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Rédaction +390669883895 | e-mail: africa@vatiradio.va

21/02/2018

De nous à vous - From us to you - De nós para vós

De vous à nous - From you to us - De vós para nós

De nous à vous - From us to you - De nós para vós



Vatican Radio Communiqué/Communiqué Radio Vatican/Comunicado da Rádio Vaticano

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If you are listening to us on Shortwave, we would greatly appreciate a short report from you on the quality of our programs and of the signal reaching you. Please address your report to: The Africa Promotions Office for Africa, Vatican Radio, 00120 Vatican City.

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Nous demandons à nos auditeurs qui nous suivent sur les Ondes courtes de bien vouloir nous faire parvenir un rapport d’écoute sur la qualité de la réception de nos programmes, à l’adresse du Bureau de Promotion-Afrique de Radio Vatican, 00120 Cité du Vatican.

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Pedimos aos nossos ouvintes que nos escutam em Ondas Curtas que nos enviem um relatório de escuta sobre a qualidade da recepção dos nossos programas, escrevendo ao seguinte endereço do Serviço de Promoção-África da Rádio Vaticano, 00120 Cidade do Vaticano.

 
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Avis pour les radios catholiques africaines et les auditeurs de Radio Vatican/ Notice to Catholic Radio Stations in Africa and listeners of Vatican Ra

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Radio Vatican avait produit en 2011 un album musical, Afrika tenda amani (fais la paix, Afrique), avec le concours de quelques artistes musiciens africains dont Papa Wemba de la République démocratique du Congo et Bonga d’Angola. Cet album qui accompagne l’exhortation post-synodale Africae munus, reflète les thèmes de la Deuxième assemblée spéciale pour l’Afrique du Synode des Évêques (réconciliation, justice et paix), a été expédié à toutes les radios catholiques africaines par le canal des Pères Evêques diocésains auxquels Radio Vatican a fait parvenir 3 copies.

Si jamais une radio n’a pas encore reçu une copie de cet album, elle peut nous écrire (africa@spc.va) pour nous en demander. De même, nous disposons de quelques exemplaires pour nos auditeurs qui en feront la demande. Mais la quantité est fort limitée.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsable du Bureau de Promotion de Radio Vatican pour la zone Afrique

E-mail : africa@spc.va

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In 2011, Vatican Radio produced a music album titled Afrika tenda amani (Make Peace, Africa), with the help of a few African musicians including Papa Wemba of the Democratic Republic of Congo and Bonga from Angola. Three copies of the CD album, which accompanied the publication of the post-synodal exhortation Africae munus  and reflects on the themes of the Second Special Assembly for Africa of the Synod of Bishops (reconciliation, justice and peace) was sent to all  Catholic radio stations in Africa through the local bishops.

If your radio station has not yet received a copy of this album, please write to africa@spc.va to request a copy. Also, we have a limited number of copies for our listeners who may also send their requests to the above email address.

Fr. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Head of the Promotions Office for Africa

Vatican Radio

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A Rádio Vaticano tinha produzido em 2011 um álbum musical denominado Afrika Tenda Amani (faz a paz, África), com a participação de alguns artistas músicos africanos, dentre os quais Papa Wemba da República Democrática do Congo e Bonga de Angola. Este álbum, que acompanha a Exortação pós-sinodal Africae Munus reflecte os temas da Segunda Assembleia Especial para a África do Sínodo dos Bispos (reconciliação, justiça e paz), e foi enviado a todas as Rádios Católicas africanas através dos Senhores Bispos Diocesanos aos quais a Rádio Vaticano fez chegar três cópias.

Se por acaso alguma Rádio ainda não recebeu uma cópia deste álbum, podem nos escrever (africa@spc.va) para solicitá-lo. Da mesma forma, também dispomos de alguns exemplares para os nossos ouvintes que o solicitem. Mas a quantidade é muito limitada.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsável do Departamento de Promoção da Rádio Vaticano, para a região África

E-mail: africa@spc.va

 
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Nos fréquences en KHz sur les Ondes courtes (Heure en Temps universel)/ Our frequencies in KHZ on Short Waves (Universal Time)/As nossas frequências e

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Anglais-Afrique/ English-Africa/Inglês-África :

8 :30 : 11625 - 13765 

19 :30 : 9660 - 15570 

22 :00 : 7360 -9670

 

Français-Afrique/French-Africa/Francês-África :

6 :30 : 9660

8 :00 : 11625 - 13765 

19 :00 : 9660 - 15570 

22 :30 : 7360 - 9670 

 

Portugais-Afrique/ Portuguese-Africa/Português-África :

7 :30 : 9660 - 11625

20 :00 : 9660 - 15570

 

Kiswahili :

5 :30 : 7360 

18 :00 : 9660 - 15570

 

NB:

Partout dans le monde, on peut suivre nos programmes à travers notre site internet www.radiovaticana.va.  De même, on peut suivre en direct les images des événements, des cérémonies du Pape sur notre Player video live dont le lien se trouve sur notre site internet.

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Please note that you can follow our programmes at all times, day and night the world over. Just go to www.radiovaticana.va. Also you can follow a live video coverage of Papal events by clicking on the video player on the website.

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Em todo o mundo é possível seguir os nossos programas através do nosso sito internet www.radiovaticana.va Do mesmo modo, se podem também seguir in directo as imagens dos acontecimentos e cerimónias do Papa  no nosso Player vídeo ao vivo, cujo link também se encontra no nosso sito internet.

 
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Liens pour écouter les podcast de nos émissions/Links to listen our podcast

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Programme Français-Afrique :  

http://media01.vatiradio.va/podmaker/podcaster.aspx?c=FRANCESE_AFRICA

English for Africa programme:

http://media01.vatiradio.va/podmaker/podcaster.aspx?c=INGLESE_AFRICA

Portuguese programme for Africa:

http://media01.vatiradio.va/podmaker/podcaster.aspx?c=PORTOGHESE_AFRICA

 
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PROGRAMME FRANÇAIS-AFRIQUE : SUIVEZ-NOUS SUR FACEBOOK

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En plus de notre site internet, vous pouvez aussi suivre de nos nouvelles sur Facebook à l’adresse : Radio Vatican Français-Afrique. Cliquez sur "j'aime" pour interagir.

 
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Change of e-mail address/ changement d’adresse électronique

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Hello!

The e-mail address africa@vatiradio.va will not be valid after the 25 September 2017. Kindly send your messages using the new e-mail address: africa@spc.va from now onwards.

Best regards

*

Salut!

L’adresse électronique africa@vatiradio.va ne sera plus opérationnelle après le 25 septembre 2017. Prière d’envoyer dorénavant vos messages à la nouvelle adresse : africa@spc.va

Salutations cordiales

*

Bom dia,

O endereço electrónico africa@vatiradio.va vai deixar de funcionar a partir do dia 25 de Setembro de 2017. Pedimos o favor de, a partir desse dia, enviar as mensagens para o novo endereço: africa@spc.va

Saudações cordiais

 
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Adresse utile pour Radio Vatican/Useful contact of Vatican Radio/Endereço

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P. Jean-Pierre BODJOKO, SJ

Responsable Bureau de Promotion-Afrique/Head of Africa’s Promotion Office/ Responsável

Sector de promoção-Afrique

e-mail: africa@spc.va

Tel : +39.06.698.83366

 
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De vous à nous - From you to us - De vós para nós



DECLARATION DE LA CONFERENCE EPISCOPALE NATIONALE DU CONGO

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A l’issue de l’Assemblée Plénière Extraordinaire du 15 au 17 février 2018

1. Nous, Cardinal, Archevêques et Evêques, membres de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO), réunis en Assemblée Plénière Extraordinaire à Kinshasa, du 15 au 17 février 2018, mus par la sollicitude pastorale  à l’égard du Peuple congolais, partageons ses joies et ses espoirs, ses tristesses et ses angoisses (cf. Gaudium et Spes, n.1).

