the National Catholic Youth Convention held recently at Kenya’s Machakos Stadium. The con-celebrants were Bishops’ John Oballa of Ngong Diocese and David Kamau the Auxiliary of the Archdiocese of Nairobi. 

Archbishop Muheria who is also the Apostolic Administrator of Machakos urged young people to be hopeful amidst many challenges that they may be facing in life.

“We must say no to hate messages; don’t be swallowed by the crocodile of hatred. My young people, today we are being told to open our hearts, harden not your hearts. Your hands are meant to be for blessings and not for violence,” said the Archbishop.

The theme of the Youth Convention was, “Faith on fire: God’s call, my response.”  It comes at a time when Pope Francis has dedicated the 15th Ordinary General Assembly of the Synod of Bishops to be held Rome, October 2018. The ‘Synod on the Youth’  will address matters affecting young people.

Under the theme ‘Young people, the faith and vocational discernment, the major aim of the Youth Synod in 2018 will be to journey with young people in their process of discernment, shaping their future and bringing them to an encounter with God and with human beings as well as enhancing their active participation in the Church’s life and that of society.

Archbishop Muheria called on the young people to give witness to their vocation, by living their baptismal promise. He lauded efforts of all those actively journeying with youths such as Diocesan Chaplains and Youth Coordinators. He then called on young people to always carry with them the Catholic prayer weapon, the Rosary and to remain firm in faith despite the torrents and storms of life.

On his part, Bishop Kamau asked the youth to stand firm in faith and to treasure their youthfulness.

Speaking at the occasion, Bishop Oballa asked young people to bring suggestions on how they wish to be accompanied by the Church in the work of evangelisation.

Daniel KIPNG’ETICH, in Kenya

 
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RD CONGO : Sans Dieu, nous ne pouvons réaliser la paix

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 « Seuls, nous ne pouvons pas réaliser la paix tant rêvée. La paix est un don de Dieu ». Le rappel a été fait par le président de la Conférence épiscopale nationale du Congo, Mgr Marcel Utembi, archevêque de Kisangani, à l’homélie de la messe présidée dans la cathédrale Notre-Dame du Congo de Kinshasa, le jeudi 23 novembre. La messe a été concélébrée par une quarantaine d’évêques réunis depuis deux jours à Kinshasa pour une Assemblée plénière extraordinaire. Le 23 novembre, dans la Basilique saint Pierre à Rome, le Saint-Père François priait pour la paix au Soudan du sud et en République démocratique du Congo. Voilà pourquoi les évêques et toute l’Eglise de la RDC ont communié avec le pape dans des séances de prières ou la sainte messe organisées à travers tous les diocèses et les paroisses. Mgr Utembi a rappelé combien, depuis l’indépendance du pays en 1960, le rêve de bâtir un pays plus beau qu’avant est resté souvent comme un slogan creux, vu les tragédies vécues aux quatre coins du pays. La paix est bien le souhait de tous. Mais la paix suppose un engagement de tous et de chacun, a souligné l’archevêque. Il nous faut tourner notre regard vers le Seigneur, a-t-il insisté.

Parmi les concélébrant, il y avait le nonce apostolique, Mgr Luis Mariano Montemayor. Le représentant du pape venait d’une séance de prière organisée juste avant par les religieuses et religieux de Kinshasa dans l’église du Sacré-Cœur de Kinshasa-Gombe. Là-bas aussi, le nonce apostolique a rappelé l’engagement multiforme du pape en faveur de la paix en RDC. 

P. Jean-Baptiste MALENGE Kalunzu, OMI,                    Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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CABO VERDE: Bispo do Mindelo comemora Bodas de Prata

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A Diocese de Mindelo promove no dia 29 de Novembro (quarta-feira), no Centro Pastoral Bom Pastor, em Fonte Inês, uma Conferência de imprensa, por ocasião da Comemoração das Bodas de Prata sacerdotais de D. Ildo Fortes, Bispo do Mindelo.

A motivação para esta convocação será oferecer uma oportunidade de ouvir o Sr. Cardeal Patriarca de Lisboa e Presidente da Conferencia Episcopal Portuguesa, D. Manuel Clemente, que abordará alguns assuntos que recentemente marcaram a vida dos portugueses: os dramáticos incêndios ocorridos no verão último, os sofrimentos que várias pessoas e populações têm experimentado e as respostas que as organizações, incluindo a Igreja e a Caritas têm dado a essas situações.

Durante a sua estadia no Mindelo, D. Manuel Clemente participará a título de amizade e comunhão nas Bodas de Prata sacerdotais de D. Ildo Fortes, que foi seu aluno no Seminário de Lisboa, seu colega de Presbitério e hoje irmão no Episcopado.

D. Manuel Clemente proferirá duas conferências: uma, aberta a todos, no dia 28 de novembro, sobre o tema “A Missão dos Leigos na Igreja, na politica e na Sociedade”, no Auditório da Uni-Mindelo, e a outra, nesta quarta-feira, dia 29 de novembro, sobre “O Ministério do presbítero”, a ter lugar no Centro Pastoral Bom Pastor, e inteiramente dedicada aos sacerdotes.

Rádio Nova/Emissora Cristã,                                    De Cabo Verde, para a Rádio Vaticano

 
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CAMEROUN : Visites pastorales de l’archevêque de Douala

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L’Archevêque de Douala poursuit ses visites pastorales au sein des paroisses nouvellement construites dans la métropole économique du Cameroun. Mgr Samuel Kleda vient  ainsi de clôturer ses descentes au sein des paroisses Sainte Thérèse de MBengue City et de Saint Joseph de Boko. Le 26 Novembre 2017  il a invité les fidèles à persévérer dans leurs efforts de viabilisation des structures paroissiales.  C’est une exhortation et un message de persévérance que l’Archevêque de Douala a laissé à ses ouailles de Mbengue city et de Boko. Il les a invités à mener une vie de chrétien adulte faite de témoignage et de fidélité. Mgr Kleda a par ailleurs rappelé que c’est chaque jour que nous préparons notre ciel.  

Les fidèles de Mbengue City ont dû observer une halte dans la construction de leur église paroissiale, sur instruction de Mgr Kleda, en attendant l’obtention du permis de bâtir. Ils comptent employer ce temps d’arrêt momentané des travaux pour peaufiner les stratégies de construction de leur paroisse. Le curé,  l’Abbé Anselme Ndjembele souligne que construire une église prend du temps.  Les fidèles devront donc se mobiliser davantage pour produire et collecter des fonds à cet effet.

Sr. Paule Valérie MENDOGO,                                 Douala, pour Radio Vatican

 
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BURKINA FASO : Clôture du jubile des 75 ans du sacerdoce burkinabè

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Après la célébration nationale du jubilé des 75 ans du sacerdoce, du 03 au 06 mai 2017, chaque diocèse du Burkina en a célébré la clôture, en la Solennité du Christ Roi de l’univers, le dimanche 26 novembre 2017. Dans l’archidiocèse de Ouagadougou, cette célébration a été entamée  deux jours plus tôt avec une veillée de prières autour des restes de l’un des 3 premiers prêtres du Burkina, Mgr Joseph Daniel Ouédraogo, transférés dans le lendemain au caveau des prêtres défunts à Pabré au petit séminaire.

