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12/07/2017

De nous à vous - From us to you - De nós para vós

De vous à nous - From you to us - De vós para nós

De nous à vous - From us to you - De nós para vós



Motu Proprio du Pape François « Maiorem ac dilectionem » sur l’offrande de la vie

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Il a été rendu public mardi 11 juillet 2017 la Lettre apostolique du Pape François sous forme de Motu prioprio Maiorem ac dilectionnem sur la possibilité de béatifier ou de canoniser les chrétiens qui ont offert leur vie pour le service des autres, en allant jusqu’à la mort ou en vivant les vertus chrétiennes.

« Ils sont dignes de considération et d’honneur ces chrétiens qui, suivant de plus près les traces et les enseignements du Seigneur Jésus, ont offert librement et volontairement leur vie pour les autres, persévérant jusqu’à la mort.

Il est vrai que l’offrande héroïque de la vie, inspirée et soutenue par la charité, exprime une vraie, plaine et exemplaire imitation du Christ et mérite donc l’admiration que la communauté des fidèles réserve à ceux qui ont volontairement accepté le martyre de sang ou qui ont vécu de manière héroïque les vertus chrétiennes », écrit le Saint Père dans son Motu Proprio.

Le Pape introduit ainsi un nouveau critère de béatification, s’ajoutant aux trois autres existant préalablement : « l’offrande de la vie », où le baptisé a accepté une mort prématuré pour le service des autres.

Cela étant, et sur proposition de la Congrégation pour les Causes des Saints qui a attentivement étudié la possibilité de la béatification de ces chrétiens, le Pape établit dans cette Lettre des normes à observer.

Premièrement, déclare-t-il, l’offrande de la vie constitue un nouveau cas du processus de béatification ou de canonisation, distincts de ceux sur le martyre et sur l’héroïcité des vertus.

Mais pour que cette offrande soit valide et efficace pour la béatification d’un serviteur de Dieu, elle doit répondre à certains critères. Elle doit notamment être une offrande libre et volontaire de la vie et une acception propter caritatem (pour la charité) d’une mort certaine et à terme bref. La vie de la personne doit aussi attester la pratique des vertus chrétiennes. Il est aussi requis la nécessité d’un miracle advenu après la mort du Serviteur de Dieu et par son intercession.

La préparation des dossiers et la charge de mener les investigations sur la vie, les vertus, l’offrande de la vie ou le martyre et la réputation de sainteté, d’offrande la vie ou de martyre sur les miracles présumés ou éventuellement sur le culte ancien du Serviteur de Dieu dont on demande la canonisation revient aux évêques diocésains, aux éparques ou à leurs représentants légitimes.

Peuvent être instruits, des cas récents comme anciens. Dans les deux possibilités, il requis une notice biographique ou au moins un rapport chronologique sur la vie du Serviteur de Dieu, qui doit être envoyé ensuite au promoteur de la justice, en vue d’établir les interrogatoires pour les investigations. L’enquête sur le miracle doit être instruite séparément de celle sur la vertu ou l’offrande de la vie ou sur le martyre.

Pour prouver le miracle, la pratique des vertus ou l’offrande de la vie d’un Serviteur de Dieu, une partie notable des témoins doivent être des personnes étrangères à la communauté dans laquelle a vécu ce Serviteur de Dieu.

Sont interdites dans les églises, et même en dehors, les célébrations de tout genre et les panégyriques sur les Serviteurs de Dieu dont la sainteté de vie fait l’objet d’un examen légitime, afin de ne pas empiéter sur le processus.

Stanislas KAMBASHI,SJ,                            Radio Vatican/ Français-Afrique

 
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Le Pape nomme un évêque auxiliaire à Bangassou (Centrafrique)

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Le Saint Père a nommé évêque auxiliaire du diocèse de Bangassou, en République Centrafricaine, le Père Jesύs Ruiz Molina, M.C.C.I. ; qui était jusqu’ici curé à Moungoumba, vicaire forain et coordinateur diocésain de la Commission pour la Catéchèse dans le diocèse de M’Baiki.

D’origine espagnole, le Père Molina, 58 ans, a émis ses premiers vœux en 1985 et a été ordonné prêtre en 1987. Après son ordination sacerdotale, il a assumé plusieurs charges, notamment celle de provincial des comboniens au Tchad (2002-2008). De 2013 à 2015, il a aussi été conseiller de la Délégation des Comboniens en Centrafrique.

 
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Pape François : Angélus du dimanche 09 juillet 2017

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Jésus invite tous ceux qui traversent des moments difficiles à ne pas rester fermés, mais à s’ouvrir à Lui ; à Lui tendre la main. Lui nous rendra forts malgré nos problèmes, Il nous donnera du repos, une paix qui demeure même dans les épreuves.

C’est l’exhortation du Pape François précédant sa prière mariale de l’Angélus dimanche, à laquelle ont participé des milliers des fidèles réunis Place Saint Pierre.

Le Saint Père commentait l’Evangile dominical, en particulier l’invitation du Christ : « Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et opprimés ; et moi je vous procurerai le repos ». Cette invitation, a-t-il indiqué, est adressée à tous sans exception.

Lorsqu’on traverse une difficulté, quand on fait face à un problème ou à une incertitude, la tentation est de s’enfermer sur soi. Mais Jésus, qui sait combien la vie est pesante, nous invite au contraire à nous mouvoir et à réagir ; c’est-à-dire à sortir de nous-mêmes pour aller vers Lui qui nous appelle.

La voie de sortie est dans la relation, en tendant la main et en levant le regard vers celui qui nous aime vraiment.

N’ayons pas peur de lui raconter la vie, de lui confier les personnes et les situations.

Jésus nous attend, non pas pour résoudre nos problèmes par un coup de baguette magique mais pour nous rendre forts dans nos problèmes ; Il ne nous enlève pas le poids de la vie mais l’angoisse dans nos cœurs ; le Christ ne nous enlève pas la Croix, mais la porte avec nous. Ainsi le poids devient léger, car Il est Lui le repos que nous cherchons, a encore dit le Pape.

Stanislas KAMBASHI,SJ,                            Radio Vatican/ Français-Afrique

 
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Vatican Radio Communiqué/Communiqué Radio Vatican/Comunicado da Rádio Vaticano

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If you are listening to us on Shortwave, we would greatly appreciate a short report from you on the quality of our programs and of the signal reaching you. Please address your report to: The Africa Promotions Office for Africa, Vatican Radio, 00120 Vatican City.

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Nous demandons à nos auditeurs qui nous suivent sur les Ondes courtes de bien vouloir nous faire parvenir un rapport d’écoute sur la qualité de la réception de nos programmes, à l’adresse du Bureau de Promotion-Afrique de Radio Vatican, 00120 Cité du Vatican.

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Pedimos aos nossos ouvintes que nos escutam em Ondas Curtas que nos enviem um relatório de escuta sobre a qualidade da recepção dos nossos programas, escrevendo ao seguinte endereço do Serviço de Promoção-África da Rádio Vaticano, 00120 Cidade do Vaticano.

 
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Avis pour les radios catholiques africaines et les auditeurs de Radio Vatican/ Notice to Catholic Radio Stations in Africa and listeners of Vatican Ra

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Radio Vatican avait produit en 2011 un album musical, Afrika tenda amani (fais la paix, Afrique), avec le concours de quelques artistes musiciens africains dont Papa Wemba de la République démocratique du Congo et Bonga d’Angola. Cet album qui accompagne l’exhortation post-synodale Africae munus, reflète les thèmes de la Deuxième assemblée spéciale pour l’Afrique du Synode des Évêques (réconciliation, justice et paix), a été expédié à toutes les radios catholiques africaines par le canal des Pères Evêques diocésains auxquels Radio Vatican a fait parvenir 3 copies.

Si jamais une radio n’a pas encore reçu une copie de cet album, elle peut nous écrire (africa@vatiradio.va) pour nous en demander. De même, nous disposons de quelques exemplaires pour nos auditeurs qui en feront la demande. Mais la quantité est fort limitée.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsable du Bureau de Promotion de Radio Vatican pour la zone Afrique

E-mail : africa@vatiradio.va

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In 2011, Vatican Radio produced a music album titled Afrika tenda amani (Make Peace, Africa), with the help of a few African musicians including Papa Wemba of the Democratic Republic of Congo and Bonga from Angola. Three copies of the CD album, which accompanied the publication of the post-synodal exhortation Africae munus  and reflects on the themes of the Second Special Assembly for Africa of the Synod of Bishops (reconciliation, justice and peace) was sent to all  Catholic radio stations in Africa through the local bishops.

If your radio station has not yet received a copy of this album, please write to africa@vatiradio.va to request a copy. Also, we have a limited number of copies for our listeners who may also send their requests to the above email address.

Fr. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Head of the Promotions Office for Africa

Vatican Radio

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A Rádio Vaticano tinha produzido em 2011 um álbum musical denominado Afrika Tenda Amani (faz a paz, África), com a participação de alguns artistas músicos africanos, dentre os quais Papa Wemba da República Democrática do Congo e Bonga de Angola. Este álbum, que acompanha a Exortação pós-sinodal Africae Munus reflecte os temas da Segunda Assembleia Especial para a África do Sínodo dos Bispos (reconciliação, justiça e paz), e foi enviado a todas as Rádios Católicas africanas através dos Senhores Bispos Diocesanos aos quais a Rádio Vaticano fez chegar três cópias.

Se por acaso alguma Rádio ainda não recebeu uma cópia deste álbum, podem nos escrever (africa@vatiradio.va) para solicitá-lo. Da mesma forma, também dispomos de alguns exemplares para os nossos ouvintes que o solicitem. Mas a quantidade é muito limitada.