2. En moins de trois  mois de notre dernière Assemblée Plénière Extraordinaire du 22 au 24 novembre 2017, nous  nous sommes retrouvés encore une fois à cause de la persistance et de l’aggravation de la crise sociopolitique du pays.

3. Corps du Christ, l’Eglise n’est inféodée à aucune organisation politique. Sa seule préoccupation, c’est de contribuer au bien-être du Peuple congolais tout entier, à la sauvegarde et à la promotion de la dignité de la personne humaine, au respect de la vie, des libertés et des droits fondamentaux (cf. Gaudium et Spes, n. 76 §2).

4. Suite aux appels constants de la CENCO, nous observons, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, un éveil de conscience du Peuple congolais et sa détermination à prendre son destin en main.

Constats douloureux

5.  Alors que nous sommes censés nous préparer à la tenue des élections en vue d’une alternance pacifique au pouvoir, nous sommes profondément inquiétés  par des faits très graves et des attitudes hostiles. Il s’agit notamment de :

1° La répression sanglante des marches pacifiques (le 31 décembre 2017 et le 21 janvier 2018)

Pourquoi tant de morts, de blessés, d’arrestations, d’enlèvements, d’attaques des paroisses et des communautés ecclésiastiques, d’humiliations, de tortures, d’intimidations, de profanations des églises, d’interdictions de prier ? Quels crimes ont-ils commis, ces chrétiens et citoyens congolais qui, pacifiquement, réclamaient l’application intégrale de l’Accord du 31 décembre 2016 ? Nous condamnons vivement la violence sanglante avec laquelle ces deux marches ont été réprimées.

2° La campagne de dénigrement et de diffamation de l’Eglise catholique et sa hiérarchie

La communauté tant nationale qu’internationale est témoin d’une série de campagnes d’intoxication, de dénigrement, voire de diffamation visant à affaiblir la force morale de l’Eglise, particulièrement de Son Eminence Laurent Cardinal MONSENGWO, et à détourner l’attention du Peuple de vrais enjeux. Nous réaffirmons notre soutien et notre proximité au Cardinal Archevêque de Kinshasa. Inébranlables dans notre foi en Jésus-Christ, Roi de l’univers, et fidèles à notre mission prophétique, nous n’abandonnerons jamais notre engagement pour l’avènement d’un Etat de droit en République Démocratique du Congo.

3° L’extension inquiétante des zones d’insécurité

Nous sommes profondément préoccupés de voir s’étendre progressivement les zones d’insécurité dans différentes provinces. Comme récemment dans le Grand Kasaï, dans le Nord-Kivu et le Sud-Kivu, en Ituri, la présence des assaillants qui  sèment la mort et la désolation, fait penser à la mise en œuvre d’un plan d’occupation et de balkanisation constamment dénoncé. Dans les Provinces du Kwango et du Kwilu, la présence d’« éleveurs étranges » et armés avec leurs troupeaux de vaches entretient un climat d’inquiétude et d’insécurité au sein de la population. A ce stade du processus électoral, on est en droit de se demander : à qui profite cette déstabilisation du pays ?

4° L’Application sélective et biaisée des dispositions de l’Accord de la Saint-Sylvestre

Peut-on prétendre se préparer aux élections apaisées et passer outre les dispositions de l’Accord de la Saint-Sylvestre qui en sont les préalables ? S’obstiner sur cette voie ne peut que conduire à des élections contestables et à de nouvelles crises. Nous en appelons au sens de responsabilité de tous et de chacun.

5° La polémique autour de la « machine à voter »

Nous sommes perplexes du fait que le projet de la « machine à voter » lancé par la CENI ne fait pas  l’unanimité de la classe politique et ne rassure pas la population. Ce fait augure la contestation des résultats.

Recommandations

6. La CENCO réaffirme l’urgence d’aller aux élections en 2018 et demande avec insistance l’application intégrale et effective des dispositions en souffrance de l’Accord de la Saint-Sylvestre, notamment : le parachèvement des mesures de décrispation du climat politique, la redynamisation de la CENI, les dispositions relatives au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC).

7. Elle demande aux autorités compétentes de :

Annuler les édits interdisant les manifestations pacifiques, engager des poursuites judiciaires à l’encontre de ceux qui ont commis des actes délictueux à l’occasion des marches organisées par le Comité Laïc de Coordination (CLC) et prendre des dispositions appropriées pour encadrer les marches pacifiques, comme cela se fait sous d’autres cieux.
Arrêter les poursuites et les menaces à l’endroit des organisateurs des marches pacifiques qui n’ont fait qu’exercer leurs droits reconnus par la Constitution.
Rendre crédible et effective l’autorité de l’Etat pour sauvegarder l’intégrité du territoire national, protéger les frontières et assurer la sécurité de la population ainsi que de ses biens.

8. La CENCO invite la CENI à lever l’équivoque et les suspicions autour de la « machine à voter » en acceptant sa certification par des experts nationaux et internationaux.

9. Au Peuple congolais, la CENCO recommande de demeurer débout et vigilant, de prendre son destin en main notamment par la prière et par des initiatives de nature à barrer pacifiquement la route à toute tentative de confiscation ou de prise de pouvoir par des voies non démocratiques et anticonstitutionnelles.

10. A la Communauté internationale, la CENCO demande de continuer à accompagner la République Démocratique du Congo dans le processus électoral et à placer le bien du Peuple congolais au-dessus de ses intérêts.

Conclusion

11. Nous rendons hommage aux morts, aux blessés, et exprimons notre proximité et compassion aux familles éprouvées par la perte des leurs durant les marches du 31 décembre 2017 et du 21 janvier 2018.

12. La République Démocratique du Congo appartient à tous ses filles et fils ; c’est un droit et un devoir de tous de combattre tout ce qui peut hypothéquer son avenir. A dix mois des scrutins, nous en appelons, une fois de plus, à la responsabilité des personnes et des institutions chargées de la préparation et de l’organisation des élections pour l’intérêt supérieur de la Nation.

13. Que par l’intercession de la Sainte Vierge Marie, Notre Dame du Congo et Reine de la paix, Dieu bénisse la République Démocratique du Congo et son Peuple.

Fait à Kinshasa, le 17 février 2018

 
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Bispos da RDC preocupados com situação política no país

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A Conferência Episcopal da República Democrática do Congo, CENCO, reuniu-se em Assembleia Plenária de 15 a 17 deste mês de Fevereiro de 2018. Foi a segunda vez em menos de três meses. A razão disto – explicam na Declaração final – é “a persistência da agravação da crise sociopolítica no país”.

Na Declaração articulada em cinco constatações dolorosas, quatro recomendações e uma conclusão, os 39 bispos e arcebispos presentes na Assembleia sublinham, antes de mais, que enquanto “Corpo de Cristo, a Igreja não é enfeudada a nenhuma organização politica. A sua única preocupação é contribuir para o bem-estar de todo o Povo congolês, para a sua salvaguarda e para a promoção da dignidade da pessoa humana, para o respeito da vida, das liberdades e dos direitos fundamentais”.