L’évêque auxiliaire de Ouagadougou, Mgr Léopold Médard Ouédraogo qui a présidé cette messe de clôture en la cathédrale, a rendu un vibrant hommage à ces pionniers et invité les prêtres actuels à les imiter dans leurs vertus sacerdotales et humaines. Pour lui cette célébration jubilaire se s’est vécue à un double niveau : Nous plaçons ces célébrations sous le signe de l’action de grâce et du nouveau départ. Action de grâce, parce que les trois premiers ont vraiment pris à cœur ce défi à relever et ils l’ont si bien relevé que nous autres les petits, on a été dans l’admiration et on a été jusqu’au bout ». Quant au nouveau départ, Mgr Léopold l’envisage dans la perspective missionnaire définie par le Christ aux origines : « Le monde est en pleine évolution. Et quand on regarde à droite, à gauche, on se demande si l’on n’est pas une exception, de continuer là où certains ont commencé à lâcher. Et alors il faut repartir. Et nous entendons le Seigneur nous dire : « C’est  vous maintenant les témoins. »  C’est pour cela que c’est un nouveau départ, pour partir avec enthousiasme car  nous avons notre mot à dire, au nom de Jésus Christ.

Somme toute, le bilan de cette année jubilaire est plutôt positif, Mgr Léopold : « 75ème anniversaire, ils sont 1103 à avoir été ordonnés prêtres.   C’est une croissance exponentielle de prêtres qui sont heureux de servir le Christ, de servir leurs et frères et leurs sœurs. »

A. Paul DAH,                                                                       Ouagadougou, pour Radio Vatican

 
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BURUNDI : Publication des actes du Synode diocésain de l’an 2009

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A la célébration de la solennité du Christ Roi en date du 26 novembre 2017, le diocèse de Ngozi au nord du Burundi, a pris les devants dans la publication des Actes du Synode diocésain qui a siégé du 16 au 30 août 2009.

Au cours d’une messe dominicale concélébrée par les Evêques et le nonce apostolique au Burundi, en présence d’une centaine d’accesseurs, les représentants du Gouvernement et d’innombrables fidèles catholiques, Mgr Gervais Banshimiyubusa, Evêque de Ngozi, a  donné les motivations qui ont poussé l’Eglise du Burundi à  entrer  dans la dynamique synodale sous  le thème « Edifions une Eglise Famille, une Eglise artisane de paix ».

Selon Mgr Banshimiyubusa, l’Eglise a pris l’initiative de donner sa contribution dans la construction du pays, un Burundi, bâti sur  la culture de la paix et la réconciliation. En effet, l’Eglise ne peut  pas croiser les bras face aux crises qui ont endeuillé le Burundi pendant des décennies,   par des  guerres fratricides. Il est temps de retourner à la source afin de  construire un pays, bâti sur la foi, l’amour, la vérité, la justice et la réconciliation. Dans une interview accordée à la presse locale, Mgr Banshimiyubusa a déclaré  qu’après cette publication des actes du synode, l’étape suivante sera de vulgariser  les directives  et recommandations issues  du Synode.

Après avoir déclaré clos les assises du synode diocésain de Ngozi, Mgr Gervais Banshimiyubusa a mis les conclusions de ce moment mémorable de l’Eglise sous la protection de la sainte patronne de la cathédrale de Ngozi,  le Cœur Immaculé de Marie.

Cyrille SINDAYIZERUKA/Radio Maria Burundi,                                     Bujumbura,  Pour Radio Vatican

 
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BENIN : Double jubilé à la Cathédrale Notre-Dame de de Porto-Novo

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Les filles et fils de la Cathédrale Notre-Dame de l’Immaculée conception  du diocèse de Porto-Noovo en union avec leur Curé, le Père Charlemagne Koudhorot,  ont remercié le Seigneur, le samedi  25 novembre 2017  pour le double jubilé  des 75 ans de la dédicace de la cathédrale et des 150 ans d’évangélisation de la paroisse. C’était au cours d’une messe d’action de grâce et de clôture du jubilé  présidée par l’ordinaire du lieu, Mgr Aristide Gonsallo entouré de  l’archevêque émérite de Cotonou, Mgr Antoine Ganyé,  de l’évêque  d’Abomey, Mgr Eugène Cyrille Houndékon, du secrétaire émérite du Conseil pontifical pour la culture, Mgr Barthélemy Adoukonou et d’une centaine de prêtres concélébrants, de nombreux  fidèles dont  les membres de l’Association des Volontaires de l’Eglise Catholique du Bénin (AVECATH-Bénin), les têtes couronnées de la ville,  des autorités politiques et administratives, ainsi que des religieuses et religieux de diverses congrégations du diocèse et d’ailleurs.  Mais l’une des merveilles  de ce jubilé de la cathédrale qui aura réjoui et réconforté   tout participant à cette fête a été le revêtement et l’embellissement de l’église cathédrale pour la circonstance. Dans sa joie à l’homélie, Mgr Gonsallo, n’a pas  manqué d’inviter ses fidèles jubilaires à prendre en  ce jubilé, « l’engagement de recourir au Christ pour nous faire mieux devenir miséricordieux et artisans de réconciliation au sein de notre paroisse jubilaire, de nos familles jubilaires et de toutes les structures de la société civile où nous exerçons nos activités commerciales, professionnelles ou autres ».

Guy DOSSOU-YOVO,                                            Cotonou, pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : Célébration de la journée des pauvres

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Diocèses et paroisses ont communié avec le Saint-Père François au moment même où le pape priait dans la Basilique Saint Pierre de Rome, le jeudi 23 novembre, en faveur de la paix au Soudan du Sud et en République démocratique du Congo.

Paroisses et diocèses se sont, auparavant, associés aussi au Saint-Père en célébrant avec lui, le dimanche 17 novembre, la première journée mondiale des pauvres.

Au diocèse de Luebo, dans la province du Kasai, encore marqué par des victimes de la récente guerre dite de Kamuina Nsapu, le samedi 18 novembre, la paroisse Saint Laurent de Tshikapa a accueilli des centaines de fidèles pour la prière et des enseignements autour du thème de la pauvreté dans les Saintes Ecritures. Le dimanche 19 novembre dans l’église de la jeune paroisse Saint Augustin, plus de quatre mille fidèles dont des religieuses et des autorités politico-administratives de la province et des membres d’autres confessions religieuses ont pris part à la messe concélébrée par douze prêtres, présidée par le coordinateur diocésain de la Caritas, le père Pierre Mulumba, missionnaire Ami du Christ. « N’aimons pas en paroles, mais par des actes », a dit le père Mulumba, reprenant le Saint-Père François.

Une collecte de fonds et de biens a été organisée en faveur des pauvres. Un repas a été offert aux autorités et aux pauvres, dans un climat de fraternité. Le 20 novembre, un autre repas a été offert dans la Prison Centrale de Tshikapa en faveur de 173 prisonniers.

Au diocèse de Bondo, dans la province du Bas-Uele, toutes les paroisses ont célébré la journée mondiale des pauvres. A la paroisse cathédrale, le curé a rappelé, dans l’homélie de la messe, les paroles du Saint-Père, il a invité à suivre l’exemple de saint François d’Assise. La pauvreté nous interpelle chaque jour, a-t-il dit. Après la messe, les fidèles répartis selon les Communautés ecclésiales vivantes de base sont allés visiter les hôpitaux, les prisons et le centre "Elikya" où le diocèse de Bondo héberge des pauvres. 

Au diocèse de Dungu-Doruma, dans la province du Haut-Uele, les sœurs franciscaines de la sainte famille et des membres du mouvement Focolari ont offert un repas à une trentaine de pauvres, dans le juvénat Mère Elisabeth Koch. Au début du repas, le secrétaire-chancelier du diocèse, monsieur l’abbé Jean de Dieu Mimbugbe, a adressé un mot aux invités, les exhortant à prier pour le pape, l’évêque et les sœurs franciscaines de la sainte famille. Les religieuses ont pour charisme d’aider les pauvres.