P. Jean-Pierre Bodjoko, SJ

Responsável do Departamento de Promoção da Rádio Vaticano, para a região África

E-mail: africa@vatiradio.va

 
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Nos fréquences en KHz sur les Ondes courtes (Heure en Temps universel)/ Our frequencies in KHZ on Short Waves (Universal Time)/As nossas frequências e

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Anglais-Afrique/ English-Africa/Inglês-África :

8 :30 : 11625 - 13765 

19 :30 : 9660 - 15570 

22 :00 : 7360 -9670

 

Français-Afrique/French-Africa/Francês-África :

6 :30 : 9660

8 :00 : 11625 - 13765 

19 :00 : 9660 - 15570 

22 :30 : 7360 - 9670 

 

Portugais-Afrique/ Portuguese-Africa/Português-África :

7 :30 : 9660 - 11625

20 :00 : 9660 - 15570

 

Kiswahili :

5 :30 : 7360 

18 :00 : 9660 - 15570

 

NB:

Partout dans le monde, on peut suivre nos programmes à travers notre site internet www.radiovaticana.va.  De même, on peut suivre en direct les images des événements, des cérémonies du Pape sur notre Player video live dont le lien se trouve sur notre site internet.

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Please note that you can follow our programmes at all times, day and night the world over. Just go to www.radiovaticana.va. Also you can follow a live video coverage of Papal events by clicking on the video player on the website.

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Em todo o mundo é possível seguir os nossos programas através do nosso sito internet www.radiovaticana.va Do mesmo modo, se podem também seguir in directo as imagens dos acontecimentos e cerimónias do Papa  no nosso Player vídeo ao vivo, cujo link também se encontra no nosso sito internet.

 
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PROGRAMME FRANÇAIS-AFRIQUE : SUIVEZ-NOUS SUR FACEBOOK

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En plus de notre site internet, vous pouvez aussi suivre de nos nouvelles sur Facebook à l’adresse : Radio Vatican Français-Afrique. Cliquez sur "j'aime" pour interagir.

 
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Adresse utile pour Radio Vatican/Useful contact of Vatican Radio/Endereço

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P. Jean-Pierre BODJOKO, SJ

Responsable Bureau de Promotion-Afrique/Head of Africa’s Promotion Office/ Responsável

Sector de promoção-Afrique

e-mail: africa@vatiradio.va

Tel : +39.06.698.83366

 
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De vous à nous - From you to us - De vós para nós



11è Assemblée de l’ACERAC

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La 11ème Assemblée plénière de l’Association des Conférences Episcopales de l’Afrique Centrale (ACERAC), s’est tenue à Yaoundé, au Cameroun du 9 au 12 juillet 2017 ; après Brazzaville en 2013. Le dimanche 09 Juillet, les évêques de la Région Afrique Centrale et le secrétaire du conseil Pontifical pour le dialogue interreligieux ont séjourné dans les sept paroisses de Yaoundé sélectionnées pour les messes d’ouverture de cette assemblée. La matinée du lundi 10 Juillet le Palais des Congrès de Yaoundé a abrité la cérémonie d’ouverture et de lancement officielle des travaux de cette 11ème assemblée plénière portant sur l’œcuménisme.

« L’œcuménisme et le dialogue interreligieux en Afrique Centrale », a constitué le thème sur lequel les évêques ont planché au cours de cette assemblée. Toutes les prises de paroles de la part du secrétaire et du président de l’ACERAC, du secrétaire du conseil pontifical pour le dialogue interreligieux ; ainsi que le message du Saint Père lu par le Nonce Apostolique et le représentant du Président de la République du Cameroun, ont montré l’importance et la pertinence que revêt ledit thème donc l’actualité n’est plus à démontrer. Pour le Cardinal Dieudonné Nzapalainga, archevêque de Bangui, en République Centrafricaine, les assises ont eu pour objectifs d’apporter des pistes de réflexion en ce qui concerne l’accueil de l’autre. Un défi qui interpelle l’Eglise au sujet du dialogue interreligieux car tous : protestants, musulmans, catholiques, sont  fils d’un même père dans la foi, Abraham et croient à un même et seul Dieu : le Dieu de paix, de l’unité parce que liés par lui en une union spirituelle. Il est question que chaque culture, apporte son expérience afin d’offrir l’opportunité d’apprendre les uns des autres et de répondre à cet appel du Christ dans l’évangile de saint Jean : aimez-vous les uns les autres comme je vous aimé afin de dépasser les clivages et les groupes religieux, a poursuivi le Cardinal Nzapalainga.

Offrir des lendemains meilleurs à l’œcuménisme était la grande attente des participants à cette rencontre. 

Sr. Cécile Eveline NSENG,                          Yaoundé pour Radio Vatican

 
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SIERRA LEONE: Catholic Bishops call for peaceful and credible elections

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Catholic church leaders in Sierra Leone are calling for peaceful and credible general elections slated for 7 March 2017. In a recent Pastoral Letter, the Catholic Bishops’ Conference appealed to priests, religious and lay faithful to promote unity, reconciliation and peace. The bishops also urged all Sierra Leoneans, especially those who are of voting age, “to strongly reject all acts of violence, unnecessary provocations, various forms of fraud that distort results, as well as anything that can lead to destabilization and disorder.”

Sierra Leone has held three peaceful general elections since the end of the civil 15 years ago.

 

Below is the full text of the Bishops’ pastoral letter

JOURNEYING TOWARDS PEACEFUL AND CREDIBLE ELECTIONS

A Pastoral Letter on the Elections in March 2018

Introduction

We greet you in the name of the Risen Lord; and pray that we may all pass over from death to life and that raised from the dead by the Father’s glory, we too might, live a new life (cf. Rom. 6:4).

We, the Catholic Bishops in Sierra Leone, upon prayerful reflection, issue this pastoral letter in view of the parliamentary, local and presidential Elections scheduled to take place on 7th March 2018.

As your Bishops, we have a responsibility to lead souls to greener pastures. It is our duty to engage in the dialogue over our country’s future and the Sierra Leone we want for all. Pope Paul VI reminds us that “It is up to Christian communities to analyze with objectivity the situation which is proper to their own country, to shed on it the light of the Gospel’s unalterable words and to draw principles of reflection, norms of judgment and directives for action from the social teachings of the Church.” (Octogesima Adveniens no. 4).

Sentiments of Gratitude

We express our sincere gratitude to the President, Dr. Ernest Bai Koroma, for announcing in good time the date for elections, thereby allaying all fears that the elections might be unduly delayed or even postponed. This, in our view, is a major support to the promotion of peace and stability and a boost to our young democracy.

We also appreciate the support given by the International Community to this country and its people, especially in moments of dire need.

In a special way we acknowledge the tremendous efforts and sacrifices of Sierra Leoneans both at home and abroad in ensuring that progress is made in our nation that has suffered for far too long. Our nation was brought to her heels as a result of the Ebola epidemic that claimed thousands of valuable lives. Our resilience as a people and a nation was tested severely. However, it was at that very difficult moment when the nation united to fight a common enemy. The words of St. Paul to the Corinthians were a great consolation during our desperation: “We are in difficulties on all sides, but never cornered…we have been persecuted, but never deserted; knocked down but never killed” (2 Cor. 4:8-9). We therefore encourage all those who stood by us during those challenging moments to accompany us again towards free, fair and credible elections.

The Risen Christ Our Light and Strength

The Risen Christ remains our light and guides us to a new and better life; he leads us to a new way of seeing, judging and making decisions. This light shines in the dark and the darkness cannot overpower it. The Risen Christ calls us to die to sin and live for God. You too must consider yourselves as dead to sin and living for God in Jesus Christ (cf. Rom. 6:3-11).

We can only build better families, communities and our country when Christ leads us with his light and when he becomes the propelling force of our decisions and actions. And so we ask for forgiveness for the many times we have allowed our darkness to overcome the Light that has been given to us. The darkness of our sins – our pride, our selfishness, tribalism, nepotism, corruption, greed – has tried to put out the Light in us. We pray that the light of Christ rising in glory may dispel the darkness of our hearts and minds.

Dead to Sin and Living in the Newness of Christ

We are dead to sin when our old self was crucified with Christ. We died to sin when Sierra Leoneans were able to overcome their differences and negotiated peaceful resolution to the ten years of civil war. So many innocent lives were lost. The terrible war was as a result of the many wrong decisions made without the guidance of God and the common good of our brothers and sisters. “Usually war is a funeral procession of violated human rights” (Catholic Bishops of Angola 1993). Greed, corruption, moral decadence, indifference to the common good took over us. And there was darkness all over the land. To use the words of our predecessors during the civil war: ‘while war spells misery and untold sufferings for thousands of people, for others it seems to be ‘good business’ (Sierra Leone Bishops Lenten Message 1993).

The outbreak of the Ebola Virus Disease (EVD) showed the best and worst in us as a nation. On one hand, it revealed quite shockingly the poor state of our medical services. On the other hand, patriotic medical practitioners and other health workers endeavoured to fill in the gaps by making immense sacrifices and some paid the ultimate price with their lives to defeat the virus. The Ebola epidemic is remembered as one of the darkest moments in our history. The twin tragedies in our nation, the civil war and the Ebola epidemic, brought Sierra Leoneans together from all walks of life to fight for a common purpose. Our ethnic, cultural and religious differences were put aside in order to achieve a higher good. Such desirable attitudes that we manifested so clearly at critical moments in our history should be shown again as we move towards the national elections in 2018 that will define the next phase of our country’s history.

Work for the Common Good

We appeal to all Sierra Leoneans to work for the common good. We have to assume responsibility for our own development and not to wait for others to do it. Our progress must be borne on our shoulders and then others will follow us. When adversity affects us we all suffer. Ebola, civil war and conflict did not have a party colour. All Sierra Leoneans suffered. Our commitment brought an end to the civil war and the Ebola epidemic; it renewed our democracy and peace and brought infrastructural growth. We need this same dedication and commitment to address poverty, illiteracy, food insecurity and corruption. Let us put communities at the heart of development and then our country will experience true prosperity that benefits everyone.