Os Bispos frisam ainda que, na sequencia dos seus constantes apelos, notam uma tomada de consciência do Povo congolês, tanto dentro como fora do país, e a sua determinação em assumir o seu destino.

Constatações dolorosas

Depois os Bispos da CENCO passam a fazer algumas “constatações dolorosas” que os inquietam no momento em que o país é suposto preparar e realizar as eleições para uma alternância pacífica do poder.

A primeira constatação é a repressão sangrenta das manifestações pacíficas dos dias 31 de Dezembro de 2017 e de 21 de Janeiro deste ano. Porquê tantos mortos, feridos, detidos, raptos, ataques de paróquias e de comunidades eclesiásticas, humilhações, torturas, intimidações, profanações de igrejas, impedimentos de rezar? Que crime cometeram esses cristãos e cidadãos congoleses que, pacificamente, reclamavam a aplicação integral do Acordo de 31 de Dezembro de 2016? – perguntam-se os membros da CENCO, que condenam veementemente a violência sangrenta com a qual essas duas marchas foram reprimidas.

Em segundo lugar, os Bispos da RDC condenam a campanha de denigração e difamação da Igreja católica e da sua hierarquia como forma de enfraquecer a sua força moral e distrair a atenção do povo dos verdadeiros problemas. O principal alvo dessa campanha é o Cardeal Arcebispo de Kinshasa, D. Laurent Monsengwo, ao qual a CENCO exprime todo o seu apoio e proximidade. Sublinham que, firmes na fé em Cristo, nunca hão-de abandonar o seu empenho em favor dum Estado de direito na República Democrática do Congo.

A terceira constatação dolorosa da CENCO é a extensão inquietadora das zonas de insegurança a outras províncias do país, nomeadamente Grande Kasai, Norte e Sul do Kivu, Ituri. A presença de assaltantes que semeiam a morte e desolação nessas províncias “faz pensar na actuação de um plano de ocupação e de balcanização constantemente denunciada” – escrevem os Bispos, segundo os quais a “presença de “criadores de gado estrangeiros” e armados com as suas manadas de vacas cria um clima de inquietude e insegurança no seio da população”. E perguntam-se “a quem é que beneficia esta desestabilização do país”, nesta fase do processo eleitoral.

Outro ponto, o quarto, das constatações dolorosas é “a aplicação selectiva e desviada” das disposições do Acordo de 31 de Dezembro de 2016, chamado Acordo de São Silvestre. “Pode-se pretender preparar-se para eleições tranquilas e passar por cima das disposições do Acordo que lhes estão na base? Obstinar-se nesta via não pode senão conduzir a eleições contestáveis e a novas crises”  - sublinham os Bispos, que apelam ao sentido de responsabilidade de todos e de cada um.

A última constatação dolorosa da CENCO na sua Declaração final da Assembleia de três dias concluída no passado dia 17, é relativa à polemica em volta da “máquina de votar”. Os Bispos dizem-se perplexos pelo facto de o projecto da “máquina de votar” não ser aceite unanimemente pela classe política e por não tranquilizar a população. Isto faz prever “contestações dos resultados” – afirmam.

Recomendações

Perante este quadro inquietador, a CENCO “reafirma a urgência de realizar eleições em 2018”, recomenda a “aplicação integral do Acordo de São Silvestre”, sobretudo no que toca à “descrispação do clima politico, à redinamização da Conselho Eleitoral Nacional Independente, às disposições relativas ao Conselho Superior de Audio-visuais e à Comunicação.”

Os bispos pedem às autoridades competentes para “anularem os editais que proíbem manifestações pacíficas, para se empenharem em perseguir judiciariamente aqueles que cometeram actos delituosos por ocasião das marchas organizadas pelo Comité dos Leigos de Coordenação e para tomarem medidas apropriadas para enquadrar as marchas pacíficas, como se faz em todo o mundo.”

Pedem-lhes ainda para “porem termos às perseguições e às ameaças contra organizadores das marchas pacíficas que não fizeram senão exercer os seus direitos reconhecidos pela Constituição”.

Às autoridades competentes é pedido ainda para tornarem credível e efectiva a autoridade do Estado a fim de salvaguardar a integridade nacional, proteger as fronteiras e assegurar a segurança da população assim como os seus bens.

À Comissão Eleitoral Nacional Independente, os Bispos pedem para aceitar a certificação por parte de peritos nacionais e internacionais da chamada “máquina de votar” por forma a “levantar os equívocos e suspeitas em volta dela”.

Ao povo congolês, a CENCO recomenda que permaneça “de pé e vigilante, que assuma o seu destino de modo particular através da oração e de iniciativas tendentes a barrar, pacificamente, o caminho a todas as tentativas de confiscação e de tomada do poder por vias não democráticas  e anticonstitucionais.”

Por fim a CENCO pede à Comunidade Internacional para “continuar a acompanhar a República Democrática do Congo no processo eleitoral e a pôr o bem do Povo congolês acima de todos interesses”

Conclusões

A CENCO conclui a sua Declaração prestando homenagem aos mortos, aos feridos e exprimindo a sua proximidade e compaixão para com as famílias provadas pela perda dos seus entes queridos nas manifestações de 31 de Dezembro de 2017 e 21 de Janeiro de 2018.

A República Democrático do Congo – rematam – “pertence a todas as suas filhas e filhos; é um direito e um dever de todos combater tudo o que pode hipotecar o seu futuro.”

E a dez meses do escrutínio, apelam mais uma vez, “à responsabilidade das pessoas e das instituições encarregadas da preparação e organização das eleições pelo interesse superior da Nação.”

Dulce ARAÚJO, Rádio Vaticano/Programa Português

 
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RWANDA: Congrès africain de Radio Maria

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Du  14 au 16 Février 2018 s’est tenu  à Kigali, le Congres Africain de Radio Maria pour préparer le Mariathon 2018, une campagne mondiale  de collecte pour soutenir ses activités missionnaires. L’archevêque de Kigali, Monseigneur Thaddée NTIHINYURWA a présidé la messe d’ouverture.

Dans l’eucharistie du jour suivant, le Nonce Apostolique au Rwanda Monseigneur Andrzej Józwowicz, citant le Pape François, a encouragé les responsables de Radio Maria : En faisant siennes les paroles encourageantes du Saint-Père, « je vous invite à persévérer dans votre travail qui est devenu une vraie mission d’évangélisation, restant fidèles à l’évangile et au magistère de l’Église et à l’écoute de la société et des personnes, et plus en particulier des plus pauvres et marginalisées. Que votre Radio soit bonne compagnie pour tant de personnes malades, seules et abandonnées qui ont besoin de vous afin que vous soyez pour tous vos auditeurs un point de référence et un puissant soutien spirituel et moral. En répandant le message de l’Évangile et la dévotion à la Mère de Jésus, en promouvant l’amour envers l’Église et la prière, vos émissions offrent un « canal » valide pour entendre de belles réflexions, pour apprendre à prier, pour approfondir le contenu de la foi qui édifie et élargit les horizons de toute personne, qu’elle soit croyante ou non ».

Les participants au Congrès ont terminé leur séjour au Rwanda par le pèlerinage à Kibeho,  terre des apparitions de la Mère du Verbe, reconnues par l’Eglise.