P. Jean-Baptiste MALENGE Kalunzu, OMI,                    Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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BENIN : La fête du Christ Roi à l’IAJP

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La chapelle de l’institut des artisans de justice et de paix sis au Centre Chant d’Oiseau à Cotonou  au Bénin a abrité la messe dominicale du 26 novembre 2017 en la solennité de la fête du Christ –Roi de l’univers. Présidée par le Directeur de l’Institut, le Père Colbert Goudjinou cette messe a enregistré la participation de plusieurs  membres de l’Institut des artisans de justice et de paix, IAJP,   invités à une réunion préparatoire entrant dans le cadre de l’organisation des festivités des 20 ans de leur Institut. L’occasion a été donnée au prédicateur à l’homélie d’inviter les participants à toujours être chacun pour le Seigneur, « une vraie Brebis, c’est-à-dire cet animal docile et fidèle à la Parole de Dieu ». Après un temps d’adoration à l’issue de la messe, les participants ont vécu dans l’enceinte du Centre, la traditionnelle procession du Christ – Roi de l’univers à travers trois reposoirs apprêtés pour la circonstance grâce à l’écoute de la Parole, le silence,  la prière et l’adoration. En se retrouvant après la procession les membres de l’IAJP ont eu à examiner le projet de programme des festivités des 20 ans de leur institut qui portera sur le thème de la problématique de l’impunité en lien avec les enjeux aux plans géostratégique et politique ». Les échanges à bâtons rompus sur ‘’la relation éducative ‘’qui ont suivi, ont permis aux membres de l’IAJP de comprendre à la suite de l’exposé du Père Goudjinou que : «  Ce que les enfants attendent de leurs parents, c’est le temps de l’écoute, le temps du dialogue. A l’instar donc de Jésus, l’Emmanuel, Dieu avec nous, soyons nous aussi, ‘’Emmanuel’’ avec nos enfants ».

Guy DOSSOU-YOVO,                                            Cotonou, pour Radio Vatican 

 
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CAMEROUN : Lancement de l’année pastorale 2017-2018

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L’année pastorale 2017-2018, a été solennellement lancée le jeudi 23 Novembre 2017 par Mgr Jean MBARGA, Archevêque. C’était en la Basilique Marie Reine des Apôtres de Mvolyé. C’est une rencontre qui se veut désormais une tradition pour chaque début d’année où l’archevêque de Yaoundé rencontre toutes les personnes consacrées en mission dans l’archidiocèse. Une rencontre qui, pour Mgr Jean Mbarga témoigne vivement de la communion ecclésiale qui existe entre l’Archidiocèse et les personnes consacrées. Une communion qu’il n’a pas manqué de féliciter car les fruits, a-t-il dit, ont été bien perceptibles au cours de l’année pastorale qui s’achève. Un point qui leur a permis de vivre tous ensemble le thème de l’année dernière reconduit cette année: l’ecclésialité qui par ailleurs les a aidé à faire face aux difficultés en Eglise et ne plus se sentir seule. Pour Mgr l’Archevêque, la force de la communion ecclésiale rend fort et permet d’aller en mission ensemble. La rencontre de ce jeudi s’est ouverte par la prière de l’office du soir : les vêpres animées par la communauté des sœurs de la croix de Strasbourg. Autres points à l’ordre  du jour : l’entretien de Mgr l’Archevêque sur la maternité de Marie, Mère des personnes, Mère de Jésus Fils de Dieu, l’accueil et la présentation des nouveaux : supérieures majeurs et membres des zones.   L’entretien de Monseigneur l’Archevêque portait sur  la maternité de Marie. Une occasion qui lui a permis de parler de Marie en cette année qui lui est consacrée. Que faire de Marie ? C’est la grande question que Monseigneur a posé et voici les réponses qu’il a lui-même proposées : en cette année mariale, il faut penser à Marie,  par la prière du rosaire, la prendre chez soi comme Saint Jean, lui faire porter le poids de nos vies et ne plus se sentir seule. Les questions des conventions, le transfert du petit séminaire de Mvolyé à Akono, la catéchèse, l’apostolat des laïcs entre autres ont été aussi abordées.  

Sr. Cécile Eveline NSENG, CFMY,                                                 Yaoundé, pour Radio Vatican

 
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TCHAD : Une journée de prière pour la paix

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La plateforme interconfessionnelle a organisé le 28 novembre 2017 au palais du 15 janvier à N’Djaména, une journée de prière pour la paix et la cohabitation pacifique et la concorde nationale sur le thème : «  Main dans la main, œuvrons pour la solidarité et la justice dans le contexte socioéconomique ». Chrétiens et musulmans se sont retiré de leur église et mosquée pour consacrer cette journée à entrer en contact avec Dieu demandant ainsi sa bénédiction pour que règne la paix et la cohabitation entre les fils du Tchad.

Au Tchad même si la cohabitation pacifique est réelle sur le papier, la réalité est parfois toute autre sur le terrain. L’éternel conflit intercommunautaire et agriculteurs –éleveurs sont légions dans les provinces empêchant cette cohabitation pacifique.

Le chef de l’Etat Idriss Déby Itno présent à la célébration exhorte les leaders religieux à ne pas baisser les bras dans cette lutte pour ramener la paix au Tchad. Les différents leaders religieux se sont relayés pour aussi s’adresser à l’assemblée. La paix, la cohabitation pacifique, l’unité nationale sont revenu plusieurs à travers leur message.

Edouard TAKADJI,                                                  N’Djaména,  pour Radio Vatican

 
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REPUBLIQUE DU CONGO : Un hommage aux ouvriers apostoliques défunts

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Les Commissions Épiscopales de la Conférence des Évêques  du Congo se sont réunies le mercredi 22 novembre 2017  pour une messe de suffrage en mémoire des ouvriers apostoliques et des membres des commissions épiscopales défunts. En effet, chaque mois sous la présidence du Secrétaire général de la CEC, l'Abbé Brice, les commissions se réunissent pour leur réunion mensuelle.  Celle de ce mois de novembre a été consacrée à la mémoire des membres défunts ayant évolué au niveau de la Conférence Épiscopales et dans différentes commissions. La messe a été présidée par l'Abbé Brice Armand IBOMBO, en présence des membres de toutes les Commissions épiscopales. Au cours de la célébration l'assemblée a eu une pensée particulière pour le défunt récent Lazare Bataladio, journaliste de la semaine Africaine (Hebdomadaire catholique). Le prédicateur a rappelé aux présents que célébrer une messe en mémoire des défunts est à la fois un devoir et une expression de gratitude envers ceux et celles qui étaient avec nous, qui ont vécu avec nous et que Dieu a rappelé vers lui. En outre, un petit signe pour exprimer notre communion envers ces frères et sœurs qui ne sont plus physiquement avec nous mais qui nous ont précédés dans la gloire du Père. Comme eux, nous aussi, nous y irons un jour, chacun  selon le temps voulu par Dieu. La messe a pris fin par un petit temps d'échanges des nouvelles des commissions.

Séverin MOUSSAVOU,                                                      Brazzaville, pour Radio Vatican

 
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ANGOLA: Assembleia diocesana de Kuito-Bié apela à defesa da vida e da família

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A 1ª Assembleia diocesana da família na diocese do Kuito-Bié (Angola) termina com apelos à mobilização da sociedade para a defesa incondicional da vida e da estabilidade das famílias angolanas.

Chamado a encerrar os trabalhos, o bispo da diocese apelou as famílias a ajudar os jovens a orientar as suas relações de namoro para a constituição de famílias cristãs.