The Present Political and Economic Landscape

We note with deep regret that the present political landscape does not promote unity among us. Politically we are divided into North-West and South-East. We have promoted a politics of regionalism. In 2007, we breathed a sigh of relief for the peaceful presidential and parliamentary elections and the emergence of the then opposition party, All Peoples Congress (APC) as the victor. Ten years on we have not attained the united and peaceful Sierra Leone we all dreamt of. Many citizens continue to stomach grievances and on many occasions peaceful demonstrators have been treated with heavy hands and some brutally killed. How fast our hopes and aspirations have diminished!

We are aware that significant gains were made in economic growth, especially between 2012 and 2014. Our nation was rated as one of the fastest growing economies in sub-Sahara Africa. But we were told that the twin shocks of Ebola and the fall in iron ore prizes worldwide led to austerity measures. But is it austerity only for a few; the poor, helpless and vulnerable?

Expressing Unity as a People and Freedom to Exercise Electoral Franchise

As a Church we should not afford to shy away from political participation but our involvement cannot be partisan. In no way can we as a Church champion the cause of any political party. Our cause is a noble one; namely to defend our country and its citizens from political manipulators and to educate all citizens to vote wisely and responsibly. Ours is therefore an advocacy role. We inform, instruct and educate our youth and indeed all citizens to stay away from violence and anything else that might cloud the election process.

We call our leaders to attention about the dangers of youth unemployment. We challenge them to make genuine efforts to stamp out corruption and put an end to impunity. We call on the political class and especially political parties to be responsible in shaping the political culture of our nation. Divisiveness, political bickering and infighting do not augur well for the consolidation of our young democracy. After many years of independence, our political parties should have, by now, institutionalized tolerance, ethnic diversity, respect for the rule of law and the rules of the game leading to trust and confidence by the general populace in the democratic process. We call on the Government to resist the temptation of political manipulation and to do everything possible to create a level playing ground for all political parties. No attempt should be made by anyone to change the will of the electorate. All Sierra Leoneans who have reached the required age have a right and a duty to register and vote. Do not turn your back to the political process.

Recommendations and Conclusion

In the light of the foregoing considerations:

1. We call on all Sierra Leoneans, especially those who are of voting age, to strongly reject all acts of violence, unnecessary provocations, various forms of fraud that distort results, as well as anything that can lead to destabilization and disorder.

2. We encourage all political parties and their supporters to accept the results or outcome of the elections, should the latter be declared free and fair by the competent authority.

3. We urge the Law Enforcement officers to safeguard honour and loyalty to this country and its institutions, the protection of lives and property, and to maintain political neutrality in the execution of their duties.

4. We persuade political parties and presidential candidates to respect the electoral process, to preserve peace, to uphold the interest of the Sierra Leonean people and to see themselves in this pluralistic election as competitors, not adversaries. In fact, Pope John Paul II said, “an authentic democracy, which respects pluralism, is one of the principal routes which the Church travels together with the people. Being engaged in the democratic struggle according to the Spirit of the Gospel is a sign of a Church which participates in the promotion of the rule of law everywhere in Africa” (Ecclesia in Africa no. 112).

5. We, the Catholic Church, make a commitment to uphold, teach and preach all the tenets contained in this pastoral letter. We strongly enjoin our priests, religious and lay faithful to promote a spirit of unity, reconciliation, tolerance and peace in their sermons, homilies, conferences and pastoral engagements.

In conclusion, we pray that Mary, the Queen of Peace, continue to intercede for us so that her Son may grant us the grace and the strength to follow the light and walk to newness of life in Christ.

Given in Freetown, on the fourth day of June in the Year of Our Lord Two Thousand and Seventeen; the Solemnity of Pentecost.

Bishop Charles A. M. Campbell, Catholic Diocese of Bo and President of Conference

Archbishop Edward T. Charles, Archdiocese of Freetown

Bishop Patrick D. Koroma, Diocese of Kenema

Bishop Henry Aruna (Auxiliary), Diocese of Kenema

Bishop Natale Paganelli, SX., Diocese of Makeni

 
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ANGOLA: Bispo Queirós: Educação e oportunidades para todos, segredo da paz

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Como manter a paz que Angola tem vivido nos últimos tempos? É a questão de que fala D. José Alves de Queirós, Arcebispo do Huambo em Angola. Na entrevista que concedeu à Rádio Vaticano, D. Queirós afirma que a manutenção da paz que Angola conquistou com o calar das armas passa agora pela educação, a instrução e de modo particular pela criação de igualdade de oportunidades para todos e pela criação de igualdade de novos postos de trabalho para jovens. Uma tal estratégia, diz D. Queirós, haveria de prevenir a frustração de muitos desempregados que até há pouco estavam envolvidos em actividades da guerra civil e que depois de terminada a guerra se viram pura e simplesmente na rua. Com isso se evitaria também a delinquência galopante que se nota no País e pela qual enveredam muitos jovens, por causa da falta de emprego e de qualquer ocupação para sobreviver e projectar a própria vida.

Moisés MALUMBU,                          Rádio Vaticano/ Redação Portuguesa

 
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MOÇAMBIQUE. Bispos reagem ao relatório de auditoria sobre "dividas ocultas"

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A Comissão Episcopal de Justiça e Paz de Moçambique, reagiu em carta publicada no dia 4 de julho corrente, ao relatório de auditoria sobre as dívidas ocultas, cujo resumo foi divulgado semana passada pela Procuradoria-Geral da República. O relatório de auditoria foi formalmente entregue à PGR em Maio findo, pela consultora internacional Kroll.

Segundo o bispo de Pemba e igualmente presidente da Comissão Episcopal de Justiça e Paz, Dom Luíz Fernando Lisboa, o povo não deve ser responsabilizado e prejudicado por aqueles que contraíram a dívida ilegalmente.

Na carta partilhada com a imprensa moçambicana, pode-se ler o seguinte: «Não podemos permitir que ao povo moçambicano seja imputada a responsabilidade de pagar com a miséria, sangue e morte as dívidas contraídas em nome dele, de forma ilegal e inconstitucional».

Usar política como forma de caridade

Ainda de acordo com o documento da Comissão Episcopal de Justiça e Paz, os Bispos moçambicanos pedem que o órgão competente declare inconstitucional a inclusão, por parte da Assembleia da República, das dívidas ocultas contraídas em 2013 no orçamento de 2015, de forma unilateral, ilegal e ilegítima e que a PGR responsabilize as pessoas e/ou instituições que não favoreceram o trabalho da auditoria independente com vista a esclarecer o destino dos empréstimos contraídos e os seus beneficiários. Porém, acima de tudo, e em primeiro lugar, responsabilize aqueles que directamente contraíram a dívida.

«Queremos ainda lembrar aos cristãos que trabalham na política as palavras de Papa Francisco: “A política é uma das formas mais altas de caridade, porque procura o bem comum”. Ninguém está obrigado a obedecer a disciplina de qualquer partido político ou aos dirigentes que contradigam à sua consciência cristã. Com efeito, não podemos colocar um partido político nem seus dirigentes acima da justiça, do amor a Deus e do amor aos irmãos. No final dos nossos dias seremos julgados conforme o amor. Não levaremos riqueza nem poder», lê-se na carta da Comissão de Justiça e Paz, divulgado no dia 4 de julho em curso.

Entretanto, Moçambique viu a sua dívida ultrapassar 11 mil milhões de dólares após a descoberta, em Abril de 2016, de dívidas secretamente avalizadas pelo anterior Governo moçambicano, entre 2013 e 2014.

A descoberta das dívidas levou o Fundo Monetário Internacional (FMI) e os doadores a suspenderem a ajuda ao País, condicionando o reatamento do apoio à realização de uma auditoria internacional à dívida pública.

No passado dia 24 de Junho, a Procuradoria-Geral da República (PGR) de Moçambique divulgou o sumário do relatório da auditoria às dívidas ocultas, assinalando que a mesma deixou por esclarecer o destino dos dois mil milhões de dólares contraídos pelas três empresas estatais entre 2013 e 2014.

Hermínio José,                                   Maputo, para a Rádio Vaticano

 
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COTE D’IVOIRE : Célébration du jubilé d’argent du diocèse de Yamoussoukro

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Le Diocèse de Yamoussoukro a rendu grâce à Dieu le dimanche 2 juillet 2017 à l’occasion de ses 25 ans d’existence. L’événement a été marqué par une messe solennelle à la Basilique Notre Dame de la Paix de Yamoussoukro, présidée par l’ordinaire du lieu Mgr Marcelin Yao Kouadio, en présence du Nonce apostolique en Côte d’Ivoire Mgr Joseph Spiteri, d’évêques catholiques ivoiriens, de prêtres, d’autorités politiques, administratives, religieuses, coutumières, et une grande foule de fidèles laïcs.

Ce jubilé d’argent a été célébré dans la sobriété, avec joie, sous le signe de la communion dans la continuité de la mission d’évangélisation.

Dans son homélie, Mgr Ignace Bessi Dogbo, président de la conférence des évêques catholiques de Côte d’Ivoire a salué le travail d’évangélisation réalisé en 25 ans par les différents pasteurs qui se sont succédé à la tête de ce diocèse du centre de la Côte d’Ivoire.

Il a encouragé le diocèse de Yamoussoukro à  poursuivre la mission d’évangélisation dans la communion et dans un esprit d’inculturation de l’évangile avant inviter les diocésains à soutenir par leur moyens financiers l’annonce de l’Evangile dans cette partie du pays.

Intervenant au cours de cette messe d’action de grâce, Mgr Joseph Spiteri à traduit  les encouragements et les félicitations de Sa Sainteté le Pape François à tout le diocèse de Yamoussoukro.