Diogène NDAGIJIMANA,                                                             Kigali, pour Radio Vatican

 
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South Sudan prepares to celebrate day of prayer and fasting

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Bishop Barani Eduardo Hiiboro Kussala, President of Sudan Catholic Bishops' Conference (SCBC) has called on the faithful to pray during Lent for peace in the conflict-stricken nations of South Sudan and in the Democratic Republic of the Congo.

“Our Easter must be true peace in our hearts, with our neighbors and our nations,” said Bishop Kussala of the Catholic Diocese of Tombura-Yambio on February 18.

“Lent is a moment that calls all of us Christians to a deeper reflection on our lives, not only to repentance and reconciliation. Our country needs unity, to guide us to healing through authentic repentance. Unity does not mean a conflict-free society, but rather a society in which all people can enjoy freedom and experience love and compassion,” stated Bishop Kussala.

The Catholic community in the country has planned special prayer for peace to be held on February 23 and according to Bishop Kussala, the only way to experience healing and peace is through forgiveness.

“If we are not able to forgive, we remain locked up in our grief and shut out of the possibility of experiencing healing and freedom, excluded from the possibility of being at peace,” said the bishop.

The prelate on behalf of the faithful Catholics and of all the people of Sudan and South Sudan further thanked Pope Francis “for his love and constant attention” towards them.

“We are humbly grateful to our beloved Pope Francis who invites us to unite in prayer and to fast for peace in our devastated land and in all nations in difficulty,” said Bishop Kussala.

“Since the first day of our war conflicts, Pope Francis has offered continuous prayers and support for stability and peace in South Sudan, including Sudan,” he added.

Democratic Republic of Congo Bishops denounce persisting political crisis

At the end of their Extraordinary Assembly which took place in the Capital Kinshasa,  from 15th  to 17th  February 2018, the Bishops of the Democratic Republic of Congo have issued a strong message denouncing the persistence and aggravation  of the country's socio-political crisis. Below is a summary of salient points contained in the communique.

Stressing that, the Body of Christ, the Church is not submitted to any political organization, the Bishops said that the only concern of the Church is to contribute to the welfare of the entire Congolese people, to safeguard and to promote the dignity of the human person, respect for life, freedom and fundamental rights.

The Bishops voiced their concern in front of the appalling and frightening deterioration of the situation in the country, where ordinary innocent citizens are victims of bloody repressions. They denounced the attacks on the Catholic institutions, as well as a smear campaign and the defamation of the Catholic Church and its hierarchy, in particular against the person of His Eminence Laurent Cardinal Monsengwo, Archbishop of Kinshasa. They noted  the  extension of insecurity zones in various parts of the country, and the non-respect of signed agreements, wondering how such environment can lead to the expected free and democratic elections in ten months. Highlighting the right of every Congolese to fight anything that may jeopardize his future, and paying homage to the innocent dead and wounded, the bishops appealed to the entire Congolese people to take control of their own destiny.

Also, they made a few recommendations:

1.It’s imperative to move towards the 2018 elections. To that end, the 31 December 2016 political agreement must be integrally applied and the political climate must be defused.

2. Edicts prohibiting peaceful demonstrations must be cancelled and legal action must be taken against those who committed acts of violence and killings during the marches organized by the Lay Coordination Committee. Appropriate measures need to be taken  to supervise peaceful demonstrations and marches  as it happens in other countries and places around the world.

3. Put an end to the prosecution and threats to the organizers of peaceful marches who have only exercised their right recognized by the Constitution.

4.Create credible and effective authority of the State to safeguard the integrity of the National territory, protect the borders of the country and ensure the safety of the population and its property.

5. The International Community is requested to pursue the accompaniment of the electoral process in the DRC in the interest and the good of the Congolese people. 

Fr. Paul SAMASUMO, Vatican Radio/English Africa

 
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Quénia: Campanha quaresmal dos bispos apresentada na Universidade de Uzima

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“Reconciliação para a coexistência pacífica, integração nacional e justiça para todos”  é o tema da campanha quaresmal apresentada na Universidade de Uzima, na Arquidiocese de Kisumu.

“Reconciliação – explicou D. Martin Kivuva Musonde, arcebispo de Mombasa e presidente da Comissão Episcopal Justiça e Paz – significa voltar a unir o que foi separado, restabelecer relações amigáveis entre os partidos, fazer coexistir a comunidade em harmonia”.

O Arcebispo convidou os quenianos a reconciliarem-se uns com os outros “para o bem da convivência pacífica e da integração nacional”, a ultrapassar as diferenças étnicas e a agir para repor a dignidade ínsita em cada pessoa. Como quenianos de diversas proveniências, comunidades e culturas, devemos reconhecer que temos semelhanças e diferenças causadas por numerosos factores. No entanto, se nos concentrarmos sobre as nossas diferenças, seremos condenados”.

D. Kivuva Musonde recordou ainda que, como crentes, Cristo é o ponto de partida: “A sua oração, a fim de que possamos ser uma coisa única veio do profundo do coração, enquanto os seus apóstolos discutiam sobre quem de entre eles era o maior”.

A campanha quaresmal – refere a agencia Fides – está dividida em temas para aprofundamentos semanais. O primeiro se concentra na “boa governação” e sobre como enfrentar os problemas causados pela incompetência e corrupções na administração das várias províncias e do país no seu conjunto.

O tema da segunda semana é a reconciliação, enquanto que a terceira semana se concentra na juventude.  Já a quarta diz respeito à segurança na comunidade e a última se concentra sobre a tutela da infância. “Esta campanha – continuou o prelado – é um evento nacional anual que une os bispos, o clero, as religiosas/os e os fieis leigos de todo o Quénia para rezar e preparar-se  para a Pasqua. É também tempo de penitência, jejum e partilha com os menos afortunados e imitação de Jesus Cristo que deu a vida pelos homens.

Entretanto, a Diocese de Ngong promoveu o ano da juventude com o tema “Vós sois a luz do mundo” que é celebrado com vista na Assembleia geral do Sínodo dos Bispos sobre os jovens programado para Outubro próximo, no Vaticano. Promover um ano especial da juventude, - declarou numa nota D. John Oballa Owaa - bispo de Ngong e vice-presidente  da Conferencia Episcopal do Quénia – é a consequência  lógica da obra apostólica iniciada em 2017, anos das crianças como dons de Deus e uma bênção.

Por ocasião da missa celebrada para lançar a iniciativa, D. Oballa ilustrou as razões pelas quais o Papa Francisco quis dedicar aos jovens a próxima assembleia do Sínodo dos Bispos, sublinhando  eles “têm entusiasmo, esperança e alegria e os seus corações desejam conhecer a verdade. O ideal dos jovens é testemunho do Evangelho numa sociedade mais justa e livre, assim o Papa perguntou-se como podem anunciar ao mundo a Boa Nova da alegria e como podem desempenhar um papel activo no ser anunciadores desta boa nova – lê-se no jornal do Vaticano, l’Osservatore Romano.

Dulce ARAÚJO, Rádio Vaticano/Programa Português

 
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Kenyans called upon to work together for a peaceful Nation this Lenten Season

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Kenyans have been urged to take up the Lenten journey with enthusiasm and hope sustained by prayer, almsgiving and fasting as a sacramental sign of conversion as they build the Nation together.

Speaking at Uzima University Grounds in Kisumu during the launch of the National Lenten Campaign 2018, on 10th, February, 2018, Kisumu Archbishop Most Rev. Zacchaeus Okoth said that, during this Holy season of lent, God is calling Kenyans to pray so that as a nation and a people they may work together.