Dom José Nambi exortou igualmente as famílias para a necessidade de se valorizar o essencial na construção de famílias sólidas.

As práticas culturais que obrigam a dissolução de casais por falta de filhos foram outras preocupações apresentadas pelos delegados durante a discussão na assembleia, o padre Moisés Cauaia fez saber que dentre as prioridades canónicas do matrimónio a primeira é a satisfação e realização dos esposos.

Anastácio SASEMBELE,                                          De Luanda, para a Rádio Vaticano

 
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BURKINA FASO : Transfert des restes de Mgr Joseph à Pabre

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Après avoir  célébré avec faste le jubilé des 75 ans du sacerdoce au niveau national du 4 au 6 mai dernier, chaque diocèse du Burkina est invité à en faire la clôture à la fête du Christ Roi de l’univers. Dans ce cadre, l’archidiocèse de Ouagadougou a voulu mettre les projecteurs sur Mgr Joseph Daniel Ouédraogo, l’un des trois premiers prêtres ordonné le 2 mai 1942 avec Zacharie Nikiéma et Paul Zoungrana, futur archevêque et Cardinal de Ouagadougou. En sa mémoire donc, une veillée de  prière a été organisée dans l’église  cathédrale autour de ses restes, exhumés du cimetière municipal où il reposait depuis son décès le 22 juin 1972.

Cette veillée, faite de l’écoute de la parole de Dieu, de témoignages, de chants et d’invocations, d’exhortations et d’intercessions, fut très priante. Le Père Jean Ilboudo, de la compagnie de Jésus, se souvient  ici de son oncle: « Ce que j’ai observé chez mon oncle, c’est la paix, la douceur, la paix,  l’humilité. Cette douceur et cette paix se lisaient sur son visage. Mon oncle était un homme doux. Et tous ceux qui l’ont connu et qui ont eu contact avec lui, peuvent rendre le même témoignage. »

A la suite de cette veillée, une messe a été présidée par le cardinal Philippe Ouédraogo et concélébrée par son auxiliaire,  Mgr Thomas KABORE, évêque de Kaya, l’évêque émérite de Manga et de nombreux prêtres,  ce 24 novembre avant le transfert des restes de Mgr Joseph Daniel au cimetière des prêtres défunts de Ouagadougou.

Et pourquoi là donc ? Mgr Léopold Ouédraogo, auxiliaire du Cardinal Philippe, répond : « Mgr Joseph Ouédraogo sera enterré au cimetière des prêtres qui se trouve au petit séminaire de Pabré pour continuer à être vraiment l’humus pour la floraison et l’éclosion de bons et saints prêtres pour l’annonce de la bonne nouvelle. »

A. Paul DAH,                                                                                    Ouagadougou, pour Radio Vatican 

 
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TCHAD : Mobilisation pour la restauration de la cathédrale

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Dans le souci de restaurer la cathédrale Notre Dame de la paix de N’Djaména, les fidèles chrétiens de l’archidiocèse de N’Djaména se sont mobilisé en la solennité du Christ Roi pour mobiliser plus de 54 millions de FCFA au cours d’une eucharistie présidée par Mgr Edmond Djitangar, Archevêque Métropolitain de N’Djaména et président de la Conférence Episcopale du Tchad  à la paroisse Sacré-Cœur de Chagoua.

Les fidèles chrétiens de l’archidiocèse de N’Djaména comme à l’exemple des premiers Apôtres, n’ont pas hésité à   apporter le peu qu’ils disposent pour la restauration de la Cathédrale Notre Dame de la Paix de N’Djaména.

L’Archevêque de N’Djaména Mgr Edmond Djitangar tient non seulement rendre grâce à Dieu mais dire merci aux fidèles chrétiens pour ce geste.

Signalons  que la prochaine célébration de mobilisation est prévue pour le 10 décembre prochain à la cathédrale notre Dame de la Paix en présence des Evêques de la conférence Episcopale du Tchad 

Edouard TAKADJI,                                                 N’Djaména,  pour Radio Vatican

 
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BURKINA FASO : Jubile d’or au diocèse de Kaya

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1967 – 2017 : cela fait cinquante ans que la paroisse Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus de Tougouri, dans le diocèse de Kaya, a été fondée, par le cardinal, de vénérée mémoire, Paul Zoungrana, alors archevêque métropolitain de Ouagadougou. Les fidèles de ladite paroisse ont  célébré l’événement avec ferveur et foi ce samedi 25 novembre 2017. Pas de danse, procession de la parole et d’offrandes, chants d’acclamations… ont ponctué l’eucharistie célébrée dans une église entièrement rénovée pour la circonstance et pleine comme un œuf.

La messe solennelle de clôture refermant les portes de cette année jubilaire, en cours depuis octobre 2016, a été  présidée par son excellence, Mgr. Thomas Kabore, évêque de Kaya, en présence d’une foule nombreuse

Dans son homélie de circonstance, Mgr. Thomas a invité les fidèles de Tougouri à laisser toute la place à l’évangile dans leurs cœurs et dans leurs familles. « C’est grâce à la prière que l’évangile peut s’enraciner dans la vie d’un chrétien. Pour cela, il est nécessaire que les membres de la famille se réunissent régulièrement pour prier ensemble », a rappelé l’évêque, avant de poursuivre avec cette interpellation : « Donner toute la place à l’évangile dans notre vie suppose aussi et surtout l’abandon de certaines pratiques qui consistent à faire recours aux forces occultes pour assurer sa sécurité. C’est contraire à la foi chrétienne. Si Dieu ne peut pas me protéger eh bien, que ce qui doit m’arriver m’arrive », a insisté Mgr. De fait c’est un réel problème de  foi dans cette paroisse où les pratiques ancestrales ont toujours la peau dure. Les agents pastoraux ont d’ailleurs organisé le jubilé autour de cette plaie qu’ils tentent de guérir, outre le problème de l’unité dans les familles dont ils sont également préoccupés.

A l’occasion de cette célébration jubilaire, 44 couples  ont régularisé leurs mariages, plus de 90 enfants ont reçu le baptême et plusieurs  fidèles ont célébré qui les 25, 50 et 60 ans de baptême et de mariage. Une distinction honorifique a été accordée à Cinquante fidèles laïcs  qui ont reçu des médailles, pour leur engagement dans la vie de la paroisse.

A. Paul DAH,                                                           Ouagadougou, pour Radio Vatican

 
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REPUBLIQUE DU CONGO : Solennité du Christ Roi de l’Univers

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Le Christ  n’est pas un roi à la manière des grands de ce monde qui font peser leur pouvoir sur leurs sujets. Il est un roi serviteur, doux et humble de cœur dixit, le père Dieudonné Mpassi, curé de Saint Pierre Claver de Bacongo à Brazzaville dans son homélie du dimanche 26 novembre en la solennité du Christ Roi de l’univers. Saint Luc, ajoute le célébrant nous donne la couleur de cette royauté du Christ : «  une inscription était placée sur sa tête celui-ci est le roi des justes. C’est un titre de  dérision vis-à-vis de Jésus ». Enfin, le curé conclut en invitant les fidèles de prendre conscience de leurs responsabilités et surtout précise le père de ne pas oublier les exclus de notre société.

Pas très loin de Brazzaville, la solennité du Christ, Roi de l’univers a été, également une occasion pour les chrétiens du  diocèse de Pointe-Noire de mieux comprendre le règne de Dieu. Le célébrant, l’abbé Patrice Ngoma, curé de la paroisse souligne dans son homélie que le règne du Christ est un règne de paix, de justice et d’amour et c’est selon ces critères qu’il nous jugera pour nous faire entrer dans son royaume éternel. Soulignons que, par la même occasion la Chorale Notre Dame de l’Espérance de ladite paroisse a célébré son 38 anniversaires d’existence au service de chants liturgiques.