Dans un message adressé à toutes les composantes de son diocèse, lu en fin de messe, Mgr Marcelin Yao Kouadio a souhaité pour l’après jubilé un véritable engagement de ses diocésains  pour un travail d’évangélisation plus accru, et pour l’autonomie financière du diocèse de Yamoussoukro.

Né du démembrement de l’archidiocèse de Bouaké, l’érection canonique du  diocèse de Yamoussoukro est intervenue le 10 mai 1992 par le saint  Pape Jean Paul II.

Se sont succédés sur le siège épiscopal de Yamoussoukro le Cardinal Bernard Agré, de vénéré mémoire, Mgr Paul Siméon Ahouanan, l’actuel archevêque métropolitain de Bouaké, Mgr Joseph Aké, l’actuel archevêque de Gagnoa et depuis 2009 Mgr Marcelin Yao Kouadio.

Françoise NIAMIEN,                                   Abidjan pour radio Vatican

 
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49è Rencontre sacerdotale et religieuse des africains au Tchad

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La 49ème édition de la la Rencontre Sacerdotale et Religieuse des Africains au Tchad (RESRAT) s’est déroulé du 3 au 9 juillet 2017 dans le diocèse de Doba.

Les prêtres, religieux et religieuses de différents diocèses du Tchad ont fait le déplacement de Doba pour ce grand rendez-vous annuel qui leur permet d’échanger, de partager leurs expériences mais aussi communier en famille.

« La gestion de l’environnement en lien avec la lettre encyclique du Pape François Laudato Si » a constitué le thème central de cette rencontre. Mgr Alexandre Rahinia, chargé d’affaires à la Nonciature a abordé avec les participants l’aspect pastorale et théologique de ce thème.

La RESRAT offre un cadre aux prêtres, religieux et religieuses africains qui travaillent au Tchad de se retrouver, discuter sur les questions pastorales, théologiques, sociétales et réfléchir comment articuler l’évangile avec les cultures africaines et avec les mentalités africaines.

L’abbé Jean Pierre Ningaïna, secrétaire général de la RESRAT a parlé du déroulement des travaux  et du bien-fondé de cette assemblée. Pour lui, cette rencontre offre l’occasion aux prêtres et religieux de voir comment est annoncer l’évangile avec les cultures africaines dans les mentalités africaines. 

Lors de la cérémonie officielle du lancement de cette session, Mgr Martin Waïngué Bani, évêque de Doba, a invité les prêtres à sensibiliser les fidèles chrétiens sur la question de l’environnement, car le Tchad est également touché par l’avancée du désert et le réchauffement climatique.

Edouard TAKADJI,                          N’Djaména pour Radio Vatican

 
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Sept nouveaux prêtres Sma au Bénin

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L’évêque de Dassa-Zoumè, Mgr François Gnonhossou, Sma, a ordonné prêtres de Jésus-Christ, sept nouveaux frères, tous béninois, de sa congrégation, la Société des missions africaines (Sma). C’était au cours d’une messe d’action de grâce  qu’il a présidé le samedi 1er Juillet 2017 en la paroisse Saint Paul de Zogbadjè, et qui a connu pour la circonstance, la concélébration de Mgr Dennis Agbenyadzi, évêque de Berbérati en Centrafrique, lui aussi Sma, et de celle d’une soixantaine de prêtres dont le curé de la paroisse, le Père José Kakpo, sous les yeux de nombreux religieux et religieuses, parents, amis et fidèles chrétiens laïcs. Devant eux et après l’imposition des mains et la prière consécratoire ils ont revêtu les ornements sacerdotaux et sont montés à l’autel aux côtés des deux évêques et de leurs autres aînés dans le sacerdoce pour  la concélébration de la messe de leur ordination avant de se  voir envoyer par le supérieur du District Bénin/Niger de la Sma, l’abbé Désiré Salako, chacun, à l’issue de la célébration à sa  nouvelle terre de mission. Pour M. Magloire Bada, vice-président du conseil pastoral paroissial de Zogbadjè, « ces 7 nouveaux prêtres ordonnés nous rappellent les 7 dons de l’Esprit Saint ». Il en a  profité pour souhaiter que les nouveaux prêtres soient « remplis des dons de l’Esprit Saint et que toute leur vie de prêtre soit louange à la gloire à Dieu ». Et Mgr Gnonhossou, à l’homélie d’ajouter : « Soyez vraiment les bergers du troupeau de Dieu qui vous est confié ; veillez sur lui, non par contrainte mais de bon cœur comme Dieu le veut, non par une méprisable cupidité mais par dévouement, sans commander en maître à ceux dont vous avez reçu la charge, mais en devenant des modèles du Troupeau ».

Guy DOSSOU-YOVO,                                Cotonou, pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : Une chanson pour la paix par un missionnaire carme

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« Kasai pour la paix », c’est le titre d’une chanson qui exhorte au retour à la paix dans la région du Kasai. Le père carme déchaux Jean-Marie Bukasa Malu, fils du Kasai, missionnaire à Brazzaville depuis une vingtaine d’années, est l’auteur de la chanson (en langue

ciluba) diffusée sur les médias et sur les réseaux sociaux.

Le prêtre explique son engagement pour la paix dans le Kasai mais aussi ailleurs en Afrique. Précédemment, il a chanté pour le Gabon, la Centrafrique et les deux Congo à chaque fois que ces pays ont vécu des conflits.

Le père Bukasa est ainsi connu et reconnu comme ambassadeur de la paix surtout pour sa chanson « Afrika Telema » (Debout, Afrique ! ». Le prêtre y prêche le développement des peuples par l’unité, la paix et l’amour. Ce titre est même devenu le nom d’une Association implantée dans plusieurs pays pour l’éducation à la paix.         

P. Jean Baptiste MALENGE KALUNZU,OMI,                 Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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COTE D’IVOIRE : 76ème conseil national des OPM

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Le 76ème conseil national des Œuvres Pontificales Missionnaires (OPM) de Côte d’Ivoire s’est tenu du 03 au 07 juillet 2017 à la paroisse Saint Lambert de Taabo dans le diocèse d’Agboville, autour du thème : « Redécouvrir la mission au cœur de la foi chrétienne ». Durant quatre jours, le directeur national des OPM et les Directeurs diocésains des OPM présents ont porté leur réflexion  sur plusieurs points. Ils se sont particulièrement sur deux aspects : la collaboration entre les œuvres pontificales missionnaires et le Service monde meilleur, structure en charge de la rédaction des cahiers CEB (les communautés ecclésiales de Base) ; et  la collecte des fonds.

A travers cette collaboration les responsables des OPM entendent trouver un mode opératoire pour faire connaitre les œuvres pontificales missionnaires auprès des communautés ecclésial de base, et permettre une meilleure sensibilisation des fidèles laïcs sur les œuvres d’évangélisation.

Les OPM étant  un instrument de la coopération à la mission universelle de l’Eglise dans le monde, l’usage des cahiers de CEB pour en faire la promotion aura également pour corolaire de permettre aux fidèles laïcs de mieux soutenir financièrement cette mission d’évangélisation.

Au cours de ces assises, la journée du jeudi 6 juillet a été marquée par un entretien avec le Père Ryszard Szmydki, Secrétaire Général de l’Œuvre Pontificale de la Propagation de la Foi, venu de Rome.

Les subsides et les collectes de fonds étaient au centre de cet entretien avec le père Szmydki qui a salué l’engagement du Directeur national et Directeurs diocésains, félicité et encouragé les fidèles laïcs ivoiriens à une plus grande générosité pour soutenir la mission de l’Eglise à travers le monde.

Pour mener à bien ses activités missionnaires, le Conseil national des OPM a décidé de l’utilisation d’un slogan (Oui je donne 5F pour les Œuvres de l’évangélisation), de s’appuyer sur les CEB et les communautés chrétiennes des diocèses ; et a choisi des paroisses pilotes pour la campagne 2017-2018.

Le Conseil a également souhaité un rassemblement national des enfants qui sera soumis à l’approbation de la Conférence des Evêques Catholiques de Côte d’Ivoire.

Françoise NIAMIEN,                                    Abidjan, pour radio Vatican

 
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BURKINA FASO : Atelier de Réflexion sur la mise en place d’un Fonds de Solidarité

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Du 5 au 7 juillet 2017 s’est tenu au Centre humain de développement intégral à Ouagadougou, un atelier de réflexion sur la mise en place d’un fonds de solidarité, par l’OCADES/Caritas nationale.

Eu égard aux différentes crises et catastrophes naturelles auxquelles s’est trouvé confronté le Burkina Faso, depuis 2009, un constat général se dégage qu’au niveau de l’Eglise Famille de Dieu au Burkina, il n’existe pas de mécanisme formel de gestion des situations du genre. C’est pourquoi il est apparu nécessaire de réfléchir à un mécanisme de gestion rapide et immédiate lors des crises humanitaires surtout pour les personnes vulnérables, victimes ou affectées. Et c’est ce qui justifie la mise en place d’un fonds de solidarité au niveau de l’Eglise Famille de Dieu au Burkina comme réponse appropriée et proactive à la gestion de telles situations.

En outre, ce fonds de solidarité entrevu s’inscrit dans la dynamique d’auto-prise en charge de l’Eglise Famille de Dieu qui est au Burkina Faso.

Ce sont toutes ces raisons qui ont conduit à l’organisation de ce séminaire dénommé ‘‘atelier de réflexion sur la mise en place du fonds de solidarité’’. Après avoir échangé sur les expériences de mobilisation de ressources locales au sein de l’Eglise, les participants, venus des différents diocèses du Burkina et des différentes structures ecclésiales nationales, vont élaborer une stratégie de mise en œuvre de ce fonds et adopter une feuille de route sur les prochaines étapes.