Archbishop Okoth said he hoped that through prayer, alms-giving and fasting during this period of lent will help Kenyans overcome their differences and negative ethnicity that has brought along political standoff in the nation.

“God is summoning all Kenyans to come back to the Lord wholeheartedly and in every aspect, offer sacrifices and our lives to God. It is the time for all Kenyans to stop and ask ourselves these three basic questions: Where are we going as a country? What are we doing to each other? Why are we doing what we are doing?” he said.

His Grace prayed that almsgiving may set the people of Kenya free from greed and help them to recognize their neighbour as a fellow Kenyan and as a brother and sister.

“I call for almsgiving in the form of national dialogue and conversation between the government and the opposition to heal Kenya. Through prayer let us rid ourselves of our lies and forms of self- deception. May we move Kenya forward together,” Archbishop Okoth said.

He added that, fasting should disarm the leaders and free them to serve all Kenyans irrespective of tribe, religion, and race and to embrace the words of Kenyan National Anthem adding that, due to increase of iniquity and judicial injustices in the country, the love of many Kenyans for the country is growing cold. “There is disenchantment and disillusionment among many Kenyans,” he said.

Archbishop Okoth said that, in order to achieve reconciliation for peaceful coexistence and national integration in Kenya, there is need to work for justice for all Kenyans first.

“The disregard of the independent electoral and boundaries commission (IEBC) to the Supreme Court Oder to open IEBC Server was a travesty of justice and it is what has brought the country to the mess we are in today. To address this political morass and stalemate in our country, the church must stand up and uphold truth and justice,” he said.

 As the Church launched the Lenten Season 2018, he urged every Kenyan to experience this time of grace anew and know the truth that for peace to be experienced then all Kenyans must plant seeds of justice and that issues of human rights, economic empowerment for all Kenyans, devolution to uplift the livelihood of all Kenyans and electoral justice in Kenya must be addressed.

Rose ACHIEGO, Waumini News

 
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BURKINA FASO : Fin de l’assemblée plénière ordinaire des évêques du Burkina et Niger

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C’est par une messe solennelle présidée par le Cardinal Philippe OUEDRAOGO à la cathédrale de Koupela, que s’est close l’Assemblée Plénière Ordinaire des Evêques, tenue du 12 au 18 courant au centre Zacharie Nikiéma.

Au terme des travaux de la deuxième Assemblée Plénière Ordinaire, consacrée aux questions pastorales, les évêques de la conférence épiscopale ont communié avec les chrétiens de la cathédrale de Koupèla, en célébrant avec eux la messe solennelle de clôture. Son éminence, Philippe Cardinal OUEDRAOGO qui a exhorté l’assemblée à la conversion, lui a fourni  quelques conseils concrets pour vivre de façon bénéfique ce temps favorable de carême. Il s’agit par exemple de fuir les lieux et les occasions de péché et ne pas s’y exposer.

Le communiqué de presse ayant sanctionné les travaux de cette Assemblée Plénière Ordinaire, a été lu à la fin de la célébration eucharistique aux fidèles présents à la messe, mais aussi pour ceux des autres diocèses, grâce au système de retransmission du réseau des radios catholiques du Burkina, inauguré la veille de cette Assemblée à Ouagadougou. De ce communiqué, il ressort entre autres que la saison agricole mitigée et les problèmes de sécurité constituent des points d’inquiétude et de préoccupation pour les pasteurs catholiques du Burkina et du Niger. Il en est de même des grèves à répétitions, notamment celle au niveau de l’enseignement qui a perturbé le système éducatif en général, mais aussi celui de l’enseignement catholique au Burkina Faso. On en retient aussi le message de compassion et de solidarité des évêques du Burkina et du Niger à la conférence épiscopale de la RDC par rapport aux difficultés que traverse en ce moment ce pays.

A. Paul DAH,                                                           Ouagadougou,  pour Radio Vatican

 
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CAMEROUN : 17 ans d’épiscopat pour Mgr Samuel KLEDA

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Les prêtres de l’Archidiocèse de Douala ont commémoré cet évènement  par des intentions de prières pendant les différentes célébrations eucharistiques du 1er Dimanche de Carême2018.

Le presbyterium de Douala a en effet élevé vers Dieu des prières d’Action de Grâce pour leur pasteur. Quelques prêtres ont été approchés au sortir des messes.

Le Vicaire Général de l’Archidiocèse de Douala Mgr Dieudonné BAYEMEG a fait remarquer que 17 ans d’épiscopat, témoignent d’un parcours et d’une expérience acquise qui serviront à relancer une fois de plus le ministère de Mgr KLEDA en faveur du peuple de Dieu qui lui est confié. L’Abbé George ZONGO pour sa part, lui souhaite davantage de santé et de paix intérieure qui lui donnent de jeter un regard objectif sur la société et de dire un certain nombre de vérités qui aident aussi bien les chrétiens que les gouvernants dans leurs prises de décisions pour la bonne marche du Cameroun.  Quant au chancelier l’Abbé KUN V il a appelle sur Mgr KLEDA le courage dans l’exercice de son ministère épiscopal au sein de la vaste portion du peuple de Dieu qui est à Douala. Ce courage lui fera toujours invoquer l’Esprit de discernement qui lui indiquera constamment là où est la vérité  et lui garantira la force de continuer de la servir contre vents et marées ; ce courage l’aidera aussi  à diriger les pas de tout le peuple de Dieu vers le salut.

Notons que Mgr Samuel KLEDA a été ordonné évêque le 18 février 2000. Le diocèse de Batouri dans la région de l’Est Cameroun a eu le privilège de recevoir les premiers fruits de son ministère épiscopal. En 2009 il devient Archevêque de Douala. Les fidèles continuent de recevoir de lui  des enseignements, les sacrements, un suivi  spirituel et matériel sans distinction de tribus et de classes sociales, un accompagnement effectif dans la réalisation des divers projets ecclésiaux, tel que la construction de nouvelles paroisses pour rapprocher un peu plus les fidèles de leurs lieux de cultes, la viabilisation des écoles, des séminaires, des hôpitaux et centres de santé ; l’évangélisation à travers les mass media notamment Radio et Télévision Veritas, l’imprimerie, les Editions Veritas, et l’Effort Camerounais, tous réunis au sein de MACACOS (Maison catholique de la communication sociale). Mgr KLEDA continue aussi d’assurer la formation humaine et intégrale des jeunes à travers l’université catholique Saint Jérôme de Douala. Il ne nous reste plus qu’à lui souhaiter un ministère épiscopal encore plus fructueux.

Sr. Paule Valérie MENDOGO,                                  Douala,  pour Radio Vatican

 
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REPUBLIQUE DU CONGO : Carême 2018

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Les chrétiens de l’Église du Congo Brazzaville, en union avec l’Église Universelle ont commencé le chemin du carême, temps au cours duquel ils s’efforcent à s’unir plus étroitement au Seigneur pour partager le mystère de la passion et de la résurrection. C’était le 14 février 2018, lors de la messe du Mercredi des Cendres.

Dans le diocèse de Pointe-Noire, en la Cathédrale Saint-Pierre Apôtre, l’abbé Christian Dembi, 2e  Vicaire de la paroisse a présidé la messe du Mercredi des Cendres, concélébrée par l’abbé Béranger Mabounda, prêtre du diocèse de Dolisie.

L’homélie de l’abbé Béranger a invité la foule présente de pratiquer durant ces quarante (40) jours de carême les œuvres de prières prévues dans la loi mosaïque : l’aumône, la prière et le jeune, mais aussi à la pénitence et à la conversion.