En rapport avec la solennité du Christ, le Roi de l’univers, la coordination nationale et quelques membres des noyaux diocésains du Renouveau Charismatique Catholique accompagné de leur aumônier National  ont célébré la fête patronale dans le diocèse de Ouesso.

Séverin MOUSSAVOU,                                                      Brazzaville, pour Radio Vatican

 
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RWANDA: Collation de grades aux lauréats de l’institut catholique de Kabgayi

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Le jeudi 23 Novembre 2017, l’Institut catholique de Kabgayi a délivré les diplômes aux 380 lauréats de 2015-2016 issus des différentes facultés. C’était la sixième collation des grades depuis sa fondation en 2002.

L’Abbé Balthazar Ntivuguruzwa, vice chancelier de l’ICK, a évoqué caractère ecclésial et la vision de l’Institut en ces termes : « c’est l’institut catholique, c’est-a-dire qu’il s’inscrit dans la ligne de l’éducation chrétienne et catholique, telle que tracée par les constitutions apostoliques Sapientia Christiana et Ex cordiae ecclelsiae ; puis aussi dans la ligne de l’enseignement social de l’Eglise. Sa mission c’est vraiment de dispenser des connaissances et promouvoir des compétences, le professionnalisme et l’innovation par une éducation de qualité qui s’inscrit dans cette ligne que je viens d’évoquer par la recherche et les services a la communauté en vue du développement intégral, développement de tout l’homme  et de tout homme. » L’institut catholique de Kabgayi se positionne sur le marché du travail en fournissant le personnel qualifié en journalisme et communication, science sociales et économiques et science de développement.

Diogène NDAGIJIMANA,                                                   Kigali, pour Radio Vatican

 
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SENEGAL : Ordinations à Mbour

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L’archevêque de Dakar Mgr Benjamin Ndiaye a ordonné cinq prêtres pour le compte de l’archidiocèse de Dakar et cinq diacres de la congrégation des Oblats de Marie Immaculée ce samedi 25 novembre. La cérémonie a eu lieu à Mbour sur le site qui abritera l’église de la quasi-paroisse saint André. Il s’agit des abbés Jean Benoît Aloyse Diouf, Marcel Mane, Jacques Mendy, Augustin Simon Ndour et Charles LOPY ordonnés prêtres. Et des frères Jean Noël Gueye, Jean Pierre Faye, Pierre Sene, Hyacinthe Dieng et Louis Barthélémy Sambou ordonnés diacres. A l’homélie, en commentant le récit du lavement des pieds dans l’évangile selon saint Jean, texte choisi pour la circonstance, l’archevêque a insisté sur le service. Au terme de la célébration, le porte-parole des nouveaux ordonnés l’abbé Charles Lopy exprime sa gratitude.

Clément AHOUANDJINOU,                                                          Dakar,  pour radio Vatican

 
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BURKINA FASO : Dialogue islamo-chrétien au Burkina

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Sous la houlette de Mgr Laurent DABIRE, évêque de Dori et évêque responsable de la Commission épiscopale du dialogue interreligieux, notamment islamo-chrétien, ladite commission s’est réunie les 22 et 23 novembre 2017 au Centre national Cardinal Paul Zoungrana à Ouagadougou pour sa session ordinaire. Il s’est agi pour elle de faire le point de l’état actuel de ce dialogue dans chaque diocèse afin d’envisager de nouvelles approches pour un dialogue toujours plus fructueux. A l’occasion, les statuts et règlements intérieurs ont été révisés pour approbation par la conférence épiscopale afin d’approfondir de façon encadrée ce dialogue, plus que jamais nécessaire, eu égard au climat actuel d’un terrorisme généralisé.

Mais d’ores et déjà de belles expériences se vivent dans ce sens au Burkina, comme le confie Mgr DABIRE : « Il y a le dialogue de la vie fait du bon esprit africain du bon voisinage, des échanges sociaux, humains lors des évènements de famille et cette collaboration entre ces diverses religions se vit jusqu’au niveau de la république. » A côté de cela, il y a des formes plus élaborées de dialogue interreligieux comme l’expérience de l’UFC dans le diocèse de Dori qu’évoque justement Mgr Laurent : « A Dori en tout cas, il y a l’Union fraternelle des croyants au sein de laquelle chrétiens et musulmans cherchent ensemble les voies du développement, du vivre ensemble, de la connaissance mutuelle. » Et cette expérience est si heureuse porteuse au point que l’évêque de Dori invite les autres diocèses à trouver des cadres juridiques similaires de dialogue, tant il lui parait fondamental : «Il faudrait que les diocèses instaurent une réelle approche de cette dimension pastorale du dialogue interreligieux et en particulier du dialogue islamo chrétien pour trouver de véritables chemins de construire ensemble un avenir commun et pour aussi créer des espaces de liberté et de sérénité où chacun peut pratiquer sa religion ».

A.Paul DAH,                                                                        Ouagadougou,  pour Radio Vatican

 
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BENIN: L’institut Amis de la Mission en fête

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L’institut en formation “ Amis de la Mission’’ fondé au Bénin par l’archevêque  émérite de  Cotonou, Mgr Nestor Assogba,  de vénéré mémoire, a accueilli avec joie l’entrée en son sein  de la Sœur Nadège Basilia Alowanou, le mardi 21 novembre 2017 en la solennité de la fête de la présentation de la Vierge Marie. C’était dans le diocèse de Kandi, à l’évêché,  sous la présidence de l’ordinaire du lieu, Mgr Clet Fêliho, responsable juridique dudit institut en formation. Elle l’a fait par l’émission de ses vœux temporaires, en présence des agents pastoraux de kandi, des  religieux et religieuses, des fidèles laïcs, des parents et amis venus nombreux la soutenir de leurs prières.  Après avoir salué à l’homélie l’endurance et la persévérance de la jeune sœur que lui-même a eu à former durant son stage à l’évêché de Kandi, Mgr Clet a tenu à porter sur  l’heureuse du jour un témoignage : « Nadège est une fille pleine d’espérance… En dépit de toutes les raisons qu’elle avait de se décourager, et connaissant bien mieux que quiconque, les hauts et les bas de son institut, elle est demeurée ferme, convaincue que c’est bien là que le Seigneur la voudrait. C’est pour cette raison que les vœux religieux sont bien souvent des occasions de nombreuses interrogations, surtout lorsqu’on sait par ailleurs que la personne avait beaucoup de ressources pour réussir matériellement et socialement sa vie. Mais l’homme, qu’a-t-il qui ne soit don de Dieu ». Et le prélat de conclure : «  Être religieux ou religieuse, ce n’est d’abord pas porter l’habit ; c’est adhérer à la volonté du Père et se stabiliser dans l’union à Dieu ; cette union qui est supérieure  à tout lien de sang ».

Guy DOSSOU-YOVO,                                                       Cotonou, pour Radio Vatican

 
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ÁFRICA DO SUL: Violência contra a mulher é sinal de enfraquecimento da cultura em geral

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Sábado, 25 de Novembro, foi Dia Internacional para a Eliminação da Violência contra as Mulheres. Mas o assunto não acaba aí. A ONU lançou a campanha “16 dias de activismo” que vai durar até ao próximo dia 10 de Dezembro. Não é a primeira vez que se faz isso. "16 dias de activismo" foi lançada em 1991 pelo Instituto Internacional pela Liderança Feminina e cada ano focaliza num aspecto particular. Este ano o foco é “Todos Unidos sobre o tema “Não deixar ninguém de lado: pôr termo á violência contra mulheres e crianças”. E isto tendo em conta primeiramente as pessoas mais desfavorecidas e marginalizadas, incluindo refugiados, migrantes, minorias, povos autóctones, populações afectadas por conflitos, catástrofes naturais, etc.