Paul DAH,                             de Ouagadougou pour Radio Vatican

 
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RD CONGO : Un message du Pape inspire la Fédération des Entreprises du Congo

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Au sortir de l’église Notre-Dame de Fatima, le dimanche 2 juillet, Patience Dia, responsable de la communication à la Fédération des Entreprises du Congo (FEC), se dit touchée par le message du Pape François publié à l’occasion de la cinquante-et-unième Journée mondiale des communications sociales célébrée, cette année, le 2 juillet, dans l’Eglise de la RDC. A l’homélie de la messe célébrée dans l’église Notre-Dame de Fatima de Kinshasa-Gombe, Mgr Jean-Pierre Kwambamba, évêque auxiliaire de Kinshasa chargé des communications sociales, a commenté le Message du Saint Père, intitulé : « Communiquer l’espérance et la confiance en notre temps. »

Patience Dia a retrouvé dans le message du Pape la préoccupation qui est la sienne cherchant à donner une belle image de la RDC au profit des entreprises et de l’ensemble du pays.

Pour Patience Dia, la communication est un métier que l’on ne comprend pas vraiment à sa juste valeur. « Nous avons un projet actuellement. C’est de créer, au sein de la Fédération des entreprises du Congo, un comité professionnel des communicateurs qui va permettre de travailler sur l’image du pays. Il va permettre aux grandes et aux petites entreprises, à la Fédération des entreprises et au pays de pouvoir bénéficier d’une belle image. Parce qu’il n’y a pas que des choses négatives en RDC. Il y a des hommes et des femmes qui travaillent, il y a de grandes choses qui se font. Nous ne renions pas la réalité de la guerre, de la pauvreté, mais nous voulons montrer qu’il y a une vie en RDC et qu’il y a des choses qui se font. Et je suis très touchée parce que ça rejoint justement le message du Pape, ce matin. Il n’y a pas que des choses négatives, ça ne veut pas dire nier la réalité, mais ça veut dire qu’il y a une autre réalité, qu’il y a de belles choses à montrer et qu’il faut en parler ».

P. Jean Baptiste MALENGE KALUNZU,OMI,                            Kinshasa, pour Radio Vatican

 
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BENIN : Un double jubilé pour la Paroisse Cathédrale de Porto Novo

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1864 – 2014 : 150 ans d’évangélisation de la paroisse Cathédrale Notre-Dame de l’Immaculée Conception de Porto-Novo. 1942- 2017 : 75 ans de sa dédicace !Deux événements qui seront respectivement célébrés le 15 août 2017 pour la dédicace et le 25 novembre 2017 pour les 150 ans d’évangélisation. L’équipe sacerdotale unie à leur évêque, Mgr Aristide Gonsallo en communion avec les communautés religieuses et la famille paroissiale de la cathédrale veut célébrer ces événements et en rendre grâce à Dieu. Il s’agit pour l’actuel curé doyen de la cathédrale, le Père Charlemagne Afidja Koudhorot et ses collaborateurs d’entrer, selon ses propres mots, dans une logique jubilaire de la cathédrale en vue d’aider les paroissiens à « repartir du Christ, à se libérer, à redynamiser leur vie spirituelle et à raviver leurs communautés ecclésiologiques ». C’est par une conférence de presse donnée le mercredi 05 Juillet 2017 dans l’une des salles de réunion de la Cathédrale à Porto-Novo que le Père Koudhorot, en compagnie de l’un de ses vicaires, l’Abbé Clétus Bognon, en présence de plusieurs membres de son conseil pastoral paroissial et d’invités divers l’a fait savoir aux hommes des médias, toutes catégories de presse confondues.  Les journalistes ont par ailleurs compris que l’objectif global attendu de cette année jubilaire est, à en croire le Curé, de «  faire agir la communauté dans la pastorale de la cathédrale ». Ils ont enfin visualisé le logo du jubilé des 150 ans et su de la part du Père Koudhorot qu’un tissu souvenir de ce double jubilé est en cours de réalisation.

Guy DOSSOU-YOVO,                                Cotonou, pour Radio Vatican

 
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TCHAD : Formation permanente des prêtres

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Organisée par la coordination nationale, la formation permanente des prêtres diocésains tchadiens s’est ouverte le lundi 11 juillet 2017 et prendra fin le dimanche 16 juillet 2017 par une messe d’action de grâce.

 « Prêtres diocésains Tchadiens face à son identité ses relations, sa mission et les moyens » est le thème  de cette session de formation.

L’abbé Grégoire Ngarmadji, ancien recteur du Grand Séminaire Saint Luc de Bakara, le prêtre Jésuite, Jacques Fedry venu du Cameroun et un couple de la pastorale familiale de l’Archidiocèse de N’Djaména vont se relayer pour aborder des sujets liés au thème central avec les participants. 

Le couple de la pastorale familiale fera un témoignage sur la vie, la mission du prêtre diocésain tchadien et dira comment les abbés tchadiens vivent l’évangile à l’église mais aussi dans la société. 

Les 55 prêtres qui prennent part à cette session de formation viennent des diocèses de Sarh, de Moundou, de Laï, de Goré, de Mongo, de N’Djaména, de Pala et de Doba.

« C’est une occasion toute indiquée pour nous de revoir notre vie de prêtre diocésain, mais aussi un lieu de nous interroger sur notre mission et de voir comment nous accomplissons notre rôle et notre tâche, puis nous demander comment les autres nous voient », a affirmé l’abbé Jacques Goua, coordinateur national de la formation permanente des prêtres diocésains tchadiens.

Les difficultés auxquelles sont confrontés les prêtres dans leur ministère sacerdotal n’a pas été oublié et fera l’objet de débats au cours de cette session.

 Cette formation intervient quelques jours seulement après la fin de la 49ème session de la rencontre sacerdotale des religieux africains au Tchad qui s’est déroulée du 3 au 9 juillet toujours dans le diocèse de Doba.

Edouard TAKADJI,                          N’Djaména pour Radio Vatican

 
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BURKINA FASO : Inauguration de Radio Unitas

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 « Bienvenue sur cette désormais colline de la Radio Unitas ». C’est en ces mots que le directeur de la Radio a accueilli les invités à la cérémonie d’inauguration et de bénédiction des nouveaux locaux de cette radio du diocèse de Diébougou.

En effet, après 18 ans dans des locaux d’emprunt, provisoires, Radio Unitas refait peau neuve en intégrant son site définitif dans des bâtiments flambants neufs, d’architecture bien typique, résultant d’un heureux et savant dosage du style traditionnel et moderne. C’est l’ordinaire des lieux, Mgr Der Raphaël Dabire qui a procédé à la bénédiction de ce chef d’œuvre, d’un coût total de plus de 90 000 000 de francs CFA.  Quelques auditeurs présents à cette inauguration ont laisser entendre leurs impressions : ‘‘C’est très beau, j’étais émerveillée de voir ce joyau ici, qu’on peut exploiter pour l’animation des femmes’’.  ‘‘J’étais agréablement surpris de voir un bâtiment très beau. Je suis fier de Radio Unitas délocalisée. Dans ses nouveaux locaux’’ ‘‘Il y a une bonne architecture qui est là ; c’est un joyau, construit avec art et je pense que c’est solide aussi’’.

L’évêque de Diébougou a quant à lui précisé les objectifs de ce médias : « que Radio Unitas joue son rôle d’animation et de formation à la fois ; qu’elle soit un instrument de dialogue interreligieux, d’animation et de sensibilisation au développement, un outil de dialogue, de paix et d’unité dans cette région ».

Paul DAH,                             Ouagadougou pour Radio Vatican

 
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BENIN : Récollection des couples à Djougou

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Les couples du Noyau Diocésain du Renouveau Charismatique Catholique dans le diocèse de Djougou ont vécu, le samedi 08 juillet 2017 sur la paroisse de Copargo, une journée de recollection. Elle a porté sur le même thème que celui de l’année pastorale 2016-2017 dans le  diocèse de Djougou à savoir : « Que la joie de l’amour éclate dans nos familles ». C’est le Père Christophe Balogouh, aumônier diocésain pour la pastorale de la famille qui a eu la charge de la prêcher et de présider à l’eucharistie de clôture de la journée. L’occasion lui a été donc donnée d’insister sur le rôle de co-bâtisseurs de la vie de famille des couples, sur la communion et la bonne collaboration entre les conjoints et qui  leur permet de réaliser non pas de grandes choses mais des miracles. L’ambiance de ferveur ayant marqué cette journée de recollection a été  constituée de plusieurs activités dont notamment la prière d’ouverture, la présentation des couples, l’enseignement sur le thème, les travaux en carrefours, la messe d’action de grâce, l’adoration du Saint Sacrement, l’agape fraternelle, des témoignages sur la vie de couple, une chaîne d’amitié suivie de la  bénédiction finale. Avant de se séparer, les participants se sont donné rendez-vous pour l’année pastorale 2017-2018 et cette fois-ci, pour une rencontre élargie à tous les couples du Renouveau Charismatique Catholique du Diocèse de Djougou.

Guy DOSSOU-YOVO,                                Cotonou, pour Radio Vatican

 
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Consolata School -Nairobi Marks a Golden Jubilee

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The Consolata School in - Nairobi has today marked 50 years since its founding in 1967.The colourful ceremony climaxed a year-long golden jubilee celebration that began on June 17 2016.

The event began with Mass at the school grounds and was attended by students, children, parents, alumni, benefactors and friends of the school.

“We know that to celebrate a 50th anniversary is a blessing from God because many schools started but failed along the way. We have reason to thank God and everyone who has collaborated with us up to this day -benefactors, teachers and the Consolata missionaries,” Fr Joseph Waithaka, the Regional Superior of the Consolata Missionaries Kenya and Uganda told CISA in an interview.

Fr Waithaka noted that the education system in Kenya is changing and the school looks forward to adapting to the modern system of education.