L’abbé Béranger :  les trois (3) piliers qui font notre carême, autrement dit les quarante (40) jours de jeune, de prière et de parage, c’est un temps hostile, mais en même temps, un temps de grâces  que le Seigneur met à notre disposition, cela me fait déjà cinquante (50) carêmes, Dieu n’est pas dans la quantité,  mais Dieu est  dans la qualité de la disposition de ton cœur 

Après son enseignement les fidèles ont reçu l’imposition des cendres sur la tête  des mains des prêtres en prononçant ces paroles : « Souviens-toi que tu es poussière et que tu retourneras poussières » (Gn 3,19), ou encore ils répètent l’exhortation de Jésus : « convertissez-vous et croyez à l’évangile ». (Mc 1.15)

Séverin MOUSSAVOU,                               Brazzaville, pour Radio Vatican

 
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SENEGAL : Pèlerinage universitaire dans l’archidiocèse de Dakar

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La première édition du pèlerinage universitaire dans l’archidiocèse de Dakar a eu lieu ce 18 février à la paroisse L’Enfant Jésus de Prague à Tivaouane Peulh en banlieue de Dakar. Ils étaient près de 400 étudiants avec leur aumônier le frère Aurel da SILVA autour de l’ordinaire du lieu monseigneur Benjamin NDIAYE à prendre part à ce pèlerinage. A l’homélie Mgr NDIAYE a saisi l’occasion de ce premier dimanche de carême consacré à la Parole de Dieu pour initier les étudiants à la lectio divina.

P. Clément AHOUANDJINOU,                                         Dakar,  pour radio Vatican

 
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BURKINA FASO : Nouveau directeur des OPM

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Au terme de son double mandat de cinq ans, prolongé d’un an comme directeur national des œuvres pontificales missionnaires (OPM) au Burkina Faso, l’abbé Oscar ZOUNGRANA a passé le témoin à l’abbé Isidore NOMBRE le lundi 19 février 2018 au siège national des OPM. L’évêque responsable de la commission épiscopale de la mission et des œuvres pontificales missionnaires, Gabriel SAYAOGO du diocèse de Manga, lui a rendu un vibrant hommage au nom des autres évêques de la conférence : « Nous nous séparons d’un homme amoureux du travail et du travail bien fait. Nous nous séparons d’un collaborateur dynamique ». Et pour étayer ses propos, Mgr Gabriel fait parler les chiffres : « A votre actif, en onze ans, les cotisations de notre Eglise locale à la contribution du fond universel de solidarité, est passée de cinquante  millions à trois cent quarante-quatre millions de nos francs CFA.

C’est donc  avec le sentiment du devoir bien accompli que l’abbé Oscar quitte la direction nationale des OPM au Burkina. Fort de cela, il a laissé à  son successeur, une feuille de route : « C’est structuré sur essentiellement trois points : comment renforcer la capacité opérationnelle de la direction nationale, comment améliorer l’animation missionnaire et comment susciter davantage la générosité des fidèles. » En tout cas le nouveau directeur s’en dit rassuré : « Le travail qu’il a balisé me permettra vraiment d’entrer pleinement dans cette  mission que l’Eglise me confie. Je suis confiant. »

A. Paul DAH,                                                           Ouagadougou,  pour Radio Vatican

 
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CAMEROUN : Rencontre des anciens élevés du Collège Sacré-Cœur de Makak

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L’AMAC a clôturé dimanche le 18 Février 2018, trois jours d’activités à la procure des missions de Douala.  Elle a convié à cette rencontre quelques encadreurs d’antan parmi lesquels le principal des années 80 du collège Sacré-Cœur de Makak,  l’Abbé Robert NDEBI BIYA dont l’association porte le nom. Le responsable de l’AMAC, THEODORE POUALEU, indique que ce prêtre est l’unique principal du COSACO qui totalise 10 ans de service et qui a réussi à donner à ce collège ses lettres de noblesse.

Environ 200 anciens élèves du Collège Sacré-Cœur de Makak ont ainsi bénéficié des conseils de ceux qui ont guidé leurs premiers pas dans les couloirs du savoir.  L’Abbé Joseph NDOUM à cette époque était séminariste en stage dans cet établissement scolaire. Il a apprécié l’initiative de l’AMAC de les associer à leur réflexion pour leur rappeler les fondements de leurs actions passées, l’éthique qui accompagnaient leur formation et qui a servi à bâtir leur avenir.

Les anciens élèves du Collège Sacré-Cœur de Makak ont désormais de la matière pour peaufiner leurs stratégies de réhabilitation de cette structure tombée dans un état complet de décrépitude et qui,  pourtant, est l’un des creusets de l’intelligentsia camerounaise.

En effet le Collège Sacré-Cœur de Makak (COSACO) brille encore à travers ses anciens élèves. Ces derniers sont réunis au sein de deux associations dénommées l’AMICOSACO ou la Grande Amicale du COSACO et l’AMAC (Amicale des Anciens  du COSACO génération Abbé Robert NDEBI BIYA). Ils envisagent des actions concertées visant à réhabiliter cet établissement scolaire qui est l’un des premiers collèges catholiques du Cameroun crée en 1946 par les missionnaires spiritains.

Sr. Paule Valérie MENDOGO,                                  Douala,  pour RADIO VATICAN

 
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CÔTE D’IVOIRE : 13ème conseil national de l’AFEC

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Le 13ème  conseil national de l’Afec  l’association des femmes de  l’Eglise catholique  de Côte d’Ivoire, s’est refermé par une messe  le dimanche 11 février 2018 en la cathédrale St Esprit de Mockeville dans le diocèse de Grand-Bassam au sud de la Côte d’Ivoire.

Durant 3 jours la centaine de  délégués Afec des 15 diocèses du pays s’est  interrogé sur les acquis, les défis et les perspectives de l’association, après 20 ans d’existence.

Les  travaux en commission qui ont eu lieu au centre Jean-Paul 1er de kodjoboué, ont permis de redécouvrir l’intérêt des femmes pour l’Afec et de dresser un bilan de la marche de cette association à travers les attentes au niveau  spirituel, ecclésial, humain et moral, financier et économique.

Après 20 ans d’existence l’Afec est présente sur les 15 diocèses du pays, elle est membre de (UMOFC) l’union mondiale des organisations féminines catholiques.

l’Afec intervient au plan social en faveur de la santé et du bien-être des clercs, des veuves et des enfants dans plusieurs diocèses du pays.

Mais de grands efforts sont à poursuivre au plan de l’autonomie financière  des femmes catholiques, ce qui justifie la mise en place d’une’’ tontine améliorée’’ en vue de permettre aux adhérentes  d’obtenir des prêts pour la création  d’activités génératrices de revenus.

Un grand travail de mobilisation des femmes catholiques a été abattu a reconnu le père Bernard Dossou l’aumônier national de l’afec, tout en attirant l’attention sur le travail qui reste à abattre.

Après 20 ans d’existence au delà de ces acquis  l’Afec se veut plus dynamique,  un dynamisme qui passe par l’engagement de toutes les femmes et la sensibilisation des jeunes filles catholiques selon Jeannette Touré la présidente nationale de cette association des femmes catholiques de Côte d’Ivoire.

La finalisation des travaux en commission menés au cours de ce conseil réunira les mois prochains à Yamoussoukro le bureau national  les aumôniers et les présidentes diocésaines.