A cor laranja foi escolhida para chamar a atenção sobre a campanha. Edifícios e monumentos serão iluminados e decorados com a cor laranja para chamar a atenção do mundo sobre a questão da violência contra as mulheres e meninas.

Na sua mensagem para o dia 25 de Novembro, o Secretário Geral da ONU, António Guterres, disse que no mundo mais de um terço das mulheres já passaram por violências físicas e sexuais no decurso da sua vida; 750 milhões de mulheres tiveram de se casar antes dos 18 anos, e mais de 250 milhões passaram por mutilações genitais.

As militantes dos direitos das mulheres são tomadas como alvo em proporções alarmantes e a violência contra personalidades politicas femininas entrava o progresso dos direitos civis, sociais, políticos, económicos e culturais das mulheres.

É largamente aceite que todas essas formas de violência contra a mulher  comprometem a participação da mulher na perenização da paz social. Se a violência contra as mulheres não for combatida não se poderá chegar nunca a uma boa concretização do Programa de Desenvolvimento Durável 2030.

Guterres apela por isso, a reforçar as acções e dá alguns exemplos de iniciativas já em acto, como a estratégia “tolerância zero ao assédio sexual” nas organizações, lançada em Setembro; a iniciativa mundial “Cidades seguras e espaços públicos seguros” , ou ainda a campanha “Todos unidos daqui até 2030”.

Ele concluiu que é chegado o momento de agir conjuntamente a fim de que as mulheres e meninas do mundo inteiro possam viver livres de assédio sexual, das práticas tradicionais nefastas e de todas as outras formas de violência.

Por seu lado Phumzile Mlambo-Ngcuka, Secretária Geral Adjunta da ONU e Directora Executiva da ONU Mulheres emitiu esta mensagem vídeo através do site da ONU:

“É um direito de todas as mulheres e meninas s viver sem violência. No entanto a violência existe em todas as comunidades e a todo os níveis. Acontece em casa, comunidades, pelas mãos de pessoas amadas, autoridades que nos deveriam proteger, estrangeiros, instituições, empregadores estatais que provêm ao nosso pão quotidiano.

 Acontece on line, como jogo nas redes sociais, os telemóveis… criam novas oportunidades de abusos.

A violência sexual é amplamente difusa e assim tem sido desde longa data. As milhões de pessoas que twitaram “eu também”  através do mundo, mostra que todos tem um papel a desenvolver na condenação do estupro e a violência.

Temos de combater a violência baseada no género em todo o lado. Muitas das pessoas afectadas pela violência são meninas, pessoas marginalizadas, anciãs, adolescentes, refugiados, indígenas, deficientes…

Temos de tomar medidas para prevenir a violência e, ao mesmo tempo estar preparados para responder, quando a violência já ocorreu, com serviços adequados às vítimas.

A violência contra mulheres e meninas não é inevitável"

"Para chegar a 0% tolerância – diz uma voz masculina no spot da ONU - tens de ser 100% responsável. Como parte disto apelamos os homens a reconhecerem a realidade do sexismo e domínio masculino e a denunciar".

E uma voz feminina recorda as diversas formas de actuar contra a violência contra mulheres e meninas:

       - Prevenção – educar as crianças desde pequenas à não violência

       - Participação – todos devemos falar contra essas formas de violência

       - Protecção – fazer aprovar leis contra a violência

       - Prover  serviços de qualidade contra para as sobreviventes

       - Promover a paz…

Não deixar ninguém de lado, concluiu Phumzile, significa que é preciso planificar soluções para eliminar a violência em parceria com as mulheres e meninas que antes eram ignoradas e pastas de lado ou excluídas, restabelecer os direitos humanos e a dignidade.

Entrevista pela Rádio Vaticano acerca da violência contra as mulheres, D. Vincenzo Paglia, chanceler do Instituto Pontifício João Paulo II para os Estudos do Matrimonio e Família disse:

 “Eu creio que, infelizmente, contra esta crescente violência contra as mulheres, nós estamos a pagar o preço de uma indiferença global, excepto em relação ao “si próprio”.

Por isso, criar momentos de reflexão sobre isto é mais que oportuno, até porque, a meu ver, a violência contra as mulheres é uma das manifestações do enfraquecimento da cultura em geral. Não é um evento que acontece por acaso; aliás, hoje também na opinião publica, há escândalos relativos a Holliwood, a Walt Disney, e assim por diante.

Creio que seja indispensável para todos, para a Igreja e para a cultura civil, repensar o tema da violência contra as mulheres num horizonte mais amplo. Não podemos exigir apenas um toco de boa vontade; há um problema cultural e, a meu ver, devemos voltar todos a reflectir sobre a diferença radical e a igualdade entre o homem e a mulher para compreender de novo aquela aliança originária entre o homem e a mulher aos quais Deus confiou a custódia da Criação e a responsabilidade das gerações.

Devemos reflectir com mais profundidade sobre o risco de esquecer a diferença procurando, possivelmente, o neutro ou então individuar uma igualdade incolor. Eis porque a meu ver, há necessidade de o homem voltar a compreender a indispensabilidade do outro que, inicialmente é a mulher… e vice-versa.”

- Mas, na Itália, a maior parte dos casos de violência contra a mulher tem como autor o parceiro que o faz supostamente por amor, não é por se ignorar a diferença. O que faz a Igreja católica para proteger as vítimas e prevenir esses crimes?

“Mas o não reconhecimento da diferença significa que há uma espécie de egolatria, o culto do eu, de um amor romantizado, sentimental, pelo que o que conta sou portanto eu e, no altar do eu, se sacrificam também os afectos mais importantes, incluindo os mais próximos, aliás, são talvez as primeiras vítimas. Neste sentido a recuperação da diferença quer dizer impossibilidade de reduzir a realidade a si mesmos. Este é o nó que hoje está ainda pouco desatado, mesmo no seio do pensamento normal tanto de quem crê, como de quem segue a laicidade. Devemos ir um pouco mais além do masculinismo e do feminismo, isto é, devemos fundar uma nova cultura porque creio que, de certo modo, já chegamos à última paragem e há uma certa dificuldade no votar a partir de novo para edificar um mundo, onde a diferença não signifique inimizade, mas riqueza; onde a presença do outro não signifique um perigo, mas uma oportunidade. Isto vale a nível global, a nível da família, a nível das grandes cidades, a nível da desigualdade planetária, a nível também da política: a redução do real a si próprio; o individuo se sente único. Isto, na minha opinião, é um problema de recuperação de uma cultura que deve prever – esta é a minha convicção - uma nova aliança, porque quando as coias vão bem entre o homem e a mulher, vai bem a História, a sociedade. Se as coisas vão mal, quer dizer que a História deve mudar de orientação.”

Dulce ARAÚJO, Rádio Vaticano/Programa Português

 
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MOÇAMBIQUE: Deputados apelam à paz e coesão no Zimbabué

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O novo presidente interino da República de Zimbabué, Emmerson Mnangagwa tomou posse esta sexta-feira (24), em substituição de Robert Mugabe, que apresentou recentemente a sua demissão na sequência de uma intervenção militar. Esta mudança da presidência daquele país vizinho, não deixou os moçambicanos indiferentes.