“The Kenya government is coming up with the new system of education and we look forward to working together with each and every one of our people,” he said.

He praised the early missionaries who came to Kenya over hundreds of years ago with an objective of eradicating illiteracy.

“It reminds us of the Consolata Missionaries who came to Kenya more than a hundred years ago...they had an objective, One of them among others was to eradicate illiteracy,” he said.

Fr Caroli Ouma, the Principal of the school also hailed the early missionaries for putting up the school that has today grown from a cottage school in 1967 to a fully fledged primary and secondary school.

“We are very grateful to the Consolata Sisters and Fathers who started the school in a humble way. It has today grown into a big school with the current number of children being 1,950. Indeed we are grateful to God,” he said.

He expressed optimism that with committed people running the school, it would grow to greater heights.

The Consolata School, located in Westlands Nairobi, is a private Catholic Mixed Day School run by the Consolata Missionaries.

 (CISA in Nairobi)

email engafrica@vatiradio.va

 
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ÁFRICA. Na Irlanda, Colecta para a Igreja em África nos dias 22 e 23 de julho

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Quénia, Sudão do Sul, Somália, Etiópia: estes os Países destinatários da Colecta nacional especial que a Conferência Episcopal da Irlanda proclamou para os dias 22  e 23 de julho, em apoio às populações africanas afectadas por uma grande carestia. O dinheiro recolhido - informa um comunicado - será gerido pela Trócaire, a agência de desenvolvimento no exterior da Igreja Católica irlandesa, para fornecer comida, água, assistência sanitária e de primeira necessidade para cerca de 25 milhões de pessoas vítimas da pobreza.

Apelo para participar generosamente
Solicitando a adesão dos fiéis à Colecta, o arcebispo Eamon Martin, Primaz de toda a Irlanda, reiterou: "Milhões de pessoas na África Oriental sofrem de fome. As culturas já não produzem mais e o gado morre por falta de pasto e água". "Devemos perceber que, por trás destes números – destacou mais uma vez o arcebispo - existem pessoas reais, mães e pais de família, incapazes de alimentar os seus filhos famintos". Daí, o apelo a todas as paróquias irlandesas para "responderem a esta terrível tragédia com generosidade”.

Empenho concreto no terreno
Por seu lado, Dom William Crean, presidente da Trócaire, sublinha que o organismo está actualmente a conduzir uma campanha publicitária para sensibilizar as pessoas sobre a gravidade desta crise. "Os centros de saúdeda Trócaire na Somália estão tratando cerca de 19 mil pessoas por mês por má nutrição e doenças associadas, enquanto que mais de 13 mil crianças no Quénia receberão alimentos de alta energia”.

Uma crise esquecida pelo resto do mundo
Embora as Nações Unidas tenham descrito a situação nas zonas africanas devastadas pela seca como "a maior crise humanitária desde os tempos da Segunda Guerra Mundial", "a nível global, esta crise tem recebido pouca atenção - continua Dom Crean - o mundo está distraído pelas acções de alguns políticos, enquanto milhões de pessoas na África Oriental sofrem em silêncio. E isto é inaceitável”.

P. Bernardo SUATE,                         Rádio Vaticano/ Redação Portuguesa 

 
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ANGOLA. Sacerdotes refugiados contam a guerra do Kasai Central, RDC

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Quatro sacerdotes Refugiados da República Democrática do Congo  contam na primeira pessoa como foi possível fugir das garras das milícias que semeiam o pânico na região de Kasai Central, na RDC.

Estes servos fazem parte dos mais de 30 mil refugiados que fogem da guerra na RDC e acolhidos na província angolana da Lunda Norte.

Os sacerdotes recordam com dor o momento de verdadeiro terror quando em plena celebração da Eucaristia foram surpreendidos  por umas milícias que travam intensos combates com as tropas governamentais.

Anastácio SASEMBELE,                                de Luanda, para a Rádio Vaticano

 
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ÁFRICA. Novo Relatório UNCTAD: turismo africano cresce rapidamente

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Sinais de esperança a partir do último relatório da Conferência das Nações Unidas sobre o Comércio e o Desenvolvimento - UNCTAD - que examina o surpreendente crescimento do turismo no Continente Africano, de 1995 até hoje. Passou-se de 24 milhões de turistas aos actuais 58 milhões, contribuindo com cerca 8,5% do PIB africano. São precisamente os turistas africanos que alimentam este sector em crescimento, mas o relatório confirma que os visitantes internacionais estão em constante aumento, esperando que possam dar um forte contributo ao crescimento e desenvolvimento do continente. A Rádio Vaticano ouviu as declarações, a este propósito, de Enrico Casale, da revista "Africa" dos Padres Brancos:

Este relatório é particularmente interessante por três dados que ele fornece: o primeiro dado destaca que o turismo é um elemento de crescimento e riqueza para o continente, cujas potencialidades ainda não estão completamente exploradas e há outras oportunidades para desenvolvê-las. O segundo dado é que o turismo cria postos de trabalho, antes de tudo para os jovens e, de facto, 50% dos trabalhadores do turismo tem menos de 25 anos de idade; e, depois, o último dado interessante diz-nos que 47% dos trabalhadores do sector do turismo são mulheres. O turismo, portanto, não é apenas um elemento que pode produzir riqueza, mas também emancipação feminina.

O relatório fala também de um desenvolvimento e um crescimento inclusivo …

Creio que se fala de um fenómeno - a indústria do turismo - que cria coesão, no sentido de que o turismo é um elemento que, para se desenvolver, precisa de paz, mas ao mesmo tempo cria a paz. Os turistas, sobretudo aqueles que vêm do exterior, chegam em Países estáveis, pacíficos; ao mesmo tempo, criando desenvolvimento, o turismo cria automaticamente coesão entre as populações dentro dos Estados e entre diferentes Estados.

Portanto, este crescimento pode favorecer e até mesmo proteger as peculiaridades culturais e as tradições da sociedade africana?

Não só pode ser uma indústria que ajuda o desenvolvimento, mas também uma indústria que preserva as riquezas, com um factor de crescimento cultural para a população. Uma parte importante destes turistas são africanos: portanto, existe um turismo africano, e não apenas um turismo que vem do exterior, de fora do continente. Para estes turistas africanos é também uma forma de entrar em contacto com a própria cultura e cultivá-la. Portanto, o turismo é certamente um factor de crescimento.

Como se pode promover este turismo africano e o que se pode fazer mais?

Certamente, é importante a estabilidade dos Países: quanto mais um País for  estável, tanto mais ele atrairá o turismo. Vimo-lo com o exemplo do Egipto: ultimamente, com os problemas provocados pelas primaveras árabes e uma menor estabilidade, perdeu uma parte do seu turismo. Portanto, eu diria que antes de tudo é necessária a estabilidade. E depois, é fundamental a diversificação: o turismo não é apenas o turismo cultural e turismo relacionado com as férias, mas é também turismo comercial, porque desenvolvendo a economia, também se desenvolve o turismo dos operadores económicos. E depois, estão também outras formas: penso, por exemplo, no turismo médico, daqueles que vão para obter tratamento no estrangeiro. Portanto, uma pluralidade de turismos que devem ser recolhidos e interceptados, para promover o crescimento deste sector.

P. Bernardo SUATE,                         Rádio Vaticano/ Redação Portuguesa

 
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MALI. terra de pobreza e migrações, mas também de oportunidades

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Não apenas terra de tensões, pobreza e migrações, mas também de novas oportunidades de crescimento. É o Mali que, após o acordo de paz de 2015, procura uma nova ordem política e social, começando com os jovens.

Muitos deixam o seu País, percorrem  milhares de quilómetros, atravessando o deserto e as fronteiras da Argélia e Líbia, antes de tentar a via para a Europa em barcos improvisados, quase sempre controlados pelo crime organizado, que atravessam o mar no Mediterrâneo. E não sabem se vão chegar. São os jovens do Mali, um dos Países mais pobres do mundo, com mais de 43% da população – segundo os dados do Banco Mundial, citados pela Organização Internacional para as Migrações (OIM) - abaixo da linha de pobreza, sobretudo nas zonas rurais. Os últimos anos foram marcados pela violência e tensões, sobretudo no norte do País, com uma forte presença Tuaregue. Em janeiro de 2013, uma força multinacional guiada pela França interveio para restaurar a soberania de Bamaco nos territórios do Sahara setentrional. Mas a instabilidade, devido também aos últimos e sangrentos actos de grupos jihadistas, não foi ultrapassada: na última quinta-feira foram três as vítimas assinaladas no nordeste. Disso nos fala Vincenzo Giardina, enviado da agência de imprensa 'Dire' no Mali:

"O Mali é um País que tem uma história de desequilíbrios e revoltas. O conflito civil que eclodiu e foi retomado em 2012 também assumiu a forma do avanço de grupos islâmicos, aqueles que nas últimas semanas têm reivindicaram ataques contra a missão dos Capacetes Azuis das Nações Unidas e emboscadas como a do Campement Kangaba de 18 de junho, às portas de Bamaco, um Hotel de luxo frequentado por franceses ou ricos malianos. Estes grupos ganharam força em regiões onde há um forte componente Tuaregue e árabe, minorias a nível nacional: naquelas regiões – penso nas zonas de Timbuktu, Kidal e Gao – o relacionamento com o poder central de Bamaco sempre foi complexo e, portanto, trata-se de contextos que, entre 2012 e 2013, favoreceram a entrada de elementos estrangeiros que, em seguida, se identificaram com movimentos internacionais como  al Qaeda”.