Françoise NIAMIEN,                                   Abidjan, pour radio Vatican

 
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CABO VERDE: “Mudar de direcção e ser todo inteiro de Deus” – Mensagem do Bispo para a Quaresma

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Na sua mensagem para a Quaresma 2018, difundida no domingo, 18 de Fevereiro, o Bispo de Mindelo, em Cabo Verde, convida a tomarmos o remédio da oração, esmola e jejum a fim de nos afastarmos do pecado e nos aproximarmos de Deus e dos irmãos.  D. Ildo Fortes anuncia que a Renuncia Quaresmal deste ano, na Diocese, será para um projecto inédito de prevenção do abuso sexual de menores.

“A Igreja sabe que, enquanto peregrinamos na história, precisamos de nos situar num tempo e num lugar, por isso nos oferece uma oportunidade favorável de caminhada, de retorno ao coração de Deus, que é a Quaresma. Muitas vezes fomos longe demais, para longe do Seu olhar e do Seu amor e torna-se necessário envergonhar-se, encher-se de coragem e regressar à Casa paterna (cf. Lc 15, 11-32). A proposta é de caminho comunitário e pessoal; valha-nos a força solidária da comunidade e a certeza que Deus é esse Pai sempre disposto a oferecer-nos uma nova oportunidade de perdão e reconciliação. O Seu amor nos atrai e renova a nossa confiança e a nossa esperança para nos erguermos dos lugares onde o pecado drasticamente nos arremessou e saborear a luz da vida que desponta da Cruz de Cristo.

Converter, mudar radicalmente de direcção, ser todo inteiro de Deus é o desafio que se propõe a todo o cristão que deseja celebrar a Páscoa.  Isto nos lembrava o profeta, ao iniciarmos este tempo santo, com a imposição das cinzas: «Convertei-vos a Mim de todo o coração… rasgai o vosso coração e não os vossos vestidos» (Joel 2,12). Queiramos recriar o nosso deserto interior (espaço de oração e recolhimento), coisa estranha ao mundo de hoje, mas condição indispensável para a escuta e ganhar forças para acolher a vontade de Deus.  É necessário caminharmos na lealdade diante do Deus misericordioso e fazer a experiência da contrição, mais do qualquer espectáculo ritual que enche os olhos, mas não move o coração de Deus.

Como é habitual, somos convidados a empenharmos na prática da Renúncia Quaresmal. Como diz o Papa Francisco: «a Igreja, nossa mãe e mestra, nos oferece, neste tempo de Quaresma, o remédio doce da oração, da esmola e do jejum». Esse doce remédio afasta-nos do pecado e aproxima-nos de Deus e dos irmãos. A Renúncia Quaresmal deste ano, por sugestão de alguns padres, será destinada para um Projecto, relativamente novo e com enfoco sobretudo em S. Antão, chamado Rede PASM - Rede de Prevenção de Abuso Sexual de Menores - cujo objectivo é sensibilizar e ajudar a prevenir e a combater o crime de abuso sexual de menores. Bem sabemos como esse flagelo, infelizmente, continua a ter lugar em alguns ambientes da nossa sociedade. Os pequeninos sempre tiveram um lugar privilegiado no coração de Jesus e foram objecto do Seu especial cuidado. Nós vamos fazer nossa, essa causa do Mestre. Não nos falte ousadia para a partilha, pois, Deus abençoa largamente quem dá com generosidade.”

 
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Pain hebdomadaire du catholique. Deuxième dimanche de carême année B. Dimanche 25 février. Par Ambassadeur Théodore C. LOKO

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I Traits définitoires du laïcat

Les laïcs constituent l’ensemble des chrétiens qui ne sont pas membres de l’ordre sacré et de l’ordre religieux (Lumen Gentium n° 31, cf. Can 207 §1) et qui, de par leur baptême, en leur qualité de fidèles, sont incorporés au Christ et intégrés au peuple de Dieu, d’où leur participation, à leur manière, à la fonction sacerdotale, prophétique et royale du Christ (cf. Can 204 §1).  "Tous les laïcs ont le devoir et le droit de travailler à ce que le message divin du salut atteigne sans cesse davantage tous les hommes de tous les temps et de tout l'univers" (Can 211).

La foi est un acte personnel : la réponse libre de l’homme à l’initiative de Dieu qui se révèle. Mais la foi n’est pas un acte isolé. Nul ne peut croire seul, comme nul ne peut vivre seul. Nul ne s’est donné la foi à lui-même comme nul ne s’est donné la vie à lui-même. Le croyant a reçu la foi d’autrui, il doit la transmettre à autrui. Notre amour pour Jésus et pour les hommes nous pousse à parler à autrui de notre foi. Chaque croyant est ainsi comme un maillon dans la grande chaîne des croyants. Je ne peux croire sans être porté par la foi des autres, et par ma foi, je contribue à porter la foi des autres (Catéchisme de l’Eglise catholique, Première partie, première section, chapitre troisième, article 1er).

II Textes du jour: Genèse 22, 1-2, 9a, 10-13, 15-18 ; Psaume : 116 ; Romains 8, 31b-34 ; Marc 9, 2-10

III Commentaire

Les textes liturgiques de ce jour nous enseignent qu’alors qu’Abraham a été empêché de sacrifier son fils, « Dieu n’a pas épargné son propre Fils mais il l’a livré pour nous. » (Cf. Saint Paul).

Le récit de la transfiguration  que nous lisons dans l’Evangile forme un portail d’entrée dans le mystère pascal. Il donne le sens des événements qui vont aboutir à la mort et à la résurrection de Jésus : la venue effective du Règne de Dieu.

Comme Abraham, Jésus « prend avec lui » des témoins et les « emmène sur la montagne » : au terme de sa route vers Jérusalem ─ identifiée par la tradition tardive (2 Ch 3,1) au mont Moriah ─ Jésus va porter à son achèvement ce qui a été initié en Isaac ; il n’y aura pas de victime de substitution car c’est en toute connaissance de cause que Jésus, le Fils bien-aimé, est victime de l’aveuglement des hommes.

La montagne, « haute », renvoie à l’Horeb, où Moïse, avec soixante-dix anciens, a contemplé Dieu (Ex 24, 11). élie le prophète s’y est rendu à son tour (1 R 19, 12). La présence de ces deux personnages indique que Jésus va accomplir la Loi et les Prophètes. Dans sa Pâque, l’Alliance nouvelle sera scellée et il reflètera la gloire de Dieu : telle est sa « transfiguration ». Il la rayonnera, mais nous aurons sans cesse sous les yeux le visage d’un serviteur défiguré (Is 53, 3). La nuée voilera le mystère jusqu’à sa pleine révélation le troisième jour, qui est aussi le septième où nous nous rassemblons.» A partir du jour où Pierre a confessé que Jésus est le Christ, le Fils du Dieu vivant, le Maître " commença à montrer à ses disciples qu’il lui fallait s’en aller à Jérusalem, y souffrir (...) être mis à mort et, le troisième jour, ressusciter " (Mt 16, 21) : Pierre refuse cette annonce (cf. Mt 16, 22-23), les autres ne la comprennent pas davantage (cf. Mt17, 23 ; Lc 9, 45). C’est dans ce contexte que se situe l’épisode mystérieux de la Transfiguration de Jésus (cf. Mt 17, 1-8 par. ; 2 P 1, 16-18), sur une haute montagne, devant trois témoins choisis par lui : Pierre, Jacques et Jean. Le visage et les vêtements de Jésus deviennent fulgurants de lumière, Moïse et Elie apparaissent, lui " parlant de son départ qu’il allait accomplir à Jérusalem " (Lc 9, 31). Une nuée les couvre et une voix du ciel dit : " Celui-ci est mon Fils, mon Élu ; écoutez-le " (Lc 9, 35).  (CEC 554) Vivre le Carême,  c’est donc « écouter le Fils bien-aimé ». Cette parole qu’il faut écouter, nous pouvons la trouver chaque jour dans les Évangiles. Aujourd’hui, il nous invite à le suivre sur la « montagne ». Il veut nous aider à prendre de la hauteur par rapport à nos soucis de tous les jours. La voix du Père se fait entendre pour nous apprendre à voir les choses différemment. Il n’est plus question de s’installer. Dieu ne se laisse pas enfermer dans une maison. Ces tentes dont nous parle l’Évangile, il faut les construire dans le monde, dans les cœurs endurcis des humains, dans la vie ordinaire de tous les jours. C’est là, au cœur de ce monde, que Dieu veut faire sa demeure.