Com efeito, a reportagem da Rádio Vaticano em Maputo, ouviu os parlamentares das bancadas da Frelimo, partido no poder e do Movimento Democrático de Moçambique (MDM), para quem, a resignação de Robert Mugabe, afigura-se uma nova era no Zimbabwe.

Para Lutero Simango, Chefe da Bancada Parlamentar do MDM, o povo do Zimbabué deve continuar a lutar para a sua emancipação, liberdade e fazer uso desta mudança, para abertura de uma nova era no país.

O Povo deve reunifica-se

Por seu turno, Edmundo Galiza Matos Júnior, o porta-voz da bancada parlamentar da Frelimo, partido no poder, afirma que o povo zimbabueano deve reunificar-se, manter-se coeso, num clima de paz e harmonia.

Para o presidente da Associação Moçambicana dos Juízes, Carlos Mondlane, o povo zimbabueano deve estar em festa pela sucessão que houve naquele país e abster-se de qualquer tipo de violência.

De referir que o Presidente da República de Moçambique, Filipe Nyusi, participou esta sexta-feira na cerimónia de tomada de posse do novo presidente do Zimbabué, Emmerson Mnangagwa, três dias após a renúncia de Robert Mugabe, que, aos 93 anos, cedeu sob a pressão do Exército, do seu partido e da rua.

Hermínio JOSÉ,                                                        Maputo, para a Rádio Vaticano

 
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CABO VERDE /Ilha do Fogo: Gente de Chã das Caldeiras mais rápida que as autoridades

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Fez, ontem, 23 de Novembro, 3 anos que o vulcão da ilha do Fogo, em Cabo Verde, entrou em erupção. Uma erupção que viria a terminar só a 8 de Fevereiro de 2015, depois de 77 dias durantes as quais expulsou cerca de 125 milhões de toneladas de lava; lava que destruiu na sua passagem boa parte de Chã das Caldeiras com os povoados de Portela, Bangaeira e ilhéu de Losna. Causou também enormes prejuízos socioeconómicos  e ambientais com a destruição de lavras, infra-estruturas, e a morte de animais e sobretudo deixando sem abrigo e sem actividades económicas mais de um milhar de pessoas. Felizmente, não houve vítimas humanas. De salientar que a população de Chã vive de agricultura, pecuária e algum turismo.

O Governo prometeu ajudar em breve tempo a população a retomar a sua vida normal, nomeadamente com a construção de casas e criação de empregos… Mas três anos depois, as casas ainda não foram construídas. Então, a população de Chã está a seguir em frente independentemente das autoridades centrais e locais, que agora se vêm também obrigadas a virar a atenção para a seca que afecta o arquipélago e que tem graves consequência para essa ilha essencialmente agrícola – explicou-nos em Roma, os Presidentes das Câmaras de São Filipe e Mosteiros, respectivamente, Jorge Nogueira e Carlos Fernandinho Teixeira. Vieram a Roma recentemente da premiação do frade capuchino Ottavio Fasano premiado pela Academia dei Lincei que levou em consideração os projectos sociais da Congregação na Ilha, e para conhecer experiencias agrícolas e de outros tipos (de que já falamos anteriormente) que possam levar ao desenvolvimento da ilha caboverdiana do Vulcão. Vieram acompanhados, entre outros, do empresário António Pires.

A Rádio Vaticano falou com eles acerca da emergência da erupção e da seca que está a afectar Cabo Verde, criando uma dupla emergência para a ilha do Fogo: a da erupção ainda não resolvida e agora o mau ano agrícola.

Dulce ARAÚJO, Rádio Vaticano/Programa Português

 
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CABO VERDE: Presidente Fonseca à CPLP: “mais mobilidade e circulação”

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O apelo foi deixado por Jorge Carlos Fonseca no passado dia 23, na visita que efectuou à sede da Comunidade de Países de Língua Portuguesa, em Lisboa - um encontro na sequência da visita oficial que está a fazer a Portugal, com diversos eventos no âmbito das relações entre Portugal e Cabo Verde.

Nesta deslocação à sede da CPLP, o Presidente cabo-verdiano analisou com o secretariado executivo da organização vários temas no âmbito da lusofonia e que deverão marcar a próxima cimeira da CPLP a realizar naquele país africano.

Aos jornalistas, Jorge Carlos Fonseca apontou algumas prioridades para a CPLP como “mais cooperação económica e empresarial, mais capacidade e acção política e diplomática, sobretudo, mais mobilidade e mais circulação”.

Aspectos em foco nesta conferência de imprensa marcada ainda pela situação no Zimbabué e pelas recentes eleições na Guiné Equatorial.

Eleições também comentadas pela secretária executiva da CPLP, Maria do Carmo Silveira, na conferência de imprensa conjunta com o Primeiro-ministro de São Tomé e Príncipe, Patrice Trovoada que visitou a sede da organização lusófona no passado dia 22.

Domingos PINTO,                                                    De Lisboa,  para a rádio Vaticano

 
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ANGOLA: Embaixadora elogia novo Executivo de João Lourenço

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O desempenho do Executivo angolano, liderado pelo Presidente João Lourenço, mereceu nesta quarta-feira (22/11) referência da embaixadora dos Estados Unidos da América em Angola, Helen La Lime, que elogiou as reformas em curso no país.

Para a diplomata norte-americana, que está em fim de missão em Angola de 3 anos e meio, o desempenho do Executivo angolano é positivo em dois meses de trabalho, tendo considerado que essa tarefa (reforma) não é um processo fácil.

Na óptica da embaixadora, que se despediu do Presidente da República, a luta contra a corrupção empreendida pelo Executivo é uma realidade e trará resultados positivos para Angola e os angolanos.

Desde a tomada de posse a 26 de Setembro, João Lourenço tem vindo a empreender inúmeras mexidas no executivo com maior realça a figuras próximas ao antigo presidente da república José Eduardo dos Santos;

Depois da "razia" de exonerações nas administrações de empresas públicas e outros organismos do Estado que herdou do anterior Presidente, que esteve no cargo 38 anos, João Lourenço exonerou Isabel dos Santos de presidente do conselho de administração da Sociedade Nacional de Combustíveis de Angola (Sonangol), filha do ex presidente da república.

Ainda nos 60 dias após a posse como terceiro Presidente da República, João Lourenço, general na reserva, de 62 anos, mandou cessar o contrato com a empresa Semba Comunicação - que tem como sócios os irmãos Welwitshea 'Tchizé' e José Paulino dos Santos 'Coreon Du', outros dois filhos de José Eduardo dos Santos, para gestão do canal 2 da Televisão Pública de Angola (TPA).

Estas mudanças têm merecido reacções positivas por parte de cidadãos que almejam uma Angola mais justa e próspera, olhando para o novo paradigma de governação em Angola com alguma esperança

O jornalista e analista político Reginaldo Silva pensa que quem governa tem a legitimidade de escolher a equipa que melhor lhe garanta confiança;  

Para o economista e docente Universitário Josué Chilundulo, o presidente angolano tem pela frente inúmeros desafios inclusive algumas vozes discordantes no seio do seu partido MPLA que governa o país desde o alcance da independência em 1975.

Anastácio SASEMBELE,                                          De Luanda, para a Rádio Vaticano

 
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Pain hebdomadaire du catholique. Premier dimanche de l’avent année B. Dimanche 03 décembre 2017. Par Ambassadeur Théodore C. LOKO

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I Traits définitoires du laïcat

Les laïcs constituent l’ensemble des chrétiens qui ne sont pas membres de l’ordre sacré et de l’ordre religieux (Lumen Gentium n° 31, cf. Can 207 §1) et qui, de par leur baptême, en leur qualité de fidèles, sont incorporés au Christ et intégrés au peuple de Dieu, d’où leur participation, à leur manière, à la fonction sacerdotale, prophétique et royale du Christ (cf. Can 204 §1).  "Tous les laïcs ont le devoir et le droit de travailler à ce que le message divin du salut atteigne sans cesse davantage tous les hommes de tous les temps et de tout l'univers" (Can 211).