Este País da África Ocidental tenta agora aplicar o disposto no acordo de paz entre as autoridades em Bamaco e os Tuaregue, alcançado em 2015 em Argel. Mas nas últimas semanas, milhares de malianos foram às ruas contra o projecto de revisão da Constituição, aliás previsto nos acordos, para em seguida ser submetido a um referendo. Ultimamente o Tribunal Constitucional pediu uma mudança para o tal projecto de reforma. Ainda Vincenzo Giardina:

"Procura-se garantir o espaço necessário para a aplicação dos acordos de paz de Argel. A criação do Senado - até à data no Mali existe apenas a Câmara Baixa - deveria, de facto, garantir aquelas posições que permitiriam a integração, a nível nacional, nas estruturas políticas do País, dos representantes da ex-rebelião tuaregue. Evidentemente, porém, existe parte da sociedade civil, bem como partidos da oposição, que contestam as modalidades desta reforma, em particular o direito que o presidente teria de nomear os membros do Senado, interpretando esta passagem como um fortalecimento indevido do poder do presidente. Note-se que aos 17 de junho, em Bamaco, realizaram-se importantes manifestações que levaram o presidente Ibrahim Boubacar Keïta a adiar sine die, para uma data a designar, a consultação do referendo, precisamente porque muito contestada”.

Neste contexto, ao lado da população, trabalham várias ONGs, da 'Terra Nova' à 'Iscos', com projectos de desenvolvimento rural, para a segurança alimentar e a criação de rendimento, possíveis alternativas às migrações. O Maliano Abdoulaye Diarra é mediador cultural de Terra Nova em Bamaco:

“Nós nos ocupamos principalmente de duas actividades. A criação de actividades para permitir aos jovens, potenciais candidatos à emigração, de encontrar um pequeno trabalho e criar assim um rendimento. E também nos ocupamos de cursos de formação sobre tudo o que está relacionado com as migrações, o que acontece na Europa, no Mali e ao longo das rotas migratórias”.

Existe uma nova lei no Mali que empenha a confiar a cultivadoras e a cooperativas para mulheres entre 10 e 15 por cento dos terrenos do Estado. Isto está já a acontecer? Poderia ser uma alternativa às migrações?

Poderia, sim, ser uma alternativa. Mas sabemos que muitas mulheres que se encontram longe das grandes cidades não conhecem esta lei e, portanto, corre o risco de ser uma lei que não passa do papel, difícil de implementar na prática.

Falando precisamente com jovens, rapazes e raparigas, o que emerge? Porque decidem de emigrar?

Existem várias causas. A principal delas é a segurança: a maior parte dos rapazes parte porque vê que no lugar onde vive já não existe segurança para a própria vida, existem conflitos armados. Uma outra coisa importante que leva os rapazes a tentar a via da migração é a falta de perspectivas, porque uma pessoa pode estudar, chegar ao liceu, ir à universidade e, no fim, não consegue encontrar trabalho. Mas depois estão os rapazes que não foram à escola, não têm nenhuma perspectiva para o futuro, porque os políticos, por vezes, não prevêem medidas sobretudo para estes jovens que vivem longe das grandes cidades.

Pode dar-nos um exemplo? Um projecto vosso que ajudou um jovem, um rapaz a não partir?

O nosso projecto ajudou vários rapazes a não partir. Por exemplo, eu rodei pelas cidades: ajudámos os rapazes a criar actividades. Uma particular actividade foi financiada através de projectos de microcrédito. Um rapaz desta forma conseguiu comprar algumas vacas, animais para a reprodução: e assim renunciou de partir. Um outro exemplo: ajudámos um outro rapaz a levantar o seu próprio negócio de jardinagem: conseguiu comprar um pequeno motor para extracção de água, de modo a irrigar a sua pequena horta. E assim ele pôde cuidar da sua família e decidiu não partir. São pequenas coisas, mas que ajudam muito. É realmente importante que as pessoas percebam que, em todo caso, no Mali há muitas oportunidades, porque aquilo que a gente considera pouco - cem euros, duzentos euros – aqui não é pouco! Portanto, pode-se fazer muito para ajudar estes jovens a não tentar a aventura.

 
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CABO VERDE. Governo anuncia novas representações diplomáticas

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Representantes das Missões Diplomáticas e das Organizações Internacionais acreditadas em Cabo Verde estiveram reunidas com o Primeiro Ministro.

Ulisses Correia e Silva, já fez saber que foi uma oportunidade para o executivo agradecer todo o empenho que esses parceiros tem  feito para ajudar Cabo Verde no seu desenvolvimento. Fez saber ainda que o Governo está engajado na mudança do perfil da economia caboverdiana. Uma das principais medidas asseguradas pelo chefe do Governo é reforçar a cooperação com outros países e a abertura de novas representações diplomáticas no país.

Entretanto, Cabo Verde prepara-se para o  IV fórum Mundial de Desenvolvimento Económico e Local, cujo país anfitrião é Cabo Verde está marcado para 17 a 20 de Outubro, na Cidade da Praia e se prevê uma participação de cerca de dois mil participantes entre convidados nacionais e estrangeiros.

Da parte do corpo diplomático o decano e embaixador da Rússia, Boris Kurdyumov, garantiu que Cabo Verde terá todo o apoio na realização desse evento.

Rádio Nova, Emissora Cristã de Cabo Verde,                                 para a Rádio Vaticano

 
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CABO VERDE. III Colóquio Luso-Afro-Brasileiro sobre Questões Curriculares

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Decorreu em Cabo Verde o III Colóquio Luso-Afro-Brasileiro de Questões Curriculares.

O evento foi promovido pela Universidade de Cabo Verde (Uni-CV) em parceria com Universidade do Minho, Universidade Católica de Petrópolis, Universidade do Estado de Santa Catarina e o Instituto Federal do Rio Grande do Norte.

Participaram do Colóquio académicos e estudantes de pós-graduação, profissionais da área da educação de Cabo Verde, Portugal, Brasil, Angola e Timor-Leste que investigam e debatem questões pertinentes do campo do currículo.

Segundo o Professor José Augusto Pacheco, da Universidade do Minho, o objectivo deste colóquio foi procurar as formas de conciliar os aspectos globais com os contextos locais.

Para a Reitora da Uni-CV, Judite do Nascimento, o colóquio aconteceu num bom momento para Cabo Verde na medida em que actualmente está-se a desenvolver uma revisão curricular global.

A Reitora da Universidade de Cabo Verde perspectiva a partir deste evento internacional o reforço da investigação nas questões curriculares. Por outro lado aponta para a questão da diversificação a nível da extensão universitária.

Durante dois dias os participantes discutiram temas curriculares a nível da Educação e Formação, Políticas e Novos Desafio, Educação Básica, Avaliações, Trabalho e Formação Docente, Tecnologias, Inclusão e Diferença, Conhecimento, Fronteiras e Migrações, Ensino Médio e Formação Humana Integral.

Rádio Nova, Emissora Cristã de Cabo Verde,                                 para a Rádio Vaticano

 
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SUDÃO DO SUL. ‘O vergonhoso fracasso da cooperação internacional’

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O mundo vive nestes anos a maior onda migratória da história recente. Existe um lugar onde a crise aumenta num ritmo mais rápido que em outros: é o Sudão do Sul e, especificamente, a região de Equatoria.

Famílias morrem a machadadas e queimadas em suas casas; mulheres e crianças são vítimas de estupro colectivo: esse é o cenário emerso num relatório elaborado por várias ONGs operativas no campo, publicado quarta-feira (05/07).

O conflito no Sudão do Sul causa e causou atrocidades, terror e fome, além de ter forçado apenas num ano centenas de pessoas a abandonarem a região. Equatoria, considerada no passado como o ‘celeiro’ do País pela fertilidade de suas terras, é hoje um campo de morte.

Agentes humanitários (em particular da Amnesty International) visitaram a região em junho e documentaram violações e crimes de guerra contra civis cometidos pelas forças da oposição, mas também por tropas do governo. Acuadas por tanta violência, quase um milhão de pessoas fugiram para Uganda, País vizinho. Segundo o relatório, a carência de recursos faz com que muitos deles não estejam a receber serviços básicos, como alimento, água e abrigo. Pelo menos 86% são mulheres e crianças.

Donatella Rovera, consultora da Amnesty International, recém-chegada, relata: “Casas, escolas, postos de saúde, agências humanitárias; tudo foi saqueado e destruído. A comida é usada como arma de guerra e as atrocidades continuam a acontecer. Centenas de milhares de pessoas que um ano atrás se sentiam protegidas do conflito, hoje estão a fugir dele”. 

Muthoni Wanyeki, director da Amnesty International para a África Oriental, Corno de África e Grandes Lagos, afirma que:

“Os doadores, incluindo os EUA, os Países da UE, o Canadá, a China e o Japão, devem intensificar o apoio a Uganda, assegurando o financiamento oportuno das necessidades imediatas e de longo prazo dos refugiados. Esses refugiados não devem se tornar as vítimas fatais de um fracasso colectivo e vergonhoso da cooperação internacional”.

 
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Pain hebdomadaire du catholique. Quatorzième Dimanche. Temps Ordinaire. Année A. Dimanche 16 juillet 2017. Par l’Ambassadeur Théodore C. LOKO

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I. Traits définitoires du laïcat :

Les laïcs constituent l’ensemble des chrétiens qui ne sont pas membres de l’ordre sacré et de l’ordre religieux (Lumen Gentium n° 31, cf. Can 207 §1) et qui, de par leur baptême, en leur qualité de fidèles, sont incorporés au Christ et intégrés au peuple de Dieu, d’où leur participation, à leur manière, à la fonction sacerdotale, prophétique et royale du Christ (cf. Can 204 §1). "Tous les laïcs ont le devoir et le droit de travailler à ce que le message divin du salut atteigne sans cesse davantage tous les hommes de tous les temps et de tout l'univers" (Can 211).