 
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Magazine de la femme. Dimanche 18 février 2018

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Le magazine sur l’engagement de la femme au sein de l’Eglise et dans la société a été dédié cette semaine au Liberia. Le Prix Mo Ibrahim qui récompense un ancien chef d'Etat ou de gouvernement d'un Etat de l'Afrique subsaharienne, pour son travail dans l'intérêt public ou son action en faveur du développement durable a été décerné cette année à l’ancienne Présidente du Libéria. Ellen Johnson Sirleaf a été primée le 12 février, pour avoir fait preuve d'un leadership exceptionnel face à des défis, sans précédent, au cours de ses deux mandats à la tête de son pays.

Le président du comité d'attribution du Prix a déclaré : « Ellen Johnson Sirleaf a pris la tête du Liberia quand ce pays était complètement détruit par la guerre civile et a mené un processus de réconciliation centré sur la construction d'une nation et ses institutions démocratiques ».  Durant ses deux mandats, elle a œuvré inlassablement au nom du Liberia. Un tel parcours n'est exempt de défauts et aujourd'hui, le Liberia continue de faire face à de nombreux défis. Néanmoins, durant ses douze ans au pouvoir, Ellen Johnson Sirleaf a posé les fondations sur lesquelles le Liberia peut désormais se construire , a-t-il ajouté. Avec ce Prix et comme d'autres lauréats qui l'ont précédée, l'ancienne Présidente du Liberia recevra cinq millions de dollars américains, versés sur dix ans, puis une allocation à vie annuelle de deux cent mille dollars.

Ellen Johnson Sirleaf a été investie pour la première fois comme Présidente du Libéria en 2006. Ce qui avait permis à cette économiste et ancienne fonctionnaire internationale d'entrer dans l'histoire,  en devenant la première femme élue présidente au Liberia et en Afrique. Elle a été réélue en 2011 pour un second mandat. La même année, elle a obtenu le prix Nobel de la paix. En janvier dernier, elle a passé la main au nouveau président élu du Liberia, l'ancienne gloire du football, George Weah, dans le cadre de la première transition démocratique du pouvoir dans ce pays depuis 1944. Outre Ellen Johnson Sirleaf qui est la cinquième lauréate du prix Mo Ibrahim, quatre anciens présidents africains ont déjà été récompensés depuis 2007. La même année, le Mozambicain Joachim Chissano a été primé, suivi du Botswanais Festus Gontebanye Mogae, ensuite, le Capverdien Pedro de Verona Rodrigues Pires en 2011, suivi  du Namibien Hifikepunye Pohamba en 2014. Depuis cette date, ce prix n'était plus décerné faute de candidat réunissant les qualités requises. Notons que l'ancien président sud-africain, Nelson Mandela, avait été fait lauréat honoraire du Prix Mo Ibrahim en 2007. Ellen Johnson Sirleaf a réussi là où beaucoup d'hommes ont lamentablement échoué, quand on sait que le Liberia revient de loin mais, peut désormais se construire.

Marie José MUANDO BUABUALO, Radio Vatican/Français-Afrique

 
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Revue de la presse catholique africaine. Dimanche 18 février 2018

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Cette revue de la presse catholique africaine nous conduit d’abord en  République Démocratique du Congo. L’agence de presse catholique  de la République Démocratique du Congo DIA revient sur le discours de clôture de l’assemblée plénière extraordinaire des évêques de la CENCO du 15 au 17 février. « En réponse à l’appel du Saint-Père, le Pape François, invitant l’Eglise universelle à consacrer la journée du 23 février 2018 à la prière et au jeûne pour la paix dans le monde, en particulier en RD Congo et au soudan du sud, les évêques ont adopté un programme de célébration de cet événement ecclésial. » Peut-on lire.

DIA évoque aussi une litanie de félicitation entre  amis, la tripartite Sassou, Kabila et Lourenço.

« 11e édition du marathon salésien à Parakou: évangéliser par le sport », écrit l’hebdomadaire LA CROIX du Bénin détaillant que le  samedi 10 février dernier le marathon salésien de Parakou était à sa onzième édition.  L’hebdomadaire catholique parle d’un marathon atypique sous les tropiques.

« La 3e assemblée de la province ecclésiale du sud Bénin était consacrée aux défis de l’évangélisation des jeunes », rapporte par ailleurs LA CROIX du Bénin, précisant que  les prêtres de la province ecclésiastique du sud Bénin se sont réunis à Dassa du 5 au 9 février 2018, pour réfléchir sur  ce thème.

« Impliquer le Congo dans la recherche d’une solution durable en République Démocratique du Congo. » Titre le bihebdomadaire congolais LA SEMAINE AFRICAINE. Pour le bihebdomadaire « le groupe de contact international pour les grands lacs, La République Démocratique du Congo et le Burundi, préoccupé par la situation en République Démocratique du Congo, entend s’investir dans la recherche des voies et moyens de sortie de cette crise ». LA SEMAINE AFRICAINE précise que c’est en vue de  l’organisation d’élections libres, crédible et incluses.

Par ailleurs le bihebdomadaire catholique nous parle de l’inauguration du nouveau campus de  l’institut UCAC-ICAM de Pointe Noire. Un nouveau campus inauguré le 01 février  par le ministre de l’enseignement supérieur du Congo M Bruno Richard Itoua avec notamment à ses coté Mgr Jean Mbarga archevêque de Yaoundé au Cameroun et grand chancelier de l’UCAC, Mgr Miguel Angel Olaverri et le provincial de la province jésuite de l’Afrique de l’ouest  le père Hyacinthe Loua.

Le portail EGLISE CATHOLIQUE AU GABON  nous apprend  qu’ « il y aura bientôt 175 ans que le père Bessieux et ses compagnons ont foulé le sol du Gabon. fondant ainsi les premières missions catholiques, et consacrant le pays à la vierge marie et à saint Michel Archange. »

Le journal LA CROIX de Madagascar évoque le  synode avaratrimania qui a bénéficié d’une formation sur la protection sociale.

Le mensuel catholique LAFIA du Togo dans son dernier numéro évoque le jubilé d’argent d’ordination sacerdotale de Mgr Dominique Guigbile qui pour l’occasion avait célébré  une messe à la prison civile de Dapaong le samedi 30 décembre 2017. Le mensuel catholique nous parle également de la consécration  de la chapelle notre dames des miracles de Gbankoon le samedi 06 janvier dernier.

Cédric MOUZOU, SJ,  Radio Vatican/Français-Afrique

 
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