La foi est un acte personnel : la réponse libre de l’homme à l’initiative de Dieu qui se révèle. Mais la foi n’est pas un acte isolé. Nul ne peut croire seul, comme nul ne peut vivre seul. Nul ne s’est donné la foi à lui-même comme nul ne s’est donné la vie à lui-même. Le croyant a reçu la foi d’autrui, il doit la transmettre à autrui. Notre amour pour Jésus et pour les hommes nous pousse à parler à autrui de notre foi. Chaque croyant est ainsi comme un maillon dans la grande chaîne des croyants. Je ne peux croire sans être porté par la foi des autres, et par ma foi, je contribue à porter la foi des autres (Catéchisme de l’Eglise catholique, Première partie, première section, chapitre troisième, article 1er).

II Textes du jour : Isaie 63, 16b-17. 19b ; 64, 2b-7 ; Psaume : 79 ; 1 Corinthiens 1,3-9 ; Marc 13, 33-37

III Commentaire

Nous sommes en marche vers Noël et les textes liturgiques de ce jour  viennent nous rappeler que Noël n’est pas seulement un événement du passé, que le Christ continue à venir dans notre vie, que le Christ reviendra. Notamment, nous recevons des appels à veiller et à préparer activement ce grand retour.

Cette annonce du retour du Seigneur est une réponse à la prière d’Isaïe (1ère lecture) : « Reviens, Seigneur, pour l’amour de tes serviteurs ». Cette supplication est celle d’un peuple humilié, écrasé, dispersé. Mais quand tout semble désespéré, il y toujours des hommes et des femmes pour rallumer le feu de l’espérance. C’est important pour nous qui vivons dans un monde où le désespoir est plus mortel que jamais. C’est dans ce monde-là que nous sommes envoyés comme messagers de l’espérance.

Le premier dimanche de l’Avent marque le recommencement du cycle liturgique. Comme tous les débuts, il suscite un élan d’envie et d’interrogation devant ce qui peut arriver de nouveau. Mais la venue (adventus / avent) du Seigneur ne pourra véritablement être reconnue que si nous restons spirituellement vigilants, tendus en quelque sorte vers les cieux qui s’ouvrent en nous.

C’est un moment qui peut tout changer. Si nous sommes trouvés les yeux ouverts sur ceux qui souffrent dans le dénuement de leur solitude, discrètement, dans le secret du cœur s’ouvrira une brèche dans laquelle Dieu sera présent. Notre attente n’est ni passive, ni béate. Elle nous conduit à reconnaître les autres pour ce qu’ils sont et à nous laisser toucher par le poids de vie et la charge d’amour qu’ils portent. C’est vrai de tous les instants. Quand notre regard voit au-delà des apparences, un voile se déchire, sans même que nous l’ayons prévu : ainsi naît l’amour, ainsi s’ouvre le ciel, ainsi vient le Seigneur. Ainsi se réalise le soupir du prophète de la première lecture. Écoutons à nouveau son murmure : « Vous qui tenez en éveil la mémoire du Seigneur, ne prenez aucun repos ! » (Is 62,6).

Celui qui nous fait tenir fermes c’est Jésus lui-même. C’est cette bonne nouvelle que nous annonce l’apôtre Paul. Il nous fait comprendre que l’espérance est pour lui « la mémoire de l’avenir ». Il sait en effet avec certitude que notre avenir c’est le Christ glorieux.  En effet, La venue du Fils de Dieu sur la terre est un événement si immense que Dieu a voulu le préparer pendant des siècles. Rites et sacrifices, figures et symboles de la Première alliance (cf. He 9, 15). Il fait tout converger vers le Christ ; Il l’annonce par la bouche des prophètes qui se succèdent en Israël. Il éveille par ailleurs dans le cœur des païens l’obscure attente de cette venue. (CEC 522)

 
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Revue de la presse catholique africaine. Dimanche 26 novembre 2017

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Cette revue de la presse catholique africaine nous conduit d’abord en République Démocratique du Congo où le portail CENCO.CD nous fait part de la célébration à Kinshasa de la messe pour la paix, pour, précise le portail s’unir au Pape François qui a prié à Rome pour la paix en République Démocratique du Congo et au Soudan du Sud, le 23 novembre. Dans son homélie, rapporte CENCO.CD,  Mgr Marcel Utembi, qui a présidé la célébration eucharistique à la Cathédrale Notre Dame du Congo, a invité les congolais à être des artisans de paix.

Par ailleurs, le portail revient également sur le discours de clôture de l’Assemblée plénière extraordinaire du 22 au 24 novembre  des évêques de la République Démocratique du Congo.

Pour sa part le portail CONFERENCE EPISCOPAL DU MALI  évoque le 46e Pèlerinage national. 84 pèlerins, annonce le portail, ont pris la route de Kita le lundi 20 novembre, dans la cadre du 46e pèlerinage national.

Comme dans toute la catholicité, affirme le portail EGLISE CATHOLIQUE AU GABON, l’Eglise du Gabon a répondu à l’invite du Pape François, et a célébré la première édition de la Journée mondiale des pauvres, le dimanche 19 novembre. Pour aimer non seulement par des paroles, du bout des lèvres, mais aussi en actes pour les plus démunis, professe le portail.  Détaillant que dans la plupart des paroisses du Gabon, cette Journée mondiale des pauvres a été marquée par des messes en action de grâce, des repas offerts gracieusement aux familles nécessiteuses, dûment répertoriées par les groupes de l’Eglise, des dons divers.

Le journal catholique LA CROIX de Madagascar consacre une partie de ses colonnes aux festivités de la branche Scout de l’Eglise FJKM. 40 ans de la section Sampati d'Ambohidratrimo titre le journal , ajoutant que la

devise du jubilé a été tiré de la lettre à Timothée qui dit « sois  un modèle pour les fidèles ». Le journal évoque la vision, l’objectif de la branche scout. La célébration des 40 ans, précise LA CROIX de Madagascar, durera un an.

Les agents de la société nationale de distribution d’eau rejettent eux aussi les réformes du Gouvernement, lance le bihebdomadaire catholique du Congo LA SEMAINE AFRICAINE. Réunis en assemblée générale extraordinaire jeudi 16 novembre, remarque  LA SEMAINE AFRICAINE, les travailleurs de la SNDE ont décidé: «Le retrait pur et simple du projet de réforme présenté par le ministère de l’Energie et de l’hydraulique auprès du Gouvernement lors du conseil de cabinet du 8 novembre ». Que va-t-il se passer si leurs revendications ne sont pas prises en compte par le Gouvernement?, s’interroge LA SEMAINE AFRICAINE.

Peut-on danser à la messe ?, un livre qui remet en cause les évidences, remarque l’hebdomadaire catholique LA CROIX du Bénin. Le vendredi 03 novembre 2017, à l’espace Antou, le P. Maurice Hounènou, doctorant en liturgie, a publié un nouveau livre intitulé Peut-on danser à la messe ?, rapporte LA CROIX du Bénin. La première partie de  l’ouvrage constitué de trois grandes parties, ajoute l’hebdomadaire catholique, est composée de trois chapitres qui présente les fondements historiques et anthropologiques de la danse sacrée, en partant des cosmogonies hindoues, grecques et africaines.

Cédric MOUZOU, SJ,  Radio Vatican/Français-Afrique

 
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