La foi est un acte personnel : la réponse libre de l’homme à l’initiative de Dieu qui se révèle. Mais la foi n’est pas un acte isolé. Nul ne peut croire seul, comme nul ne peut vivre seul. Nul ne s’est donné la foi à lui-même comme nul ne s’est donné la vie à lui-même. Le croyant a reçu la foi d’autrui, il doit la transmettre à autrui. Notre amour pour Jésus et pour les hommes nous pousse à parler à autrui de notre foi. Chaque croyant est ainsi comme un maillon dans la grande chaîne des croyants. Je ne peux croire sans être porté par la foi des autres, et par ma foi, je contribue à porter la foi des autres (Catéchisme de l’Eglise catholique, Première partie, première section, chapitre troisième, article 1er).

II. Textes du jour : Isaïe 55,10-11 ; Psaume : 64 ; Romains 8,18-23 ; Mathieu 13,1-23

III. Commentaire :

Les textes liturgiques de ce dimanche nous enseignent que ce qui est important pour nous est d’être vraiment à l’écoute de la parole. Si Dieu nous parle, c’est pour notre bonheur. Il ne demande qu’à nous rejoindre, mais il ne va pas forcer notre porte car il respecte notre liberté. « Après avoir, à maintes reprises et sous maintes formes, parlé jadis aux Pères par les prophètes, Dieu, en ces jours qui sont les derniers nous a parlé par le Fils » (He 1, 1).

Dans la première lecture, cette courte parabole nous dit de manière poétique et très expressive la fécondité de la parole de Dieu. Quelques versets auparavant, le prophète a déclaré : « Cherchez le Seigneur tant qu’il se laisse trouver ; invoquez-le tant qu’il est proche. » (55, 6). Nous sommes donc dans un contexte de conversion. La parole de Dieu est comparée à l’eau du ciel qui féconde la terre pour qu’elle procure nouvelle semence au semeur et nourriture à tout homme. Le trait inattendu est la remontée de cette eau/parole vers Dieu après l’accomplissement de sa mission sur terre.

Dans l’Evangile, nous avons la parabole du semeur qui est l’une des plus connues des évangiles. De cette parabole on retiendra d’abord la générosité voire la prodigalité du semeur qui sème en tous lieux. Le récit nous montre ainsi trois situations de non fécondité de la semence, du fait d’un terrain inadapté : le chemin, la rocaille, le terrain épineux. Apparaissent enfin trois situations de fécondité, avec une bonne terre offrant des rendements extraordinaires. « Vous donc, écoutez ce que veut dire la parabole du semeur. Quand l’homme entend la parole du Royaume sans la comprendre, le Mauvais survient et s’empare de ce qui est semé dans son cœur : cet homme, c’est le terrain ensemencé au bord du chemin.

« Celui qui a reçu la semence sur un sol pierreux, c’est l’homme qui entend la Parole et la reçoit aussitôt avec joie ; mais il n’a pas de racines en lui, il est l’homme d’un moment : quand vient la détresse ou la persécution à cause de la Parole, il tombe aussitôt. Celui qui a reçu la semence dans les ronces, c’est l’homme qui entend la Parole ; mais les soucis du monde et les séductions de la richesse étouffent la Parole, et il ne donne pas de fruit. « Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c’est l’homme qui entend la Parole et la comprend ; il porte du fruit à raison de cent, ou soixante, ou trente pour un. » Nous devons retenir qu’être chrétien est un engagement. Ce n’est pas une étiquette. Dans Luc 10, 38-41, Jésus dit souvent que c’est essentiel d’être dans l’écoute de la Parole de Dieu, mais il ajoute toujours que cela n’est rien si l’on ne la met pas ensuite en pratique en allant vers l’autre et acceptant de se mettre au service des autres et en acceptant aussi d’être parfois aidé par d’autres. Le dessein divin de la Révélation se réalise à la fois " par des actions et par des paroles, intimement liées entre elles et s’éclairant mutuellement " (DV 2). Il comporte une " pédagogie divine " particulière : Dieu se communique graduellement à l’homme, Il le prépare par étapes à accueillir la Révélation surnaturelle qu’Il fait de lui-même et qui va culminer dans la Personne et la mission du Verbe incarné, Jésus-Christ. S. Irénée de Lyon parle à maintes reprises de cette pédagogie divine sous l’image de l’accoutumance mutuelle entre Dieu et l’homme : " Le Verbe de Dieu a habité dans l’homme et s’est fait Fils de l’homme pour accoutumer l’homme à saisir Dieu et accoutumer Dieu à habiter dans l’homme, selon le bon plaisir du Père " (Hær. 3, 20, 2 ; cf. par exemple 3, 17, 1 ; 4, 12, 4 ; 4, 21, 3). L’homme, de par sa création, est un être temporel : « Tu es poussière et tu y retourneras ». Toutefois, Dieu qui « n’a pas fait la mort et ne se réjouit pas de la perte des vivants » (Sg 1- 13), avait prévu, pour l’homme, dès sa création, un plan qu’Irénée nomme une économie. Cette économie se déploie progressivement dans le temps. Selon cette économie, la créature humaine devait, par étapes successives et dans un choix toujours libre, passer de son statut de temporalité inhérent à son origine, au statut proprement divin d’incorruptibilité, en la Personne de Dieu fait homme. Si l’homme n’est que temporel de par sa création ex nihilo, sa survie définitive (son salut) n’est possible que s’il peut passer de son niveau de créature (économie de la création) à celui de fils de Dieu (économie de la filiation), en ayant préalablement choisi de s’insérer librement dans le Corps du Christ, l’unique Fils de Dieu fait homme (économie de l’adoption en vue de la filiation).

 
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La revue de la presse catholique africaine du Mercredi 12 juillet 2017. Par Albert MIANZOUKOUTA*

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La question qu’aborde cette semaine EGLISE CATHOLIQUE Rwanda, le portail de la Conférence épiscopale, est une préoccupation commune à beaucoup d’Eglises locales : l’autofinancement de notre Eglise. « Assurer son autofinancement ? ‘Il faut que les théories cessent’», tel est le titre de l’article que publie le portail, rendant compte d’une prise de position de Mgr Célestin Hakizimana, Evêque de Gikongoro et Président de la commission épiscopale pour les affaires Economiques. «Des sessions et des sessions sans résultats, il (faut) que cela cesse », insiste l’Evêque dans un message aux participants à un atelier de deux jours qui s’est ouvert mardi et qui est consacré à la mobilisation des ressources financières de l’Eglise. Nous aurons sans doute l’occasion d’y revenir. A rappeler que lors de leur dernière assemblée plénière à Brazzaville, en mai, les Evêques du Congo aussi ont consacré une partie de leurs travaux à ce thème de l’autofinancement ainsi que nous avons pu le lire dans l’une des dernières livraisons de La SEMAINE AFRICAINE. Ils ont mis sur pied une commission devant approfondir cette thématique.

L’autofinancement et le développement sont deux thèmes voisins qui se nourrissent l’un de l’autre. C’est pourquoi nous lisons avec intérêt l’article que signe notre confrère Guy Dossou-Yovo dans La CROIX du Bénin. « Le Père Justin Bocovo, Curé de la paroisse Notre-Dame de la Visitation de Gbèdagba, a béni dans le cadre d’une fin de formation en agro-alimentaire des diplômes d’une quarantaine de femmes », écrit-il. La formation a consisté à rendre les bénéficiaires aptes « à la transformation de divers produits agro-alimentaires en produits finis commercialisables, à la fabrication des produits cosmétiques, puis en gestion ». Mais l’ambition est encore plus vaste puisque les nouvelles actrices du développement envisagent dans un avenir proche la production du vinaire, la conservation de la tomate « pendant une longue durée, de trois mois à un an », la pâtisserie et d’autres produits de consommation courante.

Le journaliste précise que les heureuses récipiendaires de ces diplômes sont des fidèles de cette paroisse de l’Archidiocèse de Cotonou, toutes « à l’exception d’une musulmane, Mme Chitou ». Comme quoi le développement intégral ne choisit pas sa religion !

Le portail EGLISE D’ALGERIE lance un SOS que nous relayons bien volontiers ; il concerne l’Ecole de la différence, une expérience originale qui œuvre en faveur de la solidarité et du brassage en Algérie. «Nous cherchons des sponsors pour que l’Ecole de la différence ne devienne pas une activité destinée aux seules familles aisées. En effet, certains jeunes, nous font part de leurs soucis financiers. Nous ne voulons pas les exclure de l’Ecole de la différence. Nos besoins sont : Contribution aux frais globaux d’hébergement et organisation ; Bourses pour 5 jeunes de condition modeste ; Location d’un mini bus pour une journée ». La générosité, est-il précisé, peut aller plus loin encore et s’étendre jusqu’aux matériels usuels de bureau ou à des gadgets tels les casquettes.

Dans le cadre de la Revue de presse catholique africaine, il nous plaît toujours de donner en primauté les nouvelles de la grande famille de la presse catholique, comme la création de nouvelles radios ou de nouveaux journaux catholiques africains. Aussi ne pouvions-nous pas passer à côté de la recension que nous livre Razafindramanitra dans la dernière édition en ligne du journal La CROIX de Madagascar. Le livre qu’il a lu pour nous a pour titre : « Dans les revers du journalisme malgache : le parcours d’un militant ». Il est écrit par Jean Paul Randrianiaina, homme de média avec une trentaine d’années d’expérience, surtout en radio. A défaut d’en savoir un peu plus sur le contenu consacré à la prise des notes en presse et rassemblé sur 167 pages et « 47 thèmes différents pour mieux montrer les richesses du métier de journaliste avec aussi ses difficultés », nous lisons avec intérêt que « Jean-Paul Randrianiaina (…) a forgé sa foi (chrétienne, Ndlr) en suivant le parcours des jeunes (…) des mouvements au sein de l’Eglise Catholique avec comme mentor le père Julien Rakotosoa. C’est encore au sein de l’Eglise qu’il a expérimenté ses premières armes en tant que journaliste ».

* Journaliste à Radio Vatican/Français-Afrique

 